0 billets
Maillot du Maccabi Tel Aviv
10 mai 2008
Le Beitar Jérusalem sévèrement sanctionné par la Fédération israélienne
10 mai 2008
Le club de football israélien du Beitar Jérusalem a été sévèrement sanctionné par la Fédération de football après que ses fans eurent envahi la pelouse et interrompu la finale de la Coupe d'Israël, privant leur équipe de la victoire, ont rapporté vendredi les médias.
La Fédération israélienne de football a retiré au Beitar Jérusalem deux points au classement de la saison et quatre points au classement de la prochaine saison.
Le club, détenu par le millionnaire d'origine russe Arcady Gaydamak, devra par ailleurs jouer à huis clos pour quatre matchs et payer une amende de NIS 30.000 (environ 6.000 euros).
La direction du club a protesté contre ces sanctions, les jugeant trop sévères, et a décidé de faire appel.
"Ces gens sont anormaux et des idiots", s'était emporté Arcady Gaydamak dimanche dernier.
Lors de la rencontre, des milliers de supporteurs du Beitar avaient envahi la pelouse à quatre minutes de la fin du match pour fêter la victoire de leur club qui menait un but à zéro face au Maccabi Herzlya.
Les fans du Beitar Jerusalem défraient régulièrement la chronique pour leur comportement violent et parfois raciste. Le club a été à plusieurs reprises par le passé sanctionné pour leur comportement. (AFP)
Basket - Euroligue (H) - Le titre pour Moscou
10 mai 2008
Le CSKA Moscou a remporté l'Euroligue en s'imposant dimanche à Madrid en finale contre le Maccabi Tel-Aviv (91-77). Les Moscovites, qui s'étaient inclinés l'an dernier au même stade face au Panathinaïkos, empochent ainsi leur sixième titre dans la plus prestigieuse des compétitions européennes. Pour les Israéliens, le dernier sacre remonte à 2005, contre Vitoria.
Le Maccabi prenait le meilleur départ pour mener 5-0. Mais les Moscovites se réveillaient assez vite et repassaient devant (7-5), grâce à Trajan Langdon, très adroit tout au long du match et élu MVP. Le ton était donné entre les deux équipes, qui allaient rester très proches durant toute la première période. Si le CSKA prenait un léger avantage (20-15) à la 8e minute, c'était sans compter sur l'Uruguayen Esteban Batista, qui enquillait deux paniers de suite pour recoller. A la fin du premier quart-temps, les coéquipiers de Ramunas Siskauskas (Photo Reuters), élu MVP de la saison, menaient d'un point (22-21).
Même rengaine ou presque dans le deuxième quart. Moscou tentait de s'échapper, toujours sous l'impulsion de Langdon, décidément intenable (38-31, 17e). Mais les Israéliens recollaient aussitôt, grâce à Will Bynum, auteur notamment d'un tir à 3 points à deux secondes du buzzer. A la mi-temps, un seul point, en faveur des Russes, séparait les deux équipes (42-41).
Bynum offre un sursis à Tel-Aviv
A la reprise, deux tirs à 3 points de Jon Robert Holden redonnaient un net avantage aux joueurs d'Ettore Messina, qui a annoncé qu'il restait l'entraîneur de Moscou au moins une année de plus. Et pour la première fois du match, les Moscovites allaient tenir, et même accentuer leur avance. Deux lancers-francs de Langdon (21 pts au total) offraient neuf points d'écart (60-51, 28e), mais à la sonnerie, Bynum, meilleur marqueur du match avec 23 pts, offrait un sursis aux siens (63-57).
Un simple sursis en effet, puisque les Moscovites passaient pour la première fois à +10, à sept minutes de la fin (73-63). Un nouveau trois points, de Matjaz Smodis, offrait quasiment le titre aux Russes. Il ne leur restait plus qu'à gérer la fin de match, ce qu'ils réussissaient parfaitement, ne laissant aucun espoir de retour aux joueurs de Tel-Aviv. Dans les dernières minutes, le match se résumait à un duel de lancers-francs. A 85-70 avec 50 secondes à jouer, les Russes pouvaient déjà célébrer la victoire. Le dernier assaut des Israéliens était insuffisant, et ils s'inclinaient finalement de 14 points. - F. B.
L'Equipe.fr
Matthaüs est le nouvel entraîneur du club israélien du Maccabi Netanya
10 mai 2008
L'ancien international allemand Lothar Matthäus, qui va diriger le club
israélien du Maccabi Netanya
à partir de juillet, a obtenu son diplôme
d'entraîneur, a annoncé vendredi la Fédération allemande de football
(DFB). Le champion du monde et ballon d'Or 1990 a suivi entre février et avril une formation raccourcie en vertu de son statut de joueur d'honneur de la DFB et des services rendus au football allemand.
Durant sa formation, "Loddar" a suivi 300 heures de cours, il a fait des stages d'observation à Brême et à l'Inter Milan, avant, pour conclure son cursus, de diriger vendredi une séance d'entraînement de l'équipe junior du FC Cologne.
Depuis qu'il a mis un terme à sa carrière, Matthäus, 47 ans, a déjà
entraîné sans avoir le diplôme requis: il a dirigé le Rapid Vienne (1re
div. autrichienne), le Partizan Belgrade (1re div. serbe), l'équipe
nationale de Hongrie et l'Atletico Paranaense (1re div. brésilienne).
Le palmarès ne compte pas
Il a également été l'adjoint de Giovanni Trapattoni à la tête du club
autrichien de Salzbourg, poste qu'il a quitté en 2007 après s'être
brouillé avec le technicien italien.
Matthäus, sélectionné à 150 reprises en équipes d'Allemagne, est le
dernier international allemand à avoir bénéficié de cette
formation-express, a rappelé la DFB. Tous les joueurs, quel que soit leur palmarès, devront désormais suivre les dix mois normaux de formation.(afp/7sur7)
Le château de Jehan de Dunois (qui le fidèle compagnon d'arme de Sainte Jeanne d'Arc) à Chateaudun, ou je me rendrai demain avec mes amis de Neuilly-Plaisance
10 mai 2008
Armand : « La L2, on n’en parle pas »
10 mai 2008
Écrit par lucio | |
Lui aussi ne sera peut être plus parisien la saison prochaine. Comme beaucoup, Sylvain Armand ne sait pas de quoi son avenir sera fait. En attendant, pas question pour lui de lâcher, c’est une nouvelle fois le match le plus important de l’histoire du PSG qu’il s’apprête à disputer…
Vous allez une nouvelle fois disputer le match le plus important de l'histoire du PSG... | |
ITW : Pauleta « Je suis sûr que je vais pleurer »
10 mai 2008
L'AVENTURE parisienne du joueur Pedro Pauleta touche à sa fin. Le buteur portugais, 35 ans, devrait disputer demain face à Saint-Etienne son dernier match officiel au Parc des Princes, deux semaines avant son ultime rendez-vous avec le PSG en finale de Coupe de France. Pauleta restera comme le meilleur buteur de l'histoire du club.
Il occupera, quoi qu'il arrive, une place de choix dans les mémoires parisiennes. Mais également dans l'organigramme du club puisque son contrat actuel prévoit qu'à la fin de sa carrière il devienne ambassadeur du PSG.
Que ressentez-vous avant cette dernière sortie au Parc ?
Pedro Pauleta. C'est un moment difficile, j'aurais aimé disputer ce match dans d'autres conditions. Le plus important, c'est de prendre les trois points. Je ne pense qu'à gagner.
Avez-vous imaginé vos adieux ?
Je suis émotif. Je suis sûr que je vais pleurer. Je veux remercier tout le monde. Ce sera un instant lourd car j'ai une relation très forte avec les supporteurs.
Pourquoi êtes-vous si populaire ?
J'ai toujours tout donné et j'ai marqué des buts. Les supporteurs m'aiment en raison de la façon dont je me suis comporté.
Vous souvenez-vous du contexte de votre arrivée à Paris en 2003 ?
J'avais des sollicitations de Lyon et de deux clubs portugais. Le jour de la remise des Oscars, où j'ai reçu mon titre de meilleur joueur de la saison, j'allais prendre l'ascenseur quand Francis Graille vient me voir. Il me dit qu'il est le nouveau président et qu'il veut que je signe au PSG.
« Je méritais d'être plus associé à certaines décisions »
Quel est votre meilleur souvenir ?
La première saison a été particulière car on a terminé deuxième à trois points de Lyon, on s'est qualifiés pour la Ligue des champions et on a gagné la Coupe de France. Ce qui reste surtout, ce sont les trois coupes. Mais la victoire en finale de la Coupe de France contre Marseille (2-1) en 2006 a été vraiment spéciale. Pour tout le monde.
Et votre plus mauvais ?
(Long silence.) J'espère qu'il n'arrivera pas...
Avec quels présidents vous êtes-vous le mieux entendu ?
J'en ai connu trois (Graille, Blayau et Cayzac), quatre avec Simon Tahar qui vient juste d'être nommé. Je n'ai jamais eu de problèmes avec eux, même si, bien sûr, on n'a pas toujours été d'accord. J'ai eu une bonne relation avec Francis Graille qui m'a fait venir. On continue d'ailleurs de se voir. Avec les entraîneurs (Halilhodzic, Fournier, Lacombe, Le Guen) , ça s'est plutôt bien passé. On a davantage évoqué des problèmes avec Le Guen car il m'a mis sur le banc mais il y a toujours eu du respect. Même si j'étais plus proche de Halilhodzic et de Lacombe.
Avec qui avez-vous tissé une forte amitié ?
Il y a Mario (Yepes) . Je suis aussi attaché à Jérémy Clément. Je parle aussi parfois avec Sorin, Heinze et Fiorèse. Mais sincèrement, dans le foot, quand tu changes de club, tu n'entretiens la relation que quelque temps.
Avant son départ, Alain Cayzac a laissé entendre qu'il avait pensé à vous comme entraîneur-joueur pour sauver le club. Auriez-vous accepté ?
Non. La relation que j'ai avec mes partenaires ne me le permet pas. Et puis Alain Cayzac ne m'en a jamais parlé ! Je ne me vois pas entraîneur pour l'instant.
Si vous deviez changer quelque chose dans votre parcours au PSG ?
Sur un plan personnel, pas grand-chose. J'ai toujours été moi-même et professionnel. J'aurais aimé parfois être plus écouté par les dirigeants. Avec mon expérience, je méritais d'être plus associé à certaines décisions. Quand tu choisis un capitaine, tu dois avoir confiance en lui pour faire le lien entre les joueurs et le club.
Vous attachez de l'importance aux titres mais aujourd'hui vous mettez un point d'honneur à ne pas emmener le PSG en L 2.
Si on reste en L 1, ce sera un titre de plus. Ce sera même le plus grand de la saison. C'est le message que j'ai passé aux autres joueurs. Paris ne peut pas descendre.
Regrettez-vous parfois d'avoir signé à Paris ?
Pedro Pauleta. C'est un moment difficile, j'aurais aimé disputer ce match dans d'autres conditions. Le plus important, c'est de prendre les trois points. Je ne pense qu'à gagner.
Avez-vous imaginé vos adieux ?
Je suis émotif. Je suis sûr que je vais pleurer. Je veux remercier tout le monde. Ce sera un instant lourd car j'ai une relation très forte avec les supporteurs.
Pourquoi êtes-vous si populaire ?
J'ai toujours tout donné et j'ai marqué des buts. Les supporteurs m'aiment en raison de la façon dont je me suis comporté.
Vous souvenez-vous du contexte de votre arrivée à Paris en 2003 ?
J'avais des sollicitations de Lyon et de deux clubs portugais. Le jour de la remise des Oscars, où j'ai reçu mon titre de meilleur joueur de la saison, j'allais prendre l'ascenseur quand Francis Graille vient me voir. Il me dit qu'il est le nouveau président et qu'il veut que je signe au PSG.
« Je méritais d'être plus associé à certaines décisions »
Quel est votre meilleur souvenir ?
La première saison a été particulière car on a terminé deuxième à trois points de Lyon, on s'est qualifiés pour la Ligue des champions et on a gagné la Coupe de France. Ce qui reste surtout, ce sont les trois coupes. Mais la victoire en finale de la Coupe de France contre Marseille (2-1) en 2006 a été vraiment spéciale. Pour tout le monde.
Et votre plus mauvais ?
(Long silence.) J'espère qu'il n'arrivera pas...
Avec quels présidents vous êtes-vous le mieux entendu ?
J'en ai connu trois (Graille, Blayau et Cayzac), quatre avec Simon Tahar qui vient juste d'être nommé. Je n'ai jamais eu de problèmes avec eux, même si, bien sûr, on n'a pas toujours été d'accord. J'ai eu une bonne relation avec Francis Graille qui m'a fait venir. On continue d'ailleurs de se voir. Avec les entraîneurs (Halilhodzic, Fournier, Lacombe, Le Guen) , ça s'est plutôt bien passé. On a davantage évoqué des problèmes avec Le Guen car il m'a mis sur le banc mais il y a toujours eu du respect. Même si j'étais plus proche de Halilhodzic et de Lacombe.
Avec qui avez-vous tissé une forte amitié ?
Il y a Mario (Yepes) . Je suis aussi attaché à Jérémy Clément. Je parle aussi parfois avec Sorin, Heinze et Fiorèse. Mais sincèrement, dans le foot, quand tu changes de club, tu n'entretiens la relation que quelque temps.
Avant son départ, Alain Cayzac a laissé entendre qu'il avait pensé à vous comme entraîneur-joueur pour sauver le club. Auriez-vous accepté ?
Non. La relation que j'ai avec mes partenaires ne me le permet pas. Et puis Alain Cayzac ne m'en a jamais parlé ! Je ne me vois pas entraîneur pour l'instant.
Si vous deviez changer quelque chose dans votre parcours au PSG ?
Sur un plan personnel, pas grand-chose. J'ai toujours été moi-même et professionnel. J'aurais aimé parfois être plus écouté par les dirigeants. Avec mon expérience, je méritais d'être plus associé à certaines décisions. Quand tu choisis un capitaine, tu dois avoir confiance en lui pour faire le lien entre les joueurs et le club.
Vous attachez de l'importance aux titres mais aujourd'hui vous mettez un point d'honneur à ne pas emmener le PSG en L 2.
Si on reste en L 1, ce sera un titre de plus. Ce sera même le plus grand de la saison. C'est le message que j'ai passé aux autres joueurs. Paris ne peut pas descendre.
Regrettez-vous parfois d'avoir signé à Paris ?
Jamais.
« Si demain je reçois une proposition qui me plaît... »
Il vous reste trois matchs sous le maillot parisien. Avez-vous pris une décision concernant la suite de votre carrière ?
Je prendrai ma décision pendant mes vacances. Si demain je reçois une proposition qui me plaît... J'ai un contact aux Etats-Unis et avec un club portugais. Je suis tellement impliqué dans cette fin de saison que je ne veux pas penser à tout ça. Michel Moulin m'a aussi dit qu'il voulait me parler. Mon obsession aujourd'hui est que Paris se maintienne.
Vos proches seront-ils associés à votre décision ?
Une décision comme celle-là ne se prend pas seul. Mon fils André veut rester à Paris. Ma première fille veut que j'arrête et ma femme en a aussi un peu marre de vivre loin du Portugal. J'aimerais que tout le monde soit content. C'est bien que la petite dernière ne parle pas pour ne pas donner un autre avis ! (Rires.) J'ai besoin de sentir si ça vaut la peine de continuer. Je récupère moins bien qu'à 20 ans. Il y a aussi la lassitude morale avec la répétition des mises au vert, les enfants qui grandissent. Mais je prends encore du plaisir. Je vais réfléchir au calme, sans me précipiter.
Vous semblez moins sûr d'arrêter le football que l'an dernier ?
C'est vrai. Plus la fin approche, plus tu doutes. Je ne veux pas penser que je vais arrêter dans une semaine. C'est la meilleure façon de bien préparer ces deux rendez-vous en L 1 qui, pour moi, sont comme les deux premiers de ma carrière.
Et si le PSG vous proposait une prolongation de contrat ?
J'écouterais. (Il réfléchit, hésitant...) Pourquoi pas ? Après il faudra voir ce qui est bon pour moi et pour le club.
ASSE : Feindouno encense Pauleta!
10 mai 2008
Écrit par Nico | |
Ancien coéquipier et adversaire du soir, le stéphanois Pascal Feindouno rend hommage à Pauleta et se dit content de participer à la dernier du portugais ce samedi soir au Parc des Princes. « J’ai tellement de souvenir de Pauleta ! Quand il a signé à Bordeaux en 2000, j’avoue que je ne connaissais pas du tout le joueur. Mais dès le premier entrainement, il cadrait tout. Il marquait but sur but puis lors de notre premier match face à Nantes il nous met un triplé… Là je me dis que c’est bon, l’attaquant que l’on cherchait, on l’a trouvé. Je n’avais que 19 ans, il a été un modèle de professionnalisme. Dans ma carrière, les trois attaquants qui m’ont le plus marqué sont Pauleta, Wiltord et Laslandes. C’est un joueur que j’adore. C’est un buteur, un vrai et c’est trop agréable de joueur avec lui. Il est gentil quand il joue, il n pense qu’à marquer. J’ai été étonné de si peu le voir jouer cette saison. Je sais que c’est contre nous qu’il va jouer son dernier match au Parc. Cela va me toucher, c’est sûr je serai ému et çà va me faire bizarre. En tout cas si Paris descendait, je serai triste. » |
Interview de l'entraîneur de l'ASSE: Laurent Roussey, avant: PSG/ASSE
10 mai 2008
Avant le choc de samedi soir au Parc des Princes (20h45), ni la valeur désormais européenne de la 5e place, ni le contexte parisien ne font dévier les attentes et les ambitions du coach stéphanois.
Laurent, depuis mercredi, la cinquième place est devenue officiellement qualificative pour la Coupe de l'UEFA (Ndlr : La qualification en finale de la Coupe de France de Lyon et du Paris SG, tous deux déjà assurés de disputer une coupe européenne, a libèré une place en Coupe de l'UEFA pour le 5e de la Ligue 1). Cette nouvelle donne a-t-elle changé votre préparation ?
Laurent Roussey : «Non. Absolument rien. De toute façon, nous avons atteint cette 5e place depuis plusieurs matches et notre ambition a toujours été de la défendre jusqu’au bout. Que cette 5e place ait été directement européenne ou non, nous avons toujours visé de finir le plus haut possible au classement.»
Mais, désormais on est fixé sur la valeur européenne de cette cinquième place ?
Laurent Roussey : «Cette 5e place a effectivement une valeur supplémentaire. Maintenant on le sait. C’est la seule différence pour nous.»
Ressentez-vous une pression supplémentaire ?
Laurent Roussey : «Non. Cette pression, nous nous la sommes déjà mise depuis cinq matches c’est-à-dire depuis que nous avons atteint cette 5e place. Pour l’instant, nous avons toujours fait le nécessaire pour la défendre du mieux possible. Notre objectif restera identique.»
«Dans les mémoires des Stéphanois, la Coupe d’Europe est effectivement quelque chose d’important.»
Retrouver la Coupe d’Europe, ça serait beau ?
Laurent Roussey : «Dans les mémoires des Stéphanois, la Coupe d’Europe est effectivement quelque chose d’important. Mais, il reste deux matches à disputer, deux matches intéressants et difficiles. Nous ne devons pas nous rajouter de pression.»
Le contexte particulier autour du PSG a-t-elle influé la préparation du match ?
Laurent Roussey : «Non. Notre préparation continue toujours d’être axée sur un investissement total et la volonté d’aller tous dans la même direction. »
Aurez-vous un discours particulier envers vos plus jeunes joueurs ?
Laurent Roussey : «Comme d’habitude, on en discutera dès la mise au vert, ce soir. Notre préparation reste identique, je repète.»
«Réussir un résultat au Parc dans ces conditions-là sera quelque chose d’important pour nous, une belle référence»
A quel type de match vous attendez-vous ?
Laurent Roussey : «Je m’attends surtout à savoir comment mes garçons vont réagir et s’investir dans un Parc des Princes qui sera, peut-être totalement, fait et cause pour le Paris SG. Mes attentes sont que nous rentrions bien dans la partie et que nous allions au bout de nos idées. Réussir un résultat au Parc dans ces conditions-là sera quelque chose d’important pour nous, une belle référence.»
Comment cernez-vous l’opposition parisienne qui jouera une partie de son avenir en Ligue 1 ?
Laurent Roussey : «Paris va défendre chèrement sa peau et alignera sa meilleure équipe. Mais, nous ne nous préoccupons pas du sort de nos adversaires. »
«Intérieurement, ça fait vibrer»
Vous êtes vous fixé un nombre de points sur les deux derniers matches ?
Laurent Roussey : «Aujourd’hui, nous défendons davantage une place que des points. L’idée est donc d’en prendre six pour avoir l’assurer de garder cette 5e place. Gagner deux matches est toujours une grande performance.»
En tant qu’entraineur, est-ce le match le plus excitant que vous ayez eu à préparer ?
Laurent Roussey : «Au niveau comptable, c’est déjà la plus belle saison depuis la remontée du club en Ligue 1. Au niveau prestige avec une qualification en Coupe d’Europe, cela peut également être le cas. Intérieurement, ça fait vibrer»