Ma citation du jour:
"Plus je vieillis et plus je trouve qu'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent et qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver".
Albert Camus
Ma citation du jour:
"Plus je vieillis et plus je trouve qu'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent et qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver".
Albert Camus
Joseph Bonaparte
Sous le Premier Empire, il est nommé prince français avec prédicat d'« Altesse impériale », est nommé grand-électeur de l'Empire et à ce titre régent pendant la campagne de 1805. En 1806, il est créé roi de Naples puis en 1808, roi d'Espagne. En 1814 et pendant les Cent-Jours, il est nommé lieutenant-général de l'Empire.
Joseph Bonaparte est destiné à l'état ecclésiastique mais privilégia le Barreau quand l’exil de la famille, conséquence de la brouille avec le chef corse Pascal Paoli, l'oblige à rejoindre la Provence. Le 1er août 1794, il épouse à Cuges-les-Pins, Julie Clary (1771-1845), fille d’un négociant de Marseille. Ils ont trois enfants : Julie Joséphine (1796-1796), Zénaïde Bonaparte (1801-1854) et Charlotte Bonaparte (1802-1839).
Après avoir été, grâce à son frère, nommé commissaire des guerres à l'armée d'Italie, il est, en 1796, élu par la Corse député au Conseil des Cinq-Cents. L'opposition des royalistes ne lui permet pas de siéger avant le coup d'État du 18 fructidor an V. Il entame en 1797 une carrière diplomatique, d'abord à Parme, puis à Rome auprès de Pie VI. Il quitte la ville après l'émeute du 28 décembre 1797 et le meurtre du général Duphot, son aide de camp. Il retourne alors siéger au conseil des Cinq-Cents et y tient un rôle effacé. Il tente cependant de concilier son frère Napoléon et le général Bernadotte lors des préparatifs du coup d'État du 18 Brumaire, le second étant devenu, par son mariage avec Désirée Clary, le beau-frère de Joseph. C'est à cette époque qu'il achète la propriété de Mortefontaine.
Membre du Corps législatif et du Conseil d'État, Joseph se consacre principalement aux missions diplomatiques du Consulat et signe le traité de Mortefontaine (1800) avec les États-Unis, la paix de Lunéville (1801) avec l'Autriche, et la paix d'Amiens (1802) avec le Royaume-Uni.
Le sénatus consulte proclamant l'Empire en 1804 désigne les potentiels héritiers du trône parmi la descendance de Joseph, Napoléon et Louis. Joseph devient alors altesse impériale et porte le titre de prince français. Il assure la régence de l'Empire pendant la campagne de 1805. En 1805, il est titulaire d'une des grandes dignités de l'Empire français en tant que grand électeur de l'Empire.
Devenu roi de Naples par décrêt impérial le 30 mars 1806, il tâche de se faire aimer de la population mais échoue à rallier la noblesse. Entouré d'une équipe très compétente (Saliceti, Roederer, Miot, Girardin, Dumas), il réforme les ordres monastiques et réorganise le système judiciaire, éducatif et financier. Sur ordre de l'empereur, il remet son royaume à son beau-frère Murat le 5 juillet 1808.
Joseph Bonaparte règne sous le nom de Joseph-Napoléon Ier dès son arrivée en Espagne. Son court règne ibérique est quasiment totalement occupé par les combats menés à la fois contre les insurgés espagnols et le général anglais Arthur Wellesley. À l'exception des périodes où Napoléon se trouve dans la péninsule, Joseph ne parvient pas à s'entendre avec les maréchaux commandant les forces françaises, à commencer par Soult.
Bien que ses réformes aient moins de succès qu'à Naples, l'un de ses actes les plus retentissants est l'abolition en 1808 de l'Inquisition espagnole qui sera rétablie par Ferdinand VII. Obligé de quitter deux fois Madrid devant l'approche des armées ennemies, Joseph abandonne son royaume et rentre en France en 1813 après la défaite de Vitoria.
Joseph Bonaparte est perçu par une majorité d'Espagnols comme un roi illégitime, un roi intrus. Ses ennemis lui attribuent le surnom de « Pepe Botella » (« Jojo la bouteille ») car ses premiers décrets ont concerné les boissons alcooliques et les jeux de cartes.
Lieutenant-général de l’Empire en 1814, avec mission de défendre la capitale (puis aux Cent-Jours), il ne peut maîtriser les évènements et quitte Paris en pleine Bataille de Paris à l’approche des alliés pour rejoindre l'Impératrice-régente à Blois après avoir donné l'autorisation aux maréchaux de capituler.
Après l’abdication de son frère, il vit à Bordentown dans l'état de New Jersey près de Philadelphie, s'y faisant construire la résidence de Point-Breeze grâce à la vente des bijoux de la Couronne espagnole et s’occupant d’agronomie. Il s'y fait appeler comte de Survilliers, du nom d'une de ses anciennes propriétés située actuellement au nord-est du Val-d'Oise, en limite de Mortefontaine. Après la mort de sa fille Charlotte Bonaparte, il revient en Europe où il habite successivement l’Angleterre puis l’Italie.
Il meurt en Italie le 28 juillet 1844. Son corps se trouve aujourd'hui aux Invalides au côté de son illustre frère.
L'un de mes plus grands Héros !
Joyeux anniversaire à Serge Klarsfeld, le chasseur de nazis qui fêtait hier ses 80 ans ! Avec sa femme Beate, ils ont consacré leur vie au combat pour la vérité et la justice. euronews les a interviewés en mai :http://bit.ly/1UX5vZX
Jean-Pierre Renard et Serge Klarsfeld
Info Pierrefitte:
Rentrée politique à Pierrefitte avec son Conseiller municipal de la Droite républicaine.
Chers ami(e)s.
Dans un esprit respectueux et convivial, je réitère mon invitation par ce rappel (24h avant la soirée) au Centre Communal Ambroise Croizat au 58 rue Nungesser et Coli à Pierrefitte à 19h , à vous réunir avec nos intervenants, où toutes vos idées et vos questions auront un échos satisfaisant, positif, à vos attentes.
Venez nombreux, notre rencontre sera plus enrichissante, plus intéressante, donc je compte sur votre précieuse présence. Ne l'oubliez pas !
Enfin, un détail rafraîchissant, un pot garni vous sera offert par votre hôte et vous attendra vers la fin de la soirée pour un chaleureux au-revoir !
Jean Pierre Renard.
Conseiller municipal de Pierrefitte
Vice président du Comité de Jumelage de Pierrefitte
Membre du CCAS de Pierrefitte
"Je préfère me brûler en tentant d'allumer une flamme que de rester dans le noir à maudire l'obscurité."
Anouar el-Sadate
Info Pierrefitte:
Ce soir j ai siégé en tant qu élu municipal "Les Républicains" de Pierrefitte (le seul pour ce mouvement de toute la 2ème circonscription !!!) à la séance du Conseil municipal de ma commune. J'ai été une nouvelle brillant ! Merci à celui qui m'a encore aidé à sauver mon honneur et celui du nom de mon grand père Louis Renard, je ne l'oublierai jamais ce que mon frère préféré, le meilleur de toute cette circonscription, aura fait pour moi ! Avec lui, c 'est à la vie à la mort ! Tous les deux, on a encore fait ce soir du très bon travail ! Mes ennemis de l'intérieur ont encore été terriblement absents (l'un d'eux a préféré aller faire le "touriste" de l'autre côté du département ! Moi contrairement à eux, je préfère ma ville à la politique politicienne et aux photos ! J'espère qu'ils participeront comme moi, à la fameuse journée citoyenne du 26 septembre, sur notre commune !?). Mon collègue de l'UDI: Monsieur Pascal Kouppé a fait son retour après 18 mois d'absence. Vous retrouverez d ici le début de semaine prochaines, mes différentes interventions de ce soir... Bonne nuit à tous mes sincères ami(e)s. Que Dieu vous garde, quelque soit votre religion et à samedi 19 septembre 2015 à 19h pour ma rentrée politique au Centre Communal Ambroise Croizat au 58 rue Nungesser et Coli à Pierrefitte...
Bien amicalement,
JPR
Le 16 septembre 1394
Décès du pape d'Avignon, Clément VII
"Le conclave du Vatican qui eut lieu le 7 avril 1378 laissait présager l'élection d'un pape français (les cardinaux l'étaient presque tous). Aussi, les romains employèrent-ils la force pour qu'il en soit autrement. Menacés de mort par la foule, les conclavistes élisent l'archevêque de Bari, Barthélémy Prignano, Urbain VI. Celui-ci adoptera une attitude tellement provocante et insultante qu'il pousse 13 cardinaux excédés à déclarer son élection nulle, puisque obtenue par la force et à élire un nouveau pape, Robert de Genève. Celui-ci prend le nom de Clément VII et entre à Avignon le 20 juin 1379. La chrétienté compte donc deux papes.
Le Billet politique de Philippe Seillon:
Lorsque l'on est Patriote, d'où que l'on vienne, nous devons nous rassembler pour défendre la Patrie devant cette invasion qui sera extrêmement négative pour la FRANCE et l'Europe !
Si les Républicains ne se positionnent pas de manière nette et forte, ils seront battus par le FN.
Ne pas oublier que le Peuple est libre de choisir ses représentants, si certains trahissent la Patrie une fois élu, ils seront balayés par les nouveaux élus FN.
Nous devons nous battre pour la FRANCE et devons nous rassembler pour cela !
Nous sommes dans une guerre et laisser les frontières ouvertes et recevoir ces envahisseurs, c'est laisser entrer des terroristes !
Charité bien ordonner commence par soi !
Ils ne trouvent pas de HLM pour les français mais arrivent à trouver 77000 HLM pour les clandestins illégaux envahisseurs !
N'est ce pas une trahison !
J'ai toujours eu le même discours et la même action, défendre ma Patrie !
Combien de politiques serpillières vont se coucher devant les ennemis de la FRANCE, comme en 1940 !!!
Philippe Seillon
ex élu municipal de Epinay Sur Seine
Membre du Comité départemental Les Républicains du 93
La 2ème circonscription de La Seine Saint Denis:
N'hésitez pas comme moi à participer au tractage pour les Régionales de décembre 2015 en Ile de France pour la cheffe de file des Républicains: Madame Valérie Pécresse, sur notre circonscription, à St Denis sur le quartier de la Plaine, par notre ami: Stanislas Francina !
JPR
Bonjour à tous
Ce samedi 19 septembre nous organisons un tractage pour la campagne des régionales. Le rdv est à 10h30 devant le marché couvert de la Plaine rue de la métallurgie. Venez nombreux.
http://www.valeriepecresse2015.fr/
Amicalement Stanislas
Mes chers amis, merci d’abord pour votre invitation.
Daniel, tu as réussi à faire de ce rendez-vous annuel un incontournable. Avec Xavier Bertrand, avec Philippe Rapeneau, avec les RDJ Simon Jombart et Antoine Silanni, Marc-Philippe Daubresse, Bernard Gérard et l’ensemble de votre équipe qui s’est mobilisée depuis plusieurs semaines. La réussite est là, et cette réussite est la votre !
Chers amis, plus que jamais à l’occasion de ce campus jeunes, Je veux vous parler de vous. Je veux vous parler de la jeunesse.
Il y a eu un sondage, il y a quelques jours, qui annonçait qu’aux primaires, ce seraient les retraités qui voteraient. Et plutôt les retraités aisés, pour faire simple.
Et quoi d’original ? Depuis que j’ai commencé la politique, j’entends cela: tu te trompes de cible. Tu parles d’écologie, et à droite tout le monde s’en moque. Tu parles du nouveau monde d’après la transformation numérique, et notre public n’a pas dépassé le stade du mulot. Tu parles aux jeunes, et ils ne votent pas.
Je ne crois pas qu’il faille céder à ce discours. D’abord par ce qu’il n’y a pas de fatalité à cela. Ensuite et surtout, parce que la jeunesse, le nouveau monde, les sujets émergents, cela concerne en fait tout le monde.
Quand vous, la jeunesse, ne trouvez pas de travail, c’est toute notre société qui est en échec !
Quand vous, la jeunesse, êtes convaincus que votre avenir est ailleurs, c’est notre pays entier qui n’a plus d’avenir !
On parle beaucoup d’immigration. Et il y a de bons motifs, et même des motifs nouveaux et particulièrement dramatiques, ces derniers temps.
Mais moi, je veux vous parler d’émigration. De ceux, de plus en plus nombreux, de plus en plus divers aussi, qui émigrent ou qui en rêvent. De toute une jeunesse qui se demande si elle ne va pas partir ailleurs voir si le marché du travail est plus dynamique, la société plus ouverte, l’humeur plus optimiste.
Ce mouvement existe. Chacun le sait et l’entend, dans son entourage, dans ses amis, dans sa famille, ou dans sa vie. Le désir d’ailleurs de cette jeunesse désabusée qui veut aller vérifier si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Un sondage de 2013 indiquait que 51 % des 25-35 ans, s’ils le pouvaient, quitteraient la France ? Ce serait déjà le cas d’un diplômé sur cinq issus des grandes écoles de commerce. Perte de productivité, perte sèche aussi pour les finances de la France.
C’est une inversion historique : La France a toujours été terre d’immigration. Mais jamais d’émigration. Cela nous est particulier. Presque tous les pays européens ont vécu des vagues d’émigration importantes. L’Italie, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande, l’Allemagne même. Mais pas la France.
Je ne parle pas ici d’émigration fiscale. Elle existe, bien sûr. C’est même une saignée. Mais là c’est autre chose. Ces jeunes qui partent chercher leur chance ailleurs, à Londres, en Amérique, en Asie, n’ont aucun motif fiscal à émigrer. Ils n’ont pas de fortune à protéger ou à transmettre.
Alors pourquoi partent-ils ? Parce que le contrat moral entre les générations est rompu. Pendant longtemps, chaque génération pensait que la suivante vivrait mieux. C’était même la justification des efforts. C’est fini. A la question « Pensez-vous que les jeunes d’aujourd’hui auront plus, autant ou moins de chances de réussir que leurs parents dans la société française de demain ? », dans l’enquête annuelle du Cevipof de janvier 2015, près de 3 Français sur 4 répondent « moins de chances » !
Voilà le résultat de 3 ans déjà de mandat de François Hollande !Souvenons-nous en janvier 2012 quand le candidat socialiste lançait au Bourget « Si je reçois le mandat du pays d’être le prochain président, je ne veux être jugé que sur un seul objectif: (…) est-ce que les jeunes vivront mieux en 2017 qu’en 2012 ? Je demande à être évalué sur ce seul engagement».
Alors mes chers amis je vous pose la question : 3 ans plus tard vivez-vous mieux ?
Vous deviez être la priorité de son mandat, vous êtes aujourd’hui la grande oubliée de son quinquennat !
La jeunesse part parce qu’elle n’y croit plus. C’est un signal d’alerte.Et cela concerne tout le monde. L’exil, c’est dur pour ceux qui partent. Mais c’est encore plus dur pour ceux qui restent. Quand les jeunes diplômés auront quitté la France, à la suite des grands capitalistes susceptibles d’investir dans les start-ups qu’ils auraient pu créer, que nous restera-t-il ?
Faut-il se résigner ? Ce mouvement est-il irréversible ? Non ! Ceux qui partent n’aiment pas moins la France. Nul ne s’exile par plaisir. Beaucoup ont l’idée que la France ne peut pas se réformer. Ils ne veulent pas rester pris à ce piège. Et puis ils ont le ras-le-bol de la sinistrose. Ces jeunes Français qui partent appliquent finalement le mot de Taine, « On voyage pour changer, non de lieu, mais d’idées ».
Mes amis, Voilà la clef. Changer d’idées, ici, maintenant, en 2015 avec les régionales, en 2017 avec les présidentielles, c’est possible !
Ce n’est pas une question d’âge, ou alors c’est une question d’âge des idées. Les idées ont un âge. Elles sont d’une génération, elles aussi. On ne transformera pas la France avec les idées des années 90.
Moi je crois à un fil directeur, la liberté. Une idée toujours neuve, et particulièrement dans un pays dont les élites se sont acharnées, pendant des années, à déployer leur créativité dans les normes et les contraintes de toutes natures.
Deux idées à partager, pour illustrer.
L’entreprise Française étouffe sous les charges et les prélèvements. 120 milliards de plus qu’en Allemagne. On voudrait que nous attendions d’avoir résorbé le déficit pour nous en occuper. C’est inefficace, car personne n’a jamais vu qu’on résorbe le déficit sans croissance. C’est injuste, car c’est condamner la jeunesse au chômage, le temps de rembourser les lourdes dettes accumulées par leurs aînés. C’est mensonger, car promettre les baisses d’impôt pour plus tard, après la réduction des déficits, c’est n’y arriver jamais. Je propose qu’on fasse du même mouvement, au même moment, les réformes structurelles et les baisses de prélèvement, quitte à creuser transitoirement le déficit. Et au premier rang des réformes structurelles, le passage de la retraite à 65 ans.
Deuxième idée, le monde du travail se transforme. Un mouvement profond le traverse, un vent de liberté, le développement de l’indépendance. Auto entreprise, entreprise individuelle, portage salarial, cela prend plusieurs formes. Le lien de subordination qui est au fondement du salariat fait repoussoir pour beaucoup. Avec les outils numériques, une nouvelle société émerge. Dans ce monde là, la question d’une durée de travail unique est dépassée. 35 heures ou 39 heures, ce n’est pas le sujet. Pourquoi la même durée pour tous ? Pourquoi le même contrat pour tous ? Les réponses aux questions d’hier, il fallait les donner hier. Aujourd’hui, c’est un véritable statut de l’indépendant qu’il nous faut.
Je ne veux pas faire un catalogue de mesures, mais partager une idée, une envie. Celle de liberté. La liberté d’aller chercher des idées neuves. La liberté de ne pas rester prisonniers de nos vieilles lunes.
Personne, dans aucune famille politique, dans aucune aventure humaine, personne n’est fort, s’il n’est d’abord libre. C’est le propre de toute les œuvres collectives, ceux qui les portent sont d’abord des hommes et des femmes libres.
Ensemble, cultivons notre liberté, pour rendre la leur aux Français.
Chers amis, soyons libres !
Seul le discours prononcé fait foi
Les commentaires récents