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Info Pierrefitte:

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Voici, la nouvelle photo de profil que j'ai choisi et composé pour mes deux adresses mails et pour les réseaux sociaux: WhatsApp, Telegram, LinkedIn, Instagram et Twitter. En haut à gauche: le drapeau de République du Vietnam du Sud non communiste. En fond, la mer et Jésus-Christ. À droite: le Général de Gaulle et la Croix de Lorraine. Au centre: des fleurs de Lys pour la Monarchie. En bas: mon Mouvement politique principal: "Notre France". Et bien sûr au centre: votre ami: Jean-Pierre Renard  avec son Don du ciel: Do Quyen.

Jean Pierre Renard

Ancien Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Délégué Notre France pour la 1ère et pour la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis

Membre du Rassemblement du Peuple Français 

Membre du Cercle d'Action Légitimiste 

Membre de l'Institut de la Maison de Bourbon 

Membre de L'UPF

Membre du Souvenir Vendéen 

Membre des Républicains 


 

Adhésion Souvenir Vendéen
Souvenir Vendéen
 
Lun 15/03/2021 11:11
 

Cher Monsieur,

Nous vous informons que nous avons bien pris en compte votre adhésion 2021 et vous remercions de l’intérêt que vous portez à notre association.

Nos 4 Revues vous seront adressées par routage dès leur édition. Vous recevrez la revue de printemps dans les jours à venir (si ce n’était pas le cas, merci de nous informer par mail).

Bien cordialement

Le secrétariat


Le 15 Mars 1804:

Enlèvement du Duc d’Enghien

Cette recouvre l'enlèvement, le jugement et enfin l'exécution dans les fossés du château de Vincennes le 21 mars 1804, de Louis Antoine de Bourbon-Condé, duc d’Enghien, petit-fils du prince de Condé, à la suite d'une opération de la police secrète dirigée par Savary et menée par le Général Ordener.

Pour moi, c'est la tâche rouge de sang, du règne de Napoléon Bonaparte comme Premier Consul ! 

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 Le duc d'Enghien dans les fossés de Vincennes, par Jean-Paul Laurens (1873).


Info Pierrefitte:

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Comme chaque dimanche depuis 21 ans (l'après-midi depuis quelques mois, à cause, du Covid-19 et du couvre-feu), je viens juste d'assister à la messe à L'église St Gervais St Protais de ma paroisse de Pierrefitte. Pendant la célébration, j'ai eu une pensée très forte pour la petite Alisha (assassinée cette semaine à Argenteuil). 

J'espère que vous allez tous bien ?

Que Dieu vous garde toutes et tous. Car, nous tous sœurs et frères (en ce qui me concerne, je suis un catholique-traditionaliste pratiquant et un judéo-chrétien).

J'espère que vous allez tous bien ?

Très bon dimanche soir à tous.

Amitiés,

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine

Délégué Notre France pour la 1ère et pour la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis 


Hier, 17 heures - le Débat sur LCI

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La problématique Covid, devient une sorte de ritournelle, au point et comme le dit Henri Guaino qu'elle en devient banale, presque normale.

Ainsi toutes les mesures qui sont prises, et dont font parties les décisions privatrices de libertés, ont encore un peu plus morcelé la France, alors qu'en de tel moment de crise il conviendrait de l'unifier, de la souder.

A croire même que nos dirigeants prennent plaisirs à jouer aux roitelets  manipulateurs.

"Notre société est entrain de complètement dérailler" dit  Henri Guaino 

Un exemple tout frais ; notre premier ministre, vous savez le déconfinator expert, est tiraillé entre deux décisions :

1° reconfiner partiellement ou totalement

2° ouvrir grand la cage aux oiseaux

Cela devient pour lui un dilemme quasi Cornélien.

Comme nous avons à faire à des surdoués, on nous vend à grand coup de spot télévisuel l'engorgement des hôpitaux parisiens et pour rendre la chose encore plus dramatique on nous balance à la façon Rambo l'évacuation des malades vers nos hôpitaux de provinces !

Oui mais voilà au dire des colporteurs de bonnes nouvelles ces rotations concerneraient en tout et pour tout 6 malades !

C'est donc grâce aux 6 lits libérés qu'ils vont sauver "Willy" et désengorger les hôpitaux de Paris.

On se fout de qui !

Toujours comme le dit Henri Guaino, concernant la vaccination "on est à la ramasse"

La conséquence de notre perte d'indépendance décisionnelle et de production, fait que nous sommes devenus totalement dépendants de l'Europe, qui elle même est totalement incompétente pour gérer la relation client-fournisseur.

Du coup les labos s'en frottent les mains et nous devenons la risée de la classe.

Chapeau le premier de cordée !

Pour conclure mes petites réflexions, je reprendrai une fois de plus les mots d'Henri Guaino : " Quelle société voulons nous vraiment !"

Ça craque de partout, y compris à l'école, lieu normalement dédié à la quiétude, à la neutralité, mais que certains transforment en tribunes, en cours des miracles, en rings.

Oui je parle de la violence des mots et des poings.

Je suis d'une époque ou les différents étaient réglés au sein même de l'école, soit par l'entregent des élèves eux-mêmes, soit par l'autorité des surveillants, soit de façon encore plus radicale par l'intervention musclée du surveillant général et si cela ne suffisait pas, cela se terminait d'abord chez le directeur, puis direction porte de sortie.

C'est ainsi que +90 % des problèmes étaient réglés car nous n'étions pas tous des anges. 

L'exception étant exceptionnelle elle s'achevait parfois au commissariat et dans les cas extrêmes devant un juge.

C'est vrai que nous portions l'uniforme ou au pire les couleurs de l'école, que nous respections, d'ailleurs nous n'avions pas d'autres choix.

Juste un exemple, lorsqu'il y avait chamaillerie dans un bus, généralement cela ne trainait pas car le chauffeur doté des muscles de Popeye ,calmait tout le monde et  chacun d'entre nous connaissions d'avance le sort qui était réservé dans de pareils cas.

Alors oui éducation rime avec sanction, mais aussi correction pour que les causes ne produisent pas  les mêmes effets, nous nous le comprenions  généralement très rapidement à nos dépens.

Etait-ce dur ? 

Parfois oui, mais c'était juste et équitable et nous le savions.

En gardons nous un mauvais souvenir ? 

Assurément non et nous sommes même forts reconnaissants envers ceux qui nous ont accompagnés durant notre scolarité.

Bavouzet Pierrick 

Secrétaire général de Notre France 

http://www.notrefrance.fr/


Le spectre des accusations d’islamophobie refait surface.
 
A l’Institut d’Études Politiques ( IEP ) de Grenoble, un syndicat a accusé deux professeurs d’avoir tenu des propos islamophobes. Cela rappelle une même accusation qui a abouti à l’assassinat de Samuel Paty.
 
En effet, le jeudi 4 mars, des affiches ont été collées dans l’enceinte de Sciences Po à Grenoble où est écrit «Des fascistes dans nos amphis», «l’islamophobie tue» et nommant publiquement deux professeurs de l’établissement.
Une enquête pour «injure publique» et «dégradation» a été ouverte.
 
Mais d’où viennent ces accusations ? Elles remontent déjà à un groupe de travail en fin d’année dernière qui travaillait sur les discriminations. Puis un cours intitulé «Islam et musulmans dans la France contemporaine» n’a pas plu aux idéologistes. L’Union Syndicale, syndicat issu de la scission avec l’UNEF, Sciences Po Grenoble avait porté plainte le 27 février contre un des deux professeurs visés par les affichages. On pourrait croire que le syndicat prend comme alibi ce cours et en faisant monter la mayonnaise pour régler un différent avec l’un des professeurs.
 
Ainsi, la pression islamo-gauchiste se propage dans les universités, c’est un fait. Cette bien-pensance empêche la tenue de certains cours qui amènent à des débats, des questionnements, rien de plus normal. Le débat sur l’Islam devient tabou, mais quand on débat du christianisme, ça ne choque personne.
Non seulement, on peut reprocher l’attitude des syndicats gauchistes mais aussi des enseignants chercheurs qui mènent une cabale contre leurs collègues, soit par idéologie, soit par intérêt.
 
En tant qu’actuel étudiant en Licence d’Histoire, je soutiens les deux professeurs de l’IEP de Grenoble incriminés à tort car ils ont juste voulu débattre sur une notion «l’islamophobie ». Un professeur a juste refusé de mettre sur le même plan islamophobie et antisémitisme, cette idéologie qui est responsable de millions de morts. Cette simple observation a suffi pour qu’un syndicat appelle ses étudiants à dénoncer ce professeur pour racisme.
 
Ce n’est pas l’islamophobie qui tue mais les accusations d’islamophobie, cela s’est prouvé récemment.
 
La censure nous guette, voir pire, l’autocensure. Ne laissons pas les idéologies et les croyances l’emporter sur les sciences. La diversité d’idées est en danger, mise en danger par une certaine extrême gauche islamiste.
 
Où est passé l’esprit Charlie, l’esprit de la liberté d’expression ? Il est mort né. Ne laissons pas la dérive dangereuse se propager, ce serait abandonner notre avenir et notre liberté.
 
(Dimanche 14 mars 2021)
 
Valentin Logorio
Délégué National au Rassemblement du Peuple Français
Secrétaire général adjoint de l'UPF