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Le Net s'invite dans l'élection du Grand Rabbin de France.

Internet_et_politique Depuis 1994 - année de la création du premier site politique aux Etats-Unis – l’influence d’Internet est croissante sur le choix des électeurs. L’élection du Grand Rabbin de France n’échappe pas à cette nouvelle donne et nous avons vu, ces dernières semaines, de nombreux supports du Web donner un large écho à cette campagne électorale.

Même si le nombre d’électeurs est très faible, les programmes et les enjeux semblent passionner une large part de la communauté juive française. Un blog est même dédié à cette élection.

J’ai essayé d’établir une « cartographie » de cette campagne sur Internet en recensant les différents groupes, blogs et sites soutenant les candidats. Impressionnant et innovant !

Soutien au Grand Rabbin J. Sitruk

Soutien au Grand Rabbin G. Bernheim

Facebook

Les amis du Grand Rabbin de France Joseph-Haim Sitruk (1.165 membres)

Appel de la jeunesse juive pour Gilles Bernheim  (415 membres)

Pour la réélection du Rav Sitruk, Grand Rabbin  de France (673 membres)

Gilles Bernheim Grand Rabbin de France !!
(414 membres)

Pour la réelection du Grand Rabin de France le Rav Joseph Haïm Sitruk (384 membres)

Sites

Les amis du Grand Rabbin Joseph Haïm Sitruk

Avenir du Judaïsme

Gilles Bernheim - Un rabbin dans la cité

My Space

Message du Grand Rabbin Sitruk aux juifs de France

Dailymotion

Message du Grand Rabbin Sitruk aux Juifs de France (2552 views)

Gilles Bernheim candidat au poste de Grand Rabbin (1087 views)


Jack-Yves Bohbot (Membre du Consistoire et Conseiller UMP du XIème arrondissement de Paris)


Foot - L1 - Paris-SG - Charles Villeneuve en pole

Selon les informations de L'Equipe, Charles Villeneuve a toutes les chances de devenir président du Paris-Saint-Germain, mardi soir. C'est le nom que Sébastien Bazin, représentant européen de Colony Capital, aurait choisi de proposer au conseil d'administration du club, douze jours après la 38e journée qui a maintenu le Paris-SG en L1, laissant grand ouvert le chantier de la reconstruction après deux saisons catastrophiques (15e et 16e).

L'ancien directeur des sports de TF1, 66 ans, aurait été placé dans le circuit parisien par Arsène Wenger, le manager d'Arsenal. Ce choix mettrait fin à l'hypothèse d'une présidence de Michel Moulin, le conseiller sportif recruté après la déroute contre Caen (0-3) et dont l'apport auprès du groupe de joueurs fait l'objet, en interne, de jugements contrastés. Ses rapports avec Paul Le Guen, notamment, ont atteint un point de non retour, et c'est sa nomination qui avait entraîné le départ d'Alain Cayzac.

Paul Le Guen, si Charles Villeneuve devenait président, serait le mieux placé pour se succéder à lui-même au poste d'entraîneur. Samedi, après la défaite en finale de la Coupe de France contre Lyon (0-1 a.p.), l'ex-entraîneur de Lyon a accueilli les questions sur son avenir avec détermination et une confiance tangibles. - J.T., G.D., D.D et E.M.

L'Equipe.fr


60ème anniversaire d'Israël: Sarkozy et Livni pour un concert à Paris

Fête à Paris pour le 60ème anniversaire d'Israël, le 25 mai 2008.

    Stéphane de Sakutin AFP ¦ Fête à Paris pour le 60ème anniversaire d'Israël, le 25 mai 2008.

 

Un concert de plein air pour célébrer le 60ème anniversaire d'Israël a réuni dimanche soir à Paris des milliers de personnes, dans une ambiance mêlant musique et politique, en présence du président Nicolas Sarkozy et de la chef de la diplomatie israélienne Tzipi Livni.

Le chef de l'Etat français a reçu Mme Livni au palais de l'Elysée, avant de se rendre pour une brève visite de courtoisie à la tribune d'honneur de ce concert dans les jardins du Trocadéro, face à la tour Eiffel.

Mme Livni est montée sur scène pour rendre hommage à son hôte, qui affiche ouvertement son amitié pour l'Etat hébreu.

"Partageons le bonheur de voir l'amitié retrouvée entre nos deux pays", a déclaré Mme Livni, faisant implicitement allusion aux positions par le passé souvent jugées pro-arabes de Paris.

Mme Livni a salué "le président Sarkozy, qui représente avec tant de courage les valeurs du monde libre". Le président français est attendu pour une visite officielle en Israël en juin.

Dans un message vidéo diffusé à la foule qui agitait sous une pluie intermittente de nombreux drapeaux israéliens, le président israélien Shimon Peres a rendu hommage à l'appui de la France pour la création du jeune Etat en 1948. "Sans l'aide de la France, il aurait été extrêmement difficile d'achever la construction d'un pays nouveau", a-t-il dit.

La secrétaire d'Etat française aux Droits de l'Homme, Rama Yade, a pris la parole au nom du gouvernement pour souligner "le lien indéfectible" qui unit la France à Israël.

De nombreuses personnalités du monde politique -notamment le maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë- de l'économie -la présidente du patronat français Laurence Parisot- ou de la culture -l'écrivain Marek Halter entre autres- se venus assister à cette manifestation, mêlant danses traditionnelles, chansons et documentaires retraçant le grands moments de l'histoire d'Israël.


20Minutes.fr


Nicolas Sarkozy fête le 60e anniversaire d'Israël

Charles Jaigu du Figaro
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Nicolas Sarkozy a raccompagné, hier soir, sur le perron de l'Élysée, la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, après s'être rendu en sa compagnie à la cérémonie au Trocadéro.
Nicolas Sarkozy a raccompagné, hier soir, sur le perron de l'Élysée, la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, après s'être rendu en sa compagnie à la cérémonie au Trocadéro. Crédits photo : AFP

Le chef de l'État, qui part à Jérusalem le 22 juin, a voulu témoigner de son amitié à l'État d'Israël.

On fêtait hier en grande pompe au Trocadéro le 60e anniversaire de la création d'Israël. Concert, chansons, discours. Invité surprise, Nicolas Sarkozy est arrivé, accompagné de la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, venue spécialement pour l'occasion. La ministre, étoile montante de Kadima, est présentée par la presse israélienne comme une possible remplaçante de l'actuel premier ministre, Ehoud Olmert, qui a été mis en cause début mai dans une nouvelle affaire de corruption.

Le passage éclair du chef de l'État était un signe de plus dans l'amélioration des relations entre la France et Israël. Le 3 mars dernier, déjà, c'est à Shimon Pérès qu'avaient été réservés les honneurs de la première visite d'État d'un dirigeant étranger depuis le début du quinquennat. Pour couronner cette nouvelle convergence, Nicolas Sarkozy doit se rendre en Israël du 22 au 24 juin, pour une visite d'État. Hier, il s'est entretenu pendant une heure avec la ministre avant de la suivre au Trocadéro. Il y a retrouvé quelques ministres de son gouvernement, Éric Woerth et Christine Lagarde.

Droit à vivre «dans la paix et la sécurité»

En l'absence de Bernard Kouchner, c'est Rama Yade, la secrétaire d'État aux Droits de l'homme, qui a prononcé un discours sur l'amitié franco-israélienne, rappelant la position de la France sur le droit d'Israël à vivre «dans la paix et la sécurité», et le droit des Palestiniens à un État souverain. Juste avant, Bertrand Delanoë a longuement salué l'amitié franco-israélienne, annonçant même la création d'une place Ben-Gourion, le fondateur d'Israël, et Theodor-Herzl, le théoricien du sionisme.

De son côté, le patron de Publicis, Maurice Lévy, organisateur de l'événement, en a justifié ainsi le principe dans le journal Le Monde, cette semaine, en réponse à ceux qui pourraient demander «pourquoi les Juifs de France célébreraient-ils cet événement alors qu'ils sont français ?» : Je suis français, j'adore mon pays et je me bats pour son développement (…) mais une part en moi aime Israël et son peuple courageux, et je veux leur dire qu'on les aime, même si parfois on n'est pas d'accord sur tout.» Une occasion, aussi, de rappeler qu'il n'y a pas seulement un Israël «de Tsahal ou de la Terreur», mais qu'en soixante ans d'existence cet État «en situation de non-paix», a beaucoup accompli. Maurice Lévy a notamment salué les grandes réussites du développement économique et scientifique : «Israël, c'est une Silicon Valley où la densité de chercheurs est supérieure à celle de la Californie.»


Rama Yade: il faut «dégraisser certains mammouths» de l'aide internationale

La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme, Rama Yade, le 13 mai 2008 à Bruxelles Ee636b0b-fe9c-4850-a919-00bf75ae2b1f
    John Thys AFP/Archives ¦ La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme, Rama Yade, le 13 mai 2008 à Bruxelles
 
Alors que fin février, la direction du Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM) mettait en garde contre une hausse des prix alimentaires risquant de conduire à un rationnement de l’aide à l’échelle internationale, Rama Yade a estimé ce vendredi qu'il fallait «dégraisser certains mammouths» de l'aide internationale.

«Il faut faire en sorte que toutes ces organisations, la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture), le PAM, qui travaillent sur le terrain ou sur le plan financier, puissent coordonner leurs actions, sinon on a une déperdition d'énergie incroyable», a déclaré la secrétaire d'Etat aux Droits de l'homme sur LCI.
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La FAO attaquée par Wade aussi

Il faut «essayer aussi de dégraisser certains mammouths parmi ces organisations, qui recrutent beaucoup de gens, dépensent beaucoup en budget de fonctionnement, et donc moins en budget d'investissement», a-t-elle ajouté.

Faut-il voir là une nouvelle sortie de Rama Yade, qui a accumulé en dix mois de gouvernements Fillon, 685443af-0149-47e2-a402-ecc3d221737e bourdes, maladresses et autres déclarations à l’emporte-pièce? La FAO, qui doit tenir début juin à Rome une réunion à haut niveau avec de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement, avait en tout cas déjà été vivement attaquée début mai, notamment par le président sénégalais Abdoulaye Wade, pour son manque d'efficacité supposé. Son budget de fonctionnement pour 2008-2009 s'élève à 867,6 millions de dollars (550,1 millions d'euros).


20Minutes.fr


PSG: Jérôme Alonzo

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« Les plus chanceux ont gagné »

Nicolas BERTÉ

De notre envoyé spécial
Forcément très déçu suite à la défaite en finale de la Coupe de France, Jérôme Alonzo a regretté les occasions manquées par le PSG. Et la victoire de l’équipe la moins forte sur le terrain. 


 

De notre envoyé spécial au Stade de France

                      300x135_6816416555                                                          Jérôme Alonzo, est-ce une dernière note triste pour vous ?
Ce qui est triste, c’est d’avoir été battu par une équipe moins bonne que nous. C’est un match qu’on doit gagner 3-0. Comme quoi la chance joue un rôle important au haut niveau. L’équipe la plus chanceuse a gagné.

Dans les buts lyonnais, il y a avait d’un côté Grégory Coupet, qui a annoncé son départ et vous, qui êtes en fin de contrat. C’était un peu un match de gala. Est-ce encore plus dur d’accepter la défaite à cause de ça ?
Perdre une finale, quelles que soient les circonstances, c’est très douloureux. On a le sentiment que Lyon nous a laissé le match à un moment. Mais on ne l’a pas pris. Contre une équipe comme Lyon, vous ne pouvez pas avoir trois, quatre ou cinq occasions sans les mettre au fond.

9146473_o Est-ce qu’il y a de la colère ?
Oui. Moi, je ne suis pas bon perdant. Je suis très en colère. Et contre la terre entière. Je ne suis pas très original dans ces moments-là.

« C’est triste de finir comme ça »

Auriez-vous souhaité finir autrement pour Pauleta notamment ?
Bien sûr. On aurait voulu finir sur une victoire. Il y a pas mal d’anciens qui vont partir. C’est triste de finir comme ça, sur une déception, un déchirement.

                                                      NA5N0329                           Est-ce la moins bonne équipe qui a gagnée ?
C’est souvent la moins bonne équipe qui l’emporte en finale. J’en ai perdu une contre Auxerre qui avait été affligeant pendant tout le match. C’était un petit Lyon. C’est aussi ça la force des grandes équipes. En n’étant pas bon, ils gagnent des matchs. C’est encore ce qui s’est passé ce soir.

Votre match vous laisse-t-il des regrets ?
C’est un des meilleurs que j’ai vus cette année. On a bien sûr des regrets mais on ne va pas refaire la saison. Sur ce match, j’aurai vraiment préféré prendre 4-0. Nous aurions mérité de gagner facilement. Si on marque un but, c’est fini. Mais voilà, deux poteaux, des sauvetages sur la ligne…