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7 avril 1498 : Avènement de Louis XII

Le roi de France Charles VIII meurt prématurément à 28 ans, le 7 avril 1498, en heurtant le linteau d'une porte basse du château d'Amboise !

Lors de ses obsèques à l'abbaye de Saint-Denis est pour la première fois lancée la formule : « Le roi est mort, vive le roi ! » Elle signifie que l'État continue en la personne de son successeur légitime, en l'occurrence son lointain cousin Louis d'Orléans, qui devient Louis XII à 36 ans.

Le nouveau roi pousse le devoir (!) jusqu'à répudier sa femme Jeanne la Boîteuse et épouser sa veuve, Anne de Bretagne. Au duc de la Trémoille qui l'avait combattu, il adresse ces paroles dignes d'un grand homme d'État : « Le roi de France ne venge pas les injures du duc d'Orléans ».

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Info Pierrefitte:

Communiqué important:

Très chers ami(e)s,

 
Après en avoir discuté très longuement depuis quelques jours, avec certains ami(e)s sincères et qui comptent sur toute notre circonscription, je viens de prendre la décision solennelle de ne plus m'attaquer du tout au côté politique de Monsieur Patrick Saunier (je n'ai jamais attaqué la personne privée) nul part... Cela est aussi bon pour ceux qui le soutienne (je respecte leur choix). Cette décision est définitive donc irrévocable. Par contre cela ne remet nullement en cause ma candidature "contre" lui lors des prochaines élections internes de l'UMP ou des Républicains au poste de Délégué de notre Mouvement au niveau de la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis ! Il n y a que la mort qui m'en empêchera ou alors quelqu'un (un homme ou une femme) qui ferait mieux que moi, l'unanimité sur l'ensemble de nos trois villes pour un profond et vrai changement sans revenir vers le passé et avec qui je trouverai un accord  !?  Cette fois-ci, je ne répondrai plus jamais à aucune provocation d'ou qu'elle vienne ! Comme le récent piège qui m'a été tendu et ou  je suis  tombé la semaine dernière, par certaines personnes qui se reconnaîtront....! Par contre, la prochaine  je ne répondrai plus et ne polémiquerai plus inutilement mais je déposerai immédiatement et systématiquement plainte contre toute personne de ce genre...! Contre un élu du peuple et vis à vis du nom qu'il porte, il y a des limites à ne pas dépasser !
 
À ceux qui pensent, que depuis 14 mois, je suis allé un peu trop loin vis à vis de Monsieur Patrick Saunier, je leur présente mes très sincères excuses. Elles sont aussi valables pour le principal intéressé. De ma part, c'est un effort colossal ! Il est fait uniquement pour l’intérêt général et non parce que j'ai peur ! Sur cette terre, il n y a qu'une seule personne qui peut me faire peur (vous savez tous de qui il s'agit)...! 
 
Ce soir, j'ai encore accompli mes fonctions d'élu municipal (le seul de toute notre circonscription au niveau de notre Mouvement jusqu'en mars 2015. N'en déplaise à certains) lors d'une réunion locale sur Pierrefitte au sujet du foyer malien de notre ville, qui sera divisé en deux. Mon but a était uniquement la défense des administrés (dont Monsieur Patrick Saunier) qui vont cohabiter avec une nouvelle structure de ce centre qui sera construite dans leur quartier. 
 
Vendredi 8 mai 2015, avec un autre compagnon de notre circonscription, nous remettrons à mes propres frais (!!!), la gerbe de fleurs de l'UMP lors de la cérémonie de l'anniversaire de la victoire des Alliés sur le nazisme et sur le fascisme,  au cimetière de Pierrefitte à 11h45. J'espère vous y retrouver le plus nombreux possible. Comme lors de la prochaine séance du Conseil municipal de Pierrefitte, le jeudi 21 mai 2015 à 19h à la mairie. Non comme pour certains ont prévu de le faire, c'est à dire, pour venir  me voir réaliser quelques erreurs par inexpérience et  par accidents, mais juste pour soutenir votre seul élu municipal sur toute la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis. 
 
J'espère que Monsieur Patrick Saunier, qui a l'habitude de transmettre mes écrits négatifs vis à vis de sa personne sur le plan politique à tous les adhérents et sympathisants UMP de Pierrefitte voire de toute la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis aussitôt après, par mails (comme ce fut encore le cas dernièrement...) en fera de même cette fois-ci ! 
 
Cette démarche est une armistice pour le bien de toute ma circonscription, des pierrefittoises et des pierrefittois et non une capitulation voire même un pardon pour certains anciens faux ami(e)s. Il n'y a que pour une personne (elle se reconnaîtra...) que je vais accepter de tourner la page et tout oublier...! 

 

 
Bien amicalement,
 
 
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal UMP de Pierrefitte
Membre du CCAS de Pierrefitte
Candidat au poste de Délégué UMP ou des Républicains pour la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis. 

SIGNEZ MA PÉTITION POUR QUE LA GAUCHE VENDE SES 5 HÔTELS PARTICULIERS ET DÉMÉNAGE EN BANLIEUE

Chers tous,

 

Depuis 2010 je ne cesse de demander à la gauche régionale, présidée par le socialiste Jean-Paul Huchon, de vendre ses hôtels particuliersdu 7ème arrondissement de Paris (le quartier le plus cher de la Capitale) et de déménager le siège du conseil régional en banlieue, dans l'est de l'Ile-de-France.

J'ai pris le 11 avril, devant vous, l’engagement de revendre ces 5 hôtels particuliers et de déménager le conseil régional en Seine-Saint-Denis ou dans le Val-de-Marne, s’ils m’élisent à la tête de la Région.

Je demande à Jean-Paul Huchon de mettre en œuvre cette proposition dès maintenant !

 Déménager dans un territoire symbolique, c'est aussi économiser plus de 26 millions d’euros de loyers chaque année que nous pourrons réinvestir dans vos transports et dans vos lycées.

 

Vous aussi, avec moi, signez la pétition et demandez à Monsieur Huchon de déménager le conseil régional en banlieue !


On compte sur vous pour signer, diffuser sur les réseaux sociaux (Facebook et  Twitter notamment) et relayer auprès de tous vos contacts cette pétition !

 

Pour SIGNER la PETITION DES MAINTENANT, CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT : http://chn.ge/1HzHhBl

  

Merci pour votre soutien !

 

Bon Week-end à vous tous.


 
Valérie Pécresse

Président du Groupe UMP au Conseil Régional d'Ile de France 

Contact : [email protected]

 

 

Retrouvez sur le réseau social: Facebook  (que sur invitations. Pour y être invité, demandez moi à: Renard Jean-Pierre ou à Jean-Pierre Renard Bis) le groupe:

"PIERREFITTE AVEC VALERIE PECRESSE !"  

JPR

 


Pourquoi s'appeler "les Républicains‏" ?

Bonjour à tous,

Ces dernières semaines ont été particulièrement marquées par le travail de fond que nous menons pour refonder notre famille politique. Nous avons récemment rendu public les travaux de la commission des statuts et je m'en réjouis. Je poursuis également mes déplacements sur le terrain, en région mais aussi à Paris, et plus particulièrement dans le 14e arrondissement. Un an après l'élection municipale, c'est l'occasion de dresser un bilan. J'ai souhaité le partager avec vous.
 

Pourquoi s'appeler "Les Républicains"

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Dans une interview parue aujourd'hui dans Le Figaro, je reviens sur la refondation de notre famille politique. Une refondation qui, selon moi, passe nécessairement par un changement de nom. Car en effet, comment tout refonder si c'est pour garder l'ancien nom ?

Le nom "Les Républicains" doit tourner une séquence difficile pour notre mouvement et retourner vers notre engagement total au service de la France, et vers vous. Nous ne nous accaparons pas la République, nous nous en réclamons.

Un an après, quel bilan dans le 14e ?

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Je poursuis mon engagement à Paris, et notamment auprès des habitants du 14e arrondissement.

Quelques avancées méritent d'être saluées mais de nombreuses préoccupations demeurentJe regrette que le 14e arrondissement soit encore et toujours le parent pauvre de la politique parisienne.

Les problèmes d'insécurité dans certains quartiers demeurent, la grève dans les équipements sportifs ne voit toujours pas d'issue et qu'en est-il de la concertation promise pendant la campagne sur la localisation du futur conservatoire ?
 

Le génocide arménien, 100 ans après.

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J'ai tenu à être présente vendredi dernier pour célébrer la mémoire des plus d’un million et demi d’Arméniens morts entre 1915 et 1917. L’émotion et le recueillement ont traversé la foule lors de cette commémoration des 100 ans du génocide arménien.

Cent ans après, les blessures sont toujours aussi profondes. Je persiste à croire que le deuil ne pourra être achevé que lorsque chacun aura pris ses responsabilités face à l’Histoire.

Dans les prochains jours, je continuerai à être sur le terrain. Ces moments sont l'occasion pour moi de venir à votre rencontre :

  • Sur la Foire de Paris, dimanche après-midi ;
  • Lyon, lundi prochain à partir de 19h ;
  • Suresnes mercredi prochain à partir de 19h également.
J'espère vous y retrouver.
 
 

Bien chaleureusement,

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COMMUNIQUE DU BNVCA


Le BNVCA dénonce l'attaque commise ce 1er mai vers 14 heures boulevard Voltaire par une quarantaine d'individus qui ont agressé deux jeunes gens qu'ils ont reconnus comme appartenant à la communauté juive.
Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme
8 Boulevard Saint Simon 93 700 Drancy 06 63 88 30 29
Le Président 
Sammy GHOZLAN
06 09 67 70 05 / 01 77 38 49 44
Drancy le 1 er mai 2015
Le BNVCA dénonce l'attaque commise ce 1er mai vers 14 heures boulevard Voltaire par une quarantaine d'individus qui ont agressé deux jeunes gens qu'ils ont reconnus comme appartenant à la communauté juive. Les deux jeunes gens âges d'environ 21 ans ont été légèrement blessés. Le BNVCA leur a recommandé de déposer plainte d'autant que l'un agresseurs pourrait être reconnu. Il appartiendrait à un certain groupe des "Brothers"Le BNVCA à alerté les services compétents de la préfecture de police qui ont immédiatement envoyé des forces pour empêcher que les incidents ne s'aggravent. Selon des témoins des membres de la communauté juive présents sur les lieux se sont portés volontaires pour protèger les nombreux commerces juifs situés sur le Boulevard Voltaire.
http://www.sosantisemitisme.org/communique.asp?ID=1121


LA ROYAUTÉ EST LE MEILLEUR RÉGIME, EN RAISON DE L’UNITÉ.

1/5. Celui qui dirige la multitude doit procurer l’unité de la paix.
2/5. Principe de l’unité de gouvernement.
3/5. Conformité à la nature.
4/5. Conformité à la raison. L’art et la nature.
5/5. L’expérience.

1/5. Celui qui dirige la multitude doit procurer l’unité de la paix.

"En effet, l’intention de tout gouvernant doit tendre à procurer le salut de ce qu’il a entrepris de gouverner. Car il appartient au pilote en protégeant son navire des périls de la mer de le conduire indemne à bon port.

Or le bien et le salut d’une multitude assemblée en société est dans la conservation de son unité, qu’on appelle paix ; si celle-ci disparaît, l’utilité de la vie sociale est abolie, bien plus, une multitude en dissension est insupportable à soi-même.

Tel est donc le but auquel celui qui dirige (rector) la multitude doit le plus viser : procurer l’unité de la paix. C'est à tort qu'il..."

Lire la suite : https://sagessepolitique.wordpress.com/…/chapitre-ii-la-ro…/


30 avril 1598:  Le Roi de France: Henri IV signe l'Édit de Nantes

Arrivé le soir du 13 avril 1598 à Nantes, le roi Henri IV signe le 30 avril suivant un ensemble de textes connus dans l'Histoire sous le nom d'«Édit de Nantes».

Ce texte marque la fin des guerres de religion entre catholiques et protestants français. Il vise à «l'établissement d'une bonne paix et tranquille repos» selon les propres mots du roi. C'est la première fois qu'est officialisée dans un même État, en Europe, la coexistence de protestants et de catholiques.

Un Édit de pacification et de concorde
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L'Édit de Nantes demeure, dans la mémoire collective, le symbole de la «tolérance» entre des confessions autrefois rivales et désormais prêtes à accepter la religion de l'adversaire... Déjà dans les années précédentes, au plus fort des guerres de religion, des municipalités françaises avaient conclu des «édits de pacification» entre leurs concitoyens des deux confessions ; c'est ainsi que l'on pouvait vivre en paix dans ces villes tandis que l'on s'étripait dans les villes voisines !

Certains historiens ont placé l'Édit de Nantes aux origines de la laïcité française. S'il met un terme aux guerres civiles qui ont ensanglanté la France pendant près de trois décennies, cet édit de pacification ne fait qu'établir une coexistence entre la majorité catholique et la minorité protestante, disciple de Jean Calvin. Dans le préambule de l'Édit, le roi Henri IV défend d'ailleurs l'idée d'unité religieuse du royaume : encore impossible, elle est remise à plus tard.

Ce qu'on appelle l'Édit de Nantes est en fait un ensemble de quatre textes : l'Édit général (signé le 30 avril 1598), les articles secrets et particuliers (30 avril ou 2 mai 1598), le brevet des pasteurs (3 avril 1598) et le brevet des garnisons (30 avril 1598).

À ces textes, il faut ajouter l'Édit signé par Henri IV à Fontainebleau le 15 avril 1599, pour le royaume de Navarre (royaume en fait limité au Béarn), car Henri IV, ne l'oublions pas, est roi de Navarre avant que d'être roi de France. Les deux couronnes ne seront réunies que sous le règne de son fils Louis XIII. En attendant, il faut une législation spécifique pour le Béarn, où, à la différence de la France, les protestants tiennent le haut du pavé depuis les mesures prises en leur faveur par Jeanne d'Albret, mère d'Henri IV.

Tous ces textes sont le fruit d'une longue négociation entre les protestants et leur ancien chef, Henri IV (*)... Ils sont signés en catimini et tenus secrets pendant de longs mois, jusqu'à leur ratification par les Parlements, tant est grande la crainte du roi qu'ils ne soient rejetés par l'opinion.

Celle-ci, sur le moment, est beaucoup plus sensible à la conclusion de la paix avec les Espagnols, par le traité de Vervins.

De la guerre à la coexistence pacifique
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Henri IV, successeur légitime de son cousin Henri III, a abjuré définitivement la religion réformée en 1593 et ainsi pu obtenir de se faire sacrer à Chartres en 1594. Mais l'année suivante, il a dû déclarer la guerre aux Espagnols, qui, après avoir soutenu les Ligueurs, catholiques intransigeants, avaient pris goût à l'occupation de la France.

Soucieux de consolider la paix, à l'intérieur comme à l'extérieur, le roi envoie dans un premier temps auprès du pape Clément VIII deux plénipotentiaires ecclésiastiques, Jacques du Perron et l'abbé d'Ossat, pour le convaincre de donner son absolution au roi en échange de l'acceptation par celui-ci des décisions du concile de Trente et du rétablissement du catholicisme dans ses droits au Béarn.

Henri IV négocie par ailleurs avec les représentants des protestants, assemblés à Saumur au printemps 1596, les termes d'un nouveau et définitif Édit de tolérance, après ceux dont les guerres de religion ont été émaillés.

Le roi, qui a appris à connaître et estimer les réformés du temps où il combattait à leurs côtés, comprend mieux que quiconque la vanité de l'unité religieuse et la nécessité de poser les bases d'une nouvelle coexistence confessionnelle sous l'égide d'un même roi.

Mais voilà que le 11 mars 1597, les Espagnols s'emparent par traîtrise de la ville d'Amiens, dont les bourgeois avaient refusé la protection de l'armée royale. Face au danger, Henri IV demande du renfort aux réformés. Ces derniers se font désirer, croyant par là obtenir des conditions plus favorables à la conclusion du futur édit. Le roi ne cède pas. Les réformés comprennent le danger que leur attitude fait courir au royaume et se résignent à signer enfin un accord.

Les termes de l'Édit
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L'Édit général (*), avec 92 articles généraux et 56 articles particuliers, dits «secrets», est en premier lieu un texte de pacification. Celle-ci passe par une amnistie générale, autrement dit l'oubli de toutes les offenses (le mot amnistie dérive d'une racine grecque qui signifie oubli).

L'article I énonce : «Premièrement, que la mémoire de toutes choses passées d'une part et d'autre, depuis le commencement du mois de mars 1585 jusqu'à notre avènement à la couronne et durant les autres troubles précédents et à leur occasion, demeurera éteinte et assoupie, comme de chose non advenue. Et ne sera loisible ni permis à nos procureurs généraux, ni autres personnes quelconques, publiques ni privées, en quelque temps, ni pour quelque occasion que ce soit, en faire mention, procès ou poursuite en aucunes cours ou juridictions que ce soit».

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Lettre d'amour d'Edith Piaf à Marcel Cerdan (1949)


« Dès que je pense qu'une chose peut te faire de la peine, même si tu ne le sauras jamais eh bien, il n'y a rien à faire, c'est plus fort que moi, je ne peux pas la faire. J'imagine tes beaux yeux chéris posés sur moi et j'ai comme l'impression d'être mise à nue. Quelle puissance et quelle domination tu as sur moi !
Vrai de vrai, tu m'as bien eue ! Chéri ! N'oublie pas tes médailles, pense à moi. Si tu peux aller à l'église cinq minutes le jour du combat, vas-y ! Mon petit que j'adore, à tes pieds que j'aime, je suis à toi, tout à toi. Mon souffle est lié au tien. Je suis tout ce que tu veux, ton esclave, ta servante, ta maîtresse et surtout celle qui t'aime. Oh ! Qui t'aime, plus que jamais. Personne ne t'a aimé et ne t'aimera jamais plus que moi. Au revoir, mon petit maître adoré, mon seigneur si grand. Je t'aime, t'aime, t'aime.
Moi. »


Lettre de George Sand à Alfred de Musset (1835)


« Je suis très émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans calcul, et si vous voulez me voir aussi vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire une visite. »