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Cette photo ne date pas de 1945. Elle ne sort pas d’un camp nazi. Elle a été prise en 2025, au cœur du monde dit « civilisé ».

Ce corps décharné, squelettique, martyrisé, c’est celui d’Evyatar David, enlevé par les terroristes du Hamas le 7 octobre. Son regard vide. Ses os saillants. Son dos voûté par la souffrance. C’est l’image insoutenable d’un jeune homme qu’on a laissé pourrir vivant. Une Shoah lente. Une réédition d’Auschwitz. Non pas à ciel ouvert, mais dans les tunnels.

Et pendant ce temps…

Rima Hassan, décorée par la République, chouchoutée par les plateaux télé, ose affirmer que le Hamas est un « mouvement de résistants » pas des terroristes.

Pendant ce temps, Emmanuel Macron, président de la cinquième puissance mondiale, déroule le tapis rouge à la cause palestinienne , il ouvre grand les portes de la France aux Gazaouis et se dit favorable à la création d’un État, sans même exiger la libération de tous les otages juifs. C’est une honte historique. Une complicité par lâcheté.

Où sont les Unes ?

Où sont les larmes internationales ?

Où sont les cris d’alarme ?

Ils auraient explosé si Evyatar avait été palestinien. Mais il est Juif. Et quand un Juif meurt de faim, ça ne fait pas vendre.

Quand un Juif est affamé, torturé, exposé comme trophée, le monde détourne les yeux.

La barbarie devient « résistance », les bourreaux deviennent « victimes , les femmes sont violées, massacrées, les enfants pris en otage sont assassinés de sang froid, les hommes torturés, affamés, emprisonnés dans les tunnels obscurs de Gaza, les martyrs israéliens deviennent invisibles et n’intéressent pas grand monde.

Ce n’est pas un oubli. C’est un choix. Une hiérarchie de l’indignation. Une haine du Juif qui ne dit pas son nom.

Pendant que les terroristes du Hamas détournent les milliards d’aides internationales, pendant qu’ils confisquent des tonnes de nourriture à la population, pour ensuite dénoncer une famine dans les médias internationaux, 

Pendant qu’ils transforment les hôpitaux en bunkers, les écoles en arsenaux, et les enfants en boucliers humains,

Les Juifs, eux, crèvent réellement de faim, enfermés comme des rats dans des tunnels, sous terre, dans l’obscurité, dans le silence, dans la peur.

Le monde ne voit rien. Parce qu’il ne veut pas voir. Parce que la souffrance juive ça ne fait pas vendre.

En 2025. On affame, on torturé, on massacre à nouveau des Juifs. Et cette fois, ce n’est plus au nom du Reich. C’est au nom de la cause palestinienne.

Je pense à la maman de ce jeune homme.

À cette femme qui regarde le visage ravagé de son fils. À cette mère qui ne dort plus depuis des mois, qui attend un miracle, qui hurle en silence.

Je n’ose imaginer la douleur d’une mère devant l’image de son propre enfant en train de mourir de faim.

Quel monde peut tolérer cela ?

Quelle cause peut justifier cette cruauté ?

Et après, certains osent accuser le gouvernement israélien de vouloir défendre son peuple.

De chercher à libérer ses otages.

De résister à la barbarie.

Alors que c’est son devoir le plus sacré. Son droit le plus légitime.

Voilà le nouveau visage de la haine, ce n’est plus un uniforme nazi, c’est un keffieh dégoulinant de sang.

Ce ne sont plus des slogans aryens,

ce sont des cris de « free Palestine » qui célèbrent la mort.

Ce ne sont plus des camps, ce sont des tunnels. Mais la fin est la même, exterminer le Juif.

Et le monde regarde ailleurs. Encore.

Henda Ayari

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