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Le 3 mai 1809.

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Bataille et prise d'Ebelsberg.

Les autrichiens de Hiller prennent position près de la Traun en vue de ralentir la progression de la grande armée vers Vienne.

La cavalerie de Marulaz est envoyée déborder l'aile droite ennemie mais les dragons badois, censés être nos alliés, n'obéissent pas a l'ordre d'attaque et permettent ainsi a l'ennemi de se retirer sur Ebelsberg.

L'attaque générale est alors déclenchée par les trois ponts.

Au centre, le château est pris par Clapadère.

A droite, une colonne de sept-mille hommes progresse vers le pont mais elle est attaquée par trente-mille autrichiens. Nous repoussons trois attaques a la baïonnette mais l'ennemi est trop nombreux. Nous nous retirons.

A quatorze heures, les généraux Coehorn et Clapadère amorcent la contre-attaque.

Les brigades Ledru et Legrand retraversent la Traun et s'emparent, cette fois définitivement d'Ebelsberg.

Nous perdons trois-mille cinq cent hommes dans l'affaire.

Les ont sept-mille cinq cent pertes.


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Cette femme n’est pas une militante. C’est une marchande de haine, une machine de propagande qui cherche à semer le désordre et le chaos. Une prédatrice qui transforme un combat en cash. Son frère Adama Traoré n’était pas un modèle. Il avait un lourd passif judiciaire, accusé de violences, et même d’avoir fait subir des viols à un codétenu sous la menace d’une fourchette. Et pourtant, on veut faire de lui une icône. Pourquoi ? Parce que sa sœur a flairé le filon. Elle a pris une tragédie, et elle l’a transformée en business.

Assa Traoré ne lutte pas pour la cause. Elle lutte pour les retombées. À chaque apparition, chaque intervention, elle est grassement rémunérée. C’est une machine à fric. Une marque bien huilée. T-shirts, conférences, interviews, collectes de fonds, hashtags… Elle a fait de cette histoire une marque. Une marque qui rapporte. Chaque marche blanche, chaque post, chaque slogan contre la police, c’est une pièce qui tombe dans la tirelire.

Comme d’autres, c’est un agent du chaos. Elle sème la haine de la police, elle encourage le ressentiment dans les banlieues, elle attise les tensions raciales. Elle prend la douleur de certains jeunes, leur mal-être, leur colère et elle les utilise comme carburant pour sa propre notoriété. Elle ne les élève pas, elle les enfonce dans une vision victimaire, les détourne de toute construction, les monte contre les institutions.

Mais ce qu’elle fait n’a rien d’un combat noble. Ce qu’elle fait, c’est du business sur fond de haine. C’est une exploitation méthodique des émotions et de la souffrance. Une instrumentalisation des quartiers. Une stratégie de marketing fondée sur le chaos.

Et pendant ce temps, les vraies victimes sont oubliées. Celles qui n’ont pas de projecteurs, celles qui n’inventent pas de récits, celles qui subissent en silence. Pendant ce temps, les policiers sont traités comme des bourreaux, alors qu’ils risquent leur vie chaque jour pour protéger la population.

Je soutiens totalement la police, car derrière chaque uniforme il y a avant tout un homme ou une femme, dévoué pour assurer la sécurité des Français au péril de sa vie. Les vrais héros, ce sont ceux qui portent l’uniforme, pas ceux qui hurlent pour manipuler la rue. Les vrais résistants, ce sont ceux qui croient en la justice, pas ceux qui la travestissent pour en faire une rente.

Ce système fonctionne comme une mafia. Une mafia sur fond victimaire. Une entreprise politique, idéologique et financière qui vit de la haine, prospère sur le mensonge, et détruit tout ce qu’elle touche, la confiance, la paix, l’unité nationale. Mais nous sommes de plus en plus nombreux, issus de l’immigration, à défendre les valeurs de notre pays. À affirmer haut et fort notre attachement à la France, à sa police, à sa laïcité, à ses valeurs et ses lois. Nous refusons de rester silencieux pendant que des opportunistes jettent de l’huile sur le feu pour servir leurs propres intérêts. Nous ne laisserons pas ceux qui sèment le désordre et le chaos gagner. Leur business n’est pas notre combat. Leur haine n’est pas notre identité. La France mérite mieux. Et nous serons là pour le rappeler, pour la défendre, pour la reconstruire.

Je suis pour la France, je suis pour la Police, je suis pour les vraies victimes et je suis pour la justice ! 

Henda Ayari


 « Nous sommes des nationaux ! » 

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« La France reprend sa place dans le monde, la place qu'elle a eue aux meilleures époques de son histoire. Peu à peu, la sympathie du monde glisse vers elle. Son redressement est long à venir ? Mais sa décadence a été beaucoup plus longue encore !

AP. — Ne craignez-vous pas qu'on nous taxe de nationalisme ?

GdG. — Les nationalistes sont ceux qui se servent de leur nation au détriment des autres, les nationaux sont ceux qui servent leur nation en respectant les autres. Nous sommes des nationaux. Il est naturel que les peuples soient nationaux ! Tous les peuples le sont ! C'est la mission de la France que de soutenir les nationaux de tous les pays ! Il n'y a pas d'équilibre, pas de justice dans le monde, si les nations n'y sont pas indépendantes ! Il n'y a pas de justice dans le monde, sans une forte nation française qui soit un encouragement pour les autres nations ! » 

Il reprend : « C'est en servant sa patrie qu'on sert le mieux l'univers ; les plus grandes figures du Panthéon universel ont d'abord été de grandes figures de leur pays. » 

Sur l'essentiel, c'est-à-dire sur la France, de Gaulle ne transige jamais. Dans les questions secondaires, il lui arrive d'être accommodant, de ruser. Dans les grandes affaires, il préfère renoncer, et même collectionner les échecs provisoires, plutôt que de se renier. Il m'a cité Pascal à Port-Royal : « Plutôt mourir que de signer le formulaire. » 

Sa stratégie répond comme infailliblement à cette intuition : la mission de la France, qui l'a toujours rassemblé lui-même, comme elle a rassemblé ceux qui l'ont suivi. Elle lui a permis de surmonter ses contradictions, comme aux gaullistes de surmonter leurs querelles. »

C'était de Gaulle, Alain Peyrefitte, tome 2.


Le 1 er MAI  DU R.P.F . 

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Le Président du rassemblement du peuple français, Le Général De Gaulle prononce un discours, la foule lors de la grande manifestation organisée par le RPF. au Bois de Boulogne le 1er mai 1951. Grand-père Louis Renard, (qui fut aussi Conseiller municipal gaulliste d'opposition à Pierrefitte Sur Seine, sous le Général de Gaulle) y était aussi !

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 


Bonjour très chers ami(e)s,

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Aperçu de l’imagePeut être une image de 1 personne et le Mur des LamentationsPeut être une illustration de texte qui dit ’acAweR Brel chanie mU - Brachen 163 R53&755 R55 Au Tire- Tire-Bouchon, les légendes prennent racine. En 1953, Jacques Brela commencé son parcours artistique dans ce cabaret emblématique, côtoyant des talents tels que Charles Aznavour et Georges Brassens. C'est ici, dans l'ambiance chaleureuse de notre établissement, que ces grands artistes ont façonné l'histoire de la chanson française.’Peut être une image de 9 personnes et Sacré-CœurAucune description de photo disponible.Peut être une image de 2 personnes et Sacré-CœurPeut être une image de 2 personnes et monumentPeut être une image de 1 personne

D'abord, j'espère que vous allez tous bien ?

Ensuite, je vous souhaite à tous, un très bon 1er mai 2025.

Pour rappel historique:

462 ans de date à date, 1er mai 1561 :

Le Roi de  France Charles IX offre des brins de muguet à la Cour en leur disant « qu’il en soit ainsi chaque année », plus de quatre cents ans plus tard la tradition perdure !

L’idée vient d’une visite dans la Drôme que Charles IX a fait à sa mère, Catherine de Médicis, l’année précédente.

En 1560, le chevalier Louis de Girard de Maisonforte remet au roi brin de muguet, venant dans son jardin de Saint-Paul-Trois-Châteaux.

La tradition est lancée au sein de la Cour le 1er mai 1561 par Charles IX en personne, elle perdure jusqu’au XIXe siècle.

Pendant quelques décennies (1890-1907) on s’offre le 1er mai une églantine rouge, symbole de la journée internationale des travailleurs.

Le 1er mai devient en effet la journée des travailleurs, sur proposition de la IIe Internationale socialiste réunit le 20 juillet 1889.

L’internationale est alors réunie à Paris au titre du centenaire de la Révolution française et de l’exposition universelle.

La décision de faire du 1er mai une journée consacrée aux travailleurs, est prise sur proposition de Raymond Lavigne.

L’expression « Fête du travail » est inventée par Jules Guesde le 1er mai 1890, première « Fête du travail » de l’Histoire.

L’objectif de cette journée est de militer pour la réduction du temps de travail : 8h par jour, soit 48h par semaine (le dimanche seul étant chômé).

Le 1er mai est chômé depuis le 23 avril 1919, date où le Sénat ratifie la journée de 8h.

Pour l’anecdote, le 1er mai devient une journée chômé et payé sous le Régime de Vichy.

Le 24 avril 1941, le maréchal Pétain instaure en effet le 1er mai comme « la fête du Travail et de la Concorde sociale ».

Ceci sur proposition de René Belin, ancien dirigeant de l’aile anticommuniste de la CGT, devenu secrétaire d’État au travail dans le gouvernement Darlan.

Hier, après avoir emmené mon épouse chez le coiffeur à Montreuil. Je lui offert un petit pot de muguet. 

Puis, j'ai effectué une démarche très romantique: j'ai acheté un petit cadenas dans une quincaillerie à Montreuil. Puis, mon épouse: Madame Nawal Bouakra-Renard dite Nawel Boo  sur le réseau social Facebook, nous sommes allés le poser sur la grille en face la Basilique du Sacré-Cœur à Montmartre à Paris. Avec écrit nos deux prénoms dessus. On a gardé les clefs 🔑. 

Puis, nous avons effectué un petit à pieds, autour de la place du Tertre. On a notamment fait un Selfie 🤳 devant le buste de Dalidida (une de mes chanteuses préférées). À l'endroit où elle a vécue et où elle est morte. 

Pour finir la journée au domicile conjugal de Neuilly-Plaisance, autour d'une coupe de Champagne. Après quelques jours assez orageux et encore très mouvementés...

Que Dieu vous garde tous. Quel que soit votre religion ! 

Bien cordialement,

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Représentant du Lys Royal de France en Seine-Saint-Denis