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Tous les chrétiens de France doivent manifester leur trés vivent solidarité vis à vis de Madame Habiba Kouider, demain, lors de la tradionnelle messe du dimanche!

Algérie : Une chrétienne risque trois ans de prison !!!

Alain Vincenot

Un procès qui vient de se tenir à Tiaret, dans le sud de l’Algérie, illustre la situation de plus en plus préoccupante dans ce pays où l’islam est religion d’Etat. Outre de virulentes campagnes de presse, condamnations, vexations et expulsions se multiplient.
Mardi, le procureur du tribunal d’instance de Tiaret, au sud de l’Algérie, a requis trois ans de prison contre une jeune femme, Habiba Kouider. Délit de la prévenue : « pratiquer un culte non musulman, sans autorisation ». Pendant l’audience, lorsque le procureur lui a demandé quelle était sa religion, elle a répondu : « Je suis chrétienne. Je me suis convertie en 2004 à l’église d’Oran. » Alors le magistrat d’ironiser : « Les curés t’ont fait boire leur eau bénite qui mène au paradis ! »

A un barrage de gendarmerie

Le 29 mars dernier, Habiba Kouider, 37 ans, éducatrice dans une crèche à Tiaret, rentrait d’Oran, où elle fréquente une école biblique. A un barrage de la gendarmerie : fouille de bagages. Dans son sac, les gendarmes trouvent des bibles et des évangiles. Immédiatement arrêtée, elle est conduite, telle une délinquante, au commissariat de Tiaret pour interrogatoire. Elle est présentée le lendemain au procureur, qui lui propose : « Tu réintègres l’islam et je classe le dossier. Si tu persistes dans le péché, tu subiras les foudres de la justice ! » Elle ne répond pas.
Le verdict sera rendu le 27 mai. Ce jour-là, comparaîtront devant le même tribunal correctionnel de Tiaret six chrétiens accusés de « distribution de tracts visant à ébranler la foi des musulmans ».

Une succession d’affaires

Depuis la loi de février 2006 qui fixe « les conditions d’exercice des cultes autres que musulman », il ne fait pas bon être non musulman en Algérie. Même si, à l’époque, le président Abdelaziz Boutefika avait rappelé que le texte en question visait à « perpétuer cette tradition de convivialité et de respect mutuel entre les fidèles des religions du Livre ». Et de souligner combien le peuple algérien est « fidèle à ses traditions et attaché au dialogue fécond entre les religions et les civilisations. »

En fait, dès 2006, une vingtaine d’étudiants africains, qui avaient participé à une rencontre biblique à Tizi-Ouzou, en Kabylie étaient expulsés. L’année suivante, en novembre, de jeunes Brésiliens, invités par l’archevêque d’Alger, Mgr Henri Tessier, étaient également chassés du pays, tandis qu’en décembre un directeur d’école et un instituteur, Algériens de confession chrétienne, étaient radiés de l’éducation nationale pour « prosélytisme ».

Quelques dates plus récentes

Le 27 janvier 2008, trois responsables protestants sont jugés sans comparution. Trois ans de prison et 500.000 dinars d’amende (5.000 euros). Ils auraient « proféré des injures contre la religion et la personne du Prophète ».
Le 30 janvier, un prêtre catholique d’Oran, le père Pierre Wallez, est condamné à un an de prison avec sursis pour avoir prié, le lendemain de Noël, à Maghnia, près de la frontière marocaine, avec un groupe d’immigrés clandestins camerounais catholiques. Le médecin algérien qui l’accompagne, un musulman, se voit, lui, infliger un an de prison ferme et 200.000 dinars d’amende. Il lui est reproché de les avoir soignés avec des médicaments et du matériel du centre public de santé dans lequel il travaille.

Le 26 mars, l’ancien président méthodiste de l’Eglise protestante, Hugh Johnson, 74 ans, en Algérie depuis 1963, est expulsé. Un « non-renouvellement du permis de séjour », explique pudiquement le ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamellah, « lié à la sécurité de l’Etat ».

Pour le père Gilles Nicolas, du diocèse d’Alger, la multiplication des affaires illustre la « lutte idéologique de tous ceux qui veulent épurer le pays de toute présence non musulmane ». Quant au pasteur Mustapha Krim, président de l’Eglise protestante d’Algérie, il réagit aux accusations de prosélytisme. « Je ne comprends pas que 32 petites communautés chrétiennes peuvent faire trembler 32.000 mosquées. » Et d’ajouter que « le prosélytisme en Algérie est surtout islamique ».

Le 18 mars dernier, des intellectuels algériens signaient un appel « pour la tolérance ». Parmi eux, l’écrivain Boualem Salam, l’historien Mohamed Harbi, l’universitaire Boualem Sansal, l’universitaire Salem Chaker, le président de la Ligue algérienne des droits de l’homme Abdennour Ali Yahia, et le caricaturiste Ali Dilem. Au nom de la « liberté de conscience, du droit de chacun de pratiquer la religion de son choix, ou de ne pas pratiquer », ils exprimaient leur « solidarité avec la communauté chrétienne d’Algérie, cible de mesures aussi brutales qu’injustifiées ». Et les harcèlements de se poursuivre…



La loi de février 2006

L’article 11 prévoit une peine d’emprisonnement de deux à cinq ans ainsi qu’une amende de un million de dinars pour quiconque :

– « incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion, ou en utilisant à cette fin des établissements d’enseignement, d’éducation, de santé, à caractère social ou culturel, ou institutions de formation, ou tout autre établissement, ou tout autre moyen financier » ;

– « fabrique, entrepose ou distribue des documents imprimés ou métrages audiovisuels ou par tout autre support ou moyen qui visent à ébranler la foi d’un musulman ».

L’article 12 prévoit de un à trois ans de prison et une amende de 100.000 à 300.000 dinars pour quiconque « a recours à la collecte de quêtes ou accepte des dons sans autorisation des autorités habilitées légalement ».

L’article 13 prévoit de un à trois ans de prison et une amende de 100.000 à 300.000 dinars pour quiconque « prêche à l’intérieur des édifices destinés à l’exercice du culte, sans être désigné, agréé ou autorisé par l’autorité religieuse de sa confession, compétente, dûment agréée sur le territoire national et par les autorités algériennes compétentes ».

1 % de la population

Le christianisme est présent en Algérie depuis le Ier siècle après Jésus-Christ. Saint Augustin en est l’une des grandes figures. Aujourd’hui, les chrétiens ne représentent qu’une partie infime de la population. Ils ne seraient plus que 11.500, sur 33 millions d’habitants : 10.000 protestants et 1.500 catholiques.

Edition France Soir du vendredi 23 mai 2008 n°19804 page 17


Pantin et le PSG, à 90 ans d'intervale, même objectif! Fêtons cette anniversaire dignement!...

 

Le 05/05/1918

Pantin - Lyon : 3-0 (finale)

Ils étaient 48 au départ, venus des quatre coins de la France, ils ne sont plus que deux à se disputer l'ultime rencontre de la première Coupe de France. Le chirurgien Paul Michaux a proposé à Henri Delaunay, patron du CFI (ancêtre de la FFF), d'offrir un objet ciselé en hommage au camarade Charles Simon, Président-Fondateur du CFI et tombé au champ d'honneur en 1915. Cette coupe est ciselée par un orfèvre parisien de la rue Croix-des-Petits-Champs, Monsieur Chobillon. Pour la petite histoire, le trophée pèse 3,150 kilos et est posé sur un socle en marbre des Pyrénées.

Le FC Lyon, fondé en 1893, maillot à damier rouge et blanc et l'Olympique Pantin, maillot blanc, et qui a la particularité d'aligner plusieurs footballeurs de nationalité ou d'origines... belges se disputent cette première finale. Ce dimanche 5 mai 1918, nous sommes en pleine bataille de Paris, les Allemands s'apprêtent à lancer une ultime offensive sur l'Oise. Pourtant, plus de 2000 personnes se rendent au stade de la Légion Saint-Michel, 88 rue Olivier de Serres, à Paris 15e.

Inutile aux nostalgiques de tenter un périple sur ces lieux, il y a belle lurette que le gazon n'y pousse plus et que le béton s'y est installé durablement. Dès le coup d'envoi, le match se joue à une très grande vitesse, comme disent les gazettes de l'époque, et tout de suite, l'Olympique (ndlr, celui de Pantin et pas encore celui de Lyon) impose son jeu. Fiévet, qui est à la réception de deux centres de « Julot » Dewaquez, réussit le doublé. A la pause les Parisiens mènent 2-0.

En seconde période, Lyon se ressaisit quelque peu, domine et prend le jeu à son compte grâce à son stratège Henri Bard. Mais sur une contre-attaque Louis Darques s'échappe et marque le troisième but, celui du K.O-. pour l'équipe lyonnaise. Jules Dewaquez n'est pas élu « homme du match », dommage, il l'aurait pourtant mérité. Première finale et première anecdote croustillante. Le gardien parisien René Decoux, n'appréciant que modérément la charge d'un attaquant lyonnais, l'étend au sol d'un joli crochet du droit. L'arbitre, M. Bataille (ça ne s'invente pas !) décide d'expulser le coupable mais se laisse attendrir par le capitaine lyonnais Ebrard qui demande la grâce pour son adversaire parisien. Le fair-play poussé à l'extrême. Un autre temps. Et c'est dans cette ambiance joyeuse, on le serait à moins, que le Dr Michaux remet « sa » coupe au capitaine de l'Olympique Pantin, premier vainqueur de la Coupe Charles-Simon.

LA FEUILLE DE MATCH
Le 5 mai 1918, Paris, rue Olivier de Serres (Légion Saint-Michel)
OLYMPIQUE PANTIN - FC LYON : 3-0 (2-0)
2 000 spectateurs/Arbitre : M. Bataille
Buts : Fiévet (2), Darques pour Pantin.
OLYMPIQUE PANTIN : Decoux - Van Roe, Lambrechts - Vansteck, Olivan, Lina - Dewaquez, Landauer, Darques, Fiévet, Delouys.
FC LYON : Weber - Bellon, Orvain - Allemand, Ebrard (cap.), Meunier - Soulignac, Salmson, Bard, Weber, Richard.

L'Equipe.fr


Conférence de presse de Jerôme Alonzo

                               42064                                                         deux jours de la finale de la Coupe de France opposant Lyon au PSG, Jérôme Alonzo a tenu une conférence de presse devant de nombreux journalistes. Le gardien du club évoque également le rendez-vous de samedi ainsi que son avenir.

Au Parc des Princes, le jeudi 22 mai

PSG.FR -. Jérôme, samedi, tu seras titulaire face à Lyon pour cette finale de Coupe de France. Est-ce ton dernier match dans le but parisien ?
Jérôme Alonzo :
« Cela ne sera pas le 16539 dernier match de ma carrière mais au PSG, je ne sais pas encore. Le problème est toujours le même à Paris, rien n’est comme ailleurs (sourire) ! A l’heure actuelle, il n’y a pas d’interlocuteur pour parler de l’avenir. Pour moi, l’avenir proche c’est le match de samedi. Pour mon avenir personnel, on m’a dit d’attendre jusqu’à mercredi. Je prendrai ma décision après, mais il y a des chances que ce soit ma dernière apparition avec le PSG. Cependant, mon souhait est de rester. »

PSG.FR -. Comment abordes-tu cette finale ?
Jérôme Alonzo :
« De la même manière que j’ai abordé mon match face à Bastia. Les semaines sont les mêmes et rien n’a changé dans ma vie de tous les jours. Samedi, nous évoluerons devant 80 000 personnes au stade et nous disputerons une finale. La pression va peut-être commencer à monter samedi matin. J’ai déjà joué quelques finales ainsi que matches importants dans ma carrière. Et puis, de jouer un OM-PSG au Vélodrome, ou une finale de Coupe de France face à Lyon la pression est identique. »

                   deux jours de la finale de la Coupe de France opposant Lyon au PSG, Jérôme Alonzo a tenu une conférence de presse devant de nombreux journalistes. Le gardien du club évoque également le rendez-vous de samedi ainsi que son avenir.

         422 PSG.FR -. Quel est l’état d’esprit du groupe avant cette finale ?
Jérôme Alonzo : « Il n’y a pas eu de démobilisation particulière malgré le maintien en poche. Les deux jours de repos que nous avons eu nous on permis de couper un peu et cela a fait du bien. Cette semaine, c’est la première fois, depuis longtemps, que les gars parlaient tactique dans le vestiaire. Tout le monde se demandait comment Lyon allait évoluer, qui allait jouer… Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendu ce genre de discussion. J’ai vraiment senti que tout le monde était concerné. Maintenant, j’aimerai pouvoir dire que nous allons réaliser un super match et gagner la Coupe mais… la seule chose de certaine, c’est que nous sommes prêts. »

PSG.FR -. Depuis que le PSG a assuré son maintien en Ligue 1, l’ambiance dans le vestiaire est-elle différente ?
Jérôme Alonzo : « Oui et cela serait malhonnête de ma part de dire le contraire. L’ambiance est beaucoup plus décontractée. C’est la première fois de ma carrière, que je prépare une finale dans une ambiance si détendue. Cependant, tout le monde reste très concentré sur cette finale. De toute façon, nous ne sommes pas favoris donc c’est parfait ! »

           PSG.FR -. Quel est l’état d’esprit du groupe avant cette finale ?
Jérôme Alonzo :
« Il n’y a pas eu de démobilisation particulière malgré le maintien en poche. Les deux jours de repos que nous avons eu nous on permis de couper un peu et cela a fait du bien. Cette semaine, c’est la première fois, depuis longtemps, que les gars parlaient tactique dans le vestiaire. Tout le monde se demandait comment Lyon allait évoluer, qui allait jouer… Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendu ce genre de discussion. J’ai vraiment senti que tout le monde était concerné. Maintenant, j’aimerai pouvoir dire que nous allons réaliser un super match et gagner la Coupe mais… la seule chose de certaine, c’est que nous sommes prêts. »

PSG.FR -. Depuis que le PSG a assuré son maintien en Ligue 1, l’ambiance dans le vestiaire est-elle différente ?
Jérôme Alonzo :
« Oui et cela serait malhonnête de ma part de dire le contraire. L’ambiance est beaucoup plus décontractée. C’est la première fois de ma carrière, que je prépare une finale dans une ambiance si détendue. Cependant, tout le monde reste très concentré sur cette finale. De toute façon, nous ne sommes pas favoris donc c’est parfait ! »


Sommes-nous condamnés à l’ « Euro-anglo-vision » ?

Albert_salon-eurovision

La surprise quant au choix d’un « chanteur en anglais » pour représenter la France lors de la prochaine « Euro vision » ne fut pas, loin s’en faut, « Divine »… Nos amis se mobilisent.
Soutenons les !

Inlassablement, Albert Salon en appelle à la raison. Au cœur aussi !

Et d’écrire au ministre de la Francophonie… Afin que l’injure faite à tous ceux qui ont en partage notre langue, soit lavée !

Ne pas craindre aussi de prendre la mesure de tout le vide de bien des déclarations…
Les discours de Caen, de la Cité universitaire, en présence de Monsieur Abdou Diouf ?

Tous les Français, tous ceux qui sont attachés à notre langue, langue en partage avec tant de peuples, doivent se dresser face à cette trahison…

Elle est à l’image de toutes les trahisons et Sébastien Tellier s’en fait le complice :

La chanson choisie, "Divine", extraite de son dernier album ("Sexuality"), est entièrement en anglais à l'exception d'un court refrain, une première depuis la première édition de la compétition en 1956.


La ministre de la Culture, Christine Albanel, a jugé qu'il "fallait être complètement derrière" Sébastien Tellier, tout en jugeant "dommage que ce ne soit pas une chanson française" qui représente la France.

"Je suis quand même persuadée que l'on peut parfaitement conjuguer le talent, le rayonnement international (et) la langue française", a-t-elle dit à l'AFP.

La polémique n'est pas du goût du producteur de Sébastien Tellier, Stéphane Elfassi. "C'est un débat qui sent le moisi. C'est un peu dépassé en 2008 de faire croire que la culture française se réduirait à une chanson en français de trois minutes à l'Eurovision", a-t-il déclaré à l'AFP.

www.femmeactuelle.fr

 

Monsieur le Ministre,

Nos associations de promotion du français et de la Francophonie soutiennent à fond cette démarche du Collectif intersyndical.

Elles vous avaient déjà saisi de cette affaire d’ « Euro-anglo-vision », vous-même ainsi que plusieurs de vos collaborateurs nouvellement installés dans cette rue Monsieur que je connais bien pour y avoir été directeur adjoint du développement, chargé de la Francophonie.

Nous vous prions d'obtenir que le choix de ce chanteur en anglais soit annulé.

Dans un concours de chansons censé exprimer la diversité linguistique et culturelle européenne, la France, qui avait une grande politique de francophonie et prétend, notamment par votre bouche, l'avoir encore, se doit d'envoyer un représentant qui chante en français. Ne serait-ce, dans votre domaine, que pour envoyer un message moins brouillé à nos partenaires en Francophonie, et pour rendre plus crédible le discours officiel français sur la solidarité francophone, notamment au sein de l’O.I.F.

Nous nous sommes aussi adressés à Mme Albanel.

Et surtout au Président de la République, à celui du discours tenu à Caen dans la campagne présidentielle de 2007, puis du discours du 20 mars 2008 à la Cité universitaire en présence de M. Abdou Diouf, pour témoigner des dégâts politiques, électoraux, causés dans l'opinion publique française par tous ces abandons des grands intérêts français.

Nos compatriotes attachés à l'existence de la Nation et à sa souveraineté lient en effet la politique d'anglo-américanisation – et de bilinguisme français-anglais dès les premières années du primaire - à celle du retour dans l'OTAN, de l'alignement sur les Etats-Unis et sur un fédéralisme européen sans les peuples (traité de Lisbonne imposé malgré le referendum de 2005) qui leur apparaît aujourd’hui sous les traits de l’hégémonie américaine et des multinationales surtout anglo-saxonnes.

Vous-même ne prenez peut-être pas à votre compte, ni ne prônez auprès de nos partenaires francophones, la formule-programme de votre Ministre M. Bernard Kouchner, en titre de chapitre de son récent ouvrage : « L’anglais, avenir de la francophonie ». Vous déplorez peut-être même comme nous les ravages ainsi causés...

Mais au-delà de la déploration, nous pressons le Président de la République et l’ensemble du gouvernement de redresser la barre et de revenir à leur mission de garantie, de défense et de promotion des intérêts fondamentaux de la France, dont le français et la Francophonie font partie au premier chef.

La désignation immédiate d’un représentant mieux qualifié par sa langue de prestation pour représenter la France à l’Eurovision constituerait un signal bienvenu de retour à la raison et à la France.

Albert Salon, docteur d’Etat ès lettres, ancien Conseiller culturel et scientifique, ancien directeur au Ministère de la Coopération, ancien Ambassadeur, président du FFI-France (Forum francophone international) et d’ « Avenir de la langue française », administrateur de l’AFAL (Association francophone d’Amitié et de Liaison*).

*association présidée par M. Jacques Godfrain, député UMP, ancien Ministre de la Coopération.

 


SM le Roi Mohammed VI adresse un ordre du jour aux FAR



À l’occasion du 52-ème anniversaire de la création des Forces Armées Royales (FAR), SM le Roi Mohammed VI a adressé mercredi un ordre du jour aux officiers, sous-officiers et hommes de troupes.


                           Mariage_01                                                                            A l’occasion du 52-ème anniversaire de la création des Forces Armées Royales (FAR), SM le Roi Mohammed VI, Chef suprême et Chef d’état major général des FAR, a adressé mercredi un ordre du jour aux officiers, sous-officiers et hommes de troupes. «La famille des Forces Armées Royales et avec elle la Nation marocaine toute entière célèbre, avec fierté, le 52-ème anniversaire de sa création. Il nous est agréable, Nous, Chef suprême et Chef d’état-major Général des Forces Armées Royales, de nous adresser à vous, en ce jour mémorable, pour vous exprimer Notre grande bienveillance et satisfaction pour les grands sacrifices que vous consentez et pour la défense de l’intégrité territorial de la Patrie et de ses valeurs suprêmes sacrées, avec dévouement, abnégation et fidélité», selon cet ordre du jour. C’est en effet une occasion bénie pour remémorer, avec déférence et considération toutes les étapes glorieuses traversées par nos Forces Armées Royales, selon la même source. Dans cet ordre du jour, on souligne que «notre célébration aujourd’hui de ce cher anniversaire constitue pour Nous une occasion pour vous exprimer Notre satisfaction et Notre considération pour la bonne réputation dont vous jouissez au niveau international».  Ainsi, «Il nous est agréable, en cette glorieuse occasion, d’exalter le rôle agissant que jouent les contingents marocains au Kosovo, au Congo Démocratique et en Côte d’Ivoire dans le but consolider la paix et la sécurité internationales». « Nous saluons également les éléments du contingent marocain ayant achevé sa mission en Bosnie Herzégovine après s’être acquitté pleinement et avec brio de son devoir pendant plus de dix ans, donnant ainsi un exemple éloquent sur la valeur du soldat marocain et son authenticité séculaire consistant en la discipline et la défense des valeurs de la paix et de la solidarité telles que reconnues sur le plan international», selon la même source.
«La modernisation de Nos Forces Armées Royales, dans toutes leurs composantes terrestre, aérienne, marine et la Gendarmerie Royale, avec tout ce que cela implique comme action constante et adaptation continue de leurs structures, jouit d’un très grand intérêt de la part de Notre Majesté et de Notre sollicitude en tant que priorité constante afin de consacrer dans leurs rangs l’efficacité et la modernité, relever le niveau de leurs compétences professionnelles et développer les capacités de leurs éléments». Par ailleurs, il a été décidé de créer un service de presse au niveau de l’état major Général pour accompagner leurs réalisations et consolider le rayonnement et l’ouverture de l’institution militaire sur son environnement national et international. «Vous devez rester constamment fidèles aux valeurs suprêmes et aux idéaux qui ont présidé à la création des Forces Armées Royales ».

Par : Mounir Siraj

Bernard Kouchner voit une dynamique favorable au Proche-Orient

Reuters - Jeudi 22 mai, 21h59

RAMALLAH (Reuters) - Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a déclaré jeudi espérer qu'une "atmosphère positive" au Proche-Orient, favorisée par l'accord trouvé cette semaine entre Libanais, aura des retombées positives sur les discussions entre Israël et les Palestiniens.

BERNARD KOUCHNER COMPTE SUR UNE DYNAMIQUE ...
 

A l'issue d'un entretien avec le négociateur en chef palestinien Ahmed Korei, à Ramallah en Cisjordanie, le ministre français a estimé que les progrès n'avaient pas été suffisants entre Israël et les Palestiniens depuis qu'ils ont relancé le processus de paix, à la conférence d'Annapolis en novembre dernier.

Kouchner, qui dans la journée avait rencontré les dirigeants politiques israéliens, dont le Premier ministre Ehud Olmert, a dit son espoir que l'accord politique trouvé cette semaine à Doha sur la crise libanaise, de même que les chances d'une trêve entre Israël et le Hamas à Gaza, puissent créer une dynamique favorable au processus de paix.

Kouchner, qui dit avoir noté des signes de bonne volonté tant chez les Israéliens que chez les Palestiniens, a précisé qu'il pensait retourner au Proche-Orient dans quelques semaines.

Le ministre est revenu sur les "contacts" établis par la France avec le Hamas, les qualifiant de "très superficiels". Lundi, il avait confirmé les informations selon lesquelles un diplomate à la retraite, Yves Aubin de la Messuzière, ancien ambassadeur en Irak, avait rencontré à Gaza Ismaïl Haniyeh, chef de file du Hamas dans le territoire, ainsi que Mahmoud Zahar, l'un des principaux dirigeants du mouvement.

A Washington, le département d'Etat avait critiqué la décision française de les rencontrer, la trouvant "ni sage, ni opportune".

Ali Saouafta et Wafa Amr, version française Eric Faye


En vertu des accords Mac Mahon-Hussein de 1915, les Anglais s’étaient, en effet, engagés à constituer, après les hostilités, un grand royaume arabe dont le souverain serait le chérif de La Mecque, Hussein. Celui-ci se verrait ainsi récompenser du rôle qu’il avait joué dans le déclenchement de la « révolte » de la péninsule arabique contre les Turcs. En fait, cette « révolte » ne disposa jamais de plus de quelques centaines de combattants à la fois et son rôle militaire, limité à quelques opérations de razzia, fut inexistant.

Elle ne dut de passer à la postérité qu’à l’imagination de Lawrence d’Arabie, l’un des plus habiles mystificateurs du XXe siècle. L’engagement juridique contracté par la Grande-Bretagne envers le chérif Hussein allait, assez curieusement, servir par la suite de fondement à la revendication arabe sur la Palestine. Or, celle-ci était indubitablement exclue du territoire assigné au futur royaume arabe, ainsi que l’admit expressément le fils du chérif Hussein, l’émir Fayçal, reconnu par les grandes puissances comme le représentant des Arabes du Proche-Orient à la Conférence de la Paix de Versailles en 1919. Le 3 janvier 1919, l’organisation sioniste, Haïm Weizmann, un accord aux termes duquel le royaume arabe, prévu par les accords Hussein-Mac Mahon, reconnaissait la Palestine en tant qu’Etat juif. L’article 4 de cet accord stipulait : « Toutes les mesures nécessaires seront prises pour engager et stimuler l’immigration des Juifs en Palestine sur une meilleure mise en valeur du sol et par une culture intensive ».

Deux mois plus tard, Fayçal écrivait au dirigeant sioniste américain Félix Frankfurter : « Notre délégation à Paris est parfaitement au courant des propositions que l’Organisation sioniste a soumises hier à la Conférence de la Paix et elle les considère comme tout à fait modérées et bien fondées ». Or, ces propositions incluaient dans les territoires dévolus à l’Etat juif, non seulement la Judée Samarie (ou Cisjordanie), mais une partie (20 000 km2) de la Jordanie actuelle. »



 


Moulin a été recadré par Bazin


Mis en ligne par Ludovic FRANCISCO
 

Objet d’une certaine méfiance de la part de Sébastien Bazin, jugé trop "envahissant" par certains joueurs, Michel Moulin a été prié de se tenir à l’écart du groupe durant trois jours, affirme "L'Equipe".

La lune de miel serait-elle déjà en train de tourner en eau de boudin ? Appelé le 21 avril dernier pour donner un nouvel élan aux joueurs, à travers un discours volontariste, Michel Moulin a dans un premier temps largement emporté l’adhésion. Pourtant, il semblerait que de récentes déclarations aient fortement mécontenté les actionnaires, et singulièrement Sébastien Bazin qui, chacun le sait, entend imposer ses vues sur le futur du club.

La moins appréciée aurait été sa proposition de réduire à terme de 50 % le prix des abonnements des supporters dans le cas où Paris ne finirait pas chaque saison au-dessus de la huitième place. Plus généralement, ce sont ses déclarations d'intention qui auraient déplu à l'actionnaire majoritaire : son désir d'être nommé président, sitôt le maintien obtenu, ou encore ses idées sur le nom du futur entraîneur.

Résultat : Sébastien Bazin a expressément demandé au conseiller sportif de ne pas manifester sa présence dans le groupe professionnel durant trois jours. Une sanction en forme de message ?