par Rebecca Serfaty
Shiva, le nouveau film de Ronit et Shlomi Elkabatz, ouvrira le 14 mai la Semaine de la critique du festival de Cannes. La Semaine de la critique est destinée à découvrir de jeunes talents indépendants, c’est un cadre qui a servi de tremplin à de nombreux réalisateurs : Bernard Bertolucci, Ken Loach ou François Ozon, entre autres.
C’est la première fois qu’Elkabatz participe à la Semaine en tant que réalisatrice. En 2004, le film Or de Keren Yedia où Ronit Elkabatz tenait le rôle principal a reçu la caméra d’or. « Nous sommes très émus, c’est un grand honneur pour nous d’ouvrir la Semaine de la critique », a déclaré Elkabatz dans une interview accordée à Ynet. « Pendant un an, nous avons parcouru un chemin long et émouvant avec ce film. La semaine prochaine nous travaillerons dur pour terminer le film à temps. La participation au festival de Cannes a une importance énorme. Dans la compétition ou en dehors, la diffusion du film devant les personnes clés du monde du cinéma est immense, en fait, aucun festival ne peut se comparer à cela », ajoute Elkabatz.
Le film précédent des frères Elkabatz Et tu prendras femme, avait participé à la compétition du festival de Venise et raflé quelques prix. « Nous étions à Venise, et à présent, ouvrir à cannes cette catégorie est un pas immense et une opportunité sans pareille », explique Ronit Elkabatz.
Shiva est une coproduction franco-israélienne, où jouent les acteurs israéliens Keren Mor, Alon Aboutboul, Hanna Lazslo, Yaël Abécassis, Moché Ivgui, Rouhi Porat Shoval, Yehiel Elkabatz et Hanna Azoulay Asfari.
Le film renvoie le spectateur chez la famille Ohayon, héros du film Et tu prendras femme. Comme le film précédent, Shiva traite de la famille qui étouffe et du statut de la femme au sein de la famille patriarcale.
« C’est l’histoire d’une famille qui se réunit suite à la mort d’un des frères et fait face à cette rencontre intime et chargée émotionnellement », raconte Ronit Elkabatz. « Nous traitons de cette valeur supérieure appelée Famille et de ce qu’elle exige que nous sacrifiions ; à côté de cela, est posée la question du statut de la femme dans un monde où la voix dominante est celle de l’homme. C’est un film compliqué puisqu’il comprend 20 rôles principaux et un héros qui est la famille », ajoute la réalisatrice.
Le film a été produit en coopération avec Eilon Rachokovski et Yohanan Kardo de Youli Augoust Afaka en Israël et les sociétés de production françaises Theleia et Ez Films.
Ces jours ci, avant même la projection du film, un contrat de distribution a été signé avec la société des Films du Losange. Le film sortira en France à partir du mois de juin, sa date de sortie en Israël est encore inconnue. Le caméraman Yaron Sheref a filmé Shiva, le design artistique a été fait par Benny Arbitman. C’est la deuxième fois que la société de production Youli Augoust Afaka se trouve à Cannes, le film La Visite de Fanfare avait permis à l’acteur Sasson Gabaï de recevoir le prix de l’acteur.
C’est la première fois qu’Elkabatz participe à la Semaine en tant que réalisatrice. En 2004, le film Or de Keren Yedia où Ronit Elkabatz tenait le rôle principal a reçu la caméra d’or. « Nous sommes très émus, c’est un grand honneur pour nous d’ouvrir la Semaine de la critique », a déclaré Elkabatz dans une interview accordée à Ynet. « Pendant un an, nous avons parcouru un chemin long et émouvant avec ce film. La semaine prochaine nous travaillerons dur pour terminer le film à temps. La participation au festival de Cannes a une importance énorme. Dans la compétition ou en dehors, la diffusion du film devant les personnes clés du monde du cinéma est immense, en fait, aucun festival ne peut se comparer à cela », ajoute Elkabatz.
Le film précédent des frères Elkabatz Et tu prendras femme, avait participé à la compétition du festival de Venise et raflé quelques prix. « Nous étions à Venise, et à présent, ouvrir à cannes cette catégorie est un pas immense et une opportunité sans pareille », explique Ronit Elkabatz.
Shiva est une coproduction franco-israélienne, où jouent les acteurs israéliens Keren Mor, Alon Aboutboul, Hanna Lazslo, Yaël Abécassis, Moché Ivgui, Rouhi Porat Shoval, Yehiel Elkabatz et Hanna Azoulay Asfari.
Le film renvoie le spectateur chez la famille Ohayon, héros du film Et tu prendras femme. Comme le film précédent, Shiva traite de la famille qui étouffe et du statut de la femme au sein de la famille patriarcale.
« C’est l’histoire d’une famille qui se réunit suite à la mort d’un des frères et fait face à cette rencontre intime et chargée émotionnellement », raconte Ronit Elkabatz. « Nous traitons de cette valeur supérieure appelée Famille et de ce qu’elle exige que nous sacrifiions ; à côté de cela, est posée la question du statut de la femme dans un monde où la voix dominante est celle de l’homme. C’est un film compliqué puisqu’il comprend 20 rôles principaux et un héros qui est la famille », ajoute la réalisatrice.
Le film a été produit en coopération avec Eilon Rachokovski et Yohanan Kardo de Youli Augoust Afaka en Israël et les sociétés de production françaises Theleia et Ez Films.
Ces jours ci, avant même la projection du film, un contrat de distribution a été signé avec la société des Films du Losange. Le film sortira en France à partir du mois de juin, sa date de sortie en Israël est encore inconnue. Le caméraman Yaron Sheref a filmé Shiva, le design artistique a été fait par Benny Arbitman. C’est la deuxième fois que la société de production Youli Augoust Afaka se trouve à Cannes, le film La Visite de Fanfare avait permis à l’acteur Sasson Gabaï de recevoir le prix de l’acteur.
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