À mes chères sœurs et mes frères juifs,
Je vous souhaite un très bon début de semaine et vous adresse de bonnes forces pour cette dernière ligne droite avant Pessa'h.
Bon courage à toutes et à tous.
Gut Woch et Shavoua Tov.
JPR
À mes chères sœurs et mes frères juifs,
Je vous souhaite un très bon début de semaine et vous adresse de bonnes forces pour cette dernière ligne droite avant Pessa'h.
Bon courage à toutes et à tous.
Gut Woch et Shavoua Tov.
JPR
Évangile du Dimanche des Rameaux
Is 50, 4-7
Dieu mon Seigneur m'a donné le langage d'un homme qui se laisse instruire, pour que je sache à mon tour réconforter celui qui n'en peut plus. La Parole me réveille chaque matin, chaque matin elle me réveille pour que j'écoute comme celui qui se laisse instruire. Le Seigneur Dieu m'a ouvert l'oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J'ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe. Je n'ai pas protégé mon visage des outrages et des crachats. Le Seigneur Dieu vient à mon secours ; c'est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c'est pourquoi j'ai rendu mon visage dur comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Ps 21, 8-9.17-20.23-24
Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre !
Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! »
Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m'entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
je peux compter tous mes os.
Ces gens me voient, ils me regardent.
Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur,
glorifiez-le, vous tous, descendants de Jacob,
vous tous, redoutez-le, descendants d'Israël.
Ph 2, 6-11
Le Christ Jésus, lui qui était dans la condition de Dieu, n'a pas jugé bon de revendiquer son droit d'être traité à l'égal de Dieu ; mais au contraire, il se dépouilla lui-même en prenant la condition de serviteur. Devenu semblable aux hommes et reconnu comme un homme à son comportement, il s'est abaissé lui-même en devenant obéissant jusqu'à mourir, et à mourir sur une croix. C'est pourquoi Dieu l'a élevé au-dessus de tout ; il lui a conféré le Nom qui surpasse tous les noms, afin qu'au Nom de Jésus, aux cieux, sur terre et dans l'abîme, tout être vivant tombe à genoux, et que toute langue proclame : « Jésus Christ est le Seigneur », pour la gloire de Dieu le Père.
Mc 14, 1-72 ; 15, 1-47
La fête de la Pâque et des pains sans levain allait avoir lieu dans deux jours. Les chefs des prêtres et les scribes cherchaient le moyen d'arrêter Jésus par ruse, pour le faire mourir. Car ils se disaient : « Pas en pleine fête, pour éviter une émeute dans le peuple. » Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux.
Pendant qu'il était à table, une femme entra, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très pur et de grande valeur. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête. Or, quelques-uns s'indignaient : « A quoi bon gaspiller ce parfum ? On aurait pu le vendre pour plus de trois cents pièces d'argent et en faire don aux pauvres. » Et ils la critiquaient. Mais Jésus leur dit : « Laissez-la ! Pourquoi la tourmenter ? C'est une action charitable qu'elle a faite envers moi. Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, et, quand vous voudrez, vous pourrez les secourir ; mais moi, vous ne m'aurez pas toujours. Elle a fait tout ce qu'elle pouvait faire. D'avance elle a parfumé mon corps pour mon ensevelissement. Amen, je vous le dis : Partout où la Bonne Nouvelle sera proclamée dans le monde entier, on racontera, en souvenir d'elle, ce qu'elle vient de faire. » Judas Iscariote, l'un des Douze, alla trouver les chefs des prêtres pour leur livrer Jésus. A cette nouvelle, ils se réjouirent et promirent de lui donner de l'argent. Dès lors Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l'on immolait l'agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent :
« Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour ton repas pascal ? » Il envoie deux disciples : « Allez à la ville ; vous y rencontrerez un homme portant une cruche d'eau. Suivez-le. Et là où il entrera, dites au propriétaire : 'Le maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?' Il vous montrera, à l'étage, une grande pièce toute prête pour un repas. Faites-y pour nous les préparatifs. » Les disciples partirent, allèrent en ville ; tout se passa comme Jésus le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque. Le soir venu, Jésus arrive avec les Douze. Pendant qu'ils étaient à table et mangeaient, Jésus leur déclara : « Amen, je vous le dis : l'un de vous, qui mange avec moi, va me livrer. » Ils devinrent tout tristes, et ils lui demandaient l'un après l'autre : « Serait-ce moi ? » Il leur répondit : « C'est l'un des Douze, qui se sert au même plat que moi. Le Fils de l'homme s'en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui qui le livre ! Il vaudrait mieux pour lui qu'il ne soit pas né. » Pendant le repas, Jésus prit du pain, prononça la bénédiction, le rompit, et le leur donna, en disant : « Prenez, ceci est mon corps. » Puis, prenant une coupe et rendant grâce, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l'Alliance, répandu pour la multitude. Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu'à ce jour où je boirai un vin nouveau dans le royaume de Dieu. » Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers. Jésus leur dit : « Vous allez tous être exposés à tomber, car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées. Mais, après que je serai ressuscité, je vous précéderai en Galilée. » Pierre lui dit alors : « Même si tous viennent à tomber, moi, je ne tomberai pas. » Jésus lui répond : « Amen, je te le dis : toi, aujourd'hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m'auras renié trois fois. » Mais lui reprenait de plus belle : « Même si je dois mourir avec toi, je ne te renierai pas. » Et tous disaient de même. Ils parviennent à un domaine appelé Gethsémani. Jésus dit à ses disciples : « Restez ici ; moi, je vais prier. » Puis il emmène avec lui Pierre, Jacques et Jean, et commence à ressentir frayeur et angoisse. Il leur dit : « Mon âme est triste à mourir. Demeurez ici et veillez. » S'écartant un peu, il tombait à terre et priait pour que, s'il était possible, cette heure s'éloigne de lui. Il disait : « Abba... Père, tout est possible pour toi. Éloigne de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux ! » Puis il revient et trouve les disciples endormis. Il dit à Pierre : « Simon, tu dors ! Tu n'as pas eu la force de veiller une heure ? Veillez et priez pour ne pas entrer en tentation : l'esprit est ardent, mais la chair est faible. » Il retourna prier, en répétant les mêmes paroles. Quand il revint près des disciples, il les trouva endormis, car leurs yeux étaient alourdis. Et ils ne savaient que lui dire.
Dès le matin, les chefs des prêtres convoquèrent les anciens et les scribes, et tout le grand conseil. Puis ils enchaînèrent Jésus et l'emmenèrent pour le livrer à Pilate. Celui-ci l'interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répond : « C'est toi qui le dis. » Les chefs des prêtres multipliaient contre lui les accusations. Pilate lui demandait à nouveau : « Tu ne réponds rien ? Vois toutes les accusations qu'ils portent contre toi. »
Mais Jésus ne répondit plus rien, si bien que Pilate s'en étonnait. A chaque fête de Pâque, il relâchait un prisonnier, celui que la foule demandait. Or, il y avait en prison un dénommé Barabbas, arrêté avec des émeutiers pour avoir tué un homme lors de l'émeute. La foule monta donc, et se mit à demander à Pilate la grâce qu'il accordait d'habitude. Pilate leur répondit : « Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? » (Il se rendait bien compte que c'était par jalousie que les chefs des prêtres l'avaient livré.) Ces derniers excitèrent la foule à demander plutôt la grâce de Barabbas. Et comme Pilate reprenait : « Que ferai-je donc de celui que vous appelez le roi des Juifs ? », ils crièrent de nouveau : « Crucifie-le ! » Pilate leur disait : « Qu'a-t-il donc fait de mal ? » Mais ils crièrent encore plus fort : « Crucifie-le ! » Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas, et après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu'il soit crucifié. Les soldats l'emmenèrent à l'intérieur du Prétoire, c'est-à-dire dans le palais du gouverneur. Ils appellent toute la garde, ils lui mettent un manteau rouge, et lui posent sur la tête une couronne d'épines qu'ils ont tressée. Puis ils se mirent à lui faire des révérences : « Salut, roi des Juifs ! » Ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et s'agenouillaient pour lui rendre hommage. Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui ôtèrent le manteau rouge, et lui remirent ses vêtements. Et ils réquisitionnent, pour porter la croix, un passant, Simon de Cyrène, le père d'Alexandre et de Rufus, qui revenait des champs. Et ils amènent Jésus à l'endroit appelé Golgotha, c'est-à-dire : Lieu-du-Crâne, ou Calvaire. Ils lui offraient du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n'en prit pas. Alors ils le crucifient, puis se partagent ses vêtements, en tirant au sort pour savoir la part de chacun. Il était neuf heures lorsqu'on le crucifia. L'inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : « Le roi des Juifs ». Avec lui on crucifie deux bandits, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche. Les passants l'injuriaient en hochant la tête : « Hé ! toi qui détruis le Temple et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, descends de la croix ! » De même, les chefs des prêtres se moquaient de lui avec les scribes, en disant entre eux : « Il en a sauvé d'autres, et il ne peut pas se sauver lui-même ! Que le Messie, le roi d'Israël, descende maintenant de la croix ; alors nous verrons et nous croirons. » Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l'insultaient. Quand arriva l'heure de midi, il y eut des ténèbres sur toute la terre jusque vers trois heures. Et à trois heures, Jésus cria d'une voix forte : « Éloï, Éloï, lama sabactani ? », ce qui veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Quelques-uns de ceux qui étaient là disaient en l'entendant : « Voilà qu'il appelle le prophète Élie ! » L'un d'eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d'un roseau, et il lui donnait à boire, en disant : « Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là ! » Mais Jésus, poussant un grand cri, expira. Le rideau du Temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas. Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, s'écria : « Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu ! »
Il y avait aussi des femmes, qui regardaient de loin, et parmi elles, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques le petit et de José, et Salomé, qui suivaient Jésus et le servaient quand il était en Galilée, et encore beaucoup d'autres, qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
Déjà le soir était venu ; or, comme c'était la veille du sabbat, le jour où il faut tout préparer, Joseph d'Arimathie intervint. C'était un homme influent, membre du Conseil, et il attendait lui aussi le royaume de Dieu. Il eut le courage d'aller chez Pilate pour demander le corps de Jésus. Pilate, s'étonnant qu'il soit déjà mort, fit appeler le centurion, pour savoir depuis combien de temps Jésus était mort. Sur le rapport du centurion, il permit à Joseph de prendre le corps. Joseph acheta donc un linceul, il descendit Jésus de la croix, l'enveloppa dans le linceul et le déposa dans un sépulcre qui était creusé dans le roc. Puis il roula une pierre contre l'entrée du tombeau. Or, Marie Madeleine et Marie, mère de José, regardaient l'endroit où on l'avait mis.
Homélie
(Archive 2009)
Il est d’usage, lors du dimanche des Rameaux, de rentrer en procession dans l’église pour commémorer l’entrée de Jésus à Jérusalem. Dans l’Evangile proclamé juste au début de la procession, Jésus est désigné comme « Celui qui vient au nom du Seigneur » pour restaurer enfin la royauté promise à David pour sa descendance. Jésus est donc bien le Messie attendu par Israël, ce roi humble, juste et victorieux, qui restaurera la cité sainte de Jérusalem. En lui se réalise pleinement la prophétie messianique de Zacharie : « Crie de joie, fille de Jérusalem ! Voici ton roi qui vient à toi : il est juste et victorieux, humble, monté sur un ânon tout jeune » (Za 9, 9).
L’atmosphère qui ressort du récit évangélique est joyeuse et festive, et derrière les chants d’acclamations qui accompagnent l’entrée du Christ dans la ville sainte s’annonce déjà son triomphe définitif sur la mort et le péché durant la nuit pascale. L’espérance d’être sauvés et de ressusciter avec lui pour vivre dans la Patrie céleste de sa vie divine se trouve ainsi mise devant nos yeux.
Mais le climat change avec les lectures de la messe qui mettent en relief les conditions nécessaires pour que ce triomphe puisse s’opérer. Comme le dit Saint Bernard : « Si la gloire céleste se trouve présentée dans la procession, dans la messe se trouve manifestée quelle route nous devrons emprunter pour la posséder. »
Cette route que nous pouvons contempler dans la personne même du Christ est celle de l’abaissement et de l’humilité, celle de l’obéissance filiale, de l’abandon entre les mains du Père, celle du don total par amour jusqu’à mourir sur la Croix.
L’hymne de l’épître aux Philippiens (Cf. 2ème lecture) est peut-être le passage qui nous décrit cela de la façon la plus aboutie : « Le Christ Jésus, lui qui était dans la condition de Dieu, n'a pas jugé bon de revendiquer son droit d'être traité à l'égal de Dieu ; mais au contraire, il se dépouilla lui-même en prenant la condition de serviteur. Devenu semblable aux hommes et reconnu comme un homme à son comportement, il s'est abaissé lui-même en devenant obéissant jusqu'à mourir, et à mourir sur une croix. »
Oui, Jésus est bien le Messie - Serviteur souffrant, annoncé par le prophète Isaïe, qui ne s’est pas révolté, qui ne s’est pas dérobé ; qui a présenté son dos à ceux qui le frappaient, et ses joues à ceux qui lui arrachaient la barbe ; qui n’a pas protégé son visage des outrages et des crachats (Cf. 1ère lecture). Mais c’est par ses souffrances que nous sommes sauvés, souffrances qui ne sont que le prolongement de son acte d’obéissance parfaite au Jardin des Oliviers.
Car c’est bien là que se joue notre salut. En communiant humainement à la volonté divine du Père, Jésus rétablit notre nature humaine dans une relation filiale avec le Père, filiation qui avait précisément été refusée dans l’acte même du péché originel.
En choisissant d’entrer dans sa Passion et de la vivre jusqu’au bout, il exprime son abandon total entre les mains de son Père. Par le « oui » qu’il donne humainement à un moment où la délibération de tout homme serait infléchie au maximum vers le refus, Jésus nous sauve en accomplissant dans une nature humaine l’existence filiale parfaite.
Nous touchons ici le paradoxe de tous les paradoxes. Comment, le Fils de Dieu pourrait-il nous sauver au travers d’une telle vulnérabilité ? Cela nous ne pourrons le comprendre qu’au pied de la Croix, après avoir suivi Jésus durant sa Passion. Alors avec le Centurion romain, ce païen, nous pourrons confesser : « Vraiment cet homme était Fils de Dieu » (Mc 15, 39). Ce n’est qu’après que la Passion avec ses violences, ses délations, trahisons et défections, ait fait s’écrouler toutes les fausses idées humaines que nous avions pu projeter sur la messianité de Jésus, que nous pourrons réellement découvrir dans la foi le mystère de sa personne et de sa mission pour y adhérer de toute notre cœur, de toute notre âme et de toute notre force.
La foule en liesse s’est amassée pour saluer Jésus qui entrait à Jérusalem. Mais la même foule qui criait « Hosanna » et « Béni soit celui qui vient » criera « Crucifie-le » ! Il y a dans la vie des moments où il est facile de se laisser entraîner à suivre et à acclamer Jésus. Le Dimanche des Rameaux où nous nous réunissons pour prendre un rameau et écouter la Passion fait partie de ces moments. Mais saurons-nous reconnaître le visage du Christ dans notre quotidien ? Le suivrons-nous lorsque ce choix impliquera de porter la Croix ? Les textes de ce dimanche nous invitent à nous interroger sur notre attachement au Christ. Nous le reconnaissons et l’acclamons comme notre Roi, notre Sauveur, notre Rédempteur. Notre attitude devant la Croix, quand elle se proposera à nous, sera pourtant révélatrice de ce que représentent réellement pour nous ces titres que nous lui attribuons. Suivre le Roi d’humilité implique d’avancer sur le chemin de l’amour et du don total de soi.
Sans prétendre y arriver tout de suite, nous ne devons pourtant pas perdre de vue cette finalité et prendre les moyens pour la rejoindre. Les textes de ce jour nous apprennent que le plus fondamental peut-être c’est d’entrer toujours davantage dans la même intimité, la même communion de volonté avec Jésus que celle qu’il entretenait avec son Père. C’est une invitation à prier toujours plus et toujours plus intensément. C’est, en effet, dans la prière seule, comme Jésus à Gethsémani, que nous trouverons la force de choisir et non pas de subir nos croix dans le don total de nous-mêmes. L’enjeu est de taille car c’est ici que se joue l’avènement du Royaume de Dieu.
« Seigneur, fais-nous la grâce, durant cette semaine sainte, d’être renouvelés dans notre attachement à ta personne. Fais-nous la grâce de savoir te contempler et t’écouter dans ta Passion, t’écouter parler à notre cœur, t’écouter nous dire : « Tu comptes beaucoup pour moi. »
Frère Elie
BELLE SEMAINE SAINTE !
La Semaine Sainte, chemin vers Pâques
Nous célébrerons cette année la grande fête de Pâques le 4 Avril 2015 au soir.
Cet événement est le cœur même de la foi chrétienne. C’est pourquoi les chrétiens se préparent à la fête de Pâques depuis le début du Carême, et en particulier tout au long de la Semaine Sainte.
La Semaine Sainte commence le dimanche des Rameaux (célébration de l’entrée solennelle du Christ à Jérusalem), inclut le jeudi Saint (célébration de l’institution de l’Eucharistie et du Sacerdoce par le Christ) et le vendredi Saint (célébration de la Passion du Christ et de sa mort sur la croix). Elle s’achève avec la veillée pascale, pendant la nuit du samedi Saint au dimanche de Pâques (résurrection du Christ).
Parmi les célébrations jalonnant cette montée vers Pâques – messe du dimanche des Rameaux, Messe Chrismale, messe de la Cène du Seigneur, office de la Passion, Vigile pascale et messe de Pâques – l’une d’entre elles tient une place particulière: la Vigile pascale. La Vigile pascale rassemble, par ses rites, tous les éléments du message de Pâques. Les baptêmes d’adultes et de jeunes, qui seront célébrés cette nuit-là, rejaillissent sur toute la communauté et rappellent à chacun les promesses de son baptême.
LA SEMAINE SAINTE
Dimanche des Rameaux (29 mars)
Six jours avant la fête de la Pâque juive , Jésus vient à Jérusalem. La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur.
En mémoire de cet événement, les catholiques viennent à l’église, ce jour-là, avec des rameaux (de buis, olivier, laurier ou palmier, selon les régions) que le prêtre bénit au début de la messe. Les fidèles les emportent ensuite chez eux pour orner leur crucifix jusqu’au dimanche des Rameaux de l’année suivante.
* Mercredi Saint (1er avril)
Le mercredi de la semaine sainte, de nombreux diocèses proposent la Messe Chrismale. Elle peut être fixée un autre jour de la semaine sainte : dans le rite catholique latin, la Messe Chrismale n’appartient pas, au sens strict, au Triduum Pascal. Si elle a lieu le plus souvent le Jeudi Saint au matin, elle peut être transférée à un autre jour, pourvu qu’elle soit proche de Pâques.
Beaucoup d’évêques, pour faciliter la participation des fidèles et des prêtres, choisissent un soir de l’un ou l’autre des jours saints, le lundi, le mardi ou le mercredi. Durant la Messe Chrismale, l’évêque consacre le Saint Chrême et bénit les autres huiles saintes.
* Jeudi Saint (2 avril)
Jésus prend son dernier repas avec les douze Apôtres dans la salle dite du « Cénacle ». Saint Paul et les évangélistes Marc, Luc et Matthieu rapportent les récits de la Cène (1re Épître aux Corinthiens, 11 ; Évangile selon saint Marc, 14 ; Évangile selon saint Luc, 22 ; Évangile selon saint Matthieu, 26) au cours de laquelle, en prenant le pain et le vin, le Christ rend grâce et offre son Corps et son Sang pour le salut des hommes.
Après ce repas de la Cène, l’heure de l’épreuve approchant, le Christ se rend au jardin des Oliviers avec les apôtres pour veiller et prier.
Le Jeudi Saint, l’Église célèbre la messe « en mémoire de la Cène du Seigneur », puis les fidèles s’unissent à la prière du Christ ce soir-là, en veillant auprès du Saint- Sacrement (le pain et le vin consacrés au cours de la messe) jusque tard dans la nuit.
* Vendredi Saint (3 avril)
Trahi par son disciple Judas, le Christ est arrêté. Il est accusé de semer le désordre par ses enseignements et surtout d’usurper le titre de Messie, c’est-à-dire de Fils de Dieu envoyé pour sauver les hommes. Interrogé par Ponce Pilate (gouverneur romain de la région), flagellé par les soldats, Il est condamné à être cloué sur une croix – supplice alors réservé aux criminels.
Chargé de la croix, le Christ gravit la colline du Golgotha (littéralement « Mont du crâne », autrement appelé « Calvaire ») et tombe plusieurs fois d’épuisement. Crucifié, Il expire au bout de quelques heures. Descendu de la croix par ses proches, Il est enveloppé dans un linge blanc (le « linceul ») et mis au tombeau.
Les chrétiens sont appelés au jeûne (qui consiste à se priver de nourriture suivant l’âge et les forces du fidèle), démarche de pénitence et de conversion, expression de l’attente du Christ. L’office du Vendredi Saint, appelé « célébration de la Passion du Seigneur », est centré sur la proclamation du récit de la Passion (Évangile selon saint Jean 18, 1 – 19,42). Il est proposé aux fidèles un chemin de Croix qui suit les étapes de la Passion du Christ.
* Samedi Saint (4 avril)
Après une journée de silence, la célébration de la nuit du Samedi Saint au dimanche de Pâques est « une veille en l’honneur du Seigneur » durant laquelle les catholiques célèbrent Pâques, passage des ténèbres à la Lumière, Victoire du Christ sur la mort. C’est pourquoi, dans la nuit, le feu et le cierge de Pâques sont allumés, puis la flamme est transmise aux fidèles.
C’est aussi durant cette veillée – ou Vigile pascale – que sont célébrés les baptêmes d’adultes. Ils sont aussi l’occasion pour les fidèles de renouveler les promesses de leur baptême. Au cours de la Vigile pascale 2015, plus de 4911 baptêmes seront célébrés en France. Près de 80 % de ces catéchumènes ont entre 18 et 40 ans.
Pour les enfants, les jeunes et les adultes qui vont être baptisés au cours de la Vigile Pascal, Pâques résonne en événement inaugural de leur vie de chrétien.
A l’issue de leur chemin catéchuménat, vécu depuis plusieurs années, cette nuit pascal constitue un sommet pour leur initiation chrétienne ; Sommet signifié par l’ensemble de la liturgie qui célèbre la mémoire de Jésus Christ.
Au cœur de la vigile, les rites spécifiques aux sacrements d’initiation sont parlants : La plongée dans l’eau, symbole de mort et de vie, passage à la résurrection dans le Christ. On est baptisé au nom du Père, du Fils et du St Esprit. Au sortir de l’eau, les nouveaux baptisés seront revêtus du vêtement blanc. Ils le porteront au cours de certaines célébrations du temps pascal.
S’ils sont confirmés ce soir là, il y aura le rite avec le Saint Chrême, la marque de l’Esprit Saint. Avec toute l’assemblée, ils recevront le cierge allumé. Tel des porteurs de la Lumière de Foi dans leur vie, ils participent à la liturgie eucharistique et communient pour la première fois.
Ce qui est beau à voir et non moins significatif, c’est la joie rayonnante de ces nouveaux baptisés. Cette émotion profonde et toute simple mais qui en dit long sur la transformation humaine et spirituelle qu’ils sont en train de vivre. Ils sont les mêmes hommes, les mêmes femmes qu’auparavant mais tout autre puisque résolument disciples de Jésus de Nazareth
* Dimanche de Pâques (5 avril)
« Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rend au tombeau. La pierre a été enlevée… Les bandelettes ont été déposées… Le linge est roulé à part » (Évangile selon saint Jean, 20).
Étymologiquement, « Pâques » signifie « passage » : par ce passage de la mort à la Vie, le Christ a sauvé l’Homme du péché et l’a appelé à la vie éternelle. La Résurrection du Christ est l’accomplissement des promesses faites par Dieu à son peuple. C’est pourquoi la fête de Pâques, célébrée par une messe solennelle, est le sommet du calendrier liturgique chrétien. Ce jour d’allégresse est marqué dans les églises par la couleur blanche ou dorée, symbole de joie et de lumière
* Vivons avec ferveur ce temps Saint qui nous restaure et nous redonne vie.
Que Dieu vous bénisse ainsi que toutes vos familles !
Départementales 2015:
Elle est belle la Gauche. Ce matin à Lille le Ministre Kanner pour faire campagne se gare tranquillement sur une place handicapée. Et puis c est plus sympa de se mettre de travers on va pas laisser la place a un handicapé tout de même ! De plus qui paye cette voiture ? Donc dimanche tant sur le 9ème canton de la Seine Saint Denis, dites NON à ces gens...!
JPR
Info Pierrefitte:
Monsieur Patrick Saunier, pour les très nombreuses personnes qui ne le connaissent pas encore, c'est le très et trop discret Délégué UMP de la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis depuis 4 ans, n'a pas souhaité répondre à ma proposition pour être assesseur titulaire (en tant que principal Représentant de la Droite républicaine pierrefittoise) du bureau de vote de la mairie de Pierrefitte dimanche pour le second tour des départementales sur le 9ème canton du 93 alors qu'il est allé chercher des militants UMP de St Denis pour faire cette tâche au niveau de certains autres bureaux de vote de Pierrefitte car il manquait d’effectif !!! Vivement les élections internes du parti dirigé par le Président Nicolas Sarkozy car le conflit qui m'oppose depuis plus d'un an à Monsieur Patrick Saunier, dans l’intérêt général et celui de la Droite républicaine locale est nuisible pour nos couleurs et pour tout le monde ! Je démontrerai à certaines mauvaises langues d'ici fin avril lors d'un nouvel évènement que je vais organiser sur ma commune, que malgré ce Monsieur, son combat contre moi et ses quelques partisans, que je ne suis pas seul comme ces gens là et d'autres disent !...
JPR
Annonciation du Seigneur
25 mars
Fête du Seigneur, l'Annonciation inaugure l'événement dans lequel le fils de Dieu devient chair à consommer son sacrifice Rédempteur dans l'obéissance au père et à être ressuscitée à la première. L'église, comme Marie, se lie à l'obéissance de Christ sacramentellement dans la foi, vivre sens Paschal de l'Annonciation. Marie est la fille de Sion qui, couronnement de la longue attente, vous accueille avec son « Fiat » et conçoit l'esprit de Saint Sauveur. Dans sa Vierge et mère, le peuple de la promesse devient le nouvel Israël, l'Eglise du Christ. Les neuf mois entre la conception et la naissance du Sauveur expliquer la date du jour en ce qui concerne la solennité du 25 décembre. Des calculs savants et regardait les considérations mystiques 25 mars la première création de l'événement et la rénovation du monde à Pâques. (Mess. ROMAINS)
Martyrologe romain : solennité de l'Annonciation du Seigneur, lorsque, dans la ville de Nazareth, l'ange de l'Eternel a fait l'annonce à Marie: « Voici, vous va concevoir un enfant, lui donner de la lumière et sera appelé fils du très-haut » et Maria répondant à ladite pour lui, "Voici la servante du Seigneur ; arriver à moi selon ta parole ». Et tant de succès, la plénitude des temps, qui fut le premier des siècles, le seul engendré fils de Dieu, pour nous les hommes et pour notre Salut, il a incarné dans le sein de la Vierge Marie par l'Esprit Saint et s'est fait homme.
Pour la fête de l'Annonciation, je vous invite à lire les deux passages de la vraie dévotion à la Vierge Marie de Saint Louis Marie Grignion de Montfort (1673-1716). Première chanson : les vrais dévots de la Vierge "aura une singulière dévotion envers le grand mystère de l'incarnation du verbe, le 25 mars, qui est le mystère de cette dévotion, car cette dévotion a été inspirée par l'Esprit Saint: 1) d'honorer et d'émuler l'interdépendance ineffable que Dieu le fils a voulu être Mary, pour la gloire de Dieu le père et pour notre salut, dépendance qui est particulier dans ce mystère dans lequel Jésus-Christ est un prisonnier et un esclave dans l'utérus de Marie et le divin dont dépend de vous en toutes choses ; 2) pour remercier Dieu delle grazie incomparable qui a fait à Marie et en particulier, ont choisi comme son plus digne mère, une décision qui a été faite dans ce mystère « (chapitre VIII).
Deuxième histoire: "le temps ne me laissera pas arrêter pour expliquer l'excellence et la grandeur du mystère de Jésus et de Marie, ou d'une règle de l'incarnation du verbe, je vais juste dire en un mot que nous avons ici le premier mystère de Jésus Christ, le plus caché, le plus élevé et le moins connu. qui est ce mystère que Jésus partage avec Marie, en son sein, qui est appelée par les Saints' les secrets de Dieu », a choisi tous les élus ; qui est ce mystère qui a exploité tous les mystères de sa vie qui ont suivi, d'accepter qu'il a fait: "entrant dans le monde, le Christ dit: « Voici, je viens pour faire ta volonté » (Hébreux 10, 5.7) ; et, par conséquent, que ce mystère est un recueil de tous les mystères, qui contient la volonté et la grâce à tous. Enfin, ce mystère est le trône de miséricorde, de générosité et de la gloire de Dieu « (chapitre VIII).
Les deux textes sont reliés entre eux. Première St. Louis Marie, dit que le mystère de l'incarnation est le premier mystère où les vrais dévots de la Sainte Vierge doivent prêter leur attention. Deuxièmement, il fait valoir que le mystère de la vie secrète de Jésus en Marie est le mystère qui contient tous les autres mystères, le point de départ pour toutes les merveilles de sa vie.
Nous analysons le premier et ensuite le second.
Le traité de la vraie dévotion à Marie est un texte prophétique comme indiqué sur les mystères et la dévotion à notre Dame. La vérité profonde qui annonce une vaste que dans une future période de floraison de l'église et théologie, dont le pape lui-même appelé « règnent de Marie ». Aujourd'hui le sens de ses mots ne peut pas encore être pleinement compris. Par exemple, qui osera dire que vous comprenez l'affirmation que Jésus Christ, Dieu lui-même, qui était pour un temps "esclave de Marie" tout en vivant à ses seins ? Après l'Annonciation et de Marie « Oui », notre Seigneur s'est fait chair dans ses seins. Depuis lors, il avait une connaissance parfaite de sa mère. Elle a vécu dans un couvent cloîtré, en contact et en complète dépendance humaine de Madonna : le plus parfait provoquant une dépendance que vous donneriez à terre.
Le mot incarné, pleinement conscient dès les premiers instants de son incarnation, a choisi de vivre au sein d'une créature. Pour son choix a vécu à l'intérieur de ce temple et le palais, dans une relation mystérieuse avec notre Dame.
Dieu manifeste sa toute-puissance dans l'incarnation. Le manifeste également garder la Vierge Marie, avant, pendant et après l'accouchement. L'incarnation est un événement si extraordinaire que Dieu pourrait avoir pour notre Seigneur de naître quelques jours après la conception. Mais n'a pas. Le Seigneur a choisi de vivre pendant neuf mois dans la matrice de Marie. Voulait établir cette forme particulière de la dépendance sur lui. Il a voulu l'avoir avec vous cette relation profonde et mystérieuse de l'âme. Saint Louis-Marie dit qu'a choisi de devenir son « esclave »: une expression centrale à toute théologie mariana del santo, qui peut nous laisser perplexe, surtout si vous êtes faisant référence à Jésus Christ, mais pour le Saint est essentielle et nous devons comprendre parfaitement. Esclave ? Oui. En effet, un esclave a sa vie, respirer seul, a au moins la liberté de mouvement. Jésus est plus qu'un esclave : il acceptait d'être entièrement par notre Dame.
Quel genre de relation entre les âmes de Jésus et Madonna se sont installés dans cette période ? Quel genre de mariage ? En soi, le mystère est impénétrable. Mais, au moins pour avoir un point de départ, on peut considérer que dans le mystère de l'incarnation de notre Seigneur prend entièrement la nature humaine. Vrai Dieu, vrai homme de devenir. A une âme et un corps comme nous les avons. Dans son humanité descend de Adam et Eve comme nous. Mais en même temps son âme humaine avait – en effet – une Union avec Dieu si proche que Jésus Christ est et reste une personne de la très Sainte Trinité. Il n'y a qu'une seule personne du Christ, non pas deux, même après l'incarnation. Comment est ce possible ? Est un mystère. Les théologiens sont répartis sur le concept d'Union hypostatique, mais ne dissout pas vraiment de mystère.
Compte tenu de sa nature divine et humaine, comment expliquez-vous le cri de Jésus sur la Croix: « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? ». A cette époque certainement Jésus continua à être Dieu, et pourtant il a choisi de souffrir dans son humanité un isolement total et de l'abandon. Il s'était senti complètement abandonné dans son humanité tandis que United est resté avec Dieu le père et le Saint-Esprit dans sa divinité. Encore une fois, nous ne pouvons pas tout expliquer : est un mystère.
L'Union de notre Seigneur avec Marie alors qu'il était dans son ventre n'est pas bien sûr l'Union hypostatique, mais ce dernier nous aide dans via analogique à comprendre. Si dans son humanité Jésus pouvait sentir abandonné sur la Croix, sans compromettre sa divinité, pourrait être comme dit Saint Louis Marie schiavo "de notre dame qu'il contient – moyens, même ici dans son humanité. Mais à bien des égards, rester mystérieux, sur lequel je pense que va faire la lumière qu'une théologie peut s'épanouir à nouveau dans le règne de Marie, pour la plus grande gloire de Dieu et pour les âmes.
Même l'Union mystique de notre dame avec chacun de ses fidèles, dont St. Louis Marie appelle « esclaves », nous ne sommes pas encore entièrement clarifiées. Pourtant, c'est quelque chose de beaucoup plus simple des divins mystères de marie avec Jésus. If ils sont mystères, aucune explication ne s'épuise à la longue. Nous pouvons dire cependant que la contemplation du mystère de l'incarnation nous aide à combattre les deux doctrines principales de révolution : le panthéisme et le subjectivisme.
Selon le panthéisme, tout est une seule et tout est bon ; une chose se distingue essentiellement pas de l'autre. Toutes les créatures, ils forment une grande personne cosmique et collective. Subjectivism dit que chaque être humain est absolument autonome et n'a pas vraiment besoin d'être combinés avec d'autres.
L'église catholique condamne tous les deux de ces erreurs. Stipule que toute personne est autonome et distinct en tant qu'individu, mais que l'ouverture aux autres est constitutive et nécessaire. Théologie et philosophie expliquent comment approfondir la notion de personne ces derniers temps, qu'il faut tenir compte de sa relation avec Dieu.
Lorsque la relation de Jésus Christ avec notre Dame de l'incarnation est mieux comprise, comprendra quelque chose plus de pages encore plus mystérieux de « Apocalypse ». Il est tout à fait permis de prier et espère qu'un jour une nouvelle aube se pose où les horizons de la théologie pourraient s'étendre et les liens entre les nombreux mystères plus humainement possibles, pourrait éclaircir.Saint Louis-Marie dit que le mystère de l'incarnation contienne tous les autres. Nous savons que chaque jour de la fête de l'Église apporte une grâce spéciale. Aujourd'hui la première Union mystérieuse de notre Seigneur avec notre-Seigneur vient à nous, pour ainsi dire, avec un parfum spécial.
Nous confier avec une force particulière à la Vierge en ce jour de fête et demander la grâce de devenir ses sujets humbles et les esclaves, comme l'a fait le même enfant Jésus alors qu'il vivait en elle.
Voici, quelques photos de mon rapide petit voyage de la semaine dernière à Honfleur en Normandie, afin d'y célébrer un anniversaire mensuel au niveau personnel:
L'église Sainte Catherine.
Marie-Madeleine à l'église Sainte Catherine.
La demeure ou vivait Alphonse Allais.
Une Anne priant devant la statue de Sainte Anne à l'église Sainte Catherine.
Départementales 2015:
Fin de ma journée électorale pour les départementales sur St Denis et ses deux cantons. Ou j'ai été assesseur suppléant à l'un dés deux bureaux de vote de la magnifique mairie de St Denis. Malheureusement, la Droite républicaine est éliminée dés le premier tour aux deux endroits.
Je tiens malgré tout à rendre un très vibrant hommage à quelques un de mes ami(e)s dionysiens avec j'ai fait campagne pendant plus d'un mois et qui resteront (quelque soit leur suivi vis à vis de ma personne à l'avenir...!?) à jamais dans mon cœur à différents niveaux: Stanislas Francina; Georges Melane; Evelyne Nicol; Daniel de La Court; Henri Manga; Anthony Cocorocchia; Milisa Gonçalves; Vanessa Grabiague; Jean-Pierre Christoni et bien d'autres...Sans oublier une mention spéciale pour mon ami Julien Mugerin et toute son équipe de Stains.
Je suis aussi tombé dans le bureau ou j'étais assesseur suppléant pour un de nos candidats, à la magnifique mairie même de St Denis, sur un Maire communiste stalinien et assez détestable !
Enfin, d'autres combats reprendront très vite...notamment avec moi en ce qui concerne les nouvelles élections internes à l'intérieur au Mouvement dirigé par le Président Nicolas Sarkozy...
En aucun cas, je regrette mes prises de positions, que ça soit sur mon canton ou principalement sur ma ville de Pierrefitte ou même ma participation au combat sur St Denis !
Encore une fois les sondages battus en brèche: l'UMP premier parti de France et seule force politique crédible pour l'alternance avec comme chef et guide: le Président Nicolas Sarkozy !
Voici, pour information les résultats sur ma ville de Pierrefitte ou je suis le seul élu municipal UMP: Le PS devant le FN . Le binôme PS Fourcade - Abomangoli obtient 46,2 % devant le FN à 23,8 %, l’UDI/UMP à 16,7 % et le PCF à 13,3 %. Participation faible à 27,5 %. Les résultats sur ma propre commune me donnent entièrement raison dans l'attitude que j'ai vis à vis d'une certaine personne depuis plus d'un an !
Le PS en tête sur le canton d’Epinay/Pierrefitte et Villetaneuse. Le duo PS Fourcade (le sortant) - Abolangoli obtient 36 % devant l’UDI (soutenu par l'UMP) Saidani - Sayah à 24,6 %. Le FN est troisième à 22,7 % et le PCF 4e à 16,7 %. Avoir voté massivement FN au 1er tour c'est faire passer la gauche au second tour !
L'UMP du Président Nicolas Sarkozy est le premier parti de France. Une France majoritairement bleue. On écrase le PS et le FN !!! Les résultats du premier tour sont très satisfaisant au plan national, il va falloir rester mobiliser pour le second tour en espérant que ça amène une alternance dans bons nombres de départements dont la Seine Saint Denis. Je l'espère du très fond de mon cœur et de mon âme.
" Mes chers compatriotes, l'alternance est en marche, rien ne l'arrêtera " Nicolas Sarkozy
Je souhaite bonne chance aux amis à travers le département qui portent les espoirs d'un basculement du 93 à portée de main.
Bravo aux copains défaits. Pour ma part, je proposerai au Délégué sortant de l'UMP pour ma Circonscription, de tenir en tant que seul élu municipal pour mon Mouvement politique, le bureau de vote de la mairie de Pierrefitte...
Pour finir, même si cela ne plait pas à tout le monde...je sortirai le n 2 de ma Lettre d'élu municipal, d'ici samedi prochain...
Bonne nuit à tous mes sincères ami(e)s.
Bien amicalement,
JPR
Jean-Pierre Renard
Évelyne Nicol.
Info Pierrefitte:
Les 22 et 29 mars 2015, vous avez rendez-vous avec l’Histoire !
Nous nous mobilisons en ce moment même un scrutin démocratique dont l’enjeu est historique.
C’est, tout d'abord, une occasion formidable d'adresser un carton rouge à François Hollande et à un gouvernement qui nous ment et nous trompe depuis maintenant trois ans. Mais en plus d'une débâcle électorale bien méritée pour le pouvoir actuel, cette élection doit aussi faire de l'UMP le principal opposant républicain au chaos socialiste tant au niveau national que local.
Ne vous y trompez pas, nous sommes les seuls à porter ces valeurs qui nous sont si chères : l’autorité républicaine, le mérite, le patriotisme, la liberté en matière économique.
Je sais bien que certains d'entre vous peuvent être tentés de voter pour le Front national. Si certains diagnostics peuvent être partagés, nos solutions sont totalement différentes.
C'est bien la droite qui a fait voter l'interdiction de la burqa dans l'espace public, souvenez-vous, Madame Le Pen, elle, était contre cette loi.
C'est aussi la droite qui, avec Nicolas Sarkozy, a défiscalisé les heures supplémentaires. Madame Le Pen, elle, était contre. Pourquoi? Parce qu'en réalité, Madame Le Pen n'a aucun intérêt à résoudre vos problèmes et ce, pour une raison simple: vos problèmes, elle en vit.
Tel est le postulat de départ qui a poussé Geoffroy Didier à écrire son livre "la fronde nationale"
Tout au long de ses rencontres de terrain, il note notamment trois exaspérations importantes chez les français : " On ne se sent plus chez nous en France ! " " L’Europe ne nous apporte que des problèmes ! " " On ne supporte plus les discours des politiques ! "
Exaspérés par l'impuissance de leurs dirigeants, les Français expriment ainsi leur colère. Qu'ils aient voté Hollande, Sarkozy ou Mélenchon, beaucoup sont tentés de céder aux sirènes de Mme Le Pen. Si la gauche continue de trahir Jaurès et la droite d'ignorer Jeanne d'Arc, l'impensable deviendra réalité : la France dirigée par le Front national.
Ce livre s'adresse à tous les Français. Au-delà de l'exceptionnelle mobilisation qui a suivi les attentats de janvier, il remonte à la source de nos maux : une République désorientée, une Europe déconsidérée, des conditions de vie dégradées, un système politique fatigué. Et un Front national qui a fait de nos souffrances un fonds de commerce.
Méthodiquement, l'auteur démonte l'un après l'autre les mensonges de Mme Le Pen.
Ce livre crée aussi un espoir. Si la droite républicaine porte un projet qui redonne du sens à la nation, restaure l'autorité de l'État et insuffle de l'énergie à notre économie, elle ouvrira une voie entre le déni et le repli, entre la confusion socialiste et le mirage extrémiste. Si elle démontre une détermination à agir, alors le Front national n'aura plus qu'à fermer boutique.
Ainsi, mes chers amis, je vous recommande la lecture de ce livre !
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal UMP de Pierrefitte
Les commentaires récents