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PSG – J.Alonzo : « Une grosse affiche ! »

Écrit par Gaetantournai    
alonzoAvec son franc parler habituel, Jérôme Alonzo a réagi à la qualification lyonnaise et la future finale de Coupe de France avant d’évoquer son avenir en n’écartant pas l’hypothèse de rester dans la Capitale.

Finale Coupe de France : Lyon - PSG

« La logique a été respectée avec notamment un très grand Grégory Coupet dans les buts. C'est un très belle finale avec une grosse affiche. Pour moi c’est que du bonheur que je vais aborder avec une grosse envie et que je compte savourer pleinement. En plus nos supporters seront derrière nous car le club sera maintenu j’y crois dur comme fer. Puis si on peut priver les lyonnais d’un doublé, on ne va pas se gêner. »

Son Avenir

« Oui j’ai des touches, elles sont essentiellement françaises donc ça me fait énormément plaisir. Ma titularisation lors des matches de Bastia et Carquefou ont fait du bien car il y des entraîneurs qui ont vu que j’étais encore vivant. Pour le moment, il y a pas mal de ligue 2. C’est une chose qui peut me brancher car j’aimerai beaucoup finir ma carrière sur une montée. Maintenant, il y aussi des clubs de Ligue 1 qui recherche encore des doublures expérimentées pour la saison prochaine. Je suis très content car je pourrais rester en France et ça me fait plaisir. Une prolongation au PSG ? Cela peut être une option si le club reste en ligue 1 car avec la nouvelle équipe dirigeante tout peut arriver. Tout le monde sait que j'ai envie de finir ma carrière ici. Après il y a des impératifs, ce n'est pas le moment d'en parler. La priorité, ce n'est surtout pas moi en ce moment. Mais en sport de haut niveau, tout peut arriver»


Pauleta, Antonio Monteiro : « Le Portugal est fier de lui ! »

Écrit par Gaetantournai    
monteiroA la veille de disputer son dernier match au Parc des Princes, Pauleta a reçu un hommage appuyé de la part de l’ambassadeur du Portugal en France, Antonio Victor Martins Monteiro.

Malgré un emploi du temps chargé, Antonio Victor Martins Monteiro a tenu à rendre un hommage appuyé au capitaine parisien :

« Je le connais bien. Nous nous sommes rencontrés lors de réceptions à l'ambassade, il a également participé à des campagnes de promotion de la langue portugaise. Nous déjeunons parfois aussi. C'est un grand homme. »

Avant d’ajouter : « Pauleta est le symbole de la communauté lusitanienne. Il a redoré le blason du Portugal, il a fait une sacrée publicité à notre pays. Tous les Portugais de France sont fiers de sa réussite. »

Il estime aussi que : « Il a toujours su garder une certaine modestie tant dans sa manière de jouer que dans la vie de tous les jours. Je me souviens d'un repas l'année précédant sa venue à Paris. Il hésitait encore à signer au PSG. Le défi lui plaisait mais il rechignait à quitter Bordeaux de peur de bouleverser ses enfants. C'est aussi cela Pauleta. Il se soucie beaucoup de sa famille. C'est pour cette raison qu'on l'aime parce qu'on peut facilement s'identifier à lui. Malgré son statut de star, il est comme nous. »

Avant de conclure en évoquant le prochain départ du Capitaine parisien : « Il laissera un vide immense en France. Il va beaucoup nous manquer. Mais j'ai envie de croire qu'il n'arrêtera pas sa carrière cette année. Si seulement il pouvait jouer encore un an, au Portugal. Mon bonheur serait total s'il acceptait de venir dans mon club, le Sporting... Qui sait ? »


NKM, l'éclaireur de Sarkozy au Proche-Orient

De notre envoyée spéciale en Israël, Marielle Court

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État à l'Écologie, a rencontré le président israélien Shimon Pérès, mardi à Jérusalem. (Bertrand Riotord / Le Figaro)
Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État à l'Écologie, a rencontré le président israélien Shimon Pérès, mardi à Jérusalem. (Bertrand Riotord / Le Figaro)

Nathalie Kosciusko-Morizet représentait la France cette semaine en Israël et en Jordanie.

Le mot tracé à la hâte sur un petit bout de papier est minutieusement plié. Nathalie Kosciusko-Morizet trouve sans peine l'interstice entre deux pierres du mur des Lamentations pour y glisser ce morceau d'âme. Tranquillement elle s'éloigne, à reculons, comme le veut la tradition. Il fait un temps magnifique cette semaine sur la ville de Jérusalem qui fête les soixante ans de l'État d'Israël. De passage pour un peu plus de 24 heures, avant de poursuivre son périple vers la Jordanie, la secrétaire d'État à l'Écologie goûte ces quelques instants privés.

C'est la première fois qu'elle représente la France à l'étranger. La préparation du déplacement du chef de l'État, en juin, est au cœur du voyage. Preuve d'une confiance inébranlable de Nicolas Sarkozy après les récents propos guère amènes de la jeune ministre sur Jean-Louis Borloo, son ministre de tutelle, et Jean-François Copé, patron des députés UMP ? «Ce voyage s'est décidé avant, en mars, lors de la visite de Shimon Pérès en France», répond prudemment la jeune femme au charme victorien.

Le président israélien avait alors longuement insisté auprès du président de la République pour que la France s'implique dans l'énorme projet de construction d'un canal entre la mer Rouge et la mer Morte. Un projet hautement stratégique puisqu'il nécessite de mettre autour de la table les représentants d'Israël, de la Jordanie et de l'Autorité palestinienne. Mais également un projet dont les implications environnementales sont considérables. Quoi de plus cohérent que d'y envoyer la secrétaire d'État, qui enchaîne les entretiens. Ces rencontres ambitionnent également de faire avancer le projet d'Union méditerranéenne cher au président. L'écologie en sera un des moteurs. NKM est le soldat de la situation.

Lovée à l'arrière des voitures du cortège officiel, la ministre reste branchée sur la vie politique française, son téléphone portable à la main. Les SMS succèdent aux coups de fil. Un de ses administrés de la ville de Longjumeau lui laisse un message désespéré après la tentative de suicide de son fils. Elle rappelle immédiatement.

Adoubée par l'opinion

Mais c'est aussi la vie de l'UMP où elle vient de prendre pied avec le titre de secrétaire générale adjointe qui la passionne. «Il faut relancer le débat d'idées au sein du parti, retrouver la dynamique de la campagne même si cela doit faire paraître des dissensions internes», assure-t-elle. «À force de masquer les divergences, on prend le risque de n'aborder que les sujets fades. Il ne faut pas fuir les sujets sur lesquels nous ne sommes pas d'accord», martèle-t-elle. Une tournée des fédérations est prévue avec Patrick Devedjian, le patron de l'UMP, et Xavier Bertrand, son alter ego au sein du parti.

Adoubée par l'opinion publique pour ses prises de positions sur les OGM, sent-elle l'hostilité à peine voilée de plusieurs membres de sa famille politique ? «Quand on nomme quelqu'un à la tête du parti, on sait ce que l'on fait. Si on nomme une jeune femme parfois un peu différente, on ne se trompe pas.»

C'est enfin l'écologie qui l'occupe, son domaine de compétence incontesté aux côtés de Jean-Louis Borloo. «Nous ne sommes pas trop de deux pour les échéances à venir», assure-t-elle : tout faire pour que les lois «Grenelle» soient bien discutées au Parlement avant l'été, préparer les multiples dossiers environnementaux qui seront au cœur de la présidence française de l'Union européenne, achever la réforme de ce qui est devenu l'un des plus gros ministères du gouvernement.

Même si elle pourrait abandonner son mandat régional en Ile-de-France, Nathalie Kosciusko-Morizet sera encore détentrice de trois cartes de visite (gouvernement, mairie, UMP). «Il est très utile au niveau national d'avoir une responsabilité locale et vice-versa», estime-t-elle. La secrétaire d'État, qui fête ses 35 ans la semaine prochaine, est bien décidée à ne pas regarder derrière elle.


En Birmanie, la France veut agir sans attendre

Propos recueillis par Tanguy Berthemet et Anne Cheyvialle
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«Il n'est pas question de fournir une aide à la junte. Nous passerons par nos propres canaux», explique Bernard Kouchner.
«Il n'est pas question de fournir une aide à la junte. Nous passerons par nos propres canaux», explique Bernard Kouchner.

Le ministre des affaires étrangères détaille l'aide française pour la Birmanie et appelle à une reprise des pourparlers politiques au Liban.

LE FIGARO. Paris a décidé d'envoyer de l'aide vers la Birmanie alors même que la junte bloque toujours l'entrée de secours étrangers. Comment faire parvenir ces vivres ?
Bernard KOUCHNER. La France va effectivement envoyer le Mistral, un gros navire chargé de 1 500 tonnes de vivres et de matériels achetés sur les fonds du Quai d'Orsay. Nous avons décidé d'agir sans attendre, pour être prêts quand l'autorisation des autorités birmanes arrivera. Il y a urgence. Les aides seront distribuées directement aux sinistrés par des petits bateaux à fond plat ou par hélicoptères par les personnels du navire ou par les ONG françaises déjà sur place.

Craignez-vous qu'une aide distribuée directement aux autorités birmanes soit détournée par les militaires ?
Bien sûr, et il n'est pas question de fournir une aide directe à la junte, même si elle l'accepte. Nous passerons par nos propres canaux, ce qui est sans doute mieux que d'avoir recours à des parachutages de vivres.

Paris a tenté de faire adopter devant le Conseil de sécurité de l'ONU une résolution pour passer outre le veto des autorités birmanes au nom du droit d'ingérence. Est-ce toujours à l'ordre du jour ?
Absolument. L'idée n'est pas seulement de s'appuyer sur le droit d'ingérence, mais sur la responsabilité de protéger les populations en danger, une notion qui a été adoptée par le Conseil de sécurité au cours d'une longue nuit de débat. Pour l'instant, la proposition rencontre des résistances. Mais nous allons insister et, peu à peu, nous obtiendrons des résultats. Déjà les choses changent. Elle a des soutiens forts comme celui, aujourd'hui, de la chancelière allemande Angela Merkel qui dit soutenir expressément notre initiative.

N'existe-t-il pas un risque de froisser Pékin, principal soutien du régime Birman, qui s'oppose à ce texte ?
Le Conseil est un lieu de négociations. Nous ne voulons froisser, ni la Chine ni personne. Je savais que les discussions ne seraient pas faciles et je sais qu'elles ne le seront pas. Mais nous ne pouvons pas reculer. C'est de la survie de millions de personnes dont il est question.

La télévision birmane vient d'annoncer que le pays acceptera l'aide des États-Unis. Est-ce un signe que la pression mise sur la junte fonctionne ?
Si c'est vrai et si cela se confirme, c'est évidemment un signe encourageant. Mais il ne faut surtout pas cesser nos efforts avec ce régime qui est capable de tout, même de maintenir un référendum constitutionnel en pleine catastrophe naturelle, ce qui est, je pense, unique dans les annales.

Un autre sujet de préoccupation est la situation libanaise. Un calme précaire est revenu à Beyrouth après trois jours d'affrontements. Pensez-vous que le risque de guerre civile se soit éloigné ?
Il y a un risque permanent. Le Hezbollah et Amal ont réalisé un coup de force en envahissant Beyrouth. Le premier ministre, Fouad Siniora, avec lequel je viens de m'entretenir, parle d'un «viol». L'urgence aujourd'hui est de stopper l'engrenage, la marche vers la guerre. Espérons que les pourparlers politiques reprennent très vite. Toutes les initiatives prises jusqu'à présent n'ont pas abouti à une détente suffisante. Nous condamnons cette attitude d'affrontement et demandons une levée des blocages et une réouverture de l'aéroport. L'autre partie de Beyrouth n'a pas bougé, c'est un bon élément.

Considérez-vous les milices chiites comme des organisations terroristes qui doivent déposer les armes ?
Le Hezbollah et Amal font partie du paysage politique. Nous les avions invités en France, à la Celle-Saint-Cloud (rencontre interlibanaise en juillet 2007, NDLR). Il faut poursuivre le dialogue.

Quel rôle peut jouer la France pour résoudre la crise au Liban ?
En maintenant un contact avec toutes les composantes du pays, à commencer par la Ligue arabe. Il y a un gouvernement légitime au Liban, que nous respectons et aidons. La solution politique existe, cela signifie des élections, un gouvernement d'union et une modification de la loi électorale.


Affaire Olmert: la classe politique israélienne réagit

par Shraga Blum

La classe politique, ou une partie d'entre elle en tous cas, n'a pas tardé à réagir à la levée partielle du black-out, tard hier soir jeudi. Le président du groupe Likoud à la Knesset, Gidon Saar, a estimé "que non seulement Ehoud Olmert, mais tout on gouvernement trempent dans la corruption jusqu'au cou, et qu'il faut maintenant enfin rendre la parole au citoyen". Saar précise que "l'échec de ce gouvernement n'est pas seulement au niveau de l'éthique du pouvoir mais aussi dans la gestion de la politique globale".

Aryeh Eldad (Ihoud Leoumi - Mafdal), ancien président de la Commission parlementaire de l'Ethique, déclare "qu'Israël ne peut pas être dirigé par des gens corrompus, surtout si ces derniers tentent l'aventurisme face aux Palestiniens pour faire diversion et se sortir de leur ornières judiciaires"

Le président de ce parti à la Knesset, Ouri Ariel, estime "qu'Israël a droit à une direction dénuée de soupçon et droite dans son éthique politique"

Allant plus loin, Zevouloun Orlev, président du Mafdal, et qui dirige aussi la Commission parlementaire du Contrôle de l'Etat, affirme que "cette affaire va provoquer un tremblement de terre en Israël qui empêchera Ehoud Olmert de poursuivre sa mission et le forcera à démissionner. S'il y a dans la coalition des députés et de ministres honnêtes, ils doivent lui conseiller d'abandonner son poste."

De son côté, le Forum Juridique pour Erets Israël demande au Premier ministre "de quitter son poste afin de pouvoir se consacrer à sa défense, et pour ne pas augmenter encore la désaffection et le mépris de la population envers la classe politique et les institutions de l'Etat"

A gauche de l'échiquier, Zehava Gal-on (Meretz) ne se considère "ni surprise ni déçus, car elle n'attendait rien d'Olmert". Selon la députée, lors du discours d'hier soir, "Olmert a fait du Olmert: il a refusé de prendre ses responsabilités et s'est défaussé sur les autres". "Le test de moralité est désormais sur le Parti Travailliste et sur Kadima. Si les Travaillistes décident de rester au sein de la coalition, et si Kadima ne destitue pas Olmert, ils seront considérés par le public comme des complices dans l'oeuvre de corruption. Il faut absolument créer une coalition de remplacement" précise-t-elle.

Shelly Yehimovitz (Avoda) est du même avis, et espère que son chef de Parti, Ehoud Barak, "prendra enfin la bonne décision". "Si Ehoud Olmert avait encore un brin d'esprit sioniste, il démissionnerait, au lieu de s'attaquer aux autres et les accuser de harcèlement contre lui" déclare l'ancienne journaliste. La jeune garde du parti travailliste demande à Barak de quitter la coalition, sou peine "de ne plus avoir le droit moral de demander la confiance des citoyens lors de prochaines élections". Mais il semble que les responsables du Parti ne sont pas du même avis, et estiment que les dégâts hypothétiques dans des élections éloignée sont préférables à une défaite assurée contre Netanyahou en cas d'élections anticipées.

Shass n'a pas réagi. On est partagé entre l'amitié du Rav Ovadia Yossef pour l'homme Ehoud Olmert, la volonté de rester jusqu'au bout dans les allées du pouvoir, et la position morale inconfortable pour un parti orthodoxe de soutenir un Premier ministre accusé officiellement de corruption.

A Kadima, aucune réaction officielle non plus pour le moment. Même les habituels chiens de garde du Premier ministre, comme Yoël Hasson, Roni Bar On, Elie Afflalo, Shaoul Hermesh ou Rouhama Avraham, qui montent généralement très rapidement au créneau, se font étrangement silencieux. Tsipi Livni, accusée au sein de son parti de ne pas avoir assez soutenu le Premier ministre, n'a pas encore réagi non plus, ni les autres prétendants au titre, Shaoul Mofaz, Meïr Chétrit ou Avi Dichter. Il semble que dans la formation, on ait compris qu'il s'agit-là d'une affaire très grave, et qu'après deux Winograd et quatre affaires judiciaires dans lesquels le premier ministre avait réussi à surnager, la cinquième sera peut-être la goutte qui fera déborder le vase. Et prendre ouvertement la défense du Premier ministre maintenant, ferait très mauvais effet, et enfoncerait encore un peu plus l'image de Kadima dans l'opinion publique.


Avec Colony Capital, même en Ligue 2!

Grabovsky (Source : L'EQUIPE)

Simon Tahar, président du Paris Saint-Germain, a déclaré sur la radio France Bleu Ile-de-France qu'il avait demandé à Colony Capital de rester, et ce même en cas de descente du club francilien en division inférieur la saison prochaine.

«Pour accepter mon poste de président, je n'ai imposé à Sébastien Bazin qu'une seule chose: qu'il m'assure non seulement le maintien de Colony Capital comme actionnaire de référence mais aussi qu'il mette les moyens afin de permette à ce club de sortir de cette période difficile et d'aller vers des jours meilleurs. Il serait faire injure à l'intelligence de Sébastien Bazin que de croire qu'il ne va pas tirer les leçons de ces deux (dernières) saisons. Et la première leçon est de faire un effort sur le recrutement la saison prochaine.»  a déclaré le président du club.

Simon Tahar a également dit que Michel Moulin estimait «qu'il y a nécessité de concentrer l'effort du recrutement sur des joueurs de valeurs ajoutés et non pas prendre des joueurs moyennant des tarifs inférieurs».

Les objectifs semblent être clair pour le nouveau président. A seulement deux journées de la fin, Monsieur Tahar s'intéresse à l'année prochaine, et ce même si le club de la capitale n'a pas encore sauvé sa tête en Ligue 1. Le président du club veut que Colony Capitale lâche un peu plus d'argent pour avoir, enfin, des joueurs dignent de ce nom au Paris Saint-Germain.

 


POÈME : il y a tout juste 60 ans...Israël

Ce que signifie être juif (écrit par une israelienne)

Je n'ai aucune peur d'aller où que ce soit,
Ni en bus, ni dans un centre commercial.
Je n'ai ni changé, ni cessé de faire quoi que ce soit
De ce que je faisais avant que cette panique ne s'installe !
Les gens ont tendance à oublier que les routes
Tuent deux fois plus de victimes que ne le fait la terreur !
Plus de gens meurent encore
Par suite de crise cardiaque, de cancer,
Et d'autres causes,
Tout simplement ils ne le montrent pas à la télé.
Ne vous méprenez pas,
Il y a bien une guerre,
Ce n'est pas agréable,
Mais regardons les choses en face :
ON N'A JAMAIS ETE MIEUX QUE MAINTENANT !!!!
C'est seulement la télé et les média
Qui font croire aux gens
Que la fin du monde arrive.
Il y a tout juste 60 ans
Ils menaient les Juifs à la mort
Comme des brebis à l'abattoir !
Pas de Pays, pas d'Armée, il y a 55 ans !!
Sept pays arabes ont déclaré la guerre
Au petit état juif,
A peine vieux de quelques heures !!
Nous étions alors 650.000 juifs !
Contre le reste du monde arabe !
Pas d'IDF (Force de Défense israélienne) .
Pas d'aviation militaire puissante,
Juste un peuple rude,
Qui ne savait où aller.
Le Liban, la Syrie, l'Iraq, la Jordanie, l'Egypte,
La Libye et l'Arabie Saoudite ont attaqué tous ensemble.
65% du Pays que l'ONU nous avait ' donné '
N'était que du désert.
Le pays a commencé de rien !
Il y a 35 ans ! Nous avons combattu
Les trois armées les plus puissantes du Moyen Orient,
Et les avons balayées en six jours.
Nous nous sommes battus contre
Diverses coalitions de pays arabes,
Qui avaient des armées modernes,
Et des quantités d'armes provenant de la Russie Soviétique,
Et nous avons quand même gagné !!!
Aujourd'hui nous possédons
Un pays,
Une armée, une aviation puissante
Une économie High-Tech, qui exporte des millions.
Intel - Microsoft -IBM ont développé leurs produits ici.
Nos médecins ont gagné des prix internationaux
Qui récompensent des développements médicaux.
Nous avons fait prospérer le désert,
Et vendu oranges et légumes dans le monde entier,
Israël a envoyé son propre satellite dans l'Espace !!
Trois satellites en tout !!!
C'est fièrement
Qu'avec les USA et leurs 250 millions d'habitants,
Avec la Russie et ses 200 millions d'habitants,
Avec la Chine et ses 1,1 milliards d'habitants,
Avec les Européens-la France, l'Angleterre, l'Allemagne,
Et ses 350 millions d'habitants,
Nous sommes les seuls pays au monde
A avoir envoyé quelque chose dans l'espace !!
Israël fait aujourd'hui partie
De la puissante famille nucléaire mondiale
Avec les USA, la Russie, la Chine, l'Inde, la France et l'Angleterre.
(Nous ne le reconnaissons pas, mais tout le monde le sait…)
Penser qu'il y a seulement 60 ans,
On nous menait,
Honteux,
Ayant perdu tout espoir,
Vers notre propre mort !!
Nous sommes sortis en rampant des cendres brûlantes de l'Europe,
Nous avons gagné nos guerres ici, armés de moins que rien,
Nous avons construit un ' empire ' à partir de rien.
Pour qui M. Arafat se prend-il donc
Pour m'effrayer ?
Pour me terrifier ?
Vous me faîtes rire !
La Pâques a été célébrée :
N'oublions pas ce dont il s'agit.
Nous avons survécu à Pharaon,
Nous avons survécu aux Grecs,
Nous avons survécu aux Romains,
Nous avons survécu à l'inquisition en Espagne,
Nous avons survécu aux pogromes en Russie,
Nous avons survécu à Hitler,
Nous avons survécu aux Allemands,
Nous avons survécu à l'holocauste,
Nous avons survécu aux armées des sept pays arabes,
Nous avons survécu à Saddam.
Calmez-vous les gars,
Nous survivrons aussi
A nos ennemis actuels .
Dans quelque partie de l'histoire de l'humanité qu'on regarde !
Pensez-y,
Pour nous,
Les juifs,
Notre situation n'a jamais été meilleure !!!
Aussi,
Relevons bien haut la tête,
Et souvenons-nous :
Toute nation ou toute culture
Qui a essayé de s'en prendre à nous
A été détruite -alors que nous avons continué d'exister !!!
L' Egypte ?
Quelqu'un sait-il où son empire a disparu ?
Les Grecs ?
Alexandre de Macédoine ?
Les Romains ?
Est-ce que quiconque de nos jours parle latin ?
Le Troisième Reich ?
Quelqu'un en a-t-il entendu parler dernièrement ?
Et regardez-nous,
La Nation de la Bible,
Depuis l'esclavage en Egypte,
Nous sommes encore ici,
Parlant la même langue !!
Au même endroit, à l'instant présent.
Les arabes ne le savent pas encore,
Mais ils apprendront qu'il y a un Dieu .
Tant que nous conserverons notre Identité,
Nous sommes éternels.
Aussi, désolée de ne pas m'inquiéter,
De ne pas me plaindre,
De ne pas pleurer,
De ne pas avoir peur.
Tout va bien ici.
Cela pourrait certainement aller mieux,
Mais cependant :
Ne vous laissez pas avoir par les inepties médiatiques,
Ils ne vous diront pas
Que des festivals ont lieu,
Que les gens continuent à vivre,
Que les gens sortent,
Que les gens voient des amis.
Oui, notre moral est bas,
Et alors ?
C'est seulement parce que nous pleurons nos morts
Pendant que d'autres aiment le sang.
C'est aussi la raison pour laquelle,
Nous gagnerons, après tout.
Vous pouvez faire suivre cet e-mail
Si vous le désirez.
A la communauté juive toute entière,
Et aux gens dans le monde entier.
Ils font partie de notre force.
Cela pourrait aider certains d'entre eux
A garder la tête haute.
Dites-leur
Qu'il ne faut s'inquiéter de rien.
Dites-leur de voir plus grand et
De comprendre la situation telle qu'elle est.
A l'an prochain à Jérusalem. '

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En Israël, Ehud Olmert tient tête aux appels à la démission

Le Premier ministre israélien Ehud Olmert est au centre dans une enquête le soupçonnant d'avoir accepté des pots-de-vin se chiffrant à plusieurs centaines de milliers de dollars. Olmert a réagi en niant tout enrichissement personnel et en reconnaissant publiquement avoir reçu des dons pour ses campagnes électorales de la part d'un homme d'affaires américain. Il a refusé de démissionner tant qu'il ne ferait pas l'objet d'une inculpation. /Photo prise le 8 mai 2008/REUTERS

Par Avida Landau et Adam Entous

JERUSALEM (Reuters) - Les appels à la démission se multiplient en Israël au lendemain de la divulgation par la police d'une enquête visant Ehud Olmert sur des pots-de-vin présumés émanant d'un homme d'affaires américain.

Le Premier ministre israélien, dont le départ pourrait nuire aux négociations de paix avec les Palestiniens relancées sous l'égide de Washington, a repris ses activités normales après avoir annoncé à ses concitoyens qu'il ne démissionnerait que si les procureurs réunissent suffisamment d'éléments pour l'inculper.

Olmert s'exprimait jeudi soir à la télévision en pleine célébration officielle du soixantième anniversaire de la création de l'Etat d'Israël.

"Je le dis à chacun dans les yeux: je n'ai jamais pris de pots-de-vin, je n'ai jamais empoché un shekel pour moi-même", a-t-il déclaré dans une allocution de six minutes.

Il a expliqué que tout l'argent liquide qu'il a reçu - chiffré à plusieurs centaines de milliers de dollars par une source judiciaire - avait été versé par l'homme d'affaires new-yorkais Morris Talansky pour financer plusieurs campagnes électorales s'étalant sur une dizaine d'années depuis 1993.

Vendredi, le chef du gouvernement a semblé détendu en prenant la parole devant une assemblée de juifs canadiens réunis à Jérusalem et n'a fait qu'une allusion indirecte à ses démêlés politico-judiciaires en expliquant: "J'ai suffisamment de questions politiques à régler ici."

LE "BLANCHISSEUR"

De sources judiciaires, on indique que la police soupçonne Olmert d'avoir accepté des centaines de milliers de dollars versés par Morris Talansky, qui apparaîtrait sous le nom de code du "Blanchisseur" dans les documents saisis par les enquêteurs et que conservaient sa secrétaire.

Les médias israéliens, libérés de l'embargo imposé depuis une semaine sur cette affaire explosive, y consacrent vendredi une large part de leur couverture, même si certains s'interrogent sur la solidité du dossier des enquêteurs.

"Des millions de shekels - du liquide dans les mains", proclame en première page de son édition vendredi le quotidien Maariv, à la plus large diffusion en Israël.

"Le Premier ministre Ehud Olmert nous a regardés hier 'dans les yeux' et nous a demandé de le croire. Mais si l'opinion publique avait pu lui répondre collectivement, elle aurait naturellement demandé pourquoi. Combien d'années encore pourrons-nous entendre parler de vos frasques avec la police et continuer de croire en vous ?" écrit Shalom Yerushalmi, commentateur politique, dans les colonnes de Maariv.

Pour Nahum Barnea, éditorialiste réputé du Yedioth Ahronoth, "il est douteux qu'Olmert puisse survivre, si ce n'est en raison de l'affaire Talansky, du moins du fait de l'accumulation de toutes les investigations en cours à son encontre".

LE LIKOUD RÉCLAME DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES

Ces derniè2es années, les affaires de corruption au plus haut niveau se sont enchaînées - le fils d'Ariel Sharon est actuellement en prison pour avoir reçu des fonds secrets pour les campagnes politiques de son père.

Nombre d'entre elles n'ont jamais abouti.

Depuis sa prise de fonctions, en 2006, Olmert lui-même a dû se défendre dans quatre enquêtes sur des soupçons de malversation ou de trafic d'influence.

En cas de démission, il serait remplacé par son adjointe à la tête du parti centriste Kadima, la ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, qui est étroitement impliquée dans le processus de paix avec Washington et les négociateurs palestiniens.

Le Likoud, parti d'opposition de droite, réclame lui des élections anticipées à un moment où son chef de file, Benjamin Netanyahu, domine les sondages. "Olmert et son gouvernement Kadima n'ont plus de légitimité publique ni morale", a déclaré Yuval Steinitz, député du parti de droite à la Knesset.

Pour l'heure, ni Livni, ni le ministre de la Défense Ehud Barak, chef de file du Parti travailliste qui appuie Olmert, ne se sont encore exprimés sur la question. "Le parti est pris dans un vrai dilemme", confie à Reuters un responsable travailliste proche d'Olmert. "Pour l'heure, je pense que Barak attendra le bon moment", ajoute-t-il.

Pour l'Autorité palestinienne, l'affaire est source d'inquiétude en raison des menaces qu'elle fait peser sur la poursuite du processus de paix relancé en novembre sous l'égide de George Bush à la conférence d'Annapolis, dans le Maryland.

Si la fragile coalition d'Olmert venait à s'effondrer, la probabilité de parvenir à un accord d'ici la fin du mandat de Bush, en janvier 2009, diminuerait encore, sans doute au point de devenir infime.

Version française Jean-Stéphane Brosse¶


Ehud Barak, ministre de la Défense, se replonge dans l’histoire d'Israël

Ehud Barak, bon guerrier et mauvais politique, n’aime pas les interviews. Ce chef du parti travailliste, ancien Premier ministre, artisan des accords de Camp David et du retrait du Liban, est revenu à la vie politique à 66 ans dans le gouvernement de droite d’Olmert. De retour aux commandes militaires d’Israël, il applique maintenant une ligne dure - le blocus de Gaza et les attaques «ciblées» contre le Hamas. Et espére bientôt prendre la tête du gouvernement, à la place d’Olmert. Barak accepte de parler à un journal français, pour un flash-back émotionnel sur l’histoire d’Israël, sur son histoire.

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Vous avez été dans toutes les guerres d’Israël. Sauf celle d’Indépendance : en 1948, vous n’aviez que 6 ans…

J’étais un jeune garçon qui suivait les événements de son kibboutz. J’entendais au-dessus des collines les avions irakiens venus de Bagdad qui tentaient de découper en deux l’Israël qui venait de naître. Pendant plusieurs jours, j’ai entendu les tirs. A l’époque nous étions très pauvres, mais au kibboutz on a décidé de mettre de côté de la nourriture pour l’envoyer à Jérusalem où les nôtres étaient assiégés. Je me souviens aussi du soir où on a annoncé l’Etat d’Israël. Nous étions tous collés à une vieille radio et on écoutait le décompte des votes à l’ONU dans une langue que je ne comprenais pas. Puis j’ai vu l’éruption de joie et des gens du kibboutz se sont mis à danser autour du feu. Le lendemain, c’était la guerre. Je me souviens d’autre chose aussi. Il y avait à côté de notre kibboutz, tout à côté, un village arabe qui s’appelait Wadi Hawaled. Quand on était mômes, on allait faire nos courses au marché du village, Je revois encore les gosses, les mères arabes qui donnaient le sein aux bébés. Et tout le village a disparu le premier jour de la guerre. Plus personne. Tous partis. Tous ! J’y ai souvent pensé, très souvent : où sont les gosses de Wadi Hawaled ?

Ensuite a commencé une période de paix… jusqu’à la crise de Suez en 1956.

A 14 ans, j’étais émotionnellement impliqué par la préparation de la campagne de Suez. Israël avait lancé des attaques contre des groupes de terroristes qu’on appelait à l’époque «fedayin», qui se glissaient à travers la frontière, entraient en Israël pour voler ou tuer. Or beaucoup des jeunes en première ligne dans les unités de combat antiterroristes venaient de kibboutz comme le mien. Chaque fois qu’une opération se préparait, on le sentait dans l’air au kibboutz. Ils partaient, et on attendait. Et puis ils revenaient et on voyait leurs photos dans les journaux. Pour moi, le sentiment qu’un jeune pouvait perdre la vie à la guerre était un sentiment intime, très réel, très concret. Dans cette campagne du Sinaï, les jeunes de mon kibboutz sont rentrés traumatisés et j’ai compris le prix de la guerre.

Pendant onze ans, Israël semble enfin vivre comme un Etat normal.

On a vécu tranquillement. Je suis allé à l’armée pendant ces années très calmes sur nos frontières. Et nos jeunes soldats qui avaient battu facilement la moitié de l’armée égyptienne dans le Sinaï se sentaient très confiants. A 21 ans j’étais officier dans une unité d’élite, sous-lieutenant, nous avions un programme d’échanges avec la France et je suis parti dans un camp d’entraînement de commandos, la 11e brigade de parachutistes de choc, dans les Pyrénées. Une unité de forces spéciales, très performante, pour s’entraîner à la lutte antiguérilla. Quand nous allions prendre un verre dans les petits villages du coin, les gens traversaient pour ne pas être sur le même trottoir que nous… Mais c’était des super pros d’Algérie et d’Indochine! Comme je pensais que l’armée professionnelle allait être un job très ennuyeux, je suis parti faire des études de maths et de physique. Mais j’étais sans cesse rappelé par mon unité pour des «opérations spéciales». Et puis il y a eu la guerre.

En 1967, c’est la guerre des Six Jours. Vous avez conquis des territoires, vous vous êtes retrouvés avec toute une population palestinienne : Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem.

Vous savez, le Golan syrien c’était une montagne qu’on regardait toujours de loin, depuis la vallée. On rêvait qu’un jour, peut-être, on irait se promener sur le Golan… Le désert du Sinaï, on connaissait du round précédent, de la campagne de Suez. Mais la rencontre avec la Cisjordanie - ce que nous appelions la Judée Samarie - fut extrêmement émotionnelle. Soudain on revivait la Bible. Sous nos yeux, des images de nos patriarches, là où nos ancêtres avaient vécu : on voyait Jacob se battant avec ses frères, on voyait Abraham, les paysages avec les Bédouins… Cela touchait directement notre imaginaire. La légende biblique était devenue réalité. Et quand je suis entré pour la première fois dans la vieille ville de Jérusalem, c’était incroyablement émouvant. Dans les années qui ont suivi, j’y allais presque chaque samedi, simplement pour marcher là-bas. Mais pour la nation c’était un problème difficile.

On ne voulait ni la guerre de 1948, ni celle de 1967, elles nous ont été imposées. Alors, après la guerre des Six-Jours, le gouvernement de Levi Eshkol a pensé : on prend ces territoires en gage, «en dépôt», pour plus tard. Mais les Arabes nous ont répondu par les trois «Non» de Khartoum : non à la paix, non à la négociation, non à la reconnaissance de l’Etat d’Israël, ce qui a été pris par la force sera récupéré par la force. A Jérusalem, nous avons entrepris quelques travaux, pour déblayer, élargir. Et c’est sous ce gouvernement travailliste que nous avons commencé à construire des colonies, dans la vallée du Jourdain qui était pratiquement vide. Petit à petit, on a continué, et toujours sous les travaillistes - mon parti - on a installé des colonies à Gaza et même à Hébron. Mais la grande vague de construction des implantations n’a eu lieu que dix ans plus tard, après la guerre de Kippour.

Pourquoi les travaillistes ont-ils construit les premières colonies juives en territoire palestinien ?

Au départ pour se protéger des attaques, mais c’était un débat. Parce qu’à l’origine, le sionisme consistait à s’installer sur des terres vides, sans habitants. En 1967 David Ben Gourion a été le seul à comprendre clairement la situation, à oser regarder les gens du gouvernement dans les yeux et à leur dire ce qu’il fallait faire: «Détruisez la muraille qui entoure la vieille ville, unifiez Jérusalem. Et rendez tout, tous les territoires, en échange de la paix..» A l’époque, comme il avait 81 ans, j’ai pensé : «Il est devenu gâteux

Et alors ?

En fait, il n’était pas du tout gâteux… D’ailleurs plus tard, après la guerre de Kippour, Menahem Begin a signé un traité de paix avec l’Egypte et accepté de rendre tout le Sinaï. Begin avait le sentiment qu’il avait rendu aux Arabes 80 % des territoires pris en 1967. Alors pourquoi abandonner nos parcelles juives en Cisjordanie ? Begin trouvait que c’était une petite compensation après avoir renoncé au grand désert du Sinaï. Quand vous regardez cela avec des yeux d’aujourd’hui, il est devient clair que la colonisation a été intense autour de Jérusalem. Vous avez 11 quartiers juifs autour du noyau initial juif et 3 villes satellites. En tout 300 000 habitants. Et quelque 150 000 colons dans l’ensemble de la Cisjordanie, surtout répartis en de petites implantations dont la plupart sont très près de la frontière de 1967, à 5 ou 6 kilomètres.

Après la guerre de Kippour, après toutes ces guerres qui furent de brillantes réussites militaires, mais nous ont coûté très cher, avec Yitzhak Rabin. nous sommes entrés dans un processus de paix. Quand j’étais premier ministre on a signé les accords de Camp David : avec le président Clinton, nous avons alors proposé à Arafat d’établir un Etat palestinien sur 90% de la Cisjordanie et 100% de Gaza… Arafat a refusé.