30 novembre 2020
Il y a un truc avec les catholiques…
30 personnes dans une chapelle ou une cathédrale, d’où ça vient ? Un obscur fonctionnaire aurait transmis une note incomplète avec un 30 mal interprété, qui était en fait 30 % de la jauge maximale de l’édifice. Si tel est le cas, c’est pitoyable, mais ça peut arriver, on corrige sans que les évêques aient besoin de saisir le conseil d’État, l’erreur est humaine. Si tel n’est pas le cas, cela relève de la brimade injustifiée et ce n’est plus pitoyable, c’est honteux. Et des policiers de verbaliser un camion amené pour une messe, sur le parvis de la cathédrale de Bordeaux. De qui se moque-t-on, alors que des dizaines de prières musulmanes collectives, sauvages, n’ont jamais été verbalisées de la sorte, mais encadrées et sécurisées, par les forces de l’ordre, ou le personnel de la mairie de Paris, rue Myrha, ou de Tanger. Il a même fallu, à Clichy, que quelques élus courageux, aillent chanter la Marseillaise, pour que cesse le prosélytisme sur la voie publique. Que reproche-t-on aux catholiques ? L’égorgement d’un père Hamel d’une autre religion ? Des attentats aux cris de Jésus est grand ? En agissant de la sorte, l’État n’est plus, ni régalien, ni républicain, il est oppresseur et militant, choisit de se renier dans sa culture et son histoire.
Pierre Duriot
Le Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français