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 Gaza : la mort d'une trêve !


Par Julien Bahloul pour Guysen International News

     I90_qassam_toit1  Israël a connu un nouveau week-end de violences, avec une vingtaine d’obus qui se sont abattus contre son territoire. Face à la dégradation notable de la situation et au quotidien devenu invivable pour les Israéliens résidant dans un rayon proche de Gaza, nombreuses sont les voix qui s’élèvent pour demander au gouvernement d’agir militairement. Et en attendant que les responsables politiques prennent une décision, les victimes de ces tirs attendent toujours le déblocage de plusieurs millions de shekels promis pour fortifier les bâtiments les plus vulnérables.

En réponse à la poursuite des tris de roquettes contre Israël durant la journée de samedi 6 décembre, le ministre de la Défense Ehoud Barak a décidé de maintenir fermés les points de passage entre le territoire israélien et celui de la Bande de Gaza.

Durant le week-end, plusieurs roquettes et mortiers ont atteint le sud d’Israël et des terrains dans la région d’Ashkelon, une des grandes villes du pays.

Selon les secouristes israéliens, les obus se sont abattus dans une zone industrielle de la municipalité. Ces attaques terroristes n’ont toutefois fait aucune victime grâce au système d’alerte anti-missile qui a retenti dans les rues à peine 5 minutes après le lancement de l’engin, permettant ainsi aux habitants d’aller se réfugier dans des abris sécurisés.

Le jour d’avant, neuf roquettes Qassam avaient déjà été tirées contre Israël depuis la Bande de Gaza contrôlée par les islamistes du Hamas. Cette fois encore, aucun habitant n’avait été touché.

Ces tirs ont été revendiqués par la branche armée du Fatah (parti politique du président Mahmoud Abbas, pourtant engagé dans un processus diplomatique avec Jérusalem). Dans un communiqué, le mouvement terroriste a affirmé que ces obus étaient une «réponses aux actes de barbaries commis par les citoyens juifs de Judée-Samarie ».

Au total, c'est une vingtaine de roquettes qui ont touché Israël en un peu plus de 48 heures. Sans compter les 7 engins qui se sont abbatus sur la région pour la seule matinée de ce dimanche 7 décembre.

Face à la dégradation de la situation, Alon Shuster, le président du Conseil Régional du Shaar HaNegev, a appelé le gouvernement à « renégocier le budget afin de lever les fonds nécessaires à la fortification des bâtiments exposés aux tirs ».

Le maire sortant de la ville d’Ashkelon a pour sa part estimé que la trêve, en vigueur dans le Bande de Gaza depuis le mois de juin et censée rester en vigueur encore 12 jours, était « morte ».
« Nous avons vu de quoi est capable le ministre de la Défense lorsqu’il est souhaite montrer sa détermination. Il n’a pas hésité à le faire en manipulant à des fins politiques l’affaire de la maison d’Hébron. J’aimerais le voir agir avec autant de détermination contre les tirs de roquettes. Le gouvernement doit réaliser que la trêve n’existe plus ! ».

Même écho chez Yair Farjoun, responsable du Conseil Régional des plages d’Ashkelon. « Depuis plusieurs jours, des Qassams et mortiers sont tirés en notre direction. Ce qui n’était que des évènements isolés est devenu un quotidien invivable et nous ne voyons personne réagir. Cela ne peut pas continuer ainsi, le gouvernement se doit de réagir » a-t-il dit.

A quelques semaines des élections législatives, les réactions des différents partis politiques n’ont pas tardé. Tsipi Livni, ministre des Affaires étrangères et chef du parti Kadima a ainsi affirmé qu’Israël devait « répondre par la force armée contre les tirs de la Bande de Gaza ».

Selon elle, les conditions dans lesquelles la trêve a été signée n’ont plus court et le gouvernement doit donc réfléchir à l’opportunité de son maintien. Et de lancer en direction de E.Barak : « celui qui est responsable de la sécurité doit agir ».

Pour le ministre Haim Ramon, « la trêve a échoué dans tous ses objectifs, à savoir la libération de Guilad Shalit (soldat franco-israélien kidnappé par le Hamas en Israël en juin 2006) et l’accalmie dans le sud du pays ».

« Les missiles tirés ce week-end nous mettent face à une intolérable réalité et nous devons mettre fin dès maintenant à notre retenue » a-t-il ajouté en précisant qu’Israël devait également réfléchir aux moyens de faire tomber le ‘gouvernement’ du Hamas à Gaza, affirmant que dans la situation actuelle, « Jérusalem devrait se sentir les mains libres pour agir ».

Par ailleurs, il n’a pas hésité à s’en prendre au ministre de la Défense Ehoud Barak et chef du parti travailliste.
« Les objectifs de la trêve présentés par Barak ont tous échoué. Il doit l’admettre, sa vision de la trêve a lamentablement échoué. La situation n’est pas acceptable, le gouvernement doit d’urgence se réunir et prendre la décision d’en finir avec le Hamas ».

Le principal intéressé a répondu en affirmant qu’il ne fuira pas ses responsabilités sur une éventuelle opération à Gaza. Il a par ailleurs appelé à ne pas prendre de décision « intempestive » en cette « période pré-électorale brûlante ».

Pour le Likoud, en tête des sondages et principal parti d’opposition, la poursuite des tirs de roquettes est « l’expression de l’incapacité de Livni et de Kadima à diriger Israël. Le pays doit prendre en main sa sécurité et restaurer ses capacités de défense ».

Pendant que le débat politique fait rage, l’armée tentait de réagir sur le terrain. Durant le week-end, un Palestinien qui tentait de déposer un explosif contre la barrière de sécurité a été tué mais Tsahal a affirmé ne pas être à l’origine de son décès.

L’armée de l’air a procédé pour sa part au bombardement de rampes de lancement de roquettes Qassams dans le nord de la Bande de Gaza. Des sources palestiniennes ont confirmé la destruction de ces infrastructures mais ont affirmé que les terroristes sont parvenus à s’enfuir à temps.


GRANDE REUNION PUBLIQUE

A L’HOTEL DE FRANCE

Versailles, salon des glaces

 5 rue Colbert place d’armes

Jeudi 11 décembre 2008

20 h à 23 h

POUR EN FINIR AVEC

 L’OMERTA CULTURELLE !

NON AU MARIAGE FORCE DE L’ART FRANÇAIS

ET DE LA SPECULATION FINANCIERE

 

NON A L’ART AU SEUL SERVICE DU
SEXE, DE L’ARGENT, DU POUVOIR

 

NON A L’EXCLUSION DE

99 % DES ARTISTES

 

NON AU MEPRIS

DE LA FEMME

NON !

NE MASSACREZ PAS VERSAILLES !

L’EXPO Jeff Koons DESHONORE NOTRE ART

ET RUINE NOTRE PATRIMOINE

SAUVER VERSAILLES DU CAUCHEMAR JEFF KOONS, C’est SAUVER lE RAYONNEMENT DE NOTRE ART, L’ATOUT ECONOMIQUE DE NOTRE PATRIMOINE,  NOTRE PROSPERITE, L’HONNEUR  DE  LA  France  AUX  YEUX  DU  MONDE  ENTIER.

Coordination Défense de Versailles

Union Nationale des Ecrivains de France

Coordination-defense-de-versailles.fr

 


Il y a des femmes et des hommes qui vivent encore dans la rue cet hiver! Comme celui de l'année dernière et ceux d'avant!
Il y a aussi des femmes et des hommes qui consacrent une partie ou toute leurs vies aux autres et particulièrement à cette désolation.
C'est pour eux que j'ai fait ce poème libre.

L’hymne au bénévole

Ton cœur, ton âme ont d’autres ambitions

Que de gravir les niveaux, les échelles !

D’autres besoins. Les essentiels !

Alors, tu prêtes beaucoup d’attention

Aux êtres de ta planète à ceux ou à celles

Qui Parlent la même langue que toi !

Celle du cœur et du courage.

Une langue d’action sans rage,

Sans dépit, regret ou de larmes.

Une langue universelle.

Celle de la générosité.

Espoir !

Tu entraînes ton monde dans un tourbillon.

À ton image !

Je te suis, ils te suivent, nous te suivons !

Et qu’importe ou nous allons, la destination !

Dans la nuit froide, les amas de cartons

Sous les porches, les escaliers, sous les ponts

Les gueules de la misère bardées de chiffons

L’alcool qui abruti et fait oublier les gnons.

La faim et la peur. Cette misère sans définition.

Une odeur que l’on n'oublie pas ! Sans dérision !

La bataille n’est pas finie, l’ennemi n’est pas terrassé !

Il ne soigne pas ses blessures, ni comptes ses rescapés.

La dérive, la solitude, l’alcool, la faim, la pauvreté,

Toutes ces injustes, tristes et réelles destinées,

Ne peuvent se satisfaire d’un mot bien placé !

Se satisfaire d’acteurs de la bonté !

De professionnels de la charité.

Buveur du sang de l’affamé.

Autour d’une table, un buffet.

Prenant des airs peinés,

Ou des mines attristées,

Entre deux rires éclatés.

Désespoir !

La misère a les dents pointues, acérées.

Elles laissent les corps déchiquetés !

Les esprits saoulés, anéantis, effondrés !

Oui, il lui faut du courage, de la ténacité

De la décision et une immense volonté,

Pour s’ouvrir, grandir et s’en sortir,

Pour se prendre en main et puis dire,

Oui, j’existe. Regardez-moi, regardez !

Espoir !

Par cette main tendue, cette main donnée,

Un regard et une confiance retrouvée

Afin de savoir et comprendre qui tu es.

Quitte ces cartons, lâche ce trottoir.

Au bout du chemin, il y a l’espoir !

Plutôt que de mourir dans le noir,

Redresses-toi ! Suis là et qui c’est !

Espoir !

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Gérard Brazon


Intervention Municipale à St Denis, de notre ami: Didier Labaune:

Après une première visite le 3 décembre 2008, je me suis rendu hier Vendredi 5 décembre 2008 à l’école Jules Vallès. Un module de grille était tombé dans la cour de récréation le 2 décembre 2008 à 19 heures ( quelle chance !!! ).

Le mouvement de terrain ou affaissement, en lézardant en plusieurs endroits le muret sur lequel est fixé l’ensemble des modules de grille, met en péril tout l’ouvrage.

En effet, les modules manchonnés se désolidarisent peu à peu, finissent par se déboîter et tombent à terre. La réparation effectuée le 3 décembre 2008 a simplement consisté à visser les élément incriminés de façon absolument précaire ( voir photo jointe ). Dès que la lézarde s’agrandira, la vis cédera avec les conséquences catastrophiques que l’on imagine….

Il s’agit d’une opération « cache-misère » tout à fait dangereuse.

Je préconise :

  • un démontage immédiat des modules en cause.
  • un balisage de la zone où se produit l’affaissement pour le rendre inaccessible aux enfants.
  • une expertise adaptée immédiate.  

 

Voilà typiquement un problème rendu public par un parent d’élève qui nous indique d’une façon criante que la sécurité de nos enfants dans nos écoles n’est pas prise en compte par la municipalité (Monsieur Schneider, directeur de Jules Vallès avait signalé au Maire ce problème et d’autres il y a bien longtemps sans réaction notable….).

 

Ce que nous découvrons fortuitement ici doit pouvoir se vérifier dans tous les autres établissements scolaires de Saint-Denis…..mais aussi dans les logements ou équipements immobiliers collectifs gérés par la municipalité ou Plaine Commune…

 

Gérer en « bon Père de famille » les équipements collectifs existants, c’est technique, cela demande des compétences, cela n’est pas bien médiatique…..

 

J’ai bien entendu, à la suite de Monsieur Schneider, alerté le Maire D. Paillard…   

 

Didier Labaune

Conseiller Municipal UMP à Saint-Denis

 

http://saintdenislabauneump.blogspot.com/


 
 

Ce soir, je viens d'apprendre une terrible nouvelle: le reconstructeur de l'Eglise Orthodoxe Russe, le Patriache de Moscou: Alexis II vient de décèder à l'âge de 79 ans. C'était une belle âme ! Ce soir, nous sommes tous en deuil ! Dimanche, dans nos églises, nous allons tous prier pour lui !

Jean-Pierre Renard

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Hébron, la terre impossible

Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur l’évacuation de « la maison de la discorde » pour les uns ou « la maison de la paix » pour les autres, à Hébron, jeudi 4 décembre 2008. Les forces de l’ordre israéliennes ont fini par utiliser la force pour évacuer les personnes retranchées depuis une dizaine de jours dans la maison disputée de Hébron, désormais appelée par la presse israélienne « la maison de la discorde ».

Depuis dix jours, des jeunes juifs de Hébron et du site de Kyriat Arba attendaient cette évacuation qui devait se dérouler de nuit. Tancé par l’ensemble de la classe politique israélienne qui lui reprochait de ne rien faire ou de laisser faire, Ehoud Barak, le ministre de la Défense a décidé d’organiser une évacuation surprise, le jour même des primaires du Parti travailliste organisées deux mois avant les élections législatives israéliennes qui doivent avoir lieu le 10 février prochain.

Ehoud Barak s’est donc montré plus intransigeant qu’il ne l’a été depuis qu’il a rejoint le gouvernement dirigé par Ehoud Olmert. Avant l’intervention des forces de l’ordre, il a même lancé « nous n’allons pas autoriser des éléments radicaux à saper l’autorité de l’Etat, les résidents de la maison doivent l’évacuer, en application des ordres des institutions de l’Etat et de la Cour ».

Non, Ehoud Barak ne parlait pas du Hamas à Gaza ou de la menace du Hezbollah libanais au Nord de l’Etat hébreu, mais d’une centaine de jeunes Israéliens décidés à contester la décision prise par la Cour suprême, la plus haute juridiction du pays, le 16 novembre dernier.
Celle-ci avait donné trois jours aux occupants pour quitter la maison, car il n’avait pas été établi qu’ils en étaient devenus les acquéreurs, le propriétaire palestinien niant l’avoir vendue… Pourtant, l’affaire n’est pas encore bouclée au plan juridique. Des recours ont été déposés et les verdicts sont attendus.

Après un ultimatum, plusieurs centaines de policiers et gardes –frontières ont finalement pénétré dans le bâtiment, évacuant un à un les résidents, sous le regard amusé et les cris moqueurs des populations arabes. Des pierres tombent et des cocktails Molotov finissent par embraser l’ensemble du quartier de la discorde.

L’excitation est à son comble lorsque la police tire des grenades lacrymogènes pour dissuader les Juifs et les Arabes de s’affronter directement. Deux heures après la fin de l’expulsion, les reporters de Guysen TV constataient que les provocations dégénérèrent en violence. Il s’agissait cette fois d’empêcher des affrontements directs entre Juifs et Arabes.

Ces derniers voulaient attaquer les jeunes opposants à l’évacuation, au prétexte qu’ils cherchaient à incendier leurs maisons, tandis que les jeunes Juifs cherchaient à rejoindre par tous les moyens la « maison de la discorde », pour l’occuper à nouveau. La police matraque. Les opposants ne décolèrent pas et cherchent à « passer », tandis que des Palestiniens jettent des pierres. La violence aura fait 25 blessés.

Voilà l’essentiel. Hébron reste une ville-passion, dont l’histoire est marquée par de terribles violences. Hébron demeure aussi une ville-mémoire en Israël, la plus ancienne cité encore habitée du Moyen Orient. Elle porte un nom qui symbolise le fondement de toutes les rivalités : l’Alliance. En hébreu comme en arabe, elle symbolise l’union et l’amitié, et l’alliance divine. Abraham, le premier juif, est aussi un prophète pour les Musulmans. A Hébron, son tombeau est un sanctuaire revendiqué comme tel par les deux religions.

Dans la religion juive, Hébron symbolise la terre, comme Jérusalem symbolise le feu, Safed l’air et Tibériade l’eau. Hébron est la terre de la révélation.

Les opposants à l’évacuation de la « maison de la discorde », sans doute frappés du syndrome d’Amona, implantation évacuée en février 2006, ont une conscience forte de l’histoire et de la dimension sacrée de Hébron dans le judaïsme.

Pour eux, la ville qui abrite le Tombeau de ses Patriarches est une terre possible pour les Juifs...

Dominée ou conquise par les plus grands, le roi David, Hérode, l’Empereur Justinien, Godefroy de Bouillon, Saladin ou Richard Cœur de Lion, Hébron ne vit le retour des Juifs que sous le règne de l’Empire Ottoman ; Hébron devient un centre d’études juives. Sous le mandat britannique, la population arabe multiplie les pogromes et organise le massacre de 1929 où 67 Juifs perdront la vie. Pour éviter un nouveau massacre, les Britanniques déplacent les populations juives hors de Hébron.

En 1969, un groupe de Juifs s’installe à nouveau à Hébron. Les accords d’Oslo prévoient leur départ. Depuis, Hébron est le théâtre d’une violence inouïe. En 1997, le Protocole de Hébron finit par diviser la ville en deux zones. 500 Juifs vivent dans celle qui leur est affectée.

Jeudi 4 décembre, parmi les opposants à l’évacuation de la « maison de la discorde », qu’ils avaient baptisée « maison de la paix », nombreux sont ceux qui portaient un T-Shirt à l’effigie de Guilad Shalit, l’autre victime d’un autre désengagement.

Ce soir, nous pensons au soldat de Tsahal et citoyen français retenu par le Hamas à Gaza, otage depuis 895 jours, Guilad Shalit.

A la semaine prochaine,

Guy Senbel.

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Halte aux concessions gratuites !


Par Albert Bellaïche pour Guysen International News

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Jamais et à aucun moment, nous autres juifs de la diaspora nous nous immiscerons dans le déroulement de la politique israélienne.
Jamais et à aucun moment, car nous avons toujours pensé qu’il ne revient qu’aux Israéliens et à eux seuls le soin et le droit de se déterminer et de choisir les hommes et les femmes qui vont les gouverner et prendre en mains les destinées d’Israël !

Mais tout de même, il me semble que lorsque la Patrie est en danger, nous avons peut-être nous autres aussi le droit de dire notre opinion, de déclarer nos craintes et d’exprimer nos sentiments.

Dans soixante dix jours on va voter en Israël pour désigner le parti qui va succéder à " Kadima "et à Ehoud Olmert.

Les derniers sondages établis par New Wave Rescharch et parus dans le quotidien Israël Hayom, donnent le Likoud gagnant avec une marge confortable : 35 mandats contre 26 à "Kadima."
Les autres partis de gauche et de droite confondus s’équilibrent et maintiennent l’avance du Likoud qui profite de la situation relâchée du gouvernement transitoire de Ehoud Olmert.

Par exemple, Salam Fayad le Premier ministre palestinien vient de déclarer « inopportun un renforcement des relations entre Israël et l’Union Européenne, faute de progrès du processus de paix ». Comme si les Israéliens étaient responsables de cette situation, omettant semble t-il M. Fayad que les « Qassams » continuent de tomber sur le sud israélien malgré la trêve et que le soldat G. Shalit n’est toujours pas libéré.
Que la libération il y a quelque temps de 350 Palestiniens, Islamistes et terroristes si ça se trouve, n’a abouti à rien, à rien de positif, « oualou » comme dirait mon voisin pied-noir..
Et que, il y a quelques jours Ehoud Olmert a annoncé l’élargissement de 250 autres Palestiniens, islamistes, terroristes si ça se trouve, en contre partie de quoi ?
En échange de qui ? De rien et de personne!
Tout simplement à l’occasion de la fête musulmane de Al-Adha !
Non pas de l’Aîd el Séghir, non pas de l’Aïd el Kébir, mais de Al-Adha !

Ce qui n’est pas pour satisfaire Benyamine Natanyaou, ses amis et ses partisans qui si demain ils arrivaient au pouvoir, les concessions gratuites risqueraient de cesser, les cadeaux sans retour de s’arréter.
D’ailleurs les évènements mi-figue, mi-raisin qui alimentent l’actualité israélo-palestinienne ne sont pas du tout pour favoriser le gouvernement en place.
Car pendant ce temps-là Guilad Shalit croupît dans les geôles islamistes, dans les cachettes gazouites ou fond les terriers hamassiens !
Et pourtant, les Israéliens ne demandent pas de libérer 300 prisonniers israéliens – que D.ieu nous en préserve- mais un et un seul ;
Et il s’appelle Guilad Shalit !
Par exemple aussi, très bientôt les Juifs du monde entier vont célébrer Hanouka, la fête des lumières, pourquoi les Islamistes n’en e profiteraient-ils pas pour relâcher le soldat israélien, en captivité depuis presque 900 jours ?
Pourquoi, alors que la justice des hommes indique sans aucune ambiguïté que le soldat israélien aurait dû être libre depuis longtemps, selon une logique implacable : un geste de bonne volonté contre un geste de bonne volonté, un homme contre un autre homme et non pas un homme contre 250 comme il est réclamé par les ravisseurs du Hamas ?
Est-ce à dire que pour les Palestiniens, un Israélien vaut plus que 250 Palestiniens ? Que la vie d’un Juif vaut plus que celle de 250 arabo-palestiniens ?
En tout cas tel n’est pas la logique ou la conception des juifs dont les Saintes Ecritures leur interdisent catégoriquement toute discrimination de cette nature.
Car pour le Judaïsme et cela n’est pas nouveau, un homme vaut un autre homme, quelle que soit sa race, sa couleur de peau ou sa religion !

C’est sans doute ce qui nous différencie des islamistes plus que fanatisés, qui font fi des vies humaines et pas seulement de celles des juifs, puisque aussi bien les Chrétiens, les Bouddhistes, les Sikhs et également les Musulmans eux-mêmes comptent leurs morts par centaines quasiment tous les jours.
Les derniers évènements de Bombay ont sont la preuve aveuglante.
Alors de grâce, halte aux concessions gratuites et forcément inutiles, car les islamistes n’en feront jamais !


Saint Pierre Fourier Fête le 9 décembre

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         Né à Mirecourt dans les Vosges, le 30 novembre 1565, Pierre Fourier s’avère un brillant étudiant en rhétorique et en philosophie à l’université de Pont-à-Mousson. Il entre à vingt ans chez les Chanoines Réguliers à Chaumoussay et est ordonné prêtre le 25 février 1589 à Trèves. Il complète ses études à Pont-à-Mousson puis devient en 1595 curé de Mattaincourt dans les Vosges.

         Dès lors, et pendant trente années, Pierre Fourier se consacre entièrement à sa paroisse. Il développe le catéchisme, organise des confréries, soigne la liturgie en enseignant le chant grégorien à ses paroissiens. Curé exemplaire, toujours en surplis, prêt à confesser et armé de son bréviaire, il renouvelle entièrement le visage de sa paroisse. En 1598, il fonde avec la bienheureuse Alix le Clerc, de Remiremont, l’ordre des chanoinesses de Notre-Dame, voué à l’éducation chrétienne des jeunes filles et réforme sa propre congrégation.

         Il meurt le 9 décembre 1640 à Gray en Franche-Comté, où il avait du chercher asile en 1636 en raison de l’hostilité de Richelieu qui lui reprochait son influence sur la noblesse lorraine. Son corps est rapporté dans son église paroissiale de Mattaincourt et son tombeau est le lieu de nombreux miracles qui attirent bientôt les pèlerins. Béatifié le 29 janvier 1730 par Benoît XIII, il est canonisé par Léon XIII le 27 mai 1897.

Jean-Paul II à Saint-Laurent-sur-Sèvres, Jeudi 19 septembre 1996.

Vêpres de saint Louis-Marie Grignon de Montfort.

« L’œuvre accomplie par les nombreuses congrégations fondées dans votre région a été considérable, pour la reconstruction de l’Eglise au siècle dernier, pour l’éducation, pour le soin des malades, pour la participation à la vie pastorale. On dit justement combien il est utile que l’Evangile soit annoncé « avec l’accent du pays » ! Mettez en œuvre aujourd’hui avec enthousiasme les charismes de vos fondateurs. Continuez d’écrire l’histoire vivante de vos congrégations ! »

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« Etre attentif à la vie, à ce qui la fait croître, à ce qui la libère, être prêt à dénoncer tout ce qui la détruit » Saint Pierre Fourier

Association pour le Xve centenaire de la France – Le livre des bannières Tome I p. 198

8 décembre 1852 : A Lyon, inauguration de la Vierge dorée sur le clocher de la vieille chapelle.

8 décembre 1854 : La dévotion envers l’Immaculée Conception est proclamée dogme de foi.

9 décembre 1905 : Loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat.