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Pour toi mon Amour

Je suis allé au marché aux oiseaux
Et j'ai acheté des oiseaux
Pour toi
mon amour

Je suis allé au marché aux fleurs
Et j'ai acheté des fleurs
Pour toi
mon amour
Je suis allé au marché à la ferraille
Et j'ai acheté des chaînes
De lourdes chaînes
Pour toi
mon amour
Et puis je suis allé au marché aux esclaves
Et je t'ai cherchée
Mais je ne t'ai pas trouvée
mon amour

Jacques Prevert


"Pardon à Guilad Shalit"

 

Quelques jours avant Yom Kippour, dont le sens réside dans la notion de pardon, des milliers d’israéliens ont participé, lundi soir, à un rassemblement organisé Place Rabin, à Tel Aviv, au cours duquel ils ont demandé «pardon à Guilad Shalit», le caporal de Tsahal enlevé en 2006, «au nom de l’Etat qui n’a pas encore réussi à le faire libérer».

Noam Shalit, le père du soldat détenu dans la bande de Gaza depuis huit cent trente quatre jours, a exprimé sa satisfaction face au nombre impressionnant de personnes qui ont répondu à l’appel des organisateurs de cette manifestation et déclaré : «Nous espérons que nos leaders nous regardent, et constatent ainsi l’importance du soutien populaire dont nous bénéficions».

 


Les chrétiens mettent le monde en garde !


Par Julien Bahloul pour Guysen International News

   I90_chretiens  Comme tous les ans, à la même époque,’ l’ambassade internationale chrétienne de Jérusalem’ organise un voyage de soutien à Israël.
Après la marche dans les rues de la capitale qui a rassemblé, mercredi 15 octobre, des milliers de chrétiens amis d’Israël à l'occasion de la fête juive de Soukot, et de la tradition chrétienne des 'Tabernacles', les organisateurs ont tenu ce jeudi conférence au Palais des Congrès. Leur but : convaincre le monde de poursuivre en justice le président iranien pour incitation au génocide. Parmi les personalités présentes, le révérend Reza Safa, un iranien converti au christianisme qui s’est réfugié, depuis, aux Etats-Unis. Détails.

Dans la salle de conférence, un étendard sur lequel est écrit « International Christian Embassy Jerusalem » accompagne les drapeaux d’Israël.

L’organisateur principal prend la parole à la tribune et affirme : « nous sommes venus, cette année encore, en masse, de 90 pays différents. Nous sommes venus dire que nous aimons Israël et l’important est que nous soyons venus avec nos enfants, pour qu’ils apprennent notre message. »

« L’accueil sur place a été incroyable. Les gens nous applaudissaient sur notre passage et nous disaient ‘merci d’être ici !' »
« Nous voulons vous dire à quel point nous aimons Israël et nous le soutenons. C’est pourquoi nous irons dimanche 19 octobre faire une visite de solidarité à Sderot et c’est aussi au nom de cet amour que nous nous battons pour la libération de Guilad Shalit ».

Répondant à une question posée par Guysen, le responsable de l’association explique que « Israël doit garder la souveraineté sur Jérusalem. Il n’y a pas à discuter là-dessus. »
Concernant les villes israéliennes de Judée-Samarie, il ne prend pas position : « Israël est une démocratie, pas une théocratie. Nous soutenons les décisions prises par ses dirigeants ».

Les orateurs abordent ensuite le principal sujet : l’Iran.
« Tous les Chrétiens doivent se sentir concernés par ce problème. Nous sommes tous concernés par la survie d’Israël. D’un côté se trouve un président qui est déterminé à vouloir détruire Israël. Face à lui, des millions de Chrétiens qui soutiennent l’Etat juif. C’est l’occasion de nous organiser à l’échelle mondiale. »

« Nous avons déjà lancé une pétition pour traduire Mahmoud Ahmadinedjad en prison. 55 000 personnes à travers le monde l’ont déjà signé. Le mois dernier, avec le soutien du prix Nobel de la paix Elie Wiesel, nous avons organisé une manifestation à New-York lors de la venue du président iranien au siège de l’Onu. »
« Ce n’est pas un problème juif, c’est un problème judéo-chrétien ».

L’Iran, les juifs, les chrétiens, Israël, et les Etats-Unis, des thèmes bien connus du révérend Reza Safa, iranien converti au christianisme qui vit aujourd’hui aux Etats-Unis.

« Je suis né en Iran, je respectais les principes de l’Islam. Ensuite je suis allé en Amérique pour étudier. Entre temps, en 1979, la révolution islamique a eu lieu. Quand je suis revenu, j’ai compris que je devais repartir. Parce que le pays était très divisé » explique t-il à Guysen, à l’occasion d’une interview exclusive.

Et de poursuivre : « Alors en 1980 je suis allé en Suède. Après 6 mois de luttes, j’ai prié. Là, ma vie a changé. A présent je suis prêtre, reconnu dans une cinquantaine de pays. Malheureusement je ne peux pas retourner chez moi car ma tête a été mise à prix… »

Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense d’une éventuelle attaque israélienne sur les installations nucléaires iraniennes, il répond :
« Je pense que ce serait une erreur monumentale. Les israéliens doivent comprendre que la majorité des Iraniens détestent le régime en place. Si Israël attaque, l’Iran aura la légitimité de considérer Israël comme un pays ennemi. »

Selon le révérend Reza Safa, le monde ne connait, ni ne comprend, le système politique iranien. « Si les chefs religieux veulent qu’Ahmadinedjad soit le prochain président, alors il sera. Une réalité politique que le monde doit apprendre à comprendre. »

De même, Reza Safa insiste sur l’importance qu’Israël devrait accorder à la diffusion de ses idées et à la présentation à travers le monde de sa réalité.
« Le monde est en guerre idéologique, et nous sommes en train de la perdre. Les Islamistes font passer leurs idées et nous ne le faisons pas. »


Première réunion publique de notre association, du 16octobre 2008

 

Je tiens à remercier mon amie et la marraine de notre association: Madame Murielle Shor (Maire-adjointe UMP du XVIIème arrondissement de Paris et Membre du Consistoire) d'avoir fait "l'effort" d'assister à notre première réunion, jeudi dernier à Créteil. Merci aussi à Madame Nadine Chriqui. Absents excusés: Mesdames: Corinne Raoult; Gisèle Redon; Evelyne Nicol; Christelle Gaillard;Tamara Patrzynski et Swiatek. Messieurs: Eric Raoult; Françis Redon; Roger Karoutchi; Michel Swiatek; Claude Barouch Benoît Menard (merci à lui, pour son mail de soutien)  et Roland Patrzynski. Pour certaines autres personnes qui ont suivi les infâmes consignes de boycott de la première réunion publique de notre association, de quatres personnes, dont trois, ont malheureusement mélanger la politique et la cause humanitaire que nous défendons avec notre compatriote: Guilad Shalit ! Honte à eux !  C'est répugnant ! Israël, la Communauté Juive et la famille de Guilad Shalit apprécieront !  Ce n'est pas pour cet affront, que j'arrêterai mon combat pour: Guilad, Israël ainsi que pour tous les français retenus en otage ou prisonniers, dans le monde ! J'ai plus que jamais besoin de vous tous et toutes...! Je n'oublierai jamais mes larmes et ma pire humiliation ! Tout ce qui ne tue pas rends plus fort ! Pour finir, je tiens aussi à remercier le patron du restaurant: Le Tutti-Quanti, Monsieur Rudy Ghozlan, pour son merveilleux accueil. J'ai demandé au Président de l'ADELMAD: Monsieur Eric Raoult de mettre un livre d'or à l'entrée de sa Mairie du Raincy ainsi qu'à Madame Murielle Shor, dans sa Mairie du XVIIème arrondissement de Paris, pour Guilad Shalit...

Jean-Pierre Renard

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Bonjour Jean-Pierre
 
J'espère que vous allez un peu mieux aujourd'hui, de mon côté, je peux vous dire que même si hier celà ne se voyait pas trop j'étais très déçue voir même en colère contre le comportement de ceux qui ne sont pas venus hier.
 
Je n'ai pas voulu montrer ma colère ni ma déception pour ne pas vous ennuyer encore plus.
 
En tous les cas, je vous remercie encore d'avoir pris la peine de me raccompagner jusque chez moi.
 
Cordialement
 
Nadine
 


Les obsèques de Guillaume Depardieu:

L'actrice Julie Depardieu, soeur de Guillaume, et leur mère Elisabeth lors des obsèques le 17 octobre 2008 à Bougival, en région parisienne

"J'ai souffert souvent, j'me suis trompé parfois mais j'ai aimé: c'est moi qui ai vécu". La chanson qu'il venait juste d'enregistrer a résonné comme une épitaphe pour Guillaume Depardieu vendredi, dans l'église de Bougival où son clan et le monde du spectacle se pressaient pour un ultime adieu

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Elisabeth Depardieu prend ensuite la parole pour parler d'un "enfant, puis d'un homme, dont on se demandait tout le temps s'il rentrerait le soir".

"Il rassurait tout le monde, sauf lui", ajoute-t-elle, avant que la voix de Guillaume ne retentisse, comme un manifeste en musique: "Je fais ce que je veux de mon corps car je ne dispose pas de mon sort".

Derrière les notes, défilent des photos le montrant dans ses rôles, triomphant sur un ciel d'azur ou câlinant un chaton.

Julie, sa soeur cadette, s'adresse alors à l'assistance pour évoquer la souffrance de son frère, amputé en 2003 à la suite d'un accident de moto qui lui avait valu dix-sept opérations et une infection nosocomiale: "Sa fille Louise dit qu'il avait tellement mal, qu'il est mieux là-haut", souffle-t-elle.

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Elisabeth et Julie étaient arrivées ensemble dans le fourgon mortuaire, suivie de la réalisatrice José Dayan. Gérard Depardieu, lui, est resté invisible de la foule jusqu'au moment de monter vers l'autel pour y lire un extrait du Petit Prince, de Saint-Exupéry:

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"Tu comprends. C'est trop loin. Je ne peux pas, emporte ce corps-là. C'est trop lourd. - Moi je me taisais", récite le père dont la personnalité et la stature ont longtemps écrasé le fils. "Il me dit: tu es là, il me prit la main, mais il se tourmenta encore".

Les réalisateurs Pierre Salvadori et Josée Dayan ont également lu un message d'adieu pour célébrer le jeune comédien avec lequel ils avaient travaillé, puis le cercueil est sorti sous les applaudissements, raccompagné par Elisabeth et Julie Depardieu. Gérard de nouveau reste invisible.

Guillaume Depardieu devait être incinéré dans l'intimité.

Source: AFP


Rétablir l'eau et l'electricité à des milliers de familles pauvres en Israël...

 
SIONA s’attaque à un problème vital :
des milliers de familles pauvres en Israël,
dans l’impossibilité de payer,
se trouvent privées d’eau et d’électricité.


SIONA considère que c’est un problème vital qui aggrave la marginalisation des familles déshéritées en Israël.
Pour y remédier, une rencontre a eu lieu à Naharya le 23 Juin dernier entre Roger PINTO, Président de SIONA, et Jacky SEBBAG, Maire de Naharya, Shimon LANCRY, maire d’Akko, Haim AVITAN, Maire de Hadera et Shmouel SISO, Maire de Kyriat Yam.

Les 4 Maires présents ont salué avec enthousiasme ce projet qui est de faire rétablir l’eau et l’électricité à toutes les familles méritantes de la région nord d’Israël pour leur permettre de vivre dans des conditions décentes et de leur donner une nouvelle chance dans la vie.

Une campagne est lancée par SIONA pour financer cette opération qui est d’une immense importance et qui pourra être étendue à tout le pays.

Les personnes intéressées par ce projet sont priées de téléphoner à SIONA :
01 42 46 04 34 ou 06 08 66 66 68.


Paris, le 3 Octobre 2008



Pour nous aider à financer ce projet, vous avez la possibilité de faire un don en ligne dans la rubrique « faire un don » ou d’envoyer un chèque à l’ordre de « SIONA, 5 Rue Rougemont 75009 PARIS »



La rumeur de Saint-Jean-D’acre

Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur les violences intercommunautaires qui se sont produites à Saint-Jean-D’acre depuis le mercredi 8 octobre, veille de la fête juive du Grand Pardon. Durant cinq jours, à Acre, Akko en hébreu, Akka en arabe, le mythe de la coexistence pacifique entre Juifs et Arabes, tous Israéliens, s’est effondré.
Provocations et rumeurs surtout ont précipité les violences dans une ville qui a pour particularité d’assurer une cohabitation légendaire. Akko compte 50 000 habitants, deux tiers sont juifs et un tiers arabes ; ils vivent ensemble, incarnent une harmonie possible.

Tout a commencé le 8 octobre au soir, veille du Grand Pardon. Jamel Tawfiq, un Arabe israélien, pénètre au volant de sa voiture, musique à fond, dans le quartier Wolfson du secteur mixte oriental de la ville d’Akko, où les Juifs qui y vivent en majorité, ont commencé les célébrations de la fête de Kippour. Les Juifs prient le conducteur de quitter les lieux. Des insultes répondent aux jets de pierres.
Plusieurs centaines d’Arabes lui portent secours lorsque la rumeur de son lynchage par des Juifs se répand, amplifiée par les haut-parleurs du minaret d’une mosquée de la vieille ville.
Les émeutiers avancent masqués et armés de couteaux et de pierres. Aux cris de « D. est grand » et « Mort aux Juifs », ils vandalisent une centaine de voitures, brisent des dizaines de vitrines. L’expédition vengeresse des émeutiers a des allures de pogroms. Les Juifs, convaincus qu’il s’agit d’une provocation délibérée, réagissent et descendent à leur tour dans la rue pour répondre aux violences.

Le scénario ressemble à s’y méprendre aux émeutes d’octobre 2000, des émeutes identiques qui firent treize morts parmi les Arabes israéliens, et conduisirent à la deuxième Intifada.

Huit ans plus tard, le spectre d’une troisième Intifada engage les responsables politiques et communautaires, arabes et juifs, à condamner les émeutes et les violences intercommunautaires. Voilà pourquoi Ehoud Olmert, Premier ministre démissionnaire, et Tzipi Livni, invitent à « calmer les esprits ». D’ailleurs, les policiers ont reçu l’ordre de ne pas utiliser leurs armes à feu dans l’exercice du maintien de l’ordre. Et la condamnation du conducteur, qui s’est excusé devant la Commission de l’Intérieur du Parlement, est pour le moment une symbolique assignation à résidence. Quant aux émeutiers arrêtés, ils appartiennent aux deux communautés. Ils seront jugés sur leurs actes, non d’après leurs origines. C’est l’application du principe « tolérance zéro » exigé par Ehoud Olmert. Par précaution, la police a d'ailleurs dépêché des renforts dans les autres villes où cohabitent Juifs et Arabes, comme Haïfa, ou Jaffa, qui jouxte Tel-Aviv.

Les responsables gouvernementaux multiplient les déclarations destinées à calmer les esprits, ils invitent les uns et les autres à vivre ensemble. Lundi 13 octobre, Shimon Peres lance un véritable appel à la réconciliation, « Essayez de vivre ensemble en dépit de vos différences. Il y a deux religions, mais une seule loi pour tous ». En écho, le député arabe israélien Abbas Zakour déclare solennellement « Nous, Arabes de Saint-Jean-D’acre, condamnons le conducteur qui est sorti avec sa voiture le soir de Yom Kippour. Il aurait du faire tout son possible pour rentrer chez lui sans voiture dans ce quartier qui est majoritairement juif ».

Alors que les politiques israéliens, arabes et juifs, affirment avec vigueur leur souci de mettre un terme à l’incident, et de tourner une mauvaise page de l’histoire des relations judéo-arabes en Israël, la rumeur de Saint-Jean-D’acre, et les violences qu’elle a suscitées, alimentent toutes les passions politiques dans les pays qui revendiquent des positions extrémistes.

Le Hamas salue la « résistance à l’oppression sioniste », et le Hezbollah évoque « la résistance héroïque visant à protéger leur terre et leur honneur des assauts violents et barbares des sionistes ». Solidaires d’une victime imaginaire, ils interprètent à leur tour une rumeur de lynchage comme une réponse à la politique d’oppression d’Israël à l’égard des Arabes. La Syrie adopte la même position, catégorique et infondée. Damas évoque la volonté israélienne « de vouloir expulser les Arabes de la ville mixte d’Akko » et le journal syrien « Tishrin » renchérit en évoquant la « purification du territoire de toute présence arabe »…

La rumeur de Saint-Jean-D’acre n’aura pas empêché Israël de poursuivre des négociations majeures. Cette semaine, le gouvernement semble vouloir reprendre les négociations pour la libération de Guilad Shalit. Mais ce sont près de mille prisonniers palestiniens que le Hamas exige pour libérer le jeune soldat.
Un tel échange serait sans doute le dernier acte politique d’Ehoud Olmert, ou le premier, en tant que Premier ministre, de Tzipi Livni.

Ce soir, nos pensées vont vers Guilad Shalit, détenu par le Hamas depuis 846 jours, soldat de Tsahal, et dernier otage français.

A la semaine prochaine,

Guy Senbel.

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50 000 personnes au Kotel pour la Birkat Cohanim

par Claire Dana Picard

 

Les fêtes de pèlerinage attirent toujours une foule nombreuse dans la capitale. Et cette année, pour Souccot, pas moins de 50 000 personnes  se sont retrouvées sur l'esplanade du Kotel pour participer, ce jeudi matin, à la fameuse Birkat Cohanim Klalit, la bénédiction collective des prêtres.

Près de 2000 Cohanim, descendants d'Aaron, frère de Moshé, et des prêtres qui assuraient le service divin dans le Temple de Jérusalem, se sont rassemblés devant le Mur, couverts de leur châle de prière (Talith), pour bénir l'assistance composée de fidèles venus de tout le pays et même de l'étranger.

A l'issue de la cérémonie, le grand rabbin d'Israël, le Rav Yona Metzger, a récité une prière qu'il a rédigée spécialement pour cette occasion. Dans le texte qu'il a lu devant le public, il a imploré la clémence divine pour le salut de Jonathan Pollard, emprisonné aux Etats-Unis depuis plus de vingt ans pour espionnage au profit d'Israël. Il a également demandé la libération du caporal Guilad Shalit, captif du Hamas à Gaza depuis plus de deux ans.

Cette prière a été suivie par celle du Rav Shlomo Amar, grand rabbin séfarade d'Israël. Il a tenu lui aussi à réciter un texte de sa composition dans lequel il demandait à D. d'écarter tout malheur du peuple d'Israël. Il a cité entre autres les nombreux accidents de la route qui avaient causé la perte de tant de vies humaines au cours de ces dernières années. Il a également évoqué les maladies mortelles qui affectaient tant de gens et a en conclusion réclamé la destruction des ennemis d'Israël.

A Hébron également, une foule nombreuse se pressait dans la cité. Des dizaines de milliers de visiteurs juifs ont sillonné la cité des Patriarches pour visiter le  quartier juif et prier dans la Maarat Hamhpéla.