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 Alonzo: la der amère!

Même s'il a été très peu sollicité, Jérôme Alonzo n'a pu que s'incliner avec le PSG face à Lyon (1-0) en finale de la Coupe de France. Le gardien parisien n'a pu masquer sa tristesse et son amertume de voir son aventure avec Paris se terminer de cette façon.

FOOTBALL 2007-2008 PSG - Alonzo - 0 

Le contraste est édifiant. D'ordinaire si souriant et expressif, Jérôme Alonzo a le visage fermé, les yeux dans le vague et la mine dépitée dans les couloirs du Stade de France. Quelques minutes auparavant, le PSG s'est incliné devant Lyon en finale de la Coupe de France. Sur la plus petite des marges (0-1) et un but de Sidney Govou au cours de la prolongation. Le gardien parisien n'a quasiment rien eu à faire de la rencontre. Sinon regarder ses coéquipiers multiplier les occasions de but, sans parvenir à faire trembler les filets rhodaniens. Deux barres, un but refusé, une main oubliée... Puis l'OL a marqué sur l'une de ses rares incursions dans le camp parisien. "Je suis très en colère, contre la terre entière. Je suis malheureux. C'est un moment affreux", a lâché l'habituelle doublure de Mickaël Landreau, qui a pourtant connu les pires moments du club de la capitale.

Alonzo n'encaisse pas. Pour n'avoir que trop rarement éprouvé le plaisir de figurer dans le onze de départ, l'ancien stéphanois espérait définitivement autre chose que ce scénario si cruel. "Ce qui est triste, c'est d'avoir perdu contre une équipe qui était moins bonne que nous. C'est souvent ce qui arrive en finale. Ce match, on peut le gagner 3-0 sans problème. Comme quoi la chance fait partie intégrante du sport de haut niveau. Ici c'est l'équipe la plus chanceuse qui a gagné", avance-t-il.

Et la plus réaliste. Paris a pourtant fait preuve d'une solidité remarquable sur l'ensemble de la rencontre, comme rarement, sinon jamais, cette saison. Comme si le maintien assuré le week-end précédent avait totalement libéré les hommes de Paul Le Guen. L'entraîneur parisien n'a rien eu à reprocher à ses joueurs. Ils ont certainement fait le meilleur match de leur saison. Son plus gros regret, c'est qu'il n'y ait pas la victoire et la Coupe pour les récompenser. Et ce but de Govou. Une erreur de marquage, si rare au cours de cette rencontre, immédiatement sanctionnée par le réalisme froid de l'OL. "On a essayé de repartir. Mais on était à peu près certain que l'équipe qui allait marquer la première l'emporterait. Des fois, la gloire, le succès, ça se joue à quelques centimètres", résume Alonzo.

"C'est un déchirement"

Le gardien parisien dégage un mélange de tristesse et d'amertume. Cette finale n'était pas que l'occasion de partir sur un sourire après une saison en forme de calvaire. Elle marquait aussi la fin d'une époque pour un PSG qui va subir un lifting important à l'intersaison. "On aurait souhaité finir sur une victoire. Il y a pas mal d'anciens, nos chemins vont se séparer. Il y a la déception de cette finale et celle de la séparation. C'est un déchirement" , souffle Alonzo au terme de sa sixième saison passée au club.

C'était la dernière. Joueur emblématique du club de la capitale, adoré par le public du Parc, Alonzo a porté le maillot du PSG pour la dernière fois. L'heure est venue de changer d'air. "J'ai trois ou quatre propositions assez sérieuses en France, deux en Ligue 1 et deux en Ligue 2. Je dois penser à moi, pour une fois dans ma vie. Je n'ai pas le temps d'attendre un mois. Si une bonne proposition arrive dans les dix jours qui viennent, alors pourquoi pas ?", explique-t-il. Cette bonne proposition, le club de la capitale s'est abstenu de lui faire. Il ne compte plus sur un gardien, mais surtout un homme, qui lui a pourtant donné tout ce qu'il pouvait. "Si on compte encore sur moi à Paris ? Là, de moins en moins...", lâche Alonzo avant de quitter le Stade de France. Par une porte beaucoup trop petite.

Vincent BREGEVIN / Eurosport

PSG: Michel Moulin : “Il y a la place pour un deuxième club à Paris !”

Jean-Sébastien Hevin

                  Photo_1211819267083-1-0                                                               Nommé conseiller sportif à la fin du mois dernier, Michel Moulin quittera le PSG dans les prochains jours. Le directeur général du groupe Hersant n’a pourtant peut-être pas dit adieu au monde du football. Exclusif.

FRANCE-SOIR. Quel bilan dressez-vous de votre passage au PSG ?
MICHEL MOULIN.
Je me suis régalé à Paris et je suis très content que Sébastien Bazin m’ait confié cette mission. Je me suis éclaté durant les quelques semaines que j’ai passées au sein du club de la capitale et je suis vraiment soulagé de le voir rester en Ligue 1.

Considérez-vous votre mission comme une réussite ?
Même si je ne suis que pour 1 % dans le maintien comme certains veulent bien le dire, c’est déjà une satisfaction. Je pourrai continuer d’aller voir l’an prochain les matches de Ligue 1 le samedi soir au Parc des Princes avec mon fils.

Dans quel état d’esprit quittez-vous le club ?
Je ne suis pas aigri, juste content du résultat. Vous savez, je suis quelqu’un d’entier et je ne pouvais pas occuper un autre poste que celui de président. Je ne suis pas patron de Paru Vendu pour me retrouver à un poste de l’ombre au sein du PSG. C’était la présidence ou rien. J’ai réalisé cette mission en tant que bénévole et que passionné. Je suis peut-être le dindon de la farce, comme certains veulent bien le dire, mais cela ne me dérange pas.

                       ALeqM5jrg5k2horK-n487tJnysihsQ0IiA                                                          Auriez-vous souhaité rester plus longtemps au PSG ?
J’étais prêt à m’investir, j’avais des idées pour sauver le club. Je pensais notamment faire signer trois grands joueurs plutôt que d’investir dans une dizaine d’un niveau moyen. J’avais beaucoup d’idées qui déplaisaient peut-être dans le football actuel, mais je reste persuadé que, malgré ce que les gens veulent bien dire, il y a de l’argent dans le football français. Il est juste moins bien utilisé qu’ailleurs.

Vous reverra-t-on un jour dans le monde du sport ?
Ce n’est pas impossible. Mon objectif sera peut-être de monter un deuxième grand club à Paris. Il y a la place pour cela...!


 
L1 / PSG : Moulin, le dindon parisien

Moulin: le dindon parisien!

Alex KAZAN

Invité d’Infosport, Michel Moulin a confirmé qu’il ne serait pas le prochain président du PSG. Déçu, l'ex-conseiller sportif du club évoque l’arrivée de Charles Villeneuve et voit en Arsène Wenger le futur homme fort à Paris. 

 

« On peut dire que je suis un peu le dindon de la farce. » Plutôt souriant mais visiblement déçu par le dénouement de ces dernières heures, Michel Moulin est venu s’expliquer sur le plateau d’Infosport, lundi soir. Le désormais ex-conseiller sportif du Paris Saint-Germain, arrivé au chevet du club parisien après une débâcle à Caen et la démission d’Alain Cayzac, a confirmé qu’il ne serait pas le futur président du PSG. « Ce sera certainement Charles Villeneuve le prochain président mais ce n’est pas à moi de l’annoncer, a lancé le directeur général du groupe Hersant Média et ParuVendu. C’est M.Bazin qui le fera. »

Depuis quelques jours, Michel Moulin ne cachait pourtant pas ses ambitions dans la Capitale. Pas question pour lui de conserver un costume trop petit : la suite de son aventure au PSG se conjuguait forcément avec un rôle de président. Il avait d’ailleurs exposé les grandes lignes de son projet dans une interview qui n’avait pas été très appréciée par les actionnaires, peu enclins à se laisser dicter les futures décisions à prendre. « J’espérais devenir président, a reconnu le Méridional. Je suis bénévole et passionné. Les joueurs ont vu que j’étais avec eux et j’ai eu une part de responsabilité, même infime, dans le maintien. »

Wenger à Paris dans un an ou deux ?

Refusant d’entrer dans une éventuelle polémique, Michel Moulin a donc dignement expliqué sa situation. « Bien sûr, j’en veux un peu à Sébastien Bazin mais j’ai aussi beaucoup d’estime pour lui. Il ne m’a jamais rien promis dans cette histoire et ce n’est pas moi qui mets de l’argent sur la table. Mais je pense que beaucoup de joueurs auraient souhaité que je reste, surtout les jeunes. Je remercie quand même tous les gens du club, de l’actionnaire à Paul Le Guen, car je me suis régalé pendant un mois. »

S’il a également évoqué Paul Le Guen - « C’est quelqu’un de très intelligent et qui connaît bien le football. Il n’y a pas eu de clash entre nous. Mais si j’avais été le nouveau président du PSG, on aurait eu une discussion. Car on a vu ses erreurs dans le recrutement » - Michel Moulin a également parlé de l’arrivée de Charles Villeneuve. « Je ne sais pas s’il connaît bien le football mais je suis certain que Gilles Grimandi va arriver comme directeur sportif et qu’Arsène Wenger espère lui devenir le futur président du PSG dans un an ou deux. » L’avenir dira si Michel Moulin avait vu juste. Seule certitude ce lundi soir, c’est sans lui que Paris va poursuivre sa route…



 PSG : Moulin « rate quelque chose !»

Michel Moulin ne sera pas le futur président du Paris Saint-Germain, comme il le confirme dans l'entretien qu'il nous a accordé. Arrivé le 21 avril comme conseiller après la déroute à Caen, le patron de Paru Vendu nous a fait part de sa déception et... de sa volonté de « faire un deuxième club à Paris

« Michel Moulin, dans quel état d'esprit êtes-vous suite à la décision de Colony Capital de ne pas vous nommer comme président ?
Mon état d'esprit est très bon parce que j'ai tout donné pour le PSG. J'ai rempli la mission qui m'a été confiée et je retournerai au Parc voir les matches avec mon fils. Le seul truc que je veux dire, c'est que j'ai fait des choses en tant que conseiller sportif que je n'aurais pas fait si j'avais été président. Je ne serais pas allé sur la pelouse par exemple.

Vous faîtes allusion à votre comportement en général ?
Ma mission était de sauver le club en tant que conseiller sportif, d'entourer les joueurs, de me battre avec eux, de leur montrer qu'ils pouvaient y arriver, d'être proche d'eux en leur parlant. Alors oui, j'ai parlé fort, j'ai tapé dans le dos des gens mais personne ne m'enlèvera ce que j'ai fait. Je suis arrivé, on avait moins trois points et Paris était derrière Toulouse et Lens. Je pars alors que le club est sauvé et on fini avec aucune défaite !

Vous êtes tout de même déçu car vous briguiez la présidence ?
Oui je suis déçu intérieurement, c'est la vie. Je vais retourner aux affaires et je pars en me disant que ce que j'ai fait, c'est bien. Je pense que si en arrivant au club, j'avais dit : ''on se sauve et je suis président'', ils (les actionnaires) auraient signé des deux mains. Mais bon... Je remercie les actionnaires pour cette aventure.

Votre histoire d'amour avec le PSG ne se concrétise pas, encore une fois ?
C'est vrai je rate quelque chose avec le PSG mais je crois que je ferai un deuxième club à Paris et un club d'un niveau élevé. J'ai en tête plusieurs clubs mais pour l'instant, je n'en dis pas plus. Je suis un passionné...

Êtes-vous surpris par l'arrivée de Charles Villeneuve ?
Oui et non, on aurait pu être surpris aussi par mon arrivée ! Il ne faut pas critiquer avant de voir. Je ne le connais pas personnellement, on s'est croisé deux ou trois fois chez mon ami Guy Savoy. On verra ce qu'il fera et si c'est bien tant mieux pour le club. »

Propos recueillis par Christophe MICHEL


Le Jdd.fr, pour Sports.fr

Villeneuve au chevet du PSG

Sébastien Bazin, directeur de Colony Capital Europe, aurait décidé de placer Charles Villeneuve, 66 ans, sur le siège de président du Paris Saint-Germain. Selon Le Parisien de lundi, l'actionnaire majoritaire du club annoncera sa décision mardi soir, lors du conseil d'administration, réalisant ainsi le rêve de l'ancien patron des sports de TF1.

                       18874villeneuve                                                          Charles Villeneuve aurait reçu l'appui de son ami Arsène Wenger auprès de Sébastien Bazin. (Maxppp)
Les supporters du PSG et les joueurs ont désormais le droit de savoir. Savoir qui sera le prochain président du club après Alain Cayzac et le très éphémère Simon Tahar. Et c'est la presse qui les en informe ce lundi. Selon des révélations du Parisien, l'ancien patron des sports de TF1 devrait prendre les rênes du Paris Saint-Germain, en proie aux pires difficultés depuis deux saisons et l'arrivée de Colony Capital, l'actionnaire majoritaire.

Exit donc l'option David Ginola, qui se voyait à nouveau magnifique sous les couleurs rouge et bleu. L'information ne sera sans doute officielle que mardi soir, lors du conseil d'administration du club, mais l'homme de médias qu'est Charles Villeneuve devrait devenir le nouvel homme fort du PSG. Pourquoi lui ? Proche d'Arsène Wenger, manager d'Arsenal mais aussi consultant de TF1 - une maison que Villeneuve connaît bien -, l'ancien présentateur du Droit de savoir aurait été chaudement recommandé à Sébastien Bazin, directeur Europe de Colony Capital, que Wenger a rencontré la semaine dernière.

L'ancien légionnaire devrait être épaulé par un directeur ou un conseiller sportif. Exit là aussi Michel Moulin, le directeur général du groupe Hersant, passé par pertes et fracas. Sans doute trop Marseillais au goût de personnes influentes gravitant autour du PSG et de Sébastien Bazin. Du côté sportif proprement dit, l'actuel entraîneur Paul Le Guen, à moins qu'il en décide autrement, devrait être confirmé dans ses fonctions la saison prochaine. Le dirigeant de Colony Capital serait même prêt à lui donner les moyens de relancer le club, quinzième du Championnat en 2006-07, seizième en 2007-08.

Verdict mardi

A bientôt soixante-sept ans, Charles Villeneuve pourrait ainsi réaliser un vieux rêve. Son nom avait déjà été évoqué puis écarté il y a deux saisons pour diriger le FC Nantes. Né à Beyrouth, Charles Villeneuve a réussi avec succès dans les médias. Journaliste, animateur et producteur, il a exercé ses compétences dans la presse, à la radio et à la télévision, notamment sur M6 et TF1 où il a été nommé directeur des sports en 2004 pour redresser l'audience de Téléfoot. Officiellement atteint par la limite d'âge et tout officiellement proche de Patrick Le Lay, Charles Villeneuve a quitté son poste en décembre 2007 et cessera toute fonction au sein du groupe TF1 d'ici le 30 juin.

Le PSG a-t-il besoin d'un homme de médias pour le diriger ? Quelle est la plus-value de Charles Villeneuve ? Quelle sera sa légitimité ? Est-il le capitaine dont le club de la capitale, trop souvent victime d'un manque de discipline criant ces dernières années, a besoin pour redresser la barre du navire parisien ? Si sa nomination était confirmée mardi soir, il n'aura que très peu de temps pour le démontrer. Après avoir usé deux présidents en deux ans, l'actionnaire majoritaire du club ne devrait pas se montrer plus généreux avec lui...

Communiqué de Simon Tahar

 

La saison sportive a pris fin samedi ; la mission que j’ai acceptée le 23 avril dernier de mener à la tête d’un club auquel on destinait, auparavant, un avenir particulièrement incertain, s’achève du même coup.

C’est donc pour moi l’heure, comme prévu, de remettre à Sébastien BAZIN que je remercie de sa confiance et aux administrateurs, mon mandat de Président Directeur Général du PARIS SAINT GERMAIN et de leur laisser le Club en meilleur état qu’à mon arrivée.

Cela a été pour moi un réel bonheur d’avoir atteint notre objectif principal : le maintien tant espéré en L 1 et la participation à la Finale de la Coupe de France.

Le maintien, qui remonte à quelques jours à peine, a été accueilli comme une victoire et ressenti comme un énorme soulagement ; quant à la finale, ce fut une inoubliable fête grâce à la démonstration d’une équipe et d’un entraîneur remarquables pourtant si injustement décriés et vilipendés il y a si peu de temps encore.

Je veux ici les en remercier vivement, au même titre que je remercie tous les supporters et les partenaires du Club de leur soutien durant cette période. Cette expérience a été pour moi exaltante et riche d’enseignements.

Le premier, c’est que le désintéressement, l’amour d’un club, l’attachement à ses valeurs, la confiance dans ses ressources, sont des forces inestimables pour affronter une épreuve vitale comme celle que le PSG vient de traverser ; du reste, ce n’est pas un hasard si c’est l’Association PARIS SAINT GERMAIN, pilier du Club et garant de son histoire qui, par l’intermédiaire de son Président, est immédiatement venue à son secours.

Le deuxième, destiné aux responsables en charge de la société d’exploitation du Club et à son prochain Président, c’est que le PSG ne peut survivre sans l’exigence de résultats de haut niveau de victoires, de trophées, de compétences et de performances, de stabilité dans ses structures dans la durée comme de moyens importants et pérennes mis à sa disposition. Je forme en tout cas le vœu et je leur demande à tous de ne jamais l’oublier.

Le troisième enfin, et il m’est plus personnel, c’est désormais la nécessité de plus de vigilance et d’exigences encore dans l’intérêt du Club vis-à-vis de ceux qui auront cette responsabilité, pour que Plus Jamais nous ne revivions des heures aussi sombres.

C’est tout le sens de l’action que je suis décidé à poursuivre à l’avenir au sein de l’Association PARIS SAINT GERMAIN pour le bien d’un Club que je suis particulièrement honoré et flatté d’avoir servi.

Que vive le PARIS SAINT-GERMAIN

Mon expo coup de coeur de la semaine!

Comme à tous les Vernissages à Neuilly-Plaisance, un maximum d'adhérents de la section UMP de Pierrefitte sont invités! J'espère que les autres villes dirigées par notre Mouvement en Seine Saint Denis, en font de même?! Cela fait aussi parti de mon bilan en tant que Délègué de ville UMP de Pierrefitte!

Jean-Pierre Renard

L'Atelier de Plaisance
Atelier L’ATELIER DE PLAISANCE FETE SES 20 ANS

Créé par trois amis, Dany PAYET, Marie-Thérèse BEINEIX et Charles VILLAIN, voulant pratiquer librement la sculpture, l’Atelier de Plaisance fête ses 20 ans. Tout au long de ces années, connaissances et transmissions techniques ont été les maîtres mots de l’association. L'Atelier de Plaisance connaît depuis 1988 un succès qui ne se dément pas, comme en témoigne son nombre d’adhérents. La qualité du travail de l’association se retrouve également dans notre ville, tels :
- « l'Aigle » place Montgomery, qui est l’emblème de la ville de Neuilly-Plaisance et de son jumelage avec Montgomery (U.S.A.).
- « le buste de l'Abbé PIERRE » devant la Communauté Emmaüs à Neuilly-Plaisance.
A l’occasion de leur exposition anniversaire, les adhérents, anciens et nouveaux, seront heureux de vous présenter leurs sculptures en bronze, en terre cuite, en plâtre, en pierre ou en bois. L'exposition vous réserve par ailleurs quelques surprises. Amoureux de l'art et curieux, venez nombreux Exposition « L’Atelier de Plaisance fête ses 20 ans »
Du 31 mai au 14 juin inclus
Bibliothèque « Guy de Maupassant » - 11 rue du Général de Gaulle
Entrée libre
Horaires d’ouverture :
Mardi : 16h-18h30
Mercredi et samedi :
10h-12h et 14h-18h30
Vendredi : 16h-19h