Que cela plaise ou non aux tenants de la conquête islamique et aux adeptes de la victimisation arabe, la vérité historique est claire : la Palestine a toujours été juive. Elle l’était bien avant Mahomet, avant l’islam, avant les califats, et elle l’est aujourd’hui sous le nom d’Israël.
Cette réalité, évidemment, dérange. Elle dérange les musulmans enfermés dans leur fantasme de domination, elle dérange les Arabes convaincus que toute terre foulée un jour par un pied musulman leur appartient pour l’éternité, et elle dérange la communauté internationale, toujours prompte à plier le genou devant l’idéologie de l’Islam, même au prix de la vérité.
Mais les faits sont têtus.
En 1947, l’ONU a reconnu ce lien éternel entre les Juifs et leur terre ancestrale. Et en 1948, ce lien s’est matérialisé par la proclamation de l’indépendance de l’État d’Israël sur une terre que les Juifs n’avaient jamais cessé d’habiter, sauf quand un grand nombre d’entre eux en furent chassés par les envahisseurs arabes et autres occupants. Depuis, les Israéliens, unis, ont fait refleurir cette terre désertique, l’ont bâtie, défendue, aimée, et en ont fait une démocratie florissante au cœur d’un océan de dictatures.
Et pour que les choses soient parfaitement claires : Jérusalem est, et restera, la capitale éternelle d’Israël.
Alors oui, certains musulmans éclairés, cultivés, honnêtes, reconnaissent que la Palestine n’a jamais été une terre d’islam, et qu’elle ne le sera jamais. Ce serait bien que les autres suivent. Il est temps de sortir du délire victimaire, de cesser d’agiter les mensonges comme des drapeaux, et de regarder l’histoire dans les yeux.
Car ce n’est pas la vérité qui doit s’adapter à l’idéologie, mais l’idéologie qui doit plier devant la vérité.
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