|
|
Bon résultat de mon équipe de football préfèrée: le PSG, lors de la 25ème journée du championnat de France: nous avons fait (0 à 0) à Grenoble devant 18.445 personnes(dont 650 Supporters parisiens !) Au génénéral, nous restons 2ème...
Photos: site officiel du ciel du PSG
Apparu plutôt détendu en conférence de presse, l'entraîneur parisien oscillait entre deux sentiments à l'issue du nul de son équipe à Grenoble (0-0) : la déception de ne pas avoir affiché plus de continuité dans son jeu et la satisfaction de poursuivre la belle série d'invincibilité du PSG (cinq matches).
«Paul Le Guen, que retenez-vous de ce résultat ?
De la déception. On a plutôt bien débuté, on a eu quelques situations favorables mais on n'a pas réussi à maintenir un rythme suffisant pour bousculer Grenoble. C'était uniquement par à-coups, sans continuité. On a eu la maîtrise du match, mais sans pouvoir accélérer. Et finalement, en fin de match, les Grenoblois ont une ou deux possibilités qui nous ont inquiétés.
Comment l'expliquez-vous ?
Par le profil de l'équipe de Grenoble, qui ne s'ouvre pas beaucoup, qui défend très bien, qui n'offre pas beaucoup de possibilités à l'adversaire. Après, on a commis quelques fautes techniques préjudiciables. Mais je m'attendais un peu à ce genre de match. Et puis, on n'est pas les seuls à avoir eu ce genre de problème ici. On avait aussi le match aller dans les têtes (NDLR : défaite 1-0). On a eu peur de se faire contrer et on ne s'est pas livrés complètement.
Est-ce aussi en raison d'un problème physique ?
Il nous a manqué l'étincelle, le petit truc dans les 30 derniers mètres. C'est rageant car on avait l'ambition de gagner. La composition de l'équipe de départ, les changements (NDLR : Luyindula a remplacé Clément à la 71e minute) le montrent.
Lyon, Marseille et Bordeaux sont venus s'imposer ici, pas vous. Vous le regrettez forcément ?
Ils sont plus forts que nous, ils ont des effectifs plus forts que le nôtre mais on essaie de se débrouiller quand même ! L'essentiel, c'est de garder notre ligne de conduite et notre ambition, de vouloir rester en haut. Il faut parfois se contenter de prendre un point comme ce soir, sans aller jusqu'au déséquilibre.
Au classement, les Lyonnais sont désormais à 6 points. C'est encore possible d'aller les chercher ?
Franchement, les Lyonnais sont au-dessus. (il répète) Ils sont au-dessus, je le dis depuis le début de la saison. Ils sont favoris pour le titre, ce n'est pas ce soir qu'on changera d'avis. Le fait d'être à 4 points d'eux avant le match, à 6 points après, ce n'est pas une catastrophe. Evidemment, j'ai un oeil sur Lyon car j'y ai passé du bon temps mais très honnêtement, j'ai été plus attentif aux résultats de Toulouse et des équipes à la lutte avec nous. L'OL a un effectif plus puissant que le nôtre.
La réception de Nancy, le week-end prochain, doit confirmer cette bonne passe pour le PSG.
On va d'abord penser au déplacement à Wolfsburg qui a battu cet après-midi le leader (NDLR : de la Bundesliga, Hertha Berlin, 2-1). On joue jeudi soir, puis dimanche après-midi contre Nancy. Un programme copieux nous attend. Il faudra vraiment compter sur l'ensemble de l'effectif. Il va falloir répondre. On a envie de se qualifier en Coupe d'Europe, en Coupe de France. Mais il ne faut pas s'en plaindre. C'est bien de jouer souvent, c'est plutôt bon signe.»
Source: l'Equipe.fr
Absent à Nantes (4-1), puis remplaçant contre Saint-Etienne (2-1) en raison d'une blessure à un genou, Guillaume Hoarau a retrouvé les terrains et le chemin des filets contre Wolfsburg (2-0), mercredi en seizièmes de finale aller de la Coupe de l'UEFA. Depuis son arrivée à Paris cet été, l'ancien Havrais tourne à plein régime (13 buts en Championnat). Il est l'un des symboles d'un Paris-SG ambitieux et modeste à la fois. Malgré la deuxième place de son équipe à quatre points de Lyon, il assure que son club «ne se prend pas pour quelqu'un d'autre». Il reconnaît malgré tout la possibilité d'un «jackpot» en fin de saison. C'est ce qu'il a confié à ''Match après match'', sur L'Equipe TV.
«Guillaume Hoarau, vous avez inscrit contre Wolfsburg (2-0), vos deux premiers buts sur la scène européenne. Ça fait quoi?
Ça fait plaisir. Déjà parce que l'équipe a gagné. Ensuite parce que ça faisait un petit moment que je n'avais plus joué. Deux buts c'est... On aurait pu encore en mettre plus.
Cette exigence, c'est ce qui vous caractérise ?
Oui, c'est vraiment l'exigence du métier. Ça n'a rien à voir avec de l'arrogance. Depuis que j'ai commencé à jouer, je sais qu'au haut niveau, les moindres petites erreurs se paient cash. J'aurais voulu en mettre encore plus, mais ça sera pour la prochaine.
En général, on demande aux grands buteurs quel objectif ils se sont fixé en terme de buts. En avez-vous un ?
Non, je procède comme l'année dernière. Je n'avais pas calculé et j'avais pris les matches les uns après les autres. Cette saison, c'est pareil. Que j'en marque encore 3 ou 4 ou que je m'arrête là, j'aurais encore beaucoup de choses à travailler pour l'année prochaine. Si j'étais le plus fort, ça se saurait. Il faut bosser au quotidien car on en apprend tous les jours. Ça n'empêche pas non plus d'être ambitieux. Les objectifs, plus je vais avancer, plus je vais en avoir.
A vos côtés, en attaque, vous préférez jouer avec Ludovic Giuly ou Peguy Luyindula ?
Sammy (Traoré) !
Il fait des gestes de Brésilien parfois.
Non, mais Sammy, c'est notre secret, je n'ai pas le droit de le dire! Maintenant, concernant Peguy et Ludo, c'est différent. Ludo, c'est quelqu'un qui aime beaucoup la profondeur, c'est sa force première. Par rapport à ça, on s'adapte, on sait quoi faire. Avec Peguy, on aime venir au ballon tous les deux. Il faut un peu plus de communication, mais à chaque fois qu'on a joué ensemble, il n'y a eu aucun problème. Ce sont deux joueurs différents et que ce soit moi qui joue avec l'un ou l'autre ou que les deux jouent ensemble ou avec moi pour l'instant ça se passe super bien. Il n'y a pas à choisir. C'est au coach de le faire.
En Championnat tout semble aller pour le mieux pour le PSG (deuxième à 4 points de Lyon). Votre ami, Stéphane Sessegnon dit que vous êtes en mesure de jouer le titre. Et vous?
Non mais lui, il est fou. Il ne faut pas l'écouter! Le titre, c'est ...
... Trop ?
Non, disons que Paris veut exister dans ce Championnat . On a prouvé qu'on méritait d'être là où on est aujourd'hui. Ça peut surprendre, mais nous, on est sûr de nos forces. A partir de là, tant qu'on ne se prendra pas pour des autres, ça ira. Maintenant, c'est vrai qu'en étant deuxième du Championnat, on se doit d'être ambitieux. On va essayer d'aller le plus loin possible, continuer à mettre la pression sur Lyon et aussi garder cette place là parce qu'à l'arrivée, ça pourrait être "jackpot."
Et ça permettrait à Stéphane Sessegnon d'arrêter de passer pour un fou quand il parle du titre....
Oui, mais à un moment donné, on peut plus rien faire. Il a 24 ans, hors taxe, c'est trop tard !
C'est vous qui dites qu'il est fou, pas nous!
Oui il est fou, et je le dis parce que c'est vrai !»
Groupe facebook de soutien aux réformes de Valérie Pécresse
Chère Amie, Cher Ami,
La situation actuelle du pays n'est pas bonne, et les derniers événements ne vont pas calmer les angoisses de nos concitoyens. En effet, l'accélération des effets de la crise, comme les divers mouvements de grogne sociale, contribuent à une atmosphère des plus maussades, comme nous pouvons tous le constater.
Il y a plusieurs façons d'aborder cette période, ses conséquences et les moyens à mettre en oeuvre pour la sortie attendue.
L'une d'entre elles est de se décaler par rapport à l'actualité immédiate, et tenter d'analyser les conditions qui sont nécessaires pour que le politique joue un rôle déterminant dans cet environnement.
C'est l'approche que nous avons choisie, et qui constituera l'axe de notre prochain Colloque, sous le titre :
"L'OPTIMISME EN POLITIQUE, OU LA POLITIQUE DE L'OPTIMISME?"
Ce Colloque, qui promet d'être des plus passionnants, du fait de la qualité des participants, aura lieu:
Le MERCREDI 4 MARS 2009 de 18h30 à 21h, dans la salle Colbert de l'Assemblée Nationale
(Entrée par le 126 rue de l'Université 75007 Paris, papiers d'identité indispensables).
Portes ouvertes à 18h, début du Colloque à 18h30 précises.
Ce Colloque sera introduit par :
- Jean-François COPÉ, Président du Groupe UMP à l'Assemblée Nationale.
Y participeront, également :
- Patrick BERTRAND, Président de l'Association Française des Editeurs de Logiciels.
- Alain JUPPÉ, Ancien Premier Ministre et Maire de Bordeaux.
- Alain-Gérard SLAMA, philosophe, écrivain, chroniqueur au Figaro,
D'autres intervenants seront également présents, dont la liste vous sera communiquée ultérieurement.
Merci de retenir dès maintenant cette date sur vos agendas, et de vous inscrire au plus vite sur notre adresse : [email protected]
Aussi, nous comptons sur VOTRE PRÉSENCE et sur VOTRE DIFFUSION de cette information à tous vos contacts.
Bien cordialement.
Herbert AXELRAD
Secrétaire Général de Réforme et Modernité
PS : LES INSCRIPTIONS RECUES NE SERONT CONFIRMÉES QUE LA VEILLE DU COLLOQUE
Les commentaires récents