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Aprés, plusieurs mois d'attente et une trés vive altercation, j'ai le plaisir de vous annoncer que le Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance: Monsieur Christian Demuynck, me recevra lundi 28 avril 2008 à 15h50. Je ne manquerai pas de vous informer des résultats de cette rencontre...J'espère qu'à cette occasion, tous les malentendus seront dissipés...! Et que mes ennuis s'arrangeront...! Ce qui ne vous empêche pas de m'adresser encore vos témoignages de sympathie! Je ferai peut-être plutôt que prévu mon retour en politique?...
Jean-Pierre Renard
Alors qu'Abou Mazen est reçu avec tous les honneurs à Washington, les terroristes dont il a la responsabilité ne cessent pas leurs diverses tentatives de faire couler le sang juif. C'est ce vendredi matin vers 7h00 qu'un terroriste palestinien, venu probablement de Tulkarem, s'est approché de la zone industrielle de "Nitsané Shalom". Il a tiré sur les deux vigiles qui veillaient sur l'entrée nord de la zone.
Ces deux personnes étaient chargés de filtrer les Palestiniens qui viennent quotidiennement travailler dans les entreprises israéliennes. Les équipes de secours du Magen David Adom appelées en urgence n'ont pu que constater la mort de l'un des deux gardiens. Ils ont alors tenté de maintenir le deuxième en vie, mais en vain. Le terroriste s'est apparemment enfui à Tulkarem d'où il venait. A l'heure actuelle, des forces de Tsahal sont à sa poursuite. Il y a six ans, un attentat avait déjà eu lieu dans cet endroit, faisant une victime, Shani Ladani, 27 ans, qui travaillait comme chauffeur.
Il faut rappeler que dans le "plan d'accalmie" entre le Hamas et Israël, élaboré par le chef des Renseignements égyptiens Omar Suleiman, il est prévu d'étendre l'arrêt des opérations de Tsahal à la Judée-Samarie également. Le Hamas en a fait une condition sine qua non. Or, c'est cette même pression militaire constante dans cette région qui permet de faire échouer la plupart des innombrables attentats préparés par les Palestiniens qui dépendent du "modéré" Abou Mazen, même si ce vendredi matin, hélas, un terroriste a réussi à percer les barrages militaires.
Un an déjà ! Après un été qui prolongeait la griserie d'une campagne triomphale, après un automne en demi-teinte, après un hiver décevant et un printemps de désolation où il a perdu en quelques semaines une vingtaine de points de popularité, Nicolas Sarkozy pourrait reprendre à son compte la formule d'Élisabeth d'Angleterre en 1992, quand les princes divorçaient et que le château brûlait : «Annus horribilis». Après quatre années d'ascension sans une faute, trois séries d'événements ont contribué à ce retournement digne d'une tragédie grecque avec fureur des dieux contre le succès des hommes. Nicolas Sarkozy est responsable des deux premières, la troisième est à sa décharge.
1) La vie privée, le style, la manière d'être. Yachts, Rolex et Ray Ban. Tout ce qui a été ramassé sous l'étiquette meurtrière de «bling-bling». Portrait paradoxal d'un président fulgurant en fashion victim. Dans le domaine privé au moins, la modernisation n'a pas marché. Chez ce réformateur plus intelligent que les autres, il n'y avait pas assez de cassoulet, d'hypocrisie, de bedaine. Pas assez de culture traditionnelle et de radical- socialisme à la Édouard Herriot. Au sommet du pouvoir, il est risqué de vouloir être heureux et de le faire savoir.
2) Les ratés incompréhensibles de la machine du gouvernement. Les lunettes, les familles nombreuses, la mairie de Neuilly, le souvenir des enfants juifs, les OGM, les sectes, la Villa Médicis. Les querelles subalternes au sein de l'exécutif. Les allers et retours et le rattrapage permanent de gaffes de débutant. Une prolifération de comités et de conseillers auliques en train de se tirer dans les pattes.
3) Le président n'a pas de chance. La baraka encore les dieux s'est changée en scoumoune. La crise financière. Le prix du pétrole. La récession en Amérique. La baisse du taux de croissance. Le dollar trop bas et l'euro trop élevé. Tout ce qui échappe au pouvoir de l'État et s'impose à lui du dehors. Réformer est toujours difficile, surtout en France. Réformer dans un contexte économique défavorable est une tâche infernale. N'importe qui, dans la situation du président, se heurterait aux mêmes problèmes.
Dans cette triple tempête existentielle, politique, économique, les esprits se déchaînent. On dirait qu'ils se vengent, après coup, auprès du président qu'ils ont élu de leur soutien massif au candidat triomphant. Au taux de participation record et à lamajorité substantielle succèdent les abîmes de l'impopularité. Ce sont les montagnes russes de la politiquemilitante.
Les livres sur Sarkozy envahissent les librairies le moins qu'on puisse dire est qu'ils sont rarement élogieux. Le brûlot de François Léotard, Ça va mal finir (1), caracole en tête des meilleures ventes. À gauche, Laurent Joffrin, l'homme de «La Gauche» en voie de disparition et de «La Gauche» retrouvée, de «La Gauche» caviar et de «La Gauche» bécassine, n'y va pas avec le dos de la cuillère. Dans Le Roi est nu (2), toujours avec intelligence et avec une espèce de modération implacable, il attaque au canon. Sur l'usage des médias, sur l'argent, sur le retour de la religion, sur les réformes. Une de ses thèses, que je ne partage pas et qu'il avait déjà soutenue dans une récente et fameuse conférence de presse présidentielle, est que Sarkozy incarne à l'Élysée une restauration monarchique déguisée. Sur la forme, il voudrait que le président passe de la Rolex à la Swatch et qu'il se sépare de son portable. Sur le fond, il souhaite un retour aux institutions républicaines. Je me demande, mon cher Laurent, si elles sont aussi menacées que vous le dites.
Élevé dans la vive lumière de l'impressionnisme, biographe brillant de Morny et de Bernis, défenseur d'Omar et des prostituées, bon connaisseur de Drieu acculé au suicide et séducteur comme lui, Jean-Marie Rouart poursuit avec Devoir d'insolence (3) le chemin politique où le romancier des sentiments s'était avancé avec Mes Fauves. Les hommes et les femmes politiques, il les traite en romancier. Il retrouve en Sarkozy plus d'un trait de Giscard : le désir de plaire, l'activisme débordant, le goût de la réforme et de la modernité. Joffrin voit dans le président un monarque déguisé. Rouart lui adresserait volontiers le reproche juste inverse : la dévaluation du geste présidentiel : «Hanté par le spectre de Chirac et de son inaction, il risque, en ouvrant trop de chantiers en même temps et en s'exposant pour un oui ou pour un non, pour des causes vraiment secondaires, de banaliser une fonction qui, quoi qu'on en dise, garde un caractère magique, sacramentel, hérité de la monarchie.» Trop monarque, Sarkozy ? Ou trop peu ?
motifs opposés, aussi maltraité par les uns qu'il avait été adulé par les autres qui sont d'ailleurs peut-être les mêmes , sommé de se réformer lui-même avant de réformer le pays, Nicolas Sarkozy, comme Juppé, comme Chirac, comme Jospin battu par Le Pen, comme Villepin, comme Royal, comme Bayrou, tous tombés dans un trou, comme de Gaulle lui-même, incomparable et incomparé, comme presque tous ceux que les Français ont élevé sur un pavois avant de leur jeter des pierres, Nicolas Sarkozy est emporté par la tempête. Il s'en serait bien passé. Et c'est pourtant une chance : c'est seulement dans la tempête que se forgent les hommes d'État. Nous sommes encore quelques-uns en France à penser que Nicolas Sarkozy a l'étoffe d'un homme d'État.
Cette tempête-ci est violente. Tout ce que Sarkozy a réussi est compté pour presque rien. Le chômage a baissé, mais tout le monde maintenant semble s'en soucier comme d'une guigne. L'Europe est remise modestement sur les rails, mais personne n'en parle plus.
On dirait qu'au terme de sa première année de pouvoir, après tant d'années d'ascension, le seul atout du président est la faiblesse d'une opposition dont les succès considérables camouflent l'indigence et peut-être le déclin. La fameuse réplique est toujours de saison : «Tu sais vaincre, malheureux, mais tu ne sais pas profiter de ta victoire.»
Il reste quatre ans sur cinq pour renverser la vapeur. La chance de Sarkozy est que la crise est arrivée assez tôt. Il aurait mieux fait de la précéder encore davantage. Il aurait dû, dès le début, promettre de la sueur et des larmes au lieu de promettre aux autres comme à lui-même du bonheur plein la vie. Cemallà est fait. Il faut maintenant poursuivre les réformes à la fois dans la crise mondiale et dans l'impopularité nationale. Voilà un vaste programme. C'est le prix à payer pour une place dans l'histoire.
(1) et (3) Grasset ; (2) Robert Laffont.
Écrit par lucio | |
Rendez vous compte, exercer le métier de footballeur est un dur labeur. Qui plus est à Paris. Toute cette pression, cet environnement. Alors nos joueurs ont eu la bonne idée de réclamer une prime au maintien selon Daniel Hechter ! Honteux !
Une belle bande de bouffon. Voilà que l’on devrait donner de l’argent à des joueurs qui ne gagnent plus un match, se satisfaisant de battre des amateurs !Après tout, combien de grand patron sont partis avec des millions pour leur licenciement, au détriment de milliers d’employés renvoyés dans la rue… Il est vrai que 200000€ par mois à rien foutre c’est peu. Et puis qui va payer les réparations de la voiture de Sylvain ? En y réfléchissant bien, il faudrait leur donner beaucoup plus !Se maintenir avec une telle mentalité et de tel handicap physique et technique relève de l’exploit.Ou alors serait ce une forme camouflée de prime au handicap ? "Certains joueurs du PSG ont demandé des primes de maintien" selon Hechter. Le célèbre styliste tient cette information « de plusieurs sources internes au club ». Comment oser après ça nous demander de nous calmer et de ne plus les insulter !!J’ai la rage, la haine vis-à-vis de ces bouffons. Vous savez quoi, prenez votre fric et barrez vous, et ceux qui veulent sauver le club, c’est avec plaisir que nous vous encouragerons et vous aiderons.Pour les autres… je n’en dirais pas plus |
Evoqué avec insistance par toute la presse et réclamé par les supporters, Luis Fernandez, ancien joueur et ancien entraîneur du PSG, a souhaité lancé un appel sur les ondes de RMC. Un appel à la mobilisation. Explications
Luis Fernandez comme tous les amoureux du club parisien souffre énormément en ce moment. Il a tenu à réagir sur les ondes de RMC « Je sais que la situation actuelle du PSG est difficile et que tout les amoureux de ce club sont triste et déçu comme moi aujourd’hui, je lance donc un appel à tous les supporters parisiens pour aller soutenir et aider le PSG au Parc des Princes samedi après midi face à Auxerre. Le club n’est pas encore en ligue 2, il y a encore un espoir, il faut donc se battre et les encourager pour aller chercher la victoire ». |
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