Eurosport - jeu, 21 mai 10:05:00 2009
Tout en reconnaissant que la finalisation de son transfert au PSG pourrait intervenir la semaine prochaine, Antoine Kombouaré reste concentré sur ses objectifs avec Valenciennes. L'entraîneur insiste sur son intégrité et le répète : il veut "taper le PSG" samedi à Nungesser pour assurer le maintien.
ANTOINE KOMBOUARE, entraînerez-vous le Paris SG la saison prochaine ?
A.K. : Pas de commentaire. La seule chose que je puisse dire c'est qu'il y a des pourparlers entre les deux clubs. Avec moi aussi. On a décidé de finaliser, si cela doit se faire, la semaine prochaine. Je suis toujours à Valenciennes.
Les négociations ne polluent-elles pas l'approche du match et laissent-elles pas planer des interrogations ?
A.K. : Je ne cache pas que c'est embêtant pour nous, pour mes joueurs. Mais je pense que c'est aussi le cas du PSG. Pour preuve, on a vu les résultats du PSG ces derniers temps. Ce n'est pas une excuse. Ce n'est pas ce qu'on aime le plus. Mais ça fait partie de notre métier. Les joueurs doivent être parés à cela mais surtout doivent rester concentrés sur le travail et aller chercher les points du maintien. Que les gens se posent des questions, que les gens commentent. je n'ai rien à redire. Ce qui est important, c'est que les gens connaissent mon intégrité, mon honnêteté. Moi je ne me pose pas la question. Je n'ai qu'une idée en tête, c'est de taper le PSG. Il n'y a pas plus grand plaisir pour moi que de finir la saison avec les points du maintien à domicile pour remercier le public. Si on a pu faire le parcours que nous avons fait, c'est en grand partie grâce à nos supporteurs. Le meilleur cadeau, c'est de finir sur une très bonne note.
La rencontre avec Paul Le Guen ne sera-t-elle pas bizarre ?
A.K. : C'est un très bon copain. Mais ce qui nous intéresse lui et moi, c'est le terrain. De gagner. Il va venir ici avec l'objectif de prendre les trois points de la victoire car son objectif à lui est d'amener le PSG le plus haut possible. Moi j'aimerais qu'on ait les points du maintien et pourquoi pas grappiller des places.
Sources et article: AFP et Yahoo France Sport
PSG : Kezman: "De l'espoir pour la saison prochaine" | |
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Interrogé par le site officiel du club de la capitale, l'attaquant serbe Mateja Kezman a évoqué de nombreux sujets, comme la fin de saison, sa situation personnelle ou encore la probable arrivée d'Antoine Kombouaré. |
Rendez-vous, pour le grand meeting national de fin de campagne à la Porte de Versailles (hall 6), le jeudi 4 Juin 2009 à 17h...
CHAPELET DE SAINTE JEANNE D’ARC (par Sylvie PERVES)
1er Mystère : Saint Michel annonce à Jeanne qu’elle doit sauver le Royaume de France.
Fruit du Mystère : faire la Volonté de Dieu.
2ème Mystère : A Chinon, Jeanne révèle au Dauphin qu’il est le fils du Roi et qu’il sera sacré à Reims.
Fruit du Mystère : que la France retrouve le chemin des sacrements ; prions pour la résurrection de la France.
3ème Mystère : Jeanne délivre la ville d’Orléans assiégée et fait sacrer Charles VII à Reims.
Fruit du Mystère : avoir le courage et l’audace d’affirmer sa foi.
4ème Mystère : Jeanne est fait prisonnière à Compiègne, livrée aux Anglais et abandonnée de tous.
Fruit du Mystère : prier sans cesse lors des difficultés.
5ème Mystère : Jeanne est condamnée à être brûlée vive à Rouen.
Fruit du Mystère : servir Dieu et Le glorifier.
Sur la Croix : Credo. Pater.
Sur les 3 grains dire : Je vous salue Sainte Jeanne d’Arc, Jésus et Marie sont avec vous, vous êtes bénie entre toutes les filles du monde et votre Conseil est béni.
Sainte Jeanne d’Arc, Patronne et Gardienne de la Patrie, que, par votre incessante prière, notre pays redevienne chrétien et qu’il retrouve son unité. Ainsi soit-il.
° Gloria
Sur les gros grains : Pater
Sur les petits grains : Sainte Jeanne d’Arc,
priez pour nous, pour la France, pour l’Europe et pour le monde.
° Gloria
Finir avec cette prière :
° Dieu qui avez miraculeusement suscité Jeanne d’Arc pour défendre la Foi et la Patrie, accordez-nous par son intercession, de savoir choisir, pour nous gouverner et nous guider, des hommes sages et justes qui assureront à votre peuple, par le respect de vos saintes lois, la tranquillité, l’ordre et la liberté de votre Eglise.
° Sainte Jeanne d’Arc, priez pour nous.
Fête Jeanne d'Arc Samedi 23 mai et Dimanche 24 mai 2009
Un siècle de fêtes Jeanne d'Arc.
Programme :
Samedi 23 mai 09 :
- dès 9 heures Marché médiéval installé dans le parc de Songeons et autour de la tour Beauregard. Des échoppes proposeront objets en bois ou en cuir, bijoux, poteries, spécialités gastronomiques, jeux et cadeaux, compositions florales...
- Dans le parc, un campement médiéval composé d¹une vingtaine de tentes sera installé. Des animaux et des machines de guerre y seront présentés et des démonstrations permettront de se plonger dans la vie quotidienne au moyen-âge.
- Des ateliers pédagogiques seront également au programme ainsi que des musiciens écossais et deux troupes de troubadours.
- Des animations équestres seront proposées par les trente-cinq cavaliers de la troupe ³les Ercui Liens².
- Un échiquier géant, du tir à l¹arc et du tir à l¹arbalète complèteront ces animations.
- à 21h15 : Un spectacle médiéval équestre sera donné dans le parc de Songeons par la compagnie ³Cheval et Spectacle² de Marc Devallois.
- à 22h30 : Jeanne fera son entrée entourée de ses hommes d¹armes, incarnés cette année par les jeunes de L¹Epide. Ces derniers mettront en place dans le parc une exposition sur les 100 ans d¹histoire de la Fête de Jeanne d¹Arc.
- à 23 heures : Jeanne et le cortège aux flambeaux ainsi formé partiront en direction de l¹hôtel de ville.
Communiqué de Michel Darmon
Mardi 19 mai 2009 - Les amis d’Israël ont pu apprécier le souci du pape Benoît XVI, dès son arrivée en Israël, « d’honorer la mémoire de six millions de Juifs victimes de la Shoah ». C’était le moins qu’ils espéraient entendre à ce sujet. Mais le pape est plusieurs fois sorti de son rôle de pèlerin pour aborder le terrain politique d’une façon que nombre de chrétiens, de juifs, de laïques et même de musulmans, ne peuvent absolument pas partager, dans leur volonté de vérité et de justice pour Israël et pour tout le Proche-Orient. Le pape a condamné l’antisémitisme, mais pas les despotes – nombreux dans le monde arabo-musulman – qui le professent et l’enseignent à leurs enfants, notamment au sein de la population palestinienne. Et, étrangement, il a gardé le silence sur la persécution des chrétiens dans ce monde arabo-musulman, persécution pourtant systématique à Bethléem comme ailleurs. Le pape a souhaité que « s’arrête le cycle des agressions », ce qui suggère une symétrie qui n’existe pas entre les Israéliens et les autoproclamés Palestiniens. Israël ne pratique pas le terrorisme, tandis que ces Palestiniens y recourent et, de surcroît, se font gloire de leurs exploits criminels. Les inviter seulement à « résister à la tentation du terrorisme », c’est jeter un voile là où la morale des nations civilisées appelle une condamnation. Le pape a stigmatisé le mur de protection, qu’Israël a dû construire pour protéger ses citoyens des assassins venus de l’autre côté. Il a bien dit, trop discrètement, que les « hostilités sont à l’origine de ce mur », mais il n’est resté de son message qu’un contenu accablant Israël, coupable d’un mur qu’il « est tragique de voir construire ». S’adressant aux Palestiniens, le Pape a évoqué « une patrie palestinienne souveraine sur la terre de vos ancêtres ». C’est donner au nationalisme palestinien une consistance historique qu’il n’a pas. Une personnalité chrétienne, le professeur Ellul, a eu l’occasion d’écrire que la fabrication du problème palestinien à partir de rien était l’exemple du mal absolu dont la politique était capable au XXe siècle. De cette politique mortifère, la population palestinienne est la première victime et le premier instrument contre Israël, pour nombre d’États aux visées inavouables (et mêmes avouées dans le cas de l’Iran). Le pape semble méconnaître que le conflit israélo-arabe et la poussée islamique dépassent largement le problème palestinien. Il y avait donc matière, pour le pape, à prendre ses distances avec le discours des politiques et les mensonges des médias. Le soutien sans réserve qu’il a apporté à un hypothétique État palestinien apparaîtra dans l’histoire, c’est à craindre, comme une contribution au malheur des hommes et non comme une avancée vers la paix. Il est en effet impossible de traiter d’un tel État comme s’il s’agissait de créer une petite Suisse paisible à côté d’Israël. Les inflexions que le pape a tenu à apporter à certaines de ses déclarations antérieures en quittant Israël n’ont pas pu apaiser les inquiétudes, les interrogations et les regrets que ces déclarations avaient déclenchés. Un rattrapage ne remplace pas une spontanéité authentique. Les condamnations répétées de l’État juif et du sionisme sur la scène mondiale s’inscrivent tragiquement comme une suite de la persécution de l’homme juif au long des siècles. Aux silences coupables de la dernière guerre, durant le massacre des Juifs, succède, de notre temps, une participation active aux difficultés qui assaillent Israël. Les amis d’Israël auraient, au contraire, voulu entendre, du pape Benoît XVI, le cri des consciences, qui, seul, peut arrêter l’injustice.
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