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La photo de profil de ce blog, c'est la photo de mon grand-père Louis Renard lorsqu'en tant que soldat français il était prisonnier de guerre dans un camp en Allemagne sous les nazis, entre 1940 et 1945. Désormais, elle sera ma seule et ma dernière photo de profil sur le net. D'une part, pour lui rendre hommage et car c'est lui mon principal Héros ! Sans lui je n'aurais jamais fait de politique !

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Info Pierrefitte:

La SNCF et le RER D, c'est ça à Pierrefitte ! Quand la nouvelle Présidente de la région Île de France: Madame Valérie Pécresse va t-elle s'occuper très sérieusement des très gros problèmes sur cette ligne et donc respecter une partie de ses promesses ???! C'est l'homme qui utilise ce moyen de transport tous les jours pour se rendre à son travail (un CDD. Le Président LR de la région Nord Pas de Calais/Picardie: Monsieur Xavier Bertrand souhaite les supprimer idem les CDI pour un contrat unique afin que nous puissions avoir tous les mêmes droits...) et non le politique. 

JPR

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Info Pierrefitte:

En tant qu'élu municipal (j'étais le seul présents !) de notre citée, je suis allé vendredi dernier, au complexe sportif Pierre Machon, une nouvelle fois, soutenir l équipe de foot en salle de Pierrefitte‏ contre  Bagnolet en Coupe du 93 (on est les tenants), nous avons triomphé: 8 à 2 !!!...De merveilleux ambassadeurs pour notre commune ! 

JPR

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Né le 28 février 1533: Michel Eyquem de Montaigne (dit Montaigne)

Philosophe et moraliste de la Renaissance (1533-1592) né à Saint-Michel-de-Montaigne (Dordogne)
Il a pris une part active à la vie politique, comme maire de Bordeaux et comme négociateur entre les partis, dans le royaume alors en guerre.

Les Essais (1572-1592) ont nourri la réflexion des plus grands auteurs en France et en Europe, de Shakespeare à Pascal et Descartes, de Nietzsche et Proust à Heidegger.

La sagesse de Montaigne est une sagesse pour les gens ordinaires. « Qui ne se sent plus proche de Montaigne que de Socrate et d’Epicure, ou qui ne sent Montaigne plus proche de soi, tellement plus proche, tellement plus fraternel, oui, bouleversant de fraternelle proximité, plus intime que tout autre, plus éclairant, plus utile, plus vrai ?
Montaigne accepte de n’être pas un sage, et c’est la seule sagesse peut-être qui ne mente pas, la seule, en tout cas, que nous puissions viser, nous, sans mentir ni rêver. Est-ce encore une sagesse ?
Ceux qui ont lu les Essais savent bien que oui, et que c’est la plus humaine, la plus merveilleusement humaine (…) Montaigne est un maître, aussi grand que les plus grands, et plus accessible que la plupart. »

Il nous apprend à suivre la nature :
« La nature a maternellement observé ce principe que les actions qu’elle nous a enjointes pour notre besoin nous fussent très agréables également, et elle nous y convie non seulement par la raison, mais aussi par le désir : c’est une injustice de détériorer ses règles. »

à savoir rester libre :
« Mon opinion est qu’il faut se prêter à autrui et ne se donner qu’à soi-même. »

à ne pas se prendre au sérieux :
« La plupart de nos occupations sont comiques. Il faut jouer notre rôle comme il faut, mais comme le rôle d’un personnage emprunté. »

à se méfier de tous les extrémismes :
« Le peuple se trompe : on va bien plus facilement par les bouts, là où l’extrémité sert de borne d’arrêt et de guide, que par la voie du milieu large et ouverte, mais bien moins noblement et de façon moins estimable. »

à être tolérant :
« Je ne partage point cette erreur commune de juger d’un autre d’après ce que je suis. Je crois aisément qu’il y a des qualités différentes des miennes (…) Je conçois et crois bonnes mille manières de vivre opposées ; au contraire du commun des hommes, j’admets en nous plus facilement la différence que la ressemblance. »

et surtout à aimer la vie telle qu’elle est et à la goûter pleinement :
« J’ai un dictionnaire tout à fait personnel ; je « passe » le temps quand il est mauvais et désagréable ; quand il est bon, je ne veux pas le « passer », je le goûte à nouveau, je m’y arrête. Il faut « passer » le mauvais en courant et s’arrêter au bon. »

N’hésitons pas à bien accueillir les plaisirs voulus par la nature :
« Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors ; et même quand je me promène solitairement dans un beau verger, si mes pensées se sont occupées de choses étrangères pendant quelque partie du temps, une autre partie du temps je les ramène à la promenade, au verger, à la douceur de cette solitude et à moi. »

et à savoir les amplifier :
« Les autres ressentent la douceur d’une satisfaction et de la prospérité ; je la ressens comme eux, mais ce n’est pas en passant et en glissant. Il faut plutôt l’étudier, la savourer et la ruminer pour en rendre grâces comme il convient à celui qui nous l’accorde. Eux jouissent des autres plaisirs comme ils le font de celui du sommeil, sans les connaître. Afin que le « dormir » lui-même ne m’échappât point stupidement ainsi, j’ai trouvé bon autrefois qu’on me le troublât pour que je l’entrevisse. »
sans toutefois en être la dupe, en sachant qu’en tout cela il n’y a que vanité :
« Moi qui me vante d’accueillir avec tant de soin les agréments de la vie, je n’y trouve, quand je les considère ainsi avec minutie, à peu près que du vent. Mais quoi ! Nous sommes à tous égards du vent. Et encore le vent, plus sagement que nous, se complait à bruire, à s’agiter et il est content de ses propres fonctions, sans désirer la stabilité, la solidité, qualités qui ne sont pas siennes

Statue de Michel de Montaigne, en marbre blanc par Dominique Fortuné Maggesi, 1858 (Bordeaux, esplanade des Quinconces) (Jean-Marie DAVID Dinkley)

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Né le 28 février 1518: François de France duc de Bretagne

Dauphin de France, également duc de Bretagne sous le nom de François III de Bretagne (1518-1536) né au château de Tournon en Ardèche

Il est le fils aîné du roi de France François Ier et de Claude de France, reine de France et duchesse de Bretagne. il est titré dauphin de France à sa naissance, devenant ainsi l'héritier présomptif du royaume de France.
À la mort de sa mère en 1524, il devient duc de Bretagne mais ne gouverne pas puisque l'usufruit du duché est exercé par son père. Couronné duc de Bretagne à la suite de l'union du duché de Bretagne au royaume de France.

Le lendemain de la publication de l'édit d'union à Nantes, au cours de festivités hautes en couleurs, François fut couronné duc de Bretagne à Rennes le mercredi 14 août 1532.
Après qu'il se fut dépouillé du collier de l'ordre de Saint-Michel, il se para du collier de l'ordre de l'Hermine.
L'évêque de Rennes Yves Mahyeuc lui remit alors l'épée des ducs, bénit la couronne d'or et la lui posa sur le chef. Ainsi équipé, François III alla s'asseoir sur le trône et répondit amen à chaque phrase de la formule du serment énoncée par l'évêque.

Les quelques initiatives du jeune duc François III à l'égard de ses nouveaux sujets déplurent tant au roi qu'il l'éloigna de la Bretagne. Il ne gouverna jamais son duché dont l'usufruit était exercé par son père.

Duc de Bretagne, François III, Dauphin de France (Corneille de Lyon)
François Ier vers 1527 par Jean Clouet, Paris, musée du Louvre.
Claude de France (histoire-pour-tous.fr)

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" IL N'EST PAS INTERDIT D'ÊTRE RAISONNABLE..."

Ça y est ! Le départ de l'avant-primaire à droite est bel et bien lancé et la presse se régale de toutes les petites phrases, de tous les gestes "symboliques", de toutes les confidences de proches ou d'inspirateurs, et bien évidemment, de toutes les vacheries.

Et ça balance dur !

Et même s'il faut prendre avec prudence ces "révélations" gaillardement relayées par nos chers journalistes, on peut considérer que, globalement, "il n'y a pas de fumée sans feu" et que, au moins en substance, un nombre certain de ces "informations" n'est pas trop éloigné de la réalité.

Ainsi est la nature humaine, qui veut que les meilleurs ( car ils font tous partie des meilleurs, y compris ceux qu'on "n'aime pas" !) soient tellement doués qu'ils trouvent toujours du temps, même très occupés, pour dire tout le mal qu'ils pensent de leurs petits camarades.

Comme s'ils n'avaient pas d'autres arguments pour faire la différence.....

Ce n'est un secret pour personne: je soutiens François Fillon qui me paraît être "l'homme de la situation" à la fois "neuf" et expérimenté, courageux et sage, tranquille et déterminé, pour tout résumer celui qui a mené, de longue date, la réflexion la plus lucide et la plus approfondie sur la France et ses valeurs, et sur les français, leur potentiel et leurs travers, au point que son diagnostic est complet et son projet à la fois globale et cohérent.

Un vrai gaulliste, en somme, comme votre serviteur !

Et je ferai, parmi tous ceux qui le soutiennent et auxquels il a souhaité confier la mission de le représenter là où il ne peut pas aller, tout ce que je peux pour contribuer à l'aboutissement de sa candidature.

Mais qu'on ne compte pas sur moi pour déverser des tonneaux de bile sur ses concurrents.

Car Juppé, "le meilleur d'entre nous" comme se plaisait à le définir Chirac, qui s'y connaissait un peu en "personnel" politique, dispose des indispensables qualités qui peuvent légitimement permettre d'aspirer à la fonction suprême.

Le Maire, que j'ai appris à connaître lorsqu'il était le tout jeune et prometteur directeur de cabinet de Dominique de Villepin à Matignon, et que j'apprécie beaucoup pour sa pugnacité et son art de l'analyse incisive, a déjà une bonne partie du "paquetage" que doit posséder un aspirant-chef d'Etat.

Copé, adulé avant-hier et vilipendé hier, est pour moi un "vieux" compagnon de route (plus jeune que moi il est vrai !) dont le moteur d'ambition n'a d'égal que sa capacité conceptuelle et l'art de la mise en oeuvre, comme il l'a largement prouvé dans sa bonne ville de Meaux.

Mariton est un "agitateur" d'idée très prolixe et nécessaire, dont le propos vitaminé et par moment décoiffant est utile à son camp et dont le ton toujours précis, même s'il est parfois complexe, fait souvent mouche et pousse d'évidence à la réflexion.

Poisson est un homme à découvrir, qui assume solidement ses convictions démocrates-chrétiennes, et dont la verve et la force d'expression sont des atouts pour nos couleurs.

Morano sait déplaire à ceux qui ne veulent pas entendre certaines vérités: elle ne laisse pas personne indifférent. Il ne lui reste plus qu'à plaire au plus grand nombre...., ce dont elle a la totale capacité.

Et NKM, que je préfère appeler Nathalie, possède la très rare intelligence des sommets, celle qui, souvent dans notre histoire, a été indispensable à notre pays pour prendre la hauteur nécessaire au rebond puis à la nouvelle marche en avant. J'ai pour elle amitié, estime et affection et suis persuadé qu'elle sera, le jour venu, totalement incontournable.

Sarkozy est le phénomène de la bande, le seul capable d'être encore trublion, au bon sens du terme, après avoir assumé, et plutôt mieux que mal, les redoutables responsabilités du Président français confronté à la descente aux enfers de 2008 et suivantes. Il a les immenses qualités que ses travers récurrents masquent trop souvent, ce qui en fait le personnage controversé qui régale les commentateurs. Il serait à la fois désobligeant et ridicule de le dire d'ores et déjà "fini".

Je n'ai pas parlé des autres, s'ils devaient émerger, mais je les connaît tous suffisamment pour affirmer que la richesse de ce pool de postulants est trop précieuse pour l'altérer par des propos aussi destructeurs que légers.

Au risque d'enfoncer des portes ouvertes, j'affirme que nous n'aurons pas trop de la somme de tous les suffrages qui encourageront ces légitimes ambitions pour gagner la partie, en mai 2017 et sortir enfin le pays de l'ornière socialiste.

Épargnons-nous donc les propos à l'emporte-pièce, qui font plaisir aux proches et aux convaincus, mais qui ne font qu'éloigner de cette parcelle de crédibilité qui, seule, garantit la victoire finale.

Il vaut mieux consacrer toute son énergie à présenter son projet, à le défendre, et à le faire approuver par le plus grand nombre, plutôt qu'à se croire le plus fort car on aura concocté les formules les plus assassines.

Et pour vous en convaincre, pensez déjà à la belle photo de famille de ce premier rang où figureront dans la plus belle unité tous ceux qui auront espéré et dont l'espoir n'aura pas été concrétisé.

Le mieux serait que cette belle unité ne soit pas de façade.....

A moins qu'on veuille apporter quelques suffrages supplémentaires à dame Marine !

Bon dimanche à tous !

Ce dimanche 28 février 2016,

Guy GEOFFROY

Député Les Républicains de Combs La Ville 


COMMUNIQUE DE PRESSE

Le 27 février 2016

Refonte du droit du travail: le gouvernement met la charrue avant les boeufs !

Le projet de loi du gouvernement "visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs", un texte complexe de 51 articles et de 131 pages répond en partie aux demandes des grandes entreprises mais n'est pas applicable selon les experts aux TPE et PME .

Mais ce texte est à ce stade pour la gauche et et les syndicats un crime de lèse majesté qui foule au pied leurs tabous idéologiques. Il a donc toutes les chances de sortir en lambeaux du Parlement, sans parler des grèves à répétitions qu'il va provoquer.

En réalité compte tenu des blocages idéologiques de la société française, c'est une illusion de croire que le gouvernement -quel qu'il soit - peut réformer le code obèse du travail en abrogeant nombre de ses dispositions et y inscrivant un vent de liberté contractuelle s'il n'y a pas dans le tunnel du chômage une lumière de croissance et d'emplois.

Qui peut croire que les entreprises même libérées des seuils ou bénéficiant d'un barème plafond pour les indemnités prudhommales vont embaucher si elles n'ont pas des commandes ?

Cette approche juridique de la réforme du code du travail est un leurre.

Il faut renverser l'ordre des facteurs du problème : d'abord créer de la croissance puis dé-corseter le code du travail.

En effet la société française qui subit des pénuries économiques a toujours eu pour réflexe de rechercher la panacée à ses problèmes dans des règles juridiques pour se protéger. Les exemples sont nombreux dans l'histoire et vont des tickets de rationnement à la loi Allur de Duflot .

Ce dont l'économie française souffre le plus aujourd'hui c'est du manque d'investissement qui est en régression dramatique depuis 15 ans, ce qui correspond, soulignons le au passage, à l'entrée en vigueur de cette invention géniale qui devait nous donner les joies et l'allégresse de la croissance, oui vous avez devinez : l'euro !

Que cela plaise on non, il y a une corrélation totale entre l'entrée en vigueur de l'euro, la baisse drastique de nos investissements, la baisse de nos exportations et la montée du chômage, seuls les idéologues se refusent à l'admettre. Ce phénomène a d'ailleurs été précédé par la politique du Franc fort qui collait au Deutsche Mark entre 1992 et 2000, résultat 1 million de chômeurs en plus !

Une monnaie doit être adaptée à la force de son économie et non pas l'inverse !

N'ayez crainte l'heure de sortie de l'Histoire de cette monnaie artificielle va venir, ce n'est pas nous qui abandonnerons cette monnaie inadaptée , patience c'est elle qui nous abandonnera......sous la pression des marchés.....

Mais d'autres facteurs ont provoqué la chute des investissements et nous en sommes les seuls responsables, il s'agit de notre fiscalité, la meilleure au monde pour chasser l'épargne des Français qui émigre et créent des emplois partout sauf en France !

C'est sur ce levier qu'il faut agir et peu importe que dans un premier temps les recettes fiscales diminuent ou que les critères de Maastricht se dégradent ; on peut aussi faire des économies sur le nombre des agents publics qui collectent l'ISF - c'est l'un des secrets de la République les mieux gardés !

Mon propos ne se veut pas insolent, il vise la logique, réformer véritablement le code du travail sans en parallèle le retour de la croissance est illusoire car on va entrer dans de multiples blocages et conflits.

Après quatre années d'attentisme et d'inaction le gouvernement semble enfin prendre conscience du problème mais il met la charrue avant les boeufs.

Ça va tanguer, les frelons gauchistes veillent et ils vont s'en donner à coeur joie sur cet attelage mal agencé qui a toutes les chance de finir cul par dessus tête !

Jacques Myard

Député/Maire Les Républicains de Maison-Lafitte


AUX ÉCHOS : PROJET DE LOI EL KHOMRI: LE « OUI, MAIS » DE FRANÇOIS FILLON

Relisez l’interview donnée aux Échos sur le projet de loi de réforme du code du travail de Myriam El Khomri. En voici quelques extraits :

"Ce texte porte la marque de fabrique de François Hollande : l’incapacité à faire des choix."

"Il n’y a aucune cohérence dans son quinquennat avec ses aller-retour permanents entre des politiques socialistes malthusiennes et des politiques libérales en faveur de l’emploi."

SUR LA RÉFORME DU CODE DU TRAVAIL

"C’est incontestablement un texte qui va dans le bon sens (…) avec la priorité à l’accord d’entreprise et la possibilité de passer des accords offensifs de maintien dans l’emploi, le plafonnement des indemnités de licenciement..."

"Malheureusement, il y a un très grand risque que ces avancées servent de prétexte pour introduire des dispositions qui seraient un véritable recul en matière de liberté dans l’entreprise. (…) L’ajout d’un préambule au code du Travail constitué des 61 principes proposés par Robert Badinter serait une disposition régressive et dangereuse. Dans mon programme présidentiel, je veux réécrire le code du travail en le limitant aux normes sociales fondamentales. Là, on ne le réécrit pas mais on y ajoute 61 principes qui vont donner lieu à contentieux et être un facteur d’insécurité juridique pour les entreprises et les salariés."

SUR LA SUPPRESSION DE LA DURÉE LÉGALE DU TRAVAIL

"Je veux aller au bout du principe de liberté. Si l’Etat est légitime pour fixer la durée maximale du travail et pour être le gardien des grands principes, il doit laisser s’ouvrir de nouveaux espaces de liberté pour un dialogue social renouvelé."

SUR LES CONCESSIONS FAITES PAR BRUXELLES À DAVID CAMERON POUR TENTER D’ÉVITER LE "BREXIT" ET L’AVENIR DE LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE

"La réponse du Conseil européen aux demandes britanniques est lamentable ! (…) C’est un accord perdant-perdant. Pour David Cameron et le Royaume-Uni car la perspective d’un non au référendum est très élevée. Pour l’Union européenne car les peuples européens, à juste titre, ne supporteront pas les cadeaux faits à la Grande-Bretagne. François Hollande a été absent de cette négociation. Il aurait dû se saisir de cette crise pour obtenir une révision profonde des objectifs et du fonctionnement de l’Europe."

"Nous devons maintenant construire une Europe différente, avec plusieurs cercles et plusieurs stratégies sous peine de perdre tous les acquis d’un demi-siècle de coopération."

Mercredi 9 mars à 19h
Grand meeting de François Fillon

Assurer la sécurité des Français
Gymnase de la biodiversité,
44, rue Marcel Bontemps - Boulogne-Billancourt (92)
Metro : Pont de Sèvres (ligne 9)


Sondage: Une majorité de Français estime que Stéphane Le Foll est un mauvais Ministre de l'Agriculture

Une majorité de Français estime que Stéphane Le Foll est un mauvais ministre de l'Agriculture, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien et France Info publié ce samedi, jour de l'ouverture du Salon de l'agriculture.

Stéphane Le Foll est "plutôt un mauvais ministre" pour 53% des personnes interrogées, seulement 23% jugeant qu'il est "plutôt un bon ministre", 23% déclarant ne pas savoir qu'il est ministre de l'Agriculture.

Par ailleurs, les sondés soutiennent très largement (81%) les manifestations d'agriculteurs, qui multiplient les actions depuis le début de l'année pour protester contre des prix trop bas.