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Cette femme n’est pas une militante. C’est une marchande de haine, une machine de propagande qui cherche à semer le désordre et le chaos. Une prédatrice qui transforme un combat en cash. Son frère Adama Traoré n’était pas un modèle. Il avait un lourd passif judiciaire, accusé de violences, et même d’avoir fait subir des viols à un codétenu sous la menace d’une fourchette. Et pourtant, on veut faire de lui une icône. Pourquoi ? Parce que sa sœur a flairé le filon. Elle a pris une tragédie, et elle l’a transformée en business.

Assa Traoré ne lutte pas pour la cause. Elle lutte pour les retombées. À chaque apparition, chaque intervention, elle est grassement rémunérée. C’est une machine à fric. Une marque bien huilée. T-shirts, conférences, interviews, collectes de fonds, hashtags… Elle a fait de cette histoire une marque. Une marque qui rapporte. Chaque marche blanche, chaque post, chaque slogan contre la police, c’est une pièce qui tombe dans la tirelire.

Comme d’autres, c’est un agent du chaos. Elle sème la haine de la police, elle encourage le ressentiment dans les banlieues, elle attise les tensions raciales. Elle prend la douleur de certains jeunes, leur mal-être, leur colère et elle les utilise comme carburant pour sa propre notoriété. Elle ne les élève pas, elle les enfonce dans une vision victimaire, les détourne de toute construction, les monte contre les institutions.

Mais ce qu’elle fait n’a rien d’un combat noble. Ce qu’elle fait, c’est du business sur fond de haine. C’est une exploitation méthodique des émotions et de la souffrance. Une instrumentalisation des quartiers. Une stratégie de marketing fondée sur le chaos.

Et pendant ce temps, les vraies victimes sont oubliées. Celles qui n’ont pas de projecteurs, celles qui n’inventent pas de récits, celles qui subissent en silence. Pendant ce temps, les policiers sont traités comme des bourreaux, alors qu’ils risquent leur vie chaque jour pour protéger la population.

Je soutiens totalement la police, car derrière chaque uniforme il y a avant tout un homme ou une femme, dévoué pour assurer la sécurité des Français au péril de sa vie. Les vrais héros, ce sont ceux qui portent l’uniforme, pas ceux qui hurlent pour manipuler la rue. Les vrais résistants, ce sont ceux qui croient en la justice, pas ceux qui la travestissent pour en faire une rente.

Ce système fonctionne comme une mafia. Une mafia sur fond victimaire. Une entreprise politique, idéologique et financière qui vit de la haine, prospère sur le mensonge, et détruit tout ce qu’elle touche, la confiance, la paix, l’unité nationale. Mais nous sommes de plus en plus nombreux, issus de l’immigration, à défendre les valeurs de notre pays. À affirmer haut et fort notre attachement à la France, à sa police, à sa laïcité, à ses valeurs et ses lois. Nous refusons de rester silencieux pendant que des opportunistes jettent de l’huile sur le feu pour servir leurs propres intérêts. Nous ne laisserons pas ceux qui sèment le désordre et le chaos gagner. Leur business n’est pas notre combat. Leur haine n’est pas notre identité. La France mérite mieux. Et nous serons là pour le rappeler, pour la défendre, pour la reconstruire.

Je suis pour la France, je suis pour la Police, je suis pour les vraies victimes et je suis pour la justice ! 

Henda Ayari

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