Pierrefitte@Venir

Le 4 Juillet 1415.   

Renonciation du Pape Grégoire XII,  à Rome. Elle permet au concile de Constance de résoudre le Grand Schisme d'Occident par l’élection de Martin V le 11 novembre 1417 après la déposition des deux autres papes (Pise et Avignon).

L’antipape d’Avignon Benoît XIII (Pedro de Luna), en fuite après avoir rencontré l'empereur Sigismond à Perpignan en juillet se réfugie chez lui dans la citadelle de Peñiscola (Espagne). Il est définitivement déposé par le concile de Constance le 26 juillet 1417

Portrait de Grégoire XII comme Grégoire Ier. Peinture de van Wassenhove et Berruguete (vers 1476. Studiolo de Frédéric III de Montefeltro, Urbino).

IMB - Rappel à Dieu du Général Bernard CRUZET.

Notre proposition de loi PEA pour une épargne plus libre !

Chers amis, chers compagnons,

À l’UDR, nous portons une conviction forte : le redressement économique de notre pays passera par la liberté, le travail, l’investissement, et la confiance dans les forces vives de la Nation.

Dans cet esprit, nous avons déposé une proposition de loi ambitieuse pour réformer le Plan d’épargne en actions (PEA), levier essentiel de mobilisation de l’épargne vers notre économie.

Actuellement, le PEA permet aux Français d’investir dans un portefeuille d’actions d’entreprises françaises et européennes. Pourtant cet outil est aujourd’hui sous-utilisé : il ne représente que 1,8 % de l’épargne des ménages, contre 17 fois plus pour l’assurance-vie. En cause : des plafonds rigides, des règles complexes, et une fiscalité successorale dissuasive. Résultat : notre épargne part ailleurs, loin de nos entreprises, loin de notre croissance.

Notre proposition de loi repose sur trois évolutions majeures :

• Supprimer les plafonds de versement (aujourd’hui limités à 150 000 euros), pour permettre à chacun d’investir librement dans les entreprises françaises et européennes ;
• ⁠Aligner les règles successorales du PEA sur celles de l’assurance-vie, afin de faire du PEA un véritable outil de transmission de patrimoine, simple et juste ;
• Fusionner les différentes formes de PEA (PEA classique, PEA-PME, PEA Jeune) et supprimer l’interdiction de détenir plusieurs PEA, pour une simplification totale et une mise en concurrence des établissements bancaires.

C’est une réforme de liberté et de bon sens économique.

En quelques heures, notre texte a été massivement salué par les investisseurs, les entrepreneurs, les experts financiers, les plateformes d’épargne, et par toute la presse économique. Le Figaro, les Échos, la Tribune, Capital, tous se félicitent d’une "révolution pour l’épargne des Français", "intelligente, audacieuse et indispensable".

Oui, les Français sont prêts à investir dans leur avenir. Il est temps de leur en donner les moyens.

Si vous souhaitez nous soutenir, adhérez, faites adhérer ou renouvelez adhésion. Vous pouvez aussi faire un don en cliquant ici. Notre réforme du PEA n’est qu’une première étape. D’autres suivront, car nous croyons dans la France qui entreprend, qui transmet et qui construit.

Avec tout mon engagement,

Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République

Le 2 juillet 1798

L'expédition conduite par le jeune Général Bonaparte, 29 ans, débarque en Egypte près d'Alexandrie dans la nuit du 1er au 2 juillet 1798, après avoir pris l'île méditerranéenne de Malte. Elle a pour mission de couper la route des Indes aux Anglais.

Aujourd'hui cela 233 jours, 19 ans et demi, que je rencontrais pour la première fois, celle qui est devenue officiellement mon épouse, le 15 juin 2022. Madame Nawal Bouakra. Dite Nawel Boo sur le réseau social Facebook . 

Mon ombre, ma lumière, la force de mon combat quotidien, mon Olympe, mon oxygène, mon 3ème poumon, ma Rose unique au monde, ma Déesse Vénus Aphrodite à moi, ma Clémentine Churchill, mon Yvonne de Gaulle, ma véritable Monica Bellucci à moi, mon Impératrice Joséphine, mon Impératrice Élizabeth dit Sissi, mon fantasme absolu, ma Gabrielle D'Estree, mon Hélène de Troie, ma plus belle femme du monde à moi, mon plus beau rayon du soleil, le plus beau des couchers du soleil, ma fleur de lys, mon plus tableau, ma Reine Cléopâtre...

Dans ma vie, depuis mes Grand-parents de cœur, il y a plus de 42 ans, il y aura deux jours les plus importants pour moi: mon élection au poste de Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine, le 23 mars 2014 et mon mariage, le 22 juin 2022 !!!

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine

Le 1er juillet 1916

120 000 milles soldats britanniques montent à l'assaut, beaucoup ne reviendrons pas.

Ce jour sera le plus sanglant de l'histoire de l'armée britannique.

Aucun soldat n'arrivera à atteindre les tranchées allemandes. 

Le premier jours de la bataille de la Somme.

Après une préparation d’artillerie sans précédent.

À 7h30,les sifflés résonnent dans les tranchées.

120 000 anglais et français, montent à l'assaut. 

L'ordre est donné aux Britanniques, d'avancer en ligne, sans courir.

«Ils avançaient vers nous d'un pas lent et régulier, comme s'ils s'attendaient à nous trouver tous morts au fond des tranchées», se souvient un soldat allemand.

Les Allemands attendent le dernier moment pour actionner les mitrailleuses. 

Dans l'heure qui suit l'offensive, les pertes sont estimées à près de 3000 par minute, soit 50 par seconde.

Sur les 120.000 Britanniques partis à l'assaut ce jour-là, 40.000 sont blessés, 20.000 mourrons.

Au sud, les Français progressent plus facilement.

Rendons hommage à ces hommes, ces héros.

🔥 CANICULE ET ABANDON POLITIQUE : PIERREFITTE, VICTIME COLLATÉRALE D'UNE FUSION ?

À Saint-Denis, la mairie agit : elle mobilise des agents, ouvre des lieux de répit climatisés pour les plus vulnérables. Pendant ce temps, à la Commune déléguée Pierrefitte ? RIEN. Pas de cellule de crise, aucun lieu frais, aucun plan d’action. On nous parle de mutualisation, de “solidarité métropolitaine”, mais dans les faits, c’est le désert.

Et le plus révoltant ? Seulement 9 agents et 300 appels prévus pour TOUTES les personnes vulnérables à Saint-Denis ET Pierrefitte réunies. Une mesure dérisoire face aux enjeux. Quand une ville de 150 000 habitants comme Saint-Denis compte déjà bien plus de seniors que Pierrefitte, ce chiffre unique est non seulement ridicule, mais révélateur : on gère les urgences sociales à la louche.

📉 Cette "fusion dans les faits" se traduit déjà par l’effacement des priorités locales, l’abandon du soin aux plus fragiles.

🟥 La fusion ne doit pas servir de prétexte à l’effacement.

Quand une ville se noie dans une intercommunalité tentaculaire, elle perd sa voix. Et le silence, aujourd’hui, devient mortel.

Face à cette menace climatique grandissante, l’heure n’est pas aux jeux d’appareil, mais à l’unité. Pourquoi les élu·es de la commune nouvelle — toutes tendances confondues — ne se rassemblent-ils pas pour une réponse commune, puissante et digne ? Ce combat est transpartisan : il s’agit de protéger des vies. Point.

📣 Nous exigeons des actes concrets :

- Des lieux climatisés identifiés et ouverts à Pierrefitte

- Une cellule d’appel réellement adaptée à la population

- Une communication claire et ciblée pour les publics à risque

Pierrefitte n’est pas une sous-ville. C’est une commune à part entière. Et ses habitants ont droit à la même protection que les autres.

Vanina NOËL 

Conseillère Municipale Commune Nouvelle 

Élue au C.A du CCAS Commune Nouvelle 

Référente Parti Radical 

Vice-présidente Groupe Union Centriste Républicain et Divers Droite de la Commune Nouvelle

Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek et à une autre amie pierrefittoise d'origine polonaise: Alexandra Rosinski 

Deux insurgés polonais du bataillon "Kiliński" ouvrent le feu depuis une barricade de fortune dans les rues dévastées de Varsovie, le 24 août 1944.

La ville est en flammes. En ce 24 août 1944, les combats font rage dans la capitale polonaise occupée. Ces deux jeunes combattants de l'Armia Krajowa, appartenant au célèbre bataillon "Kiliński", luttent avec acharnement pour repousser les forces allemandes. Derrière eux, les immeubles éventrés, les gravats, les barricades de fortune — symboles de la Varsovie insurgée, dressée contre l’occupant nazi.

Leurs tirs visent un bâtiment tenu par l’ennemi, à travers une étroite ouverture entre les sacs de sable et les débris. Chaque mètre gagné est payé au prix fort. Mais ils tiennent, par devoir, par foi en une Pologne libre. Le soulèvement de Varsovie, lancé le 1er août 1944, est un acte de courage désespéré face à l’inaction de l’Armée rouge, postée de l’autre côté de la Vistule.

Ce cliché, pris au cœur de l’enfer urbain, témoigne du courage inouï de ces combattants de l’ombre. Deux visages parmi des milliers qui ont préféré la révolte à la résignation.