Previous month:
avril 2008
Next month:
juin 2008

0 billets

 

Rothen: "Plus jamais ça!"

2564
"On mérite de lever la Coupe de France" sortait hier soir un Jérôme Rothen amer après ce "hold-up" réalisé par les Lyonnais au Stade de France. Le PSG ne réalisera donc pas ce fameux doublé qui relevait plus de l'utopie après la saison de galère que venait de nous offrir le club parisien. L'heure est donc venue de faire un bilan de cette saison publié sur le site football365, avec un seul mot d'ordre : "Plus jamais ça!".

Les Parisiens n'auront rien à se reprocher sur cette finale, faisant déjouer les Lyonnais pendant la quasi-totalité de la rencontre : "On a fait le match qu'il fallait pour gagner. Il nous a manqué la finition, le petit but qui aurait pu faire la différence avant le but lyonnais. Pratiquement sur leur première occasion, ils marquent. On a plus que fait jeu égal avec eux et au nombre d'occasions, ça s'est vu. Si on prend en compte les occasions franches, on mérite de lever la Coupe de France. Il a manqué le petit coup de pouce. Et heureusement qu'ils ont un grand Greg Coupet. "

"Il a manqué la finition."

Le seul regret réside dans ce nombre incalculabe d'occasions ratées, qui, à la vue du scénario final, coûte cher au club de la capitale : "Oui, si on marque les premiers, vu comment on arrivait à les contrer, on aurait fait un grand pas vers la victoire. Mais on nous a refusé un but qui était limite (Ndlr : but d'Armand sur une position de hors-jeu de Yepes). Après ce sont les poteaux qui s'y sont mis. Et puis Gregory Coupet qui sort un arrêt de grande classe en fin de match. Ces éléments ont joué contre nous malheureusement, même si on a montré de l'enthousiasme, de la qualité. Il a juste manqué la finition. C'est un regret."

Le sort semble donc s'acharner sur l'équipe qui, même lorsqu'elle joue bien, semble condamnée à la défaite : "On n'a pas beaucoup bien joué cette année. Ce soir (Ndlr : hier soir), il fallait bien jouer et gagner. Même en jouant mal, j'aurais signé si on avait gagné. Mais il a manqué cette finition. C'est une déception car une finale n'est belle que quand on la gagne."

"Toute l'année, on a lutté."

Arrivé enfin au terme de la saison, seule la victoire en Coupe de la Ligue vient éclaircir cette saison cauchemardesque : "C'est une saison très difficile. Ça a été usant. On était à la limite de la rupture après le déplacement à Caen. Quand on galère toute une année en championnat, que l'on prend tout un tas de critiques dans la tête, ça fait mal. Il y a eu aussi des problèmes avec les supporters. Tout cela ressemblait à un cauchemar par moments."

Souvent critiqué, le moral des joueurs aura selon lui permis à l'équipe de se maintenir : "Mais on s'en est sorti avec les tripes. On s'est serré les coudes parce que ce n'était pas évident. Ce n'était pas gagné d'avance. On a eu très peur. On a payé cash les erreurs qui ont été commises en début de saison. Toute l'année, on a lutté."

"Cette année, c'était le bordel à tous les niveaux"

Les enseignements à tirer pour les dirigeants parisiens seront donc nombreux cette année pour ne plus jouer avec la survie du club en Ligue 1. C'est ce qu'espère Jérôme, avec à la clé pour la reprise, un réel projet sportif, ambitieux, pour redorer le blason du club parisien : "La saison s'arrête ce soir (samedi). L'autre saison débute en juillet. Donc, il y a un mois pour tout clarifier. Moi, je vais partir en vacances, je vais complètement couper parce que j'ai besoin de me reposer. Et en rentrant, je me tiendrai informé des évolutions. Mais s'il y a un projet intéressant… Je l'ai dit, je suis dans un club que j'aime mais il ne faut pas être maso non plus. Ça a été très dur cette année. Même dans nos vies privées. On est des hommes avant tout. Vivre de telles situations, plus jamais ça."

En effet, les dysfonctionnements auront été présents à tous les étages dans la maison parisienne : "Je crois que c'est un tout. Cette année, c'était le bordel à tous les niveaux. L'entraîneur, le président, le directeur sportif s'il y en a un, sont importants. Ce sont eux qui font le recrutement, qui prennent les décisions sur les joueurs." Ce qu'il manque alors ? "Des joueurs de talents, tout simplement".

"Peut-être que cette année me coûte une place à l'Euro...

Rothen revient ensuite sur un bilan plus personnel. A 30 ans, il ne veut plus connaître une nouvelle saison galère et espère que le club mettra la main à la poche afin d'aligner une équipe capable de jouer enfin les premiers rôles en championnat : "Le club doit mettre les moyens pour recruter des joueurs importants et expérimentés car il en faut pour faire des belles saisons à Paris. Si les dirigeants ne le font pas, c'est qu'ils n'ont pas tout compris. A partir de là, je prendrai ma décision…"

Il ne lui reste donc plus qu'à attendre et suivre les évolutions au sein du club, avant de prendre une éventuelle décision quant à son avenir au PSG : " Il me reste trois ans de contrat donc c'est difficile de dire que j'attends un signe du club pour pouvoir rester ou partir. Mais je vais suivre attentivement ce qui va se passer au niveau de la présidence du club parce que ça m'intéresse au plus haut point. Je le répète, j'ai 30 ans, je n'ai pas 10 ans devant moi. Peut-être que cette année me coûte aussi une place à l'Euro donc j'ai envie de vivre des bons moments. Alors je suis responsable aussi de la saison mais voilà, stop. Plus jamais ça."

Mis en ligne par Sage Francis
 

13 ans DH : Le PSG poursuit sa série victorieuse!


Les 13 ans DH se sont imposés 3-0 face à Drancy et conservent ainsi leur invincibilité en championnat (dix-sept victoires en autant de matches). De retour de blessure, le jeune attaquant Sainrimat a inscrit le premier but de la rencontre. Présent hier après-midi au Camp des Loges, PlanètePSG.com vous propose un compte rendu de la rencontre.

Composition du PSG : Dupré – Geolier, Azurmendi, Bourdin, Derradji (Sanali, 35ème) – Ikoko (Babovic, 35ème), Lacazette, Quemener, Chemin – Yaisien (Cap.) (Ongenda, 35ème), Sainrimat

Sainrimat se distingue en première période

Les jeunes Parisiens monopolisent le ballon dès les premières minutes de la rencontre et se procurent plusieurs occasions : Lacazette décoche une frappe aux vingt-cinq mètres mais le portier drancéen parvient à capter facilement le ballon (3ème). Quemener, élu récemment meilleur joueur du tournoi international de Saint-Germain-en-Laye, tente à son tour sa chance de trente mètres mais son tir passe largement au-dessus de la transversale (6ème). Quelques secondes plus tard, Chemin déborde côté gauche et centre en direction de Yaisien, seul au premier poteau mais le capitaine parisien manque complètement sa reprise de la tête (7ème). Suite au premier corner du match, Ikoko se retrouve en bonne position mais sa tentative du droit file à droite des montants drancéens. Malgré plusieurs situations dangereuses, les protégés de Sébastien Thierry semblent moins sereins qu'à l'accoutumée et se montrent maladroits devant le but. Bien décalé par Yaisien, Lacazette voit sa frappe croisée du droit déviée en corner par un défenseur drancéen (11ème). Le coup de pied de coin ne donne rien. Finalement, l’ouverture du score parisienne intervient à la treizième minute lorsque Sainrimat conclut d’une frappe croisée du droit une contre-attaque lancée côté droit par Bourdin après une intervention décisive dans les pieds du n°9 drancéen (1-0, 13ème).

Les visiteurs ne se laissent pas abattre et se créent deux grosses occasions par l’intermédiaire tout d’abord de leur n°9 et capitaine dont la frappe frôle le montant droit des cages parisiennes (18ème), puis suite à une action confuse après un nouveau ballon perdu au milieu de terrain (19ème). A la vingt et unième minute, Sainrimat, de retour de blessure, est tout proche du doublé lorsque Yaisien, plein axe, s’efface intelligemment au profit du jeune attaquant qui résiste au retour de deux défenseurs et s’enfonce dans la surface de réparation mais son tir puissant du droit s’envole au-dessus de la transversale. Malgré une belle résistance, les Drancéens ont du mal à contenir les assauts parisiens et encaissent un second but sur une magnifique contre-attaque initiée côté gauche par Sainrimat. Le jeune attaquant transmet le ballon à Chemin qui effectue une percée plein axe et lance idéalement Yaisien en profondeur. Au point de penalty, le n°10 parisien effectue un superbe contrôle orienté pour se débarrasser de son vis-à-vis et crucifie le gardien drancéen d’une frappe du droit à ras de terre (2-0, 28ème). Suite à une percée plein axe dont lui seul a le secret, le jeune attaquant est tout proche du doublé mais un défenseur drancéen, au prix d'un tacle parfait, vient soulager sa défense (32ème). La dernière occasion de la première période est à mettre à l’actif de Sainrimat mais son tir est non cadré (33ème).

Les Parisiens monopolisent le ballon et Ongenda creuse l'écart en seconde période

Au retour des vestiaires, Sébastien Thierry procède à trois changements : Ongenda, Babovic et Sanali prennent la place respectivement de Yaisien, Ikoko et Derradji. Le PSG obtient un coup franc dangereux côté gauche à vingt-deux mètres suite à une faute sur Bourdin, monté aux avant-postes. Ongenda se charge de le tirer mais sa tentative est repoussée de la tête par un défenseur drancéen (35ème). Le défenseur central parisien se met de nouveau en évidence en effectuant une superbe ouverture par dessus la défense pour Chemin mais le jeune attaquant ne cadre pas sa reprise de la tête (36ème). Les coéquipiers de Derradji poussent et Babovic obtient un corner côté droit. Sainrimat se charge de tirer le coup de pied de coin et dépose le ballon sur la tête de Babovic qui croise trop sa reprise (38ème). Sous l’impulsion de l’infatigable Quemener, qui ratisse un nombre incalculable de ballons au milieu de terrain, le PSG domine outrageusement ce début de seconde période. Dans le rond central, Ongenda effectue un splendide contrôle orienté puis une louche pour lancer en profondeur Lacazette et il faut un retour miraculeux d’un défenseur drancéen pour écarter le danger (44ème). Sur l’action suivante, l’attaquant parisien se saisit du ballon près du coin droit de la surface de réparation et place une accélération foudroyante qui dépose le n°5. Malgré l’angle très fermé, il trompe toute en finesse le gardien drancéen en plaçant le ballon entre ses jambes (3-0, 45ème). Idéalement décalé par Ongenda, Quemener tente sa chance à vingt-cinq mètres mais son tir file au-dessus de la transversale (46ème). Parti seul au but, Chemin est à deux doigts de corser l’addition mais le n°2 drancéen tacle magnifiquement le ballon en corner (49ème). Le coup de pied de coin ne donne rien.

Sébastien Thierry procède à trois nouveaux changements : Sainrimat, Chemin et Geolier laissent leur place respectivement à Yaisien, Derradji et Ikoko (51ème). Le n°13 drancéen se joue de Bourdin mais ne cadre pas sa puissante frappe du droit (55ème). A l’image de ce tacle dans la surface du n°5 drancéen dans les pieds d’Ongenda (56ème), les visiteurs n’abdiquent pas. Parti à la limite du hors-jeu, le n°9 se présente seul face à Dupré mais son tir file au-dessus de la transversale (58ème). La fatigue commence à se faire sentir, Chemin et Sainrimat remplacent Lacazette et Quemener (62ème et 64ème). La puissante frappe tendue d’Ikoko à trente mètres oblige le gardien drancéen à un arrêt en deux temps (67ème). Babovic concède un corner côté gauche dans les derniers instants de la rencontre mais Dupré est impérial dans les airs et se saisit du ballon (68ème). La dernière frappe du match est drancéenne mais la tentative du n°2 est non cadrée. L'arbitre siffle la fin du match sur ce score de 3-0 en faveur du PSG.


Mis en ligne par dubdadda

Avram Grant viré de Chelsea

L'entraîneur de Chelsea Avram Grant après la défaite de son équipe en finale de la Ligue des champions, le 21 mai 2008 à Moscou.

    Yuri Kadobnov AFP ¦ L'entraîneur de Chelsea Avram Grant après la défaite de son équipe en finale de la Ligue des champions, le 21 mai 2008 à Moscou.

 

Chelsea a renvoyé son entraîneur, l'Israélien Avram Grant, 53 ans, pourtant à la tête de l'équipe deuxième du Championnat d'Angleterre et finaliste de la Ligue des champions cette saison.

L'avenir de Grant, qui avait remplacé le Portugais José Mourinho en septembre 2007, était en débat depuis sa nomination, en raison de son manque d'expérience et de notoriété à ce niveau.

Rijkaard et Roberto Mancini candidats

Durant ses huit mois passés à la tête des Blues, l'ancien sélectionneur d'Israël, ami proche du propriétaire de Chelsea, le Russe Roman Abramovitch, a conduit son équipe à la finale de la Ligue des champions, perdue mercredi dernier face à Manchester United aux tirs au but, et à la deuxième place du Championnat d'Angleterre, terminé à deux points des Red Devils.

Plusieurs noms ont circulé pour succéder au technicien israélien, notamment ceux de Frank Rijkaard (ex-FC Barcelone), Roberto Mancini (Inter Milan) et le sélectionneur de la Russie, le Néerlandais Guus Hiddink.

Recasé comme directeur sportif

Selon la presse britannique, Grant pourrait rester à Stamford Bridge en retrouvant le poste de directeur technique qu'il occupait sous Mourinho avant d'être propulser en pleine lumière.



20Minutes.fr


Les FAR de Rabat remportent la Coupe du Maroc !

 

     
         

FARL'équipe des Forces armées royales (FAR) de Rabat a remporté la coupe nationale de football du Maroc, la Coupe du Trône, en battant ce dimanche en finale la formation de Rachad Bernoussi (2è division) par 5 tirs au but à 3.

A l'issue du temps réglementaire et des prolongations, les deux équipes étaient à égalité (1-1).

Les buts de la rencontre ont été inscrits par les joueurs des FAR Atik Chihab, contre son propre camp (28ème minute) et Mestapha Allaoui (74ème minute).

L'équipe militaire avait déjà remporté la Coupe du Trône huit fois de suite, rappelle-t-on, en 1959, 1971, 1984, 1985, 1986, 1999, 2003 et 2004.



La Champions League arabe restera à Sétif !

     
         

Les protégés d'Oscar Filone n'ont pas pu renverser la tendance à Blida et ramener cette coupe précieuse qui a élu demeure pour la deuxième année consécutive sur les hauteurs de Sétif. C'est dans un "Stade Moustapha Chaker" bouillant qu'a eu lieu la finale de l'ACL, les supporters du Wifak Setif ont fait le déplacement en masse. Plus de 300 bus ont été affrétés pour transporter quelques 40.000 supporters de Setif vers le Stade de Blida, et c'est devant un public complètement acquis à la cause des Sétifiens que l'arbitre Koweïtien de la rencontre, monsieur Saad Kamil, a donné le coup d'envoi de cette rencontre. Ce dernier ne tardera pas à l'interrompre 30s seulement après le coup d'envoi pour cause de violences dans les gradins.

La rencontre reprendra cinq minutes plus tard mais elle sera marqué du début à la fin par un climat très tendu. L'engeux de cette finale a pesé lourd sur les épaules des joueurs des deux équipes qui se sont observés pendant les quinze premières minutes malgré une légère supériorité des Casablancais qui ont essayé de rattraper le but de retard qu'ils ont concédé pendant le match aller, but qui ne sera jamais marqué à cause de la solidité de la défense du club algérien et aussi à cause de la précipitation des attaquants du Wydad. La tactique des jouerus de l'ESS peut se résumer en deux points : Piège des hors jeux dans lequel les Wydadis tomberont plus d'une fois, et les contres-attques qui ont fait le plus grand mal à la défense Casablancaise. Un style de jeu qui donnera ses fruits car à la 30e minute et contre le cours du jeu, Abdelmalik Ziaya ouvrira la marque pour les locaux après une belle passe de Hadj Issa.

Les Coéquipiers du keaper Fegrouche feront tout pour revenir au score, mais la réussite n'a pas été de leur coté. A la 52e minute Passe de Bidodane à Hicham Jouaya qui place le balon au fond du filet, mais le but est reffusé pour hors jeu. A la 82e Sadio Sow place de la tête un bon ballon devant Elbrazi à nous signalé hors jeu. Le Wydadis maintiendront leur pression jusqu'à la dernière minute de la rencontre sans arriver à chager le score.

Les coéquipiers de Fegrouche, Bidoudane et Louissi se sont battus jusqu'au bout sans arriver à arracher cette coupe au Wifak de Setif. Ils ont néanmois produit un très bon football et ont bien mérité leur deuxième place dans ce tournois qui regroupe les meilleurs clubs arabes.

Il est à noté que la prime du club gagnant de la coupe est d'un million et demi de dollars (environ 10 millions de DHs) et la prime du deuxième d'un million de dollars (7,5 millions de DH)

 


CAN 2009 : Le Maroc élimine l'Algérie!

       
         

SupportersLa sélection Marocaine s'est qualifié pour le deuxième tour des éliminatoires de la 1ère édition du Championnat d'Afrique des Nations CHAN-2009 de football, réservé aux joueurs locaux, en battant l'Algérie aux tirs au but 3-1 (temps réglementaire: 1-1) en match retour, samedi à Fès.

En temps réglementaire, Mohamed Madihi a ouvert le score pour les Lions de l'Atlas à la 29éme minute, mais Nassim Dahhouch a remis les deux équipes à égalité sur une balle arrêtée dans les derniers moments de la rencontre (82éme).

Au match aller disputé le 3 mai au stade de Kolea (Tipaza), les deux équipes s'étaient quittées sur un score de parité (1-1).



Accident de Blois : Le Maroc se mobilise pour venir en aide aux victimes et leurs familles

 

 

                         Sa Majesté le Roi ordonne aux autorités diplomatiques et consulaires d’assurer le suivi et la coordination des opérations de secours

 Après avoir pris connaissance de l'accident tragique d'autocar transportant des ressortissants marocains, survenu vendredi matin au centre de la France et qui a fait 7 morts et plusieurs blessés, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a ordonné à l'ambassadeur de Sa Majesté à Paris de se rendre sur les lieux et d'assurer le suivi et la coordination des opérations de secours, indique un communiqué du Cabinet Royal.

Le Souverain a également donné Ses Hautes Instructions pour la prise en charge personnelle des soins médicaux des blessés et des frais de rapatriement au Maroc des dépouilles des personnes décédées, ajoute la même source.

Les autorités diplomatiques et consulaires du Royaume en France ont été instruites pour prendre les mesures afin d'apporter le soutien et l'assistance nécessaires aux familles des victimes et des blessés, selon le communiqué.

En ces circonstances douloureuses et pénibles, le Souverain a chargé l'ambassadeur de Sa Majesté le Roi en France de transmettre Ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes de ce terrible accident de la route, implorant le Très Haut d'accueillir les regrettés disparus en Sa Sainte miséricorde.

Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, a également exprimé aux blessés et à leurs familles Sa profonde compassion et Ses v£ux de prompt rétablissement, priant le Tout-Puissant de les entourer de Son aile protectrice, conclut le communiqué.(MAP).

  Mise en place d'une cellule de renseignement et d'aide aux familles des victimes à l'Ambassade du Royaume du Maroc en France.

Aux alentours de 03 heures du matin, dans la nuit du 22 au 23 mai, un autocar français s’est encastré sous une pile de ponts sur la nationale A10 à hauteur de Blois. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l’accident.

L’autocar qui transportait 32 passagers dont deux conducteurs, tous de nationalité marocaine assurait la liaison Maroc- France et se dirigeait vers sa destination finale, les Mureaux dans les Yvelines.

Le bilan actuel fait état de 7 morts et plusieurs blessés dont certains dans un état grave. Les autorités françaises ont mobilisé toutes les ressources nécessaires pour évacuer les premiers blessés par hélicoptères vers les hôpitaux d’Orléans et Tours.

Le Secrétaire d’Etat aux transports, M. Dominique Bussereau et le Préfet de l’Indre et Loire M. Dominique Pouessel se trouvent sur place pour le suivi de l’évacuation et de l’enquête. Dés les premières heures qui ont suivi ce terrible accident et sur Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI,  l’Ambassadeur de Sa Majesté le Roi en France M. Fathallah Sijilmassi, et Le Consul Général du Royaume du Maroc à Orléans Mme Faouz El Achaabi et leurs équipes se sont rendus sur les lieux de l’accident.

Ils se trouvent actuellement sur Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi, sur place et se sont recueillis auprès des corps des défunts puis se sont rendus au chevet des blessés à Blois, Tour et Orléans. Ils restent mobilisés ainsi que toute leur équipe auprès des blessés, des familles des victimes et de toute la Communauté Marocaine endeuillée par ce terrible accident. Une cellule a été mise en place par les bureaux de l’Ambassade du Royaume du Maroc à Paris afin d’apporter aide et assistance aux familles des victimes.

Pour tout renseignement : 01 45 20 69 35 (poste 357)

  M. Fathallah Sijilmassi au chevet des blessés à Blois, Tours et Orléans

L'Ambassadeur du Royaume du Maroc en France, M. Fathallah Sijilmassi, s'est rendu, vendredi matin, au chevet des blessés admis au CHU de Blois et aux hôpitaux d'Orléans et de Tours, à la suite du tragique accident de l'autocar français qui les transportait faisant 7 morts. M. Sijilmassi, qui était accompagné de Mme Faouz El Achchabi, Consul général du Maroc à Orléans et d'une délégation diplomatique et consulaire, s'était auparavant rendu sur le lieu du drame où il s'était enquis de l'état des blessés en compagnie du ministre français des Transports, M. Dominique Bussereau, du Préfet du Loir-et-Cher et des autorités locales de la région.

La seule et unique préoccupation actuelle des autorités marocaines est d'être auprès des familles victimes et au chevet des blessés pour les assister, les réconforter et répondre à leurs besoins, a déclaré à la MAP M.Sijilmassi, qui a reçu les condoléances du ministre français des Affaires étrangères, M. Bernard Kouchner.

Précisant que tous les passagers ont été identifiés, M. Sijilmassi a indiqué qu'une cellule de crise diplomatique et consulaire a été mise en place pour accueillir les familles des victimes et coordonner le travail avec les autorités françaises. "Je tiens à remercier les responsables français qui se sont mobilisés pour porter secours à nos compatriotes en déployant tous les moyens logistiques et médicales nécessaires", a ajouté M. Sijilmassi.

L'autocar, qui transportait 32 personnes en provenance de Tiznit, dont les deux chauffeurs, roulait dans le sens Province-Paris lorsqu'il est venu s'encastrer à vive allure, vers 2H50 (heure locale), dans une pile de pont sur le bord de l'autoroute, après s'être déporté sur la droite pour une raison inconnue. Le plan rouge a été déclenché, mobilisant 140 pompiers et 25 gendarmes qui ont installé un poste médical avancé sur les lieux de l'accident. Quatre hélicoptères ont été mobilisés pour évacuer les blessés vers les hôpitaux de Blois, Tours et Orléans.(MAP).

  Mobilisation du consulat Général du Royaume du Maroc à Orléans

Le Consul général du Maroc à Orléans (centre de la France), Mme Faouz El Achchabi, qui s'est rendue immédiatement sur les lieux de l'accident de l'autocar français sur l'autoroute A10, près de Blois, et dans lequel ont péri sept ressortissants marocains, a déclaré que toutes les mesures ont été prises pour faire face à ce terrible drame.

"L'autocar français en provenance de Tiznit roulait en direction de la région quand il a percuté une pile de pont enjambant l'autoroute pour des raisons encore indéterminées", a déclaré à la MAP Mme Faouz El Achchabi, affirmant la mobilisation totale des autorités consulaires pour suivre de très près l'évolution de l'état de santé des sept blessés graves, transportés dans les hôpitaux de Blois et Orléans.

Le secrétaire d'Etat français chargé des Transports, Dominique Bussereau, qui s'est rendu sur place, a présenté ses condoléances au consul général du Maroc à Orléans et aux familles endeuillées."Sur les 32 personnes que transportait l'autocar français appartenant à "Labat Transports" 30 sont des ressortissants marocains", a précisé Mme El Achchabi. "Je tiens à remercier le Préfet du Loir-et-Cher, le général de la gendarmerie et les élus locaux qui ont déployé et mobilisé tous les moyens logistiques et médicales nécessaires pour secourir les blessés", a-t-elle ajouté. Le plan rouge (plan d'urgence) a été déclenché. Les opérations de secours ont mobilisé 140 pompiers, 25 gendarmes et trois hélicoptères pour évacuer des blessés. Un poste médical avancé a également été installé sur le lieu de l'accident et l'autoroute a été fermée. (MAP).

   Sept marocains tués dans un accident de la route en France

Sept Marocains ont été tués et sept autres grièvement blessés dans l'accident d'un autocar français transportant des MRE sur l'autoroute A10, près de Blois (Centre de la France), dans la nuit de jeudi à vendredi, selon un bilan fourni vendredi matin par la préfecture. L'autocar, qui transportait 32 personnes, dont les deux chauffeurs, roulait dans le sens province-Paris lorsqu'il est venu s'encastrer à vive allure, vers 02H50, dans une pile de pont sur le bord de l'autoroute, après s'être déporté sur la droite pour une raison inconnue, selon les gendarmes.

Le plan rouge a été déclenché, mobilisant 140 pompiers et 25 gendarmes qui ont installé un poste médical avancé sur les lieux de l'accident.

Quatre hélicoptères ont été mobilisés pour évacuer les blessés vers les hôpitaux de Blois, Tours et Orléans. "L'état invraisemblable du car montre que le choc a été d'une extrême violence", a souligné le ministre français des Transports, M. Dominique Bussereau, qui s'est rendu sur les lieux de l'accident en début de matinée. M. Bussereau a annoncé qu'une double enquête, judiciaire sous le contrôle du procureur de la République de Blois et technique sous l'égide du Bureau enquête accidents du ministère des Transports, allait être ouverte. "Une des hypothèses possibles est celle de l'endormissement du chauffeur, qui est décédé dans l'accident", selon le préfet du Loir-et-Cher, présent lui aussi sur les lieux. Affrété par une société de transport basée aux Mureaux (région parisienne), le car était parti le 21 mai de Tiznit et se rendait aux Mureaux.(MAP).

 


PSG : Moulin-Le Guen, le clash!

              10019                                                                 Ça chauffe à Paris. D'après L'Equipe de samedi, Paul Le Guen, le coach du PSG, est allé au clash avec Michel Moulin, le conseiller sportif. Le premier a reproché au second son hyprocrisie, et d'avoir discuté avec des agents pour le remplacer l'an prochain, assurant que Le Guen ne serait plus en poste. Michel Moulin, qui a déclaré le week-end dernier qu'il voulait être président du Paris-SG, serait depuis dans le viseur des dirigeants, et sa cote serait en chute libre. Sébastien Bazin lui aurait même demandé de ne plus venir au Parc des princes. «Sa mission est terminée» assure-t-on dans l'entourage du club.

Simon Tahar, l'actuel président intérimaire, ne devrait finalement pas rester. Les rumeurs les plus folles circulent pour le remplacer : Jean-Claude Plessis, qui vient de quitter le même poste à Sochaux, ou encore... Paul Le Guen, avec un retour de Laurent Fournier comme entraîneur. Le choix de l'heureux élu, qui pourrait également se nommer Guillaume Kuperfils, pourrait être dévoilé mardi, lors du conseil d'administration du club, ou au plus tard vendredi.


 Diané : "Partir sur une coupe serait magnifique"
Même s'il affirme ne rien avoir signé, l'attaquant ivoirien Amara Diané pourrait quitter le PSG. Il a confié au "Parisien" avoir vécu une saison très difficile sur le plan personnel.

Bien que rien ne soit fait, l'Ivoirien semble être plus proche de partir que de rester : "Si je dis que je suis parti, je suis un menteur. Je n'ai rien signé. Les choses ont l'air de bouger autour de moi. Quitter un club sur une coupe, c'est un adieu magnifique."

Diané avoue en effet avoir vécu une saison difficile malgré un bilan statistique honorable : "Elle est meilleure que la précédente puisque j'ai marqué davantage de buts ! Mais celle du club a vraiment été éprouvante. Il y a des explications mais je ne suis qu'un joueur alors je les garde pour moi. A un moment, je me suis posé plein de questions mais je ne l'ai pas montré. (...) C'était du découragement. Je me disais : « Mais qu'est-ce qui t'arrive ? » Je ne comprenais pas tout. Ce n'est pas à l'entraînement que je m'interrogeais mais après, en montant dans ma voiture. Mais ce dont je suis le plus fier, c'est d'avoir su laisser mes doutes au vestiaire quand il le fallait."

"On peut penser que je suis bidon. Mais je veux dire que l'homme a été blessé"

Et de poursuivre : "Je n'oublierai pas les CRS autour de nous après la défaite à Caen (3-0). Le pire, ce sont les insultes. Certains supporteurs ont tenu des propos racistes contre moi. On m'a aussi dit : « Rentre chez toi », et on a insulté ma famille. Je comprends que les gens soient déçus mais je n'ai pas à être insulté. La nuit où on a défoncé la voiture de Sylvain Armand, on a rayé la mienne. Je n'ai rien dit. Quand on m'a craché dessus après un entraînement, je n'ai rien dit. Aujourd'hui, je parle parce que le club est sauvé. On peut penser que le joueur que je suis est bidon. Mais je veux dire que l'homme a été blessé."

Il y a pourtant eu de bons moments, notamment il y a quelques jours : "Obtenir le maintien, c'est garantir à des gens qu'ils garderont leur boulot. Et il n'y a pas photo avec un trophée. Par la grâce de Dieu, j'ai mis deux buts à Sochaux mais je ne suis pas le sauveur du club. Je ne suis pas un héros. Si j'en avais été un, j'aurais marqué plus de buts avant et on n'aurait pas eu à jouer notre survie sur un match."

Enfin, l'ancien Strasbourgeois admet que la tâche sera difficile face à Lyon : "Je sais que je peux marquer mais si je pense à briller tout seul, je suis mort. Si on joue en groupe, on a une chance. Moi, j'ai besoin de la confiance des autres pour briller. Le favori, c'est Lyon."

Mis en ligne par Jool

PSG : Pauleta : « Mon dernier match !»

<strong>PSG / Pauleta : « Mon dernier match »</strong>
En marge de la finale de Coupe de France qu'il disputera face à Lyon samedi, Pedro Pauleta laisse planer le doute sur son avenir au PSG. Le buteur portugais est certain que son équipe peut surprendre Lyon.

Pedro Miguel Pauleta, êtes-vous libéré maintenant que le maintien est assuré ?
Oui, mais c'est une finale très importante pour l'équipe. C'est ma dernière finale mais le plus important c'est que l'on remporte ce trophée. Vous savez tous que c'est très difficile contre les champions de France, mais je pense que nous aurons les moyens de gagner.

Pendant toute la semaine, les Lyonnais ont dit que vous étiez les favoris. Etes-vous surpris ?
Lyon est une grande équipe, un grand club. Ils essaient de mettre la pression aux autres mais si il existe un favori, c'est eux. Ils sont sept fois champions de France... Mais dans une finale, c'est du 50/50.

Même si c'est votre dernier match au PSG, êtes-vous attentif à ce qu'il se passe autour du club ?
Oui, car à partir de demain (ndlr : samedi), je serai un supporter de plus du Paris Saint-Germain et je serai toujours intéressé par l'avenir de ce club.

Est-ce vraiment votre dernier match avec le PSG ?
A la date d'aujourd'hui, oui... On verra la semaine prochaine (rires). Mais oui je pense que c'est mon dernier match avec Paris, et en France.

Est-ce que cela change dans votre façon d'aborder cette rencontre ?
Sincèrement, cela ne change pas grand-chose car c'est une finale que je vais vouloir gagner. Comme toujours... Je vais me préparer de la même façon. Les deux ou trois semaines auparavant, j'étais plus tendu avec la tête au championnat. Aujourd'hui, c'est le dernier match, c'est une finale et je serai dans le match. J'aurai envie de profiter à fond de jouer dans une enceinte comme le Stade de France, mais j'aurai surtout envie de porter la Coupe de France. Ce serait génial !

Propos recueillis par Rémi Perrot