J'ai cru entendre ça et là ce matin que l'armée serait appelée à la rescousse pour régler le problème covid !
Super trouvaille, ne trouvez vous pas ?
Après le général au secours de la cathédrale, maintenant le général au secours de la Macronie !
Bien sur certains trouverons l'idée géniale de se faire dorloter par de beaux paras en tenue de camouflage, façon réverbère (méthode FOMEC).
Au nom de nos grands principes Républicains, nous ne les utiliserons pas pour sortir la racaille de leurs cachettes, mais pour palier aux carences des hôpitaux que l'on a calmé avec une prime et une médaille, mais où les problèmes de fonds n'ont pas été réglés.
De qui se moque-t-on ?
Notre Vème République n'a connu qu'un seul grand militaire et nous le connaissons tous car il nous a sorti des griffes de l'occupant.
Dieu sait si les Mitterrand et autre gentils opposants démagos (ils existent encore aujourd'hui) l'ont affublé de tous les qualificatifs, jusqu'à émettre l'idée en 69 qu'il voulait instaurer une dictature !
Il n'y en eu qu'un comme lui car il a su dépasser largement ses galons pour se placer au service de la France et des français.
Tous, y compris ceux qui jadis le critiquaient s'en réfèrent aujourd'hui : pas un brin de honte, pourvu que l'on soit élu !
Un second de Gaulle, aujourd'hui je n'en connais pas, par contre je connais fort bien l'un de ses dignes héritiers, Henri Guaino qui pourrait être le seul à pouvoir faire renaitre l'esprit Gaullien, ses valeurs, afin de redonner à la France sa brillance disparue.
En conclusion, Avec cette Macronie là, plus ça va, moins ça va !
Vivement que tout cela se termine afin de retrouver le bon chemin.
Bavouzet Pierrick
Secrétaire général de Notre France
Une de mes chanteuses préférées !
Jean-Pierre Renard
Chaptal
"Eclipsé par Talleyrand et Fouché, Chaptal n’en fut pas moins l’un des grands ministres de Napoléon. Fils de paysan, paysan lui-même, comme il le proclame, il fut non seulement ministre, mais médecin, agriculteur, industriel, inventeur. Le 19 décembre 1793 il est nommé professeur de chimie à l’Ecole polytechnique. La République a besoin de savants. Il est élu à l’Institut, section de chimie, et crée une fabrique de produits chimiques aux Ternes. Grâce à la protection de Cambacérès, il entre au Conseil d’Etat créé par la Constitution de l’an VIII. Il y est chargé du rapport sur l’Instruction publique. A peine l’a-t-il terminé qu’il devient ministre de l’Intérieur, en remplacement de Lucien Bonaparte, le 21 janvier 1801. Il écrira : « Après dix ans d’anarchie qui venaient de dévorer la France, il n’existait presque plus d’organisation sociale. Il fallait imposer d’autres lois, il fallait relever le commerce et ranimer l’industrie, il fallait rétablir une éducation publique. Pénétré de ces idées, je m’efforçai de satisfaire à tout. ». Il a sous ses ordres les préfets. Ses compétences vont au plan de réorganisation administrative de la France. Il organise l’exposition de 1802 dont le succès est prodigieux. Napoléon ne se passe plus de lui. Belle lettre empreinte de modestie d’un ministre qui venait de lancer la statistique des préfets, le cadastre, l’amélioration des races bovines et ovines, la réorganisation des hôpitaux à travers le conseil général des hospices, la nouvelle réglementation de l’exercice de la médecine. Un bilan imposant. Nommé au Sénat en 1802. Mais ce qui l’occupe c’est la rédaction de son grand livre, De l’industire française, paru en 1819. C’est une étude très fouillée, ne séparant jamais l’industrie du commerce et de l’agriculture qui nous est proposée, riche en tableaux et en statistiques, le livre bilan de la période écoulée et l’ouverture au grand capitalisme. Il a contribué, sans servilité, au rétablissement de l’économie sous Bonaparte. Il fut le Sully du Consulat".
(Jean Tulard)
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