Previous month:
avril 2008
Next month:
juin 2008

0 billets

Le refus du travail de mémoire !



Par Guy Millière


Me rendant, le 1er mai dernier, à Radio J, rue des Rosiers à Paris, où Michel Zerbib m’avait invité à m’exprimer, je suis passé devant le Mémorial de la Shoah. Les cérémonies organisées à la mémoire des victimes juives de la barbarie nazie avaient commencé, à Yad Vashem, la veille au soir. Le matin même, les sirènes avaient retenti dans tout Israël et la population s’était, comme chaque année, figée dans le recueillement.

A Paris, on énonçait les noms, parfois les âges des victimes françaises de l’Holocauste : des enfants de quatre ou cinq ans, des familles entières. Je suis resté quelques instants, les yeux tournés vers le sol. M’habitait l’immense sentiment de honte qui s’empare de moi dès que je suis conduit à penser à ce qui s’est passé, voici quelques décennies à peine, au cœur d’un continent qui se prétend parfois être celui de la civilisation.

Je n’étais pas né quand le Crime s’est produit, mais combien de Français n’ont rien fait et n’ont rien dit, combien ont collaboré, activement ou passivement ? Il y a eu ceux qu’on appelle les Justes, je sais. Mais cela ne compense pas. Rien ne peut compenser ce qui n’est pas compensable. Je ne puis comprendre, jusqu’à ce jour, comment tant de gens de ce pays ont pu vivre leur vie tandis que d’autres, juste à côté d’eux, se trouvaient broyés, peu à peu, par l’engrenage infernal qui allait les emporter. Je ne peux admettre, jusqu’à cette heure, que certains se soient rendus dans un jardin public, dans une salle de spectacle, ou dans quelque autre lieu alors qu’à l’entrée il était écrit : « Interdit aux juifs ».

Je trouve moralement inadmissible que ce soit en Israël seulement qu’on rende hommage et qu’on se souvienne des victimes, alors que dans les pays où le Crime s’est commis, on ne respecte pas même trente secondes de silence

.

Il y a pire. La rue Geoffroy L’Asnier, où se trouve le Mémorial, était condamnée, ce jour là, par des barrières de sécurité. Des policiers veillaient, mais aussi des agents de sécurité. Un rassemblement paisible de gens, venus entendre des noms, songer à des êtres humains assassinés de façon aussi effroyable pourrait-il tenter des agresseurs, donner des idées d’attentats ? Je sais, hélas, que la réponse est : oui.

Je sais que la haine ancienne n’a pas disparu des cœurs et des esprits et qu’est venu se mêler à elle un afflux de haine renouvelée. Je sais que devant chaque école juive, chaque centre culturel hébraïque, chaque synagogue, il existe des mesures de précaution qu’on ne rencontre devant aucune autre sorte d’édifice dans ce pays. Je sais que ce qui se constate en France se constate ailleurs en Europe, sans que cela ne semble scandaliser quiconque un seul instant.

Je sais aussi que la haine des antisémites se confond souvent désormais avec celle d’Israël, et que cette haine elle-même ne dit pas toujours son nom. C’est très tendance, en Europe, aujourd’hui, d’être « antisioniste ».  C’est très branché de plaindre ces pauvres Palestiniens qui sont victimes des Juifs, bien sûr (ô pardon : des Israéliens), et pas du tout la proie de fanatiques ou de dirigeants crapuleux.

Je suis bien placé pour savoir que le sujet est quasiment tabou et qu’on ne peut remettre en cause les versions falsifiées de l’histoire du Proche-Orient, qui tiennent désormais le haut du pavé, qu’en prenant d’infinies précautions.

Mais personne ne m’empêchera de dire que je suis heureux, profondément heureux, qu’Israël fête, en ce mois de mai 2008, son soixantième anniversaire. Je trouve que ce qu’Israël a accompli en soixante ans est, au sens propre du terme, extraordinaire. Je pense avec une infinie tristesse à ceux que le Crime a broyé, et dont il ne reste rien. Je songe, avec une émotion qui me redonne confiance en l’espèce humaine, aux survivants qui se sont battus pour qu’Israël soit, et qui ont pu voir les accomplissements d’Israël.

Je comprends, au plus profond de mon être, tous ceux que les attitudes lâches, précautionneuses ou perfides de tant de dirigeants européens, ces dernières années, mettent mal à l’aise, et je partage leur malaise. Je comprends aussi tous ceux que la diffamation banale d’Israël, qui survient de manière récurrente dans divers media est indigne, et je partage leur indignation.

Je vois, enfin, dans l’incapacité de tant d’Européens à regarder en face et jusqu’au bout la monstruosité de la Shoah et l’absolue légitimité de l’existence de l’Etat d’Israël un signe sombre. Un signe montrant que les leçons ne sont jamais retenues, que le combat pour la dignité de l’être humain est à recommencer chaque jour, et qu’il reste, décidément, beaucoup de chemin à faire pour l’Europe si elle et ses habitants entendent être à la hauteur des valeurs qu’ils prétendent incarner. 

sans Il reste beaucoup de chemin à parcourir pour l’Europe…

Marie Anne Charlotte Corday d’Armont

Doc173
Charlotte Corday 23480739 Cccaenw 6401 Charlotte_corday_ew400w Maratassassinatbaudryww Cc_2 Ccbymullerw2_2 Ccarrestation_2 Ccthelasttoiletw_2 Echafaud_2 Assassinat_de_marat_tableau_par20_2

Née à Saint-Saturnin des Ligneries (Normandie) en 1768, morte à Paris en 1793, Charlotte Corday, arrière-petite-nièce de Corneille, est issue d’une famille de petite noblesse. Elevée au couvent puis placée en pension à Caen auprès d’une parente veuve du trésorier de France, Coutellier de Bretteville elle se familiarise avec les auteurs de l’Antiquité, lit Rousseau et s’enthousiasme pour les idées nouvelles.

Elle s’intéresse à la politique, indignée des outrances de Marat, le « massacreur de Septembre », elle lui reproche de pousser à la guerre civile pour devenir dictateur. Après le 2 juin 1793, elle rend visite aux députés girondins [1] proscrits et s’enthousiasme pour l’ardeur des Caennais qui s’enrôlent pour aller délivrer Paris des « anarchistes ».

Les déclarations de Marat telles que « Je ne croirais à la République que lorsque la tête de Louis XVI ne sera plus sur ses épaules » ou bien lorsqu’il demande plus cent mille cadavres exaspèrent Charlotte Corday. De plus elle apprend quelque temps plus tard le supplice de l’abbé Grombault prêtre qui a donné l’extrême-onction à madame Corday d’Armont, sa mère. Sa décision est prise...elle doit tuer Marat, ce fou sanguinaire.

Elle veut intervenir au ministère de l’Intérieur pour une amie émigrée, parente de Barbaroux ; elle fait une demande d’introduction, et obtient une lettre pour le député Duperret, ennemi juré de la Montagne [2]. Elle fait ses adieux à ses amis. Pour ne pas se trahir, elle décide de ne pas aller faire ses adieux à son père mais elle lui envoie une lettre lui indiquant son intention d’aller en Angleterre. Au matin de son départ, elle détruit tous ses papiers et les correspondances qu’elle a eues avec les girondins. Munie de 140 livres en assignats, de 50 écus et de 25 écus de 6 livres, somme énorme, elle part pour Paris le 9 juillet 1793.

Elle y arrive le 11 juillet, loge à l’hôtel de la Providence, voit plusieurs fois Duperret, se rend avec lui au ministère de l’Intérieur ; mais elle ne désire pas tuer le ministre, Garat, quoique celui-ci ait pu en penser par la suite : elle ne le juge « pas assez dangereux ».

Le 13, à 8 heures, elle achète un couteau de 40 sols au Palais-Royal, se fait conduire à 11 heures chez Marat, mais n’est pas reçue ; elle y retourne le soir : de son bain, Marat dit de la faire entrer ; elle apporte des nouvelles du Calvados, donne les noms des députés présents à Caen et, comme Marat lui dit qu’ils seront guillotinés, elle lui plonge son couteau dans la gorge.

Immobilisée par les amis de Marat, auxquels elle n’oppose aucune résistance, elle est interrogée une première fois par le commissaire de police Guellard. Elle est ensuite transférée avec beaucoup de mal à la prison de l’Abbaye : la foule voulait la lyncher ! Un peu plus tard, c’est de la Conciergerie qu’elle attendra son jugement.

Le mercredi 17 juillet à 8 heures du matin, la foule se presse dans le tribunal, après s’être informé de l’identité et de l’âge de Charlotte, le président Montané lui demande qui est son défenseur. Charlotte Corday avait demandé à un de ses amis Gustave Doulcet de la défendre, malheureusement ce dernier n’a pas été prévenu. Le président commet alors d’office Chauveau-Lagarde qui se trouve dans la salle. Tout au long de ce procès elle va répondre aux questions de façon exacte, sans jamais chercher à minimiser les faits. Elle va même jusqu’à confirmer les déclarations des témoins à charge.

A l’issue des débats, l’accusateur public Fouquier-Tinville demande sa tête, son avocat fait une plaidoirie brève mais très courageuse. Fouquier-Tinville du reste n’apprécie pas cette plaidoirie, il avait conseillé à l’avocat de faire passer Charlotte Corday pour une folle. Même le président va modifier le libellé d’une des questions posée au juge afin de ne pas la faire passer pour une royaliste. Mais rien n’y fait, elle est condamnée à mort.

De retour à la Conciergerie, il ne lui reste plus que quelques heures a vivre. Elle avait demandé que quelqu’un fasse un portrait d’elle. Le peintre Hauer entre dans sa geôle et il ne lui reste que deux heures pour terminer le travail qu’il avait commencé dans la salle d’audience.

Nous sommes le 17 juillet 1793, il est 17 heures, sur la place de la Révolution (Concorde aujourd’hui) un bruit sourd, Charlotte Corday a cessé de vivre.


Voici, un téléfilm, sur l'une de mes héroïnnes préfèrées, que je me permets trés vivement de vous conseiller de regarder:

Charlotte Corday
20:55
Charlotte Corday
3246_big
Téléfilm dramatique
Date de diffusion : jeudi 22 mai
Horaire : 20:55 - Durée : 1h40
Acteur : Bernard Blancan, Emilie Dequenne, Marc Fayet
Réalisateur : Henri Helman
Histoire : En 1793, les derniers jours de Charlotte Corday, de sa décision d'assassiner Marat, à son exécution, place de la Grève à Paris, une semaine après son geste.
Résumé : En juillet 1793, pour Charlotte Corday, Marat, bien qu'adulé par le peuple, est l'homme à abattre. Elle passe à l'acte et assassine celui qui, selon elle, appelle au meurtre. Entre cet acte et le moment de son exécution, huit jours s'écoulent, qui permettent de comprendre les motivations de la jeune femme. Charlotte Corday, d'un tempérament solitaire, arrière-petite-fille du célèbre Corneille, est surtout une républicaine convaincue. Elle est prête à tout pour défendre les valeurs qui sont les siennes, notamment la liberté. Aussi est-elle déterminée à se sacrifier. Charlotte ignore que, par son geste criminel, elle ne fait que provoquer l'accélération de la Terreur...
Critique : Une adaptation fidèle de l'ouvrage de Jean-Denis Bredin, «On ne meurt qu'une fois, Charlotte Corday».
 

Le Guen : «j'ai envie de rester!»

Samuel Peudenier (Sport24) Le Figaro.fr
.
Paul Le Guen (AP)
Paul Le Guen (AP) Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

Le PSG a sauvé sa tête en Ligue 1 en ramenant une victoire de Sochaux (1-2). Lorsque les Lionceaux sont revenus au score, le club de la capitale n'a pas douté. L'entraineur, Paul Le Guen, savoure le maintien et espère rester aux commandes du club.

Quel suspense Paul...

Paul Le Guen : Oui, cela a tenu forcement à peu de chose; je crois que les garçons ont fait un match courageux face à une bonne équipe de Sochaux. On a souffert par moments, on a su faire front pour aller chercher ce 2e but qui nous était indispensable.

Le soulagement est arrivé assez tard...

On a tellement souffert, on était en position difficile, je suis content pour tout un club, pour les supporters, pour toutes les composantes de ce club qui avaient envie que ça passe. La réussite tient à peu de choses. J'ai une pensée pour le RC Lens et Jean Pierre Papin. Je savoure, c'est clair

Qu'avez-vous ressenti au coup de sifflet final ?

Un soulagement, ca ne me donne pas envie de faire un tour d'honneur pour autant. C'est un moment de bonheur que l'on apprécie. On va penser à la finale de la Coupe de France et puis qui sait si on va réussir à accrocher deux titres au cours d'une saison chaotique.

Quelle était l'ambiance dans le vestiaire ?

Je crois qu'il y a eu beaucoup de respect, de la satisfaction d'avoir atteint l'objectif. Malgré tout l'environnement, l'équipe a su répondre présent. Je suis vraiment satisfait pour les gens qui nous soutiennent.

La finale se présente comme un cadeau désormais...

Non, c'est un titre à gagner. On ne va pas prendre à la légère la préparation. On aura évacué ce souci du maintien ce qui nous permet de travailler plus sereinement. C'est un match à gagner pour remporter un deuxième titre cette saison, ca serait formidable.

Avez-vous beaucoup appris lors de cette saison tourmentée ?

Oui, je vais essayer de retenir les leçons, de progresser. Notre sort tient à si peu de choses quand je vois notre second but. Je suis sous contrat, j'ai très envie de rester. Je serai à mon poste la saison prochaine à moins que l'on me dise d'arrêter...


Hoarau « Pauleta est un modèle pour moi! »

Écrit par Nico    
                     Hoarau     Champion de ligue 2 et meilleur buteur avec 28 buts cette saison avec Le Havre, le jeune attaquant du PSG, Guillaume Hoarau exprime aujourd’hui son soulagement de voir enfin le maintien de son club de cœur assuré dans les colonnes du Parisien et avoue qu’il n’a jamais douté et n’a aucun regret dans son choix.

Le gros soulagement après le deuxième but de Diané face à Sochaux : « Cette fois, ça y est, je suis 100 % parisien. Cette dernière journée de L 1, je l'ai suivie de bout en bout. Et au deuxième but parisien (à Sochaux), je me suis dit : « Ça y est, j'y suis ! » C'est un immense soulagement. J'ai signé au PSG cet hiver pour être tranquille et vivre sereinement ma fin de saison. Et je ne voulais pas tout reprendre à zéro. Maintenant, tout le monde sait que je suis parisien. »

Aucun doute et aucun regret dans son choix : « Je n'ai pas eu le moindre regret. Ç'a été chaud par moments, mais dans mon for intérieur j'étais convaincu que le PSG ne descendrait pas en Ligue 2. Ce n'était pas possible. Et grâce aux joies que j'ai connues avec Le Havre (promu en L 1), j'ai pu encaisser plus facilement ce qui se passait à Paris. Et à l'arrivée, ça se termine bien pour tout le monde. »

Le PSG de retour au premier plan ? « Ça fait deux ans que c'est difficile pour Paris, mais en même temps, Paris sera tout de même en Coupe de l'UEFA la saison prochaine. Les joueurs qui ont tout donné pour arracher le maintien n'auront sans doute pas envie de revivre une telle saison. »

Il aimerait que Paul Le Guen reste l’entraineur du PSG : « J'ai fait mon choix en faveur de l'entraîneur et ça m'embêterait si Paul Le Guen venait à être démis de ses fonctions. Je me suis appuyé sur ses paroles pour me préparer. Maintenant, ce n'est pas pour ça que ma place était acquise d'avance. De toute façon, avec ou sans Paul Le Guen, mon rôle sera de mettre des buts. Parce que c'est Paris, parce qu'on ne me fera pas de cadeau. »

Pauleta… un exemple à suivre : « Il a laissé une trace, marqué le club, il s'est battu comme un diable pour sauver Paris et je crois que personne ne peut prétendre faire oublier Pauleta. C'est un exemple à suivre, un modèle. Je n'arrive pas en tant que successeur mais en tant qu'apprenti, avec mes qualités et une mentalité de guerrier. »


Olmert : décision "très proche" pour Gaza...

NOUVELOBS.COM

Le Premier ministre israélien affirme qu'une décision d'Israël concernant la bande de Gaza, contrôlée par le Hamas, était "très proche". Le Hamas rencontre lundi les médiateurs égyptiens et le ministre israëlien de la Défense, Ehud Barak, s'entretiendra le même jour avec le président égyptien Hosni Mubarak.

Le Premier ministre israélien Ehoud Olmert (à drotie) et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas (Reuters)

Le Premier ministre israélien Ehoud Olmert (à drotie) et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas (Reuters)

Le Premier ministre israélien Ehud Olmert a affirmé dimanche 18 mai qu'une décision d'Israël concernant la bande de Gaza, contrôlée par le Hamas, et les tirs de roquettes en provenance de ce territoire palestinien était "très proche".

Vers un règlement imminent de la question


"Nous sommes convaincus que, dans aucune circonstance, nous ne pouvons permettre à la situation dans le sud (d'Israël) de continuer de la manière dont cela a été le cas ces derniers mois", a déclaré Ehud Olmert, à l'ouverture du conseil hebdomadaire des ministres.
"L'heure où nous déciderons de la manière dont seront gérées les choses (à Gaza) est très proche", a-t-il poursuivi, sans plus élaborer.
L'Etat hébreu est notamment confronté aux tirs de roquettes de groupes palestiniens de la bande de Gaza, territoire contrôlé par les islamistes du Hamas depuis leur coup de force de juin 2007 aux dépens du Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas.
Ces derniers jours, plusieurs ministres du cabinet de sécurité israélien ont préconisé de "briser" le Hamas grâce à une opération militaire de grande envergure dans la bande de Gaza.

Médiation en Egypte

Le Hamas a de son côté annoncé l'envoi, lundi, d'une délégation en Egypte pour un nouveau round de négociations avec les médiateurs égyptiens en vue d'une trêve avec Israël.
Le ministre israélien de la Défense va de son côté rencontrer lundi le président égyptien, Hosni Moubarak, à Charm el-Cheikh en Egypte en marge d'une conférence économique internationale, a-t-il indiqué lundi au ministère de la Défense israélien.
Cet entretien portera notamment sur les discussions menées par l'Egypte avec les islamistes palestiniens du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza pour parvenir à une trêve des violences, a-t-on ajouté de même source.
La radio publique israélienne a pour sa part indiqué qu'Ehud Barak devait également rencontrer le chef des renseignements égyptiens, Omar Souleimane, chargé du dossier israélo-palestinien, lors de son séjour à Charm el-Cheikh.

Requêtes d'Israël et du Hamas

En contrepartie à un arrêt des tirs de roquettes contre Israël, le Hamas espère la fin des attaques israéliennes, la levée du blocus imposé par l'Etat hébreu sur Gaza et la réouverture des points de passage, notamment celui de Rafah, à la frontière avec l'Egypte.
Israël exige de son côté, la fin des attaques, l'arrêt de la contrebande d'armes entre la péninsule égyptienne du Sinaï et la bande de Gaza, et des progrès dans les discussions pour la libération du soldat Gilad Shalit, enlevé par un commando palestinien en 2006 à la lisière de la bande de Gaza.

Pétition en faveur d'un dialogue avec le Hamas

Selon l'édition dominicale du quotidien Haaretz, d'anciens hauts responsables de l'armée et des services de sécurité israéliens ont de leur côté signé une pétition pour un dialogue indirect avec le Hamas, en vue de parvenir à un cessez-le-feu, rejetant l'idée d'une vaste opération militaire.
Selon eux, une offensive militaire mettrait fin à tout espoir de cessez-le-feu et provoquerait de "lourdes pertes" des deux côtés.
Les signataires estiment qu'il faut admettre que "mettre fin au régime du Hamas à Gaza ne constitue par un objectif réaliste et que réinstaller le Fatah au pouvoir grâce aux baïonnettes israéliennes n'est pas désirable".

Hommage à Jean-Pierre Papin

117_1209128542 F3gp3sdq2v49ecesrd6gph8dsa8tfvskqui 300x135_61256 300x135_65197 4111562599297458238 H310442441206866623_2 Jeanpierrepapinrevientpourpremieref Levraivisagedelens_actus Auborddugouffre_actus Article_cps_hwn14_040108232832_phot

Je tiens à rendre un trés vibrant hommage à l'un des plus grands footballeurs français de tous les temps: Jean-Pierre Papin. Notre JPP national est en train de vivre une trés sale période de sa vie et surtout de sa carrière d'entraîneur, avec la descente en Ligue 2 du club qu'il entraîne: le RC Lens. La faute à un recrutement qu'il n'a pas choisi (mais son prédécesseur: Guy Roux!) et au tuteur qu'on lui a honteusement imposé: Daniel Leclerc! Mais aussi au Président du RC Lens: Gervais Martel, qui est arrivé au bout de ce qu'il pouvait réaliser avec les sangs et or (si il était courageux...il devrait démissionner!)! JPP ne mérite pas cette humiliation! Sauvons l'honneur du soldat Papin!...

Jean-Pierre Renard


Le PSG a besoin de lui!

Philippe Lucas peut-il entraîner (ou être son nouveau préparateur physique et mental) le PSG? Moi, je dis oui! Et vous, qu'en pensez-vous? N'hésitez pas à donner votre avis... D'avance merci. Un sondage circule déjà, sur un site de supporters du club!...Un véritable sondage, avec un compteur à pourcentages, sera bientôt installé sur ce blog...

Jean-Pierre Renard

L'ancien entraîneur de la nageuse Laure Manaudou, Philippe Lucas, le 10 mai 2007 à Canet-en-Roussillon