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La Prière à Sainte Marthe « Ô admirable Sainte Marthe, je compte entièrement sur votre aide dans mes besoins » :

« Ô admirable Sainte Marthe, j'ai recours à vous et je compte entièrement sur votre aide dans mes besoins et sur votre assistance dans mes épreuves. Comme remerciement, je vous promets de propager partout cette prière. Consolez-moi dans mes soucis et difficultés, je vous en prie humblement. Par l'immense joie qui a rempli votre âme lorsque vous receviez le Sauveur du monde dans votre demeure à Béthanie, je vous prie d'intercéder pour moi et ma famille afin que nous gardions Dieu dans notre cœur et qu'ainsi nous méritions d'obtenir le remède à nos nécessités spécialement dans la situation actuelle qui m'accable. Je vous en prie, Auxiliatrice de tous les besoins, aidez-nous à surmonter les difficultés, vous qui avez si victorieusement combattu le démon ».


Le 31 juillet

- Jean-François de la Morelie du Breuil, 41 ans, chanoine de Saint Yrieix ( Limoges), déporté, inhumé à l’ile d’Aix, 1794.

- Léonard-Joseph de Cramouzeaud, 55 ans, né à Eymoutiers (Haute Vienne), chanoine d’Eymoutiers, déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Joseph Cuignier, 70 ans, chanoine de Verdun, déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Dominique Héraud, prêtre du diocèse de Saint Flour, executé au Puy, 1794.

- François Rion, 42 ans, né à Coussay les Bois (Vienne), vicaire de Saint Phèle de Maillé (Montmorillon), déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Alexandre-Jean-Rosier, 51 ans, né à Tours, chanoine de Saint Gatien de Tours, détenu de Fort Hâ, mort à l’hôpital Saint André, 1794.

- Jacques Roufiac, curé de Saint Roman (Alais), exécuté à Mende, 1794.

- Jean-François moine, 54 ans, curé à Moirmoiron (Carpentras), guillotiné à Orange, 1794.


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Eh bien voilà. On y est. Petit à petit, les masques tombent, les intentions se révèlent, et les visages s’éclaircissent.

Rima Hassan vient d’exposer au grand jour ce qu’elle est réellement, un agent politique du Hamas.

Elle n’a pas glissé. Elle n’a pas commis une erreur de communication. Elle a sciemment, froidement, justifié les actes terroristes du 7 octobre, en expliquant que le Hamas ne serait pas comparable à Daesh… parce qu’il n’agirait pas à l’international. Voilà son niveau de pensée. Des massacres planifiés, des femmes violées, des enfants égorgés, des civils brûlés vifs… Et ce ne serait pas du terrorisme ? Parce que c’est local ? Parce que ce sont des Juifs ? Parce que ça s’est passé en Israël ?

Ces propos sont ahurissants, criminels, inqualifiables. Et pourtant, elle les a tenus en direct, au calme. Sans que personne n’ose la contredire ou couper le micro devant la gravité de ses propos. 

Rima Hassan n’est ni une élue républicaine, ni une militante de la paix. Elle est un agent du chaos organisé. La vitrine soignée du Hamas. Le bras idéologique des Frères musulmans. Une pièce stratégique, placée volontairement dans leur plan de conquête.

Il ne faut plus tourner autour du pot. Les Frères musulmans ont un plan pour prendre le pouvoir en France. Et ils l’exécutent, méthodiquement. Ils infiltrent les médias, les ONG, les universités, les syndicats, les partis politiques, les institutions, et aujourd’hui, ils ont leurs pions dans les assemblées, leurs relais sur les plateaux, leurs soutiens dans la presse. Le Hamas est leur bras armé. Et leur idéologie a été résumée sans détour par leur guide, Youssef al-Qaradâwî, qui a publiquement déclaré : « Avec vos lois démocratiques, nous vous dominerons. Avec nos lois coraniques, nous vous écraserons. »

C’est exactement ce qui est en train de se produire. Et Rima Hassan en est la preuve vivante. Elle est la démonstration concrète que leur stratégie progresse, étape après étape, sans résistance.

Elle veut faire gagner La France insoumise, ce mouvement devenu totalement perméable à l’islamisme politique, qui propage l’antisémitisme et justifie la haine anti-occidentale. Elle veut imposer cette idéologie dans une conquête politique. Elle est une menace directe pour la République. Elle est dangereuse. Radicalisée. Organisée. Stratège, elle n’est pas seule. Elle est soutenue, entourée, promue.

Elle aurait dû être démise de son mandat depuis longtemps et interdite d’accès à toute parole politique. Elle aurait dû être poursuivie pour apologie du terrorisme.

Mais non. Elle continue. Elle parle. Elle monte. Elle teste les limites d’un système qu’elle méprise et qu’elle veut détruire de l’intérieur. Et pendant ce temps, Emmanuel Macron reste silencieux.

Pire, il défend la création d’un État palestinien, sans condition et déroule le tapis rouge, au lieu de défendre les principes de notre République.  Il ne combat pas le terrorisme islamiste. Pour séduire certains électorats, il sacrifie la France et ses enfants.

Comment ne pas être écœurée et révoltée par se qui se passe ? Rima Hassan me trouvera sur son chemin. Je me battrai. Je parlerai. Je dénoncerai. Parce que je refuse de voir la France tomber entre les mains d’une idéologie islamiste qui hait nos valeurs, nos libertés, notre culture, notre peuple. Je n’ai pas peur d’eux. Je sais exactement qui ils sont. Je sais ce qu’ils veulent. Et je sais comment ils avancent.

Le 7 octobre, ce n’était pas un accident. C’était un programme. Et aujourd’hui, ce programme a des relais à Paris, à Bruxelles, à Strasbourg. Rima Hassan défend des terroristes et des assassins en direct. Les Français doivent se réveiller. Et refuser cette soumission programmée face au terrorisme islamiste.

Se taire, c’est être complice. Nous devons protéger notre patrie, résister, et empêcher la France de sombrer dans cette folie. Je serai là, je ne me tairai pas.

Nous devons être de plus en plus nombreux à l’exprimer, à le dénoncer, à agir concrètement.

Henda Ayari


Via Frédéric Antès:

Je comprends que nos belles âmes Humanistes s'étonnent à propos de Palestiniens postant des discours d'Hitler sur leurs réseaux sociaux.

En effet, ils ne savent pas que le "Père" du nationalisme palestinien, Hadj Amin Al-Husseini, Grand Mufti de Jérusalem, grand-oncle de Yasser Arafat était l'allié des nazis, et qu'ils ne font que perpétuer son "œuvre".

"La condition précise de notre collaboration avec l’Allemagne était l’entière liberté pour éliminer les Juifs, jusqu’au dernier, de la Palestine et du monde arabe. J’ai demandé à Hitler son accord explicite pour nous autoriser à résoudre le problème juif d’une façon bénéfique à nos aspirations raciales et nationales et conforme aux méthodes scientifiques que l’Allemagne a inventées pour s’occuper de ses Juifs. La réponse que je reçus fut : les Juifs sont à vous.”

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Amin al Husseini, Mémoires. Rencontre avec Hitler du 28 novembre 1941.


LE HÉROS DU JOUR:

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❤️ L'ABBÉ HÉNOCQUE (1870-1959) ❤️

Extrait de « La Voix de la Résistance »

(Juin 2008)

12 citations en 14-18: plus la peine de s'interroger sur son Courage.

« Seigneur Jésus, lance-t-il à la Messe d'Enghien, faites moi vivre assez longtemps pour voir ces gens qui souillent notre sol tourner les talons [...]» Voeu exaucé: déporté en 1944, l'abbé Hénocque reviendra. 🙏🏻✝️🙏🏻

L’Abbé Georges Hénocque est, à tous égards, une Figure exceptionnelle du clergé français.

Son héroïque conduite durant la guerre de 14/18 lui valut 12 citations et le titre « d’As des aumôniers militaires », décerné par les Poilus!

Son incapacité à accepter l’humiliante défaite de 1940 et l’occupation du territoire par les armées allemandes qui en découla, firent que son esprit et son cœur de Français furent, dès ce moment « en permanente révolte ». ❤️

Devait s’en suivre son attitude intransigeante face de l’ennemi, (Bravo!👏👏👏) illustrée par les propos anti-allemands qu’il tenait régulièrement du haut de sa chaire et qui eurent pour résultat une convocation de la Gestapo, le 29 juillet 1944, lui enjoignant de se présenter, trois jours plus tard, rue des Saussaies. Ce délai le surprit. En effet, généralement la Gestapo était plus expéditive.

Il pensa que quelqu’un, pour une raison ignorée de lui, avait voulu lui laisser le temps de fuir.

Il ne s’y résolut pas.

Manifestement victime d’une dénonciation, (hélas, procédé assez courant à l’époque), on lui reprocha les propos insultants qu’il tenait d’une manière habituelle à l’encontre des Allemands et plus particulièrement les termes de la péroraison de son dernier sermon, prononcé en l’église d’Enghien.

Lors de cette péroraison, il s’était en effet écrié: « Seigneur Jésus, faites-moi vivre assez longtemps, je vous en supplie, pour voir ces gens qui souillent notre sol tourner les talons et pour retrouver ma France dans l’honneur et la liberté. »

Il ne nia point et déclara assumer pleinement la responsabilité de ce qu’on lui reprochait. 👏👏

En conséquence de quoi il se retrouva, avec d’autres prisonniers, incarcéré à la prison de Fresnes. Ce fut ensuite Buchenwald puis Dachau. Il fut libéré par les Américains le 1er Mai 1945. l publia un livre en 1947: "Les antres de la bête: Fresnes, Buchenwald, Dachau"


La France n’a pas accueilli des réfugiés !

Elle a importé des bombes humaines abreuvées de haine, détestant les Juifs, vomissant l’Occident, prêtes à allumer l’incendie sur notre sol.

#NourAtallah en est l’exemple le plus flagrant. Elle est une admiratrice de Hitler, elle a applaudi les massacres du 7 octobre, et a regretté une seule chose, que ce ne soit pas mieux filmé. Et cette femme-là, l’État français la subventionne, avec l’argent des contribuables français. Billet d’avion, hôtels. Plus de 800 € par mois, financés par vos impôts. Pendant que des pays musulmans la refusent, la France l’accueille, la protège, la paie.

Le directeur de Sciences Po Lille, à lui-même hébergé cette antisémite haineuse personnellement à son propre domicile. Voilà jusqu’où va la compromission des élites gauchistes, héberger l’antisémitisme. L’excuser. L’installer. L’honorer. Soutenir des gens qui font l’apologie du terrorisme islamiste et qui apportent la haine dans notre pays.

Comme si il n’y avait pas assez d’antisémitisme jusqu’à présent, à cause d’un conflit importé par les pourritures de la LFI pro islamistes et pro immigration ! 

Le visage de cette femme incarne la haine et déchéance du monde politique macroniste. Obtenir un visa grâce au cabinet du ministre des Affaires étrangères, tout en glorifiant Hitler, révèle un mélange effarant d’incompétence, d’aveuglement idéologique et de trahison pure. Dans un pays normal, une haineuse pareille aurait été expulsée immédiatement. Elle ne serait pas restée 24 heures de plus en France. Par autorité. Par fermeté. Par honneur. Mais en Macronie, les antisémites sont choyés,

et les Français qui osent parler sont montrés du doigt. Ce n’est pas un cas isolé. Ils sont déjà 300 Gazaouis à être entrés sur notre territoire et à être financés par nos impôts. Nour Atallah est un nom parmi des centaines d’autres. Des profils tout aussi dangereux, infiltrés dans nos institutions avec la bénédiction d’un pouvoir qui trahit la France de l’intérieur. Ce n’est pas du laxisme. C’est une complicité active avec l’ennemi. Une politique suicidaire. Une trahison d’État. Les Français doivent se lever, maintenant. Dénoncer. Résister. Agir ! Chaque minute de silence les renforce. Chaque renoncement les rapproche de la victoire. Celui qui se tait est complice. Celui qui regarde ailleurs est responsable.

La France est en train de sombrer.

Et ce ne sont pas seulement les ennemis de l’extérieur qu’il faut combattre.

Ce sont ceux de l’intérieur. Ceux qui les ont laissés entrer ce sont eux les plus dangereux, les collaborateurs. Nous devons exiger la démission immédiate de tous les collaborateurs de cette infiltration islamiste. Ministres, hauts fonctionnaires, dirigeants d’institutions, vous avez trahi. Ils doivent partir ! 

Ce sont des traîtres à la nation, ils mettent le peuple français en grand danger !  Les Français ne doivent pas oublier les attentats islamistes qui ont fait des ravages dans notre pays, ils doivent se réveiller, dénoncer, manifester, s’organiser, lancer des pétitions et agir avant qu’il ne soit trop tard. Stop aux abus d’état ! Stop à l’accueil de réfugiés dangereux, stop à l’immigration incontrôlée ! Trop c’est trop ! Nous avons chacun une part de responsabilité pour remettre de l’ordre dans ce pays. 

Agissons avant qu’il ne soit trop tard.

Henda Ayari


Lettre du Grand Rabbin de Strasbourg Harold Weill, adressée à notre ministre des affaires étrangères Jean -Noël Barrot.

Lettre ouverte à Monsieur Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères.

 

Objet : De la parole comme arme – ou quand la rhétorique ministérielle recharge les fusils.

 

Monsieur le Ministre,

Il est des phrases que l’on prononce comme l’on jette un pavé dans la mare, espérant quelques remous et quelques titres de presse ; mais certaines, par leur ignominie intrinsèque, se transforment en projectiles. Vos récents propos : « Qui sème la violence, récolte la violence », prononcés à propos d’Israël, ne relèvent pas d’un banal dérapage diplomatique : ils constituent une faute morale, historique et politique d’une gravité abyssale.

Permettez que je me présente : je m’appelle Harold Avraham Weill, je suis l’ancien Rabbin de Toulouse.

Le 19 mars 2012, je n’ai pas « lu » l’horreur dans un rapport ministériel ou dans la presse à scandale.

Je l’ai entendue dans les cris étouffés, sentie dans les silences des vivants, vue dans les yeux ouverts des enfants assassinés.

Ce jour-là, Mohamed Merah, terroriste islamiste nourri à la haine des juifs, abattit de sang-froid Jonathan Sandler et ses deux fils, Gabriel et Arieh, ainsi que Myriam Monsonego, âgée de sept ans, tous les quatre de mémoire bénie. Devant l’école Ozar Hatorah. Devant des témoins.

Devant le monde.

Et pour justifier son geste, il invoqua, avec une effrayante familiarité, le même sophisme glaçant que celui que vous venez de proférer, la même réthorique nauséabonde : « Israël tue des enfants, je tue des enfants »…

Qu’une telle infamie ressurgisse sous la plume ou dans la bouche d’un ministre de la République française en 2025 ne relève pas de la maladresse, mais du renoncement, au sens tragique du terme. Renoncement à la clarté morale, renoncement à la rigueur intellectuelle, renoncement au devoir de protection de tous les citoyens français, dont les Juifs, depuis l’affaire Dreyfus jusqu’à nos jours, savent trop bien combien le sol peut devenir instable sous leurs pieds. 

Monsieur le Ministre, en parant de causalité morale ce qui relève de la haine pure, vous ne vous contentez pas de blesser la mémoire : vous tendez l’arme à ceux qui guettent une caution pour appuyer sur la détente.

Et croyez-moi, ils sont bien plus nombreux que vous ne l’imaginez.

Vous ne placez pas une cible sur le dos des Juifs de France, vous ouvrez la mitraille.

Votre phrase est une rafale, votre langage une complicité.

Qu’un État comme Israël, assiégé, lacéré par les roquettes, endeuillé par le pogrom du 7 octobre, puisse encore susciter des critiques, cela relève du débat légitime. Mais que l’on établisse une symétrie morale entre ceux qui massacrent des enfants et ceux qui les pleurent, entre des tueurs fanatisés et un peuple retranché dans la survie, cela n’est plus de l’aveuglement : c’est de l’indignité.

À ceux qui veulent la guerre, vous offrez la grammaire. À ceux qui veulent la mort, vous offrez le lexique.

Ils n’en demandaient pas tant. 

Je vous conjure de retirer ces paroles, non par tact politique, mais par décence humaine.

Et si vous ne le faites pas, alors sachez qu’il restera toujours des voix, rabbiniques, laïques, citoyennes, pour rappeler que la parole, en démocratie, peut tuer.

Et que face à l’histoire, nul ministre ne saurait plaider l’ignorance.

Recevez, Monsieur le Ministre, l’expression de ma profonde indignation et de mon impérieux devoir de mémoire.

Harold Avraham Weill

Grand-Rabbin de Strasbourg et du Bas-Rhin.

Ancien Rabbin de Toulouse.