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Eh bien voilà. On y est. Petit à petit, les masques tombent, les intentions se révèlent, et les visages s’éclaircissent.

Rima Hassan vient d’exposer au grand jour ce qu’elle est réellement, un agent politique du Hamas.

Elle n’a pas glissé. Elle n’a pas commis une erreur de communication. Elle a sciemment, froidement, justifié les actes terroristes du 7 octobre, en expliquant que le Hamas ne serait pas comparable à Daesh… parce qu’il n’agirait pas à l’international. Voilà son niveau de pensée. Des massacres planifiés, des femmes violées, des enfants égorgés, des civils brûlés vifs… Et ce ne serait pas du terrorisme ? Parce que c’est local ? Parce que ce sont des Juifs ? Parce que ça s’est passé en Israël ?

Ces propos sont ahurissants, criminels, inqualifiables. Et pourtant, elle les a tenus en direct, au calme. Sans que personne n’ose la contredire ou couper le micro devant la gravité de ses propos. 

Rima Hassan n’est ni une élue républicaine, ni une militante de la paix. Elle est un agent du chaos organisé. La vitrine soignée du Hamas. Le bras idéologique des Frères musulmans. Une pièce stratégique, placée volontairement dans leur plan de conquête.

Il ne faut plus tourner autour du pot. Les Frères musulmans ont un plan pour prendre le pouvoir en France. Et ils l’exécutent, méthodiquement. Ils infiltrent les médias, les ONG, les universités, les syndicats, les partis politiques, les institutions, et aujourd’hui, ils ont leurs pions dans les assemblées, leurs relais sur les plateaux, leurs soutiens dans la presse. Le Hamas est leur bras armé. Et leur idéologie a été résumée sans détour par leur guide, Youssef al-Qaradâwî, qui a publiquement déclaré : « Avec vos lois démocratiques, nous vous dominerons. Avec nos lois coraniques, nous vous écraserons. »

C’est exactement ce qui est en train de se produire. Et Rima Hassan en est la preuve vivante. Elle est la démonstration concrète que leur stratégie progresse, étape après étape, sans résistance.

Elle veut faire gagner La France insoumise, ce mouvement devenu totalement perméable à l’islamisme politique, qui propage l’antisémitisme et justifie la haine anti-occidentale. Elle veut imposer cette idéologie dans une conquête politique. Elle est une menace directe pour la République. Elle est dangereuse. Radicalisée. Organisée. Stratège, elle n’est pas seule. Elle est soutenue, entourée, promue.

Elle aurait dû être démise de son mandat depuis longtemps et interdite d’accès à toute parole politique. Elle aurait dû être poursuivie pour apologie du terrorisme.

Mais non. Elle continue. Elle parle. Elle monte. Elle teste les limites d’un système qu’elle méprise et qu’elle veut détruire de l’intérieur. Et pendant ce temps, Emmanuel Macron reste silencieux.

Pire, il défend la création d’un État palestinien, sans condition et déroule le tapis rouge, au lieu de défendre les principes de notre République.  Il ne combat pas le terrorisme islamiste. Pour séduire certains électorats, il sacrifie la France et ses enfants.

Comment ne pas être écœurée et révoltée par se qui se passe ? Rima Hassan me trouvera sur son chemin. Je me battrai. Je parlerai. Je dénoncerai. Parce que je refuse de voir la France tomber entre les mains d’une idéologie islamiste qui hait nos valeurs, nos libertés, notre culture, notre peuple. Je n’ai pas peur d’eux. Je sais exactement qui ils sont. Je sais ce qu’ils veulent. Et je sais comment ils avancent.

Le 7 octobre, ce n’était pas un accident. C’était un programme. Et aujourd’hui, ce programme a des relais à Paris, à Bruxelles, à Strasbourg. Rima Hassan défend des terroristes et des assassins en direct. Les Français doivent se réveiller. Et refuser cette soumission programmée face au terrorisme islamiste.

Se taire, c’est être complice. Nous devons protéger notre patrie, résister, et empêcher la France de sombrer dans cette folie. Je serai là, je ne me tairai pas.

Nous devons être de plus en plus nombreux à l’exprimer, à le dénoncer, à agir concrètement.

Henda Ayari


Via Frédéric Antès:

Je comprends que nos belles âmes Humanistes s'étonnent à propos de Palestiniens postant des discours d'Hitler sur leurs réseaux sociaux.

En effet, ils ne savent pas que le "Père" du nationalisme palestinien, Hadj Amin Al-Husseini, Grand Mufti de Jérusalem, grand-oncle de Yasser Arafat était l'allié des nazis, et qu'ils ne font que perpétuer son "œuvre".

"La condition précise de notre collaboration avec l’Allemagne était l’entière liberté pour éliminer les Juifs, jusqu’au dernier, de la Palestine et du monde arabe. J’ai demandé à Hitler son accord explicite pour nous autoriser à résoudre le problème juif d’une façon bénéfique à nos aspirations raciales et nationales et conforme aux méthodes scientifiques que l’Allemagne a inventées pour s’occuper de ses Juifs. La réponse que je reçus fut : les Juifs sont à vous.”

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Amin al Husseini, Mémoires. Rencontre avec Hitler du 28 novembre 1941.


Lettre du Grand Rabbin de Strasbourg Harold Weill, adressée à notre ministre des affaires étrangères Jean -Noël Barrot.

Lettre ouverte à Monsieur Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères.

 

Objet : De la parole comme arme – ou quand la rhétorique ministérielle recharge les fusils.

 

Monsieur le Ministre,

Il est des phrases que l’on prononce comme l’on jette un pavé dans la mare, espérant quelques remous et quelques titres de presse ; mais certaines, par leur ignominie intrinsèque, se transforment en projectiles. Vos récents propos : « Qui sème la violence, récolte la violence », prononcés à propos d’Israël, ne relèvent pas d’un banal dérapage diplomatique : ils constituent une faute morale, historique et politique d’une gravité abyssale.

Permettez que je me présente : je m’appelle Harold Avraham Weill, je suis l’ancien Rabbin de Toulouse.

Le 19 mars 2012, je n’ai pas « lu » l’horreur dans un rapport ministériel ou dans la presse à scandale.

Je l’ai entendue dans les cris étouffés, sentie dans les silences des vivants, vue dans les yeux ouverts des enfants assassinés.

Ce jour-là, Mohamed Merah, terroriste islamiste nourri à la haine des juifs, abattit de sang-froid Jonathan Sandler et ses deux fils, Gabriel et Arieh, ainsi que Myriam Monsonego, âgée de sept ans, tous les quatre de mémoire bénie. Devant l’école Ozar Hatorah. Devant des témoins.

Devant le monde.

Et pour justifier son geste, il invoqua, avec une effrayante familiarité, le même sophisme glaçant que celui que vous venez de proférer, la même réthorique nauséabonde : « Israël tue des enfants, je tue des enfants »…

Qu’une telle infamie ressurgisse sous la plume ou dans la bouche d’un ministre de la République française en 2025 ne relève pas de la maladresse, mais du renoncement, au sens tragique du terme. Renoncement à la clarté morale, renoncement à la rigueur intellectuelle, renoncement au devoir de protection de tous les citoyens français, dont les Juifs, depuis l’affaire Dreyfus jusqu’à nos jours, savent trop bien combien le sol peut devenir instable sous leurs pieds. 

Monsieur le Ministre, en parant de causalité morale ce qui relève de la haine pure, vous ne vous contentez pas de blesser la mémoire : vous tendez l’arme à ceux qui guettent une caution pour appuyer sur la détente.

Et croyez-moi, ils sont bien plus nombreux que vous ne l’imaginez.

Vous ne placez pas une cible sur le dos des Juifs de France, vous ouvrez la mitraille.

Votre phrase est une rafale, votre langage une complicité.

Qu’un État comme Israël, assiégé, lacéré par les roquettes, endeuillé par le pogrom du 7 octobre, puisse encore susciter des critiques, cela relève du débat légitime. Mais que l’on établisse une symétrie morale entre ceux qui massacrent des enfants et ceux qui les pleurent, entre des tueurs fanatisés et un peuple retranché dans la survie, cela n’est plus de l’aveuglement : c’est de l’indignité.

À ceux qui veulent la guerre, vous offrez la grammaire. À ceux qui veulent la mort, vous offrez le lexique.

Ils n’en demandaient pas tant. 

Je vous conjure de retirer ces paroles, non par tact politique, mais par décence humaine.

Et si vous ne le faites pas, alors sachez qu’il restera toujours des voix, rabbiniques, laïques, citoyennes, pour rappeler que la parole, en démocratie, peut tuer.

Et que face à l’histoire, nul ministre ne saurait plaider l’ignorance.

Recevez, Monsieur le Ministre, l’expression de ma profonde indignation et de mon impérieux devoir de mémoire.

Harold Avraham Weill

Grand-Rabbin de Strasbourg et du Bas-Rhin.

Ancien Rabbin de Toulouse.


Il faut dire les choses.

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On a accueilli Nour Atalla, réfugiée palestinienne de 25 ans, soi-disant pour des raisons humanitaires.

On lui a offert une bourse.

On l’a logée — par le directeur de Sciences Po Lille lui-même.

On lui a ouvert les portes de nos institutions les plus prestigieuses.

Tout cela pendant que des Français vivent dans leur voiture, que des familles ici n’ont même plus de quoi manger.

Et que fait-elle ?

Le 9 octobre 2023, deux jours seulement après le massacre du 7 octobre, elle partage sur les réseaux un appel à filmer en haute qualité l’exécution des otages.

Plus tard, en septembre 2024, elle glorifie Hitler, le qualifiant de « visionnaire », et partage des propos antisémites ignobles.

Et les autorités ? Silence. Rien. Inaction.

Pire : elles continuent de protéger ce genre de profil.

Il ne s’agit pas d’un simple dérapage.

Il ne s’agit pas seulement d’un problème pour la communauté juive.

C’est un danger pour toute la France. Pour tous les Français.

Parce que ces individus ne cherchent pas l’asile. Ils cherchent à infiltrer, à détruire, à répandre leur haine au cœur même de nos institutions.

Il est temps d’ouvrir les yeux.

Stop à cette naïveté suicidaire.

Stop à l’accueil de ceux qui crachent sur notre pays.

Stop à cette inversion des valeurs où les ennemis de la République sont récompensés pendant que nos propres citoyens sont abandonnés.

La France mérite mieux. Les Français méritent mieux.

Alain Azria 

Photo capture écran RMC


Non, Emma n’a pas été kidnappée.

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Elle a embarqué de son plein gré sur un bateau qui tentait de forcer un blocus maritime qu’elle savait parfaitement illégal selon les lois israéliennes, et discuté au niveau international. Elle connaissait les règles, elle connaissait les risques, elle les a assumés.

Ce n’est donc pas un kidnapping, mais une interpellation liée à une infraction volontaire.

Maintenant, elle entame une grève de la faim : c’est son droit, c’est un choix personnel. Mais il faut être honnête : les otages à Gaza, eux, n’ont pas ce choix. Ils ne mangent pas, ou très peu, pas parce qu’ils protestent, mais parce qu’on les affame. On ne les a pas arrêtés pour un acte politique, on les a enlevés parce qu’ils étaient israéliens, enfants, femmes, vieillards, civils.

Il ne faut pas tout mettre sur le même plan.

Alain Azria


Je partage ici la position pragmatique et lucide de la Députée européenne de Reconquête: Sarah Knafo sur la décision solitaire d'Emmanuel Macron de reconnaître en septembre, devant l'ONU, un État palestinien :

DÉBUT DE CITATION 

Reconnaitre un État palestinien aujourd’hui, est-ce la solution ?

Mettons de côté un instant le triste symbole, où moins de deux ans après les atrocités commises par le Hamas le 7 octobre, il se voit offrir la reconnaissance d’un État par un grand pays comme le nôtre. Étudions les conséquences de ce choix. 

Un État, c’est un territoire, une autorité politique, une armée. Aujourd’hui, sur quel territoire se situerait cet État palestinien ? Avec quelle armée, sous quel commandement et sous quelle autorité politique ? 

Regardons la réalité en face : la population de Gaza a élu le Hamas. En 2024, selon le Palestinian Center for Policy and Survey Research, 60 % des Palestiniens soutenaient encore cette organisation djihadiste, malgré les destructions, malgré le 7 octobre et malgré la guerre. 

Il ne s’agit pas d’assimiler définitivement tout un peuple à un groupe terroriste, car un jour sans doute, la population palestinienne s’émancipera de ses bourreaux. Il s’agit de constater qu’au moment où nous parlons, le Hamas s’est enraciné dans une part massive du corps social. Et si vous doutez encore, regardez les félicitations immédiates du Hamas à Emmanuel Macron : ils savent d’avance qu’ils seront les premiers bénéficiaires. Puis demandez-vous pourquoi les pays arabes voisins refusent d’accueillir les réfugiés de Gaza. L’Égypte a été catégorique : pas question d’ouvrir sa frontière. Avec plus d’un Gazaoui sur deux qui soutient le Hamas, l’Egypte, qui a déjà fort à faire avec la menace des Frères musulmans, n’a aucune envie de déstabiliser son équilibre national. Au même moment, en France, des juges nous obligent à accorder à chaque habitant de Gaza l’asile chez nous.

Alors, quel est le problème à offrir aujourd’hui un État qui tombera certainement aux mains du Hamas ? Le problème, c’est que le Hamas ne rêve pas d’écoles, d’infrastructures et de prospérité pour sa population. Un État palestinien ne règlera donc aucun des problèmes humanitaires. Non, le Hamas rêve de raser Israël. C’est écrit noir sur blanc dans sa charte. Article 7 : « Le Hamas aspire à la réalisation de la promesse d’Allah, peu importe le temps que cela prendra. Le Prophète a dit : « L’Heure du Jugement n’adviendra pas tant que les musulmans n’auront pas combattu les Juifs en les tuant, au point que le Juif se cachera derrière les pierres et les arbres, et que les pierres et les arbres diront : Ô musulman, ô serviteur d’Allah, un Juif est derrière moi, viens et tue-le. ». L’article 8 donne le slogan du Hamas : « Le Coran est sa Constitution. Le Djihad est son chemin, et la mort pour Allah est le plus noble de ses souhaits. »

On est loin de la Constitution d’un Etat moderne soucieux de son peuple ! Quelle base de négociation peut-on bâtir là-dessus ? Quel plan de paix peut tenir face à une telle volonté d’anéantissement ? Emmanuel Macron peut-il ignorer tout cela ?

À terme, on ne peut que rêver d’une solution à deux États, où la paix est établie et où chacun peut se concentrer sur le bien-être de sa population et son propre développement. Qui pourrait souhaiter une guerre éternelle avec ses voisins ? Mais il est des moments où des solutions idéales sur le papier sont impraticables dans la vraie vie. 

Emmanuel Macron ne fait donc que s’agenouiller devant une illusion diplomatique. Il le fait sans doute par calcul, par cynisme, par narcissisme. Quelles que soient ses raisons, on ne fait pas la paix avec un mouvement qui a pour objectif votre disparition. On ne fonde pas un État sur le sang des innocents. Et on ne récompense pas le djihad par un siège à l’ONU.

FIN DE CITATION


COMMUNIQUE DE PRESSE

Réaction à la décision de reconnaissance unilatérale de l’Etat de Palestine par la France

Paris, le 25 juillet 2025 - Le Consistoire Central de France exprime avec gravité et regret la profonde inquiétude de la communauté juive de France face à la décision annoncée par le Président de la République visant à une reconnaissance unilatérale de l’État palestinien par la France en septembre prochain.

Une telle décision serait prématurée, contraire à la réalité du terrain et lourde de conséquences pour la sécurité des Juifs, en Israël comme en France, si elle n’est pas assortie des conditions préalables que sont la libération immédiate de tous les otages israéliens, le désarmement total du Hamas, l’engagement des pays voisins à former une force de sécurité dans ces territoires et la reconnaissance de l'État d’Israël par tous ses voisins dans la suite des Accords d’Abraham. 

Le Consistoire sait les efforts constants qu’a déployé précédemment le Président de la République afin d’obtenir la libération des otages, c’est pourquoi il estime que cette exigence doit être un préalable requis à toute reconnaissance, ce qui n'est hélas pas le cas aujourd'hui.

Alors que le Hamas, organisation terroriste qui contrôle toujours la bande de Gaza, continue d’appeler à la destruction de l'État d’Israël et d’organiser des attaques meurtrières incessantes tout en détenant des otages israéliens dans des conditions inhumaines, reconnaître aujourd’hui un État palestinien reviendrait à légitimer de facto des forces qui rejettent toute paix et encourager celles qui prônent la violence.

Le Président du Consistoire et le Grand Rabbin de France rappellent en outre que la paix ne saurait être imposée de l’extérieur : elle doit naître d’un processus négocié, avec des partenaires légitimes qui reconnaissent le droit d’Israël à exister et s’engagent avec sincérité pour une coexistence apaisée.

Mais au delà du Proche-Orient et de la satisfaction exprimée par le Hamas, cette décision aurait aussi des répercussions graves ici, en France, alors que l'antisémitisme connaît une progression exponentielle dans notre pays. 

Les actes de haine, les insultes et les violences contre les Français juifs se multiplient en effet à un niveau inédit depuis des décennies. Cette reconnaissance unilatérale, dans le contexte actuel d'antisémitisme accru et d'antisionisme forcené, risquerait donc d’exposer encore davantage la communauté juive à la haine et aux agressions.

Dans ce moment critique, le Président du Consistoire et le Grand Rabbin de France en appellent solennellement au sens des responsabilités historiques de la nation qui a su offrir au monde la liberté, l’égalité et la fraternité.

Ce geste symbolique, sans les conditions requises au préalable, serait déséquilibré et ne ferait donc qu’affaiblir les modérés, encourager les extrémistes et accroître le danger pour les Français juifs déjà pris régulièrement pour cibles.

La communauté juive de France attend de la République qu’elle reste fidèle à ses valeurs et à sa mission : protéger tous ses citoyens, lutter sans faiblesse contre l’antisémitisme sous toutes ses formes et soutenir les conditions d’une paix véritable et non d’une paix illusoire, partout dans le monde.

Haim Korsia 

Grand Rabbin de France 


Un soldat des Forces de défense israéliennes a été tué en combattant les terroristes du Hamas dans le sud de la bande de Gaza, a annoncé les militaires mardi matin.

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Le soldat déchu a été identifié comme étant le sergent-major. (réserviste) Vladimir Loza, 39 ans, du 7020e Bataillon de la 5e Brigade.

Mes prières à tous ses proches et à tout Israël


COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU CRIF

L’annonce de la reconnaissance d’un Etat palestinien en septembre sans conditions préalables est une faute morale, une erreur diplomatique et un danger politique.

Il y a 3 mois, le Président de la République annonçait envisager de reconnaître un Etat palestinien, sous conditions notamment de la libération des otages encore retenus à Gaza et de la reddition du Hamas.

Aujourd’hui, aucune de ces conditions n’est réunie. 

L’annonce d’une reconnaissance de l’Etat palestinien en septembre s’inscrit ainsi en totale opposition avec les propres déclarations précédentes du Président de la République.

Le Crif rappelle également que 78% des Français sont opposés à cette reconnaissance sans condition préalable (sondage IFOP - juin 2025) 

👉 Une faute morale 

Quelles que soient les intentions du Président de la République, cette reconnaissance sera brandie par le Hamas comme une victoire symbolique et une récompense du terrorisme du 7-Octobre, qui ont fait plus de 1200 victimes dont 50 citoyens français.

👉 Une erreur diplomatique

En accordant aux Palestiniens en début de processus ce qu’ils doivent obtenir à la fin, cette reconnaissance prématurée incitera la partie palestinienne à ne plus faire aucun compromis, favorisant l’échec de futures négociations. 

👉 Un danger politique 

En France, cette reconnaissance prématurée de l’Etat palestinien galvanisera LFI qui a fait de Gaza un slogan électoral et tous les agitateurs antisémites qui dévoient la cause palestinienne pour justifier de s’en prendre aux Français juifs.

Exiger que les conditions minimales soient réunies pour sa reconnaissance, ce n’est pas rejeter un Etat palestinien, c’est favoriser le jour venu une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens.