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Info Pierrefitte:

Bonjour chers amis. D'abord, mes examens de santé, se sont bien passés, leur résultat est positif, à confirmer...Ensuite, hier soir, je suis allé en compagnie d'une de mes amies: Evelyne Nicol (ex-Conseillère municipale UMP de St Denis) et de mon meilleur ami: Michel Swiatek (l'un des plus grands militants UMP de Pierrefitte) au Comité départemental de l'UMP 93 à la magnifique salle du Conseil de la Mairie de Villemomble. Du fond du coeur, à mes deux amis sincères de m'avoir accompagné, je ne l'oublierai pas ! Là bas, j'en ai retrouvé de nombreux autres. La prestation de notre Président départemental par intérim: le Sénateur/Maire UMP des Pavillons Sous Bois: Philippe Dallier, fut très intéressante. J'espère de tout mon coeur qui sera notre futur Président lors des élections internes d'octobre prochain !...Dans le sérieux conflit qui m'oppose au Délégué UMP sortant de ma circonscription: Patrick Saunier, il ne prendra pas position et m'a conseillé (comme un autre ami: ex-Conseiller municipal UMP de Villetaneuse) de me calmer car tout cela est plus que néfaste à notre Mouvement et ne sert malheureusement qu'à nos adversaires ! Je ferai de mon mieux dans le respect de ceux qui ont voté pour moi, le 23 mars dernier, de ma compagne, de cette ville de Pierrefitte que j'aime et des militants de mon Mouvement politique: l'UMP sur les trois villes de notre circonscription: Pierrefitte; St Denis et Villetaneuse. Bien sûr, je confirme que ne serai pas présent à la nouvelle réunion organisée par Patrick Saunier demain soir à son domicile pierrefittois, suite à l'affront qu'il a fait subir à ma compagne. Que ceux qui font des copiés/collés de mes écrits au sujet de ce Monsieur afin de tenter de me nuire, s'occupent de leurs propres affaires ou même de leur propre ville. Je rappelle que si une personne de grande expérience n'est pas candidate (qui a ma préférence. Avec qui je négocierai la tête de la section UMP locale de Pierrefitte) en septembre prochain sur notre circonscription (la 2ème de la Seine Saint Denis, alors, je maintiendrai a candidature à ce poste (je prépare un programme complet pour d'ici fin juillet)... Ce soir, avec ma compagne (la fille de l'Ambassadeur du Vietnam à Paris sous le Général de Gaulle): Do Quyen Pham, je serai au Café politique organisé à Bondy par l'association sarkozyste: l'Union de la France Forte: http://uniondelafranceforte.fr/index.html (que j'ai décidé de rejoindre). Bonne journée à toutes et à tous. Que Dieu vous garde !
Bien amicalement,

JPR


11 juin 1144: Naissance de l'art gothique à Saint-Denis.

Le choeur de la basilique de Saint-Denis, dédiée au premier évêque de Paris, est solennellement consacré le dimanche 11 juin 1144.

L'abbé Suger invite à la cérémonie le roi de France, Louis VII le Jeune, et sa femme, la duchesse Aliénor d'Aquitaine, ainsi que tous les grands personnages du royaume, y compris les évêques et les archevêques. Ces derniers, émerveillés par la lumière des vitraux et l'élancement de la structure, regagnent leur diocèse avec le désir de reconstruire leur propre cathédrale dans le style particulier de Saint-Denis.

C'est le véritable début de l'art gothique.

André Larané

Suger, homme d'exception

Fils d'un serf, Suger s'est hissé par ses seuls talents jusqu'au sommet de l'Église et de l'État, devenant abbé de Saint-Denis, au nord de Paris.

Cette abbaye, dont les plus anciennes parties remontent aux rois mérovingiens de la lignée de Clovis, a été très tôt un lieu de pèlerinage. Dès l'époque de Dagobert, des rois et des princes s'y font inhumer. Pépin le Bref et ses deux fils, Carloman et Charlemagne, y ont été sacrés rois de France par le pape (Charlemagne sera par ailleurs sacré empereur à Rome).

Entrepreneur hors pair, Suger fait reconstruire l'église abbatiale de Saint-Denis... Il a le sentiment d'oeuvrer ainsi pour la gloire de l'Église et du royaume. Ses conceptions sont à l'opposé de son contemporain et rival, l'austère Bernard de Clairvaux, qui plaide pour le dépouillement des lieux de culte.

Dans un premier temps, pour la façade et la crypte de l'église, l'abbé adopte le style roman de l'époque, non sans introduire sur la façade une superbe rosace, la première du genre.

Le style roman (ou romain, c'est-à-dire d'inspiration latine) s'est épanoui après l'An Mil en Occident à l'occasion du renouveau de l'Église. Il se caractérise par des voûtes en berceau soutenues par de solides parois en pierre.

Un art français

Mais vers 1130, à Sens, à l'occasion de la construction de la cathédrale Saint-Étienne, un nouveau style architectural apparaît subrepticement, plus léger, plus élancé, plus lumineux. L'abbé Suger est séduit par ce nouveau style et décide de s'en inspirer pour l'achèvement de sa chère basilique.

Avec la consécration du choeur de la basilique, les contemporains ont conscience d'assister à la naissance d'un nouveau style architectural, proprement révolutionnaire par sa hardiesse et son caractère résolument novateur...

Art gothique ? disons plutôt art français !
Le style architectural qui caractérise le choeur de Saint-Denis est d'abord baptisé «ogival» par référence à l'ogive ou à l'arc brisé, ou encore «art français» car il est né au XIIe siècle dans le Bassin parisien, à Sens, Saint-Denis, Laon, Noyon, Paris. Il sera sous la Renaissance baptisé par dérision «art gothique» (c'est-à-dire «à peine digne des Goths»).


11 juin 1726: Fleury devient le Premier ministre du Roi Louis XV:

Le cardinal de Fleury, par François Stiemart (musée national du château de Versailles). Le 11 juin 1726, André-Hercule de Fleury (73 ans) devient Premier ministre de Louis XV en remplacement du duc de Bourbon. L'ancien précepteur du jeune roi de France (16 ans) reçoit par la même occasion le chapeau de cardinal comme avant lui les Premiers ministres Richelieu, Mazarin et Dubois.

Il gouverne le pays avec sagesse jusqu'à sa mort, le 29 janvier 1743, à l'âge de 90 ans (cela fait de lui le plus vieux Premier ministre qu'ait eu la France). Dédaignant les fastes de Versailles, il retourne chaque soir dans sa chambre du séminaire d'Issy-les-Moulineaux.

Sous son ministère, le cours de la monnaie est stabilisé. L'industrie, de même que le commerce avec les colonies sucrières, connaissent un essor remarquable. Mais le cardinal réfrène les ambitions maritimes de son ministre Maurepas. Pour ne pas irriter l'Angleterre, il limite la flotte de guerre, la Royale, à la moitié du tonnage de sa rivale, la Royal Navy.

Pacifique, le cardinal se contente en 1733 d'une modeste intervention dans la guerre de la Succession de la Pologne en faveur du père de la reine, le roi Stanislas. Celui-ci, battu, échange le royaume de Pologne contre le duché de Lorraine, lequel reviendra à la France à sa mort (1766). Mais si pacifique qu'il soit, le cardinal ne peut éviter la désastreuse guerre de la Succession d'Autriche, consécutive à la mort de Charles IV de Habsbourg et à l'accession au trône de sa fille Marie-Thérèse. Il meurt peu après le déclenchement des hostilités.

Le cardinal de Fleury


Ma vie:

Aujourd'hui, c'est une journée très importante pour moi: D'abord ce matin,  je vais passer deux examens capitaux sur le plan médical. Normalement tout devrait bien se terminer... Puis ce soir, il y aura le Comité départemental de l'UMP 93 à Villemomble. Je risque d'affronter sur tous les plans mon adversaire à l'intérieur du Mouvement, notre Nivelle et notre Grouchy: Patrick Saunier suite à l'affront qu'il a fait subir à l'amour de ma vie, ma conseillère politique, mon Don du ciel, mon ange protecteur, ma perle...ma compagne: Do Quyen Pham (la fille de l'Ambassadeur du Vietnam à Paris sous le Général de Gaulle) en refusant qu'elle soit présente à la réunion (c'est pour cette raison que j'appelle tous les pierrefittois ainsi que bien sûr les adhérents et sympathisants UMP de ma commune de Pierrefitte à boycotter de rendez-vous) de notre section locale qu'il organise à son domicile pierrefittois, vendredi prochain. Même si je serai entouré de certains proches, ce qui m'empêchera surement de laver l'honneur de cette dernière en public...Bonne journée à toutes et à tous. Que dieu vous garde !
Bien amicalement,

JPR


11 Juin - Saint Barnabé:

Disciple et compagnon de saint Paul de Tsar , apôtre (1er s.)

Barnabé veut dire fils de celui qui vient, ou bien fils de consolation, ou fils de prophète, ou fils qui enserre. Quatre fois il a le titre de fils pour quatre sortes de filiation. L'écriture donne ce nom de fils, en raison de la génération, de l’instruction, de l’imitation, et de l’adoption. Or, il fut régénéré par Notre Seigneur Jésus-Christ dans le baptême, il fut instruit dans l’évangile, il imita le Seigneur par son martyre, et il en fut adopté par la récompense céleste. Voilà pour ce qui le regarde lui-même. Voici maintenant ce qui le concerne quant aux autres : il fut arrivant, consolant, prophétisant et enserrant. Il fut arrivant, parce qu'il alla prêcher partout : ceci est clair, puisqu'il fut le compagnon de saint Paul. II consola les pauvres et les affligés, les premiers en leur portant des aumônes, les seconds en leur adressant des lettres de la part des apôtres : Il prophétisa puisqu'il fut illustre en annonçant les choses à venir; il fut enserrant, c'est-à-dire qu'il réunit et rassembla dans la foi une multitude de personnes ; la preuve en est dans sa mission à Antioche. Ces quatre qualités sont indiquées dans le livre des Actes (XI.). C'était un homme, mais un homme de courage, ce qui a trait à la première qualité, bon, c'est pour la seconde, plein du Saint-Esprit, voilà pour la troisième, et fidèle ou plein de foi, ceci regarde la quatrième qualité. Jean le même due Marc son cousin compila son martyre. Il en est question principalement à partir de la vision de ce Jean, jusque vers la fin. On pense que Bède le traduisit du grec en latin.

La promulgation de l'alliance nouvelle est venue convier tous les peuples à prendre place au banquet du royaume de Dieu ; depuis lors, nous l'avons remarqué, l'Esprit sanctificateur produit les Saints, dans le cours des siècles, à des heures qui correspondent souvent aux desseins les plus profonds de l'éternelle Sagesse sur l'histoire des nations. Nous ne devons pas nous en étonner : les nations chrétiennes ayant comme nations leur rôle assigné dans l'avancement du règne de l'Homme-Dieu, cette vocation leur confère des devoirs et des droits supérieurs à la loi de nature ; l'ordre surnaturel les investit de toutes ses grandeurs, et l'Esprit-Saint préside par ses élus à leur développement comme à leur naissance. C'est à bon droit que nous admirons dans l'histoire cette providence merveilleuse agissant, à leur insu quelquefois, parmi les peuples, dominant par l'influence cachée de la sainteté des petits et des humbles l'action des puissants qui semblent conduire toutes choses au gré de leur seule volonté. Mais, entre les Saints qui nous apparaissent comme le canal des grâces destinées aux nations, il en est que la reconnaissance universelle doit oublier moins que tous les autres : ce sont les Apôtres, placés comme fondement à la base de l'édifice social chrétien (Eph. 11, 20.) dont l'Evangile est la force et la loi première. L'Eglise veille soigneusement à écarter de ses fils le danger d'un oubli si funeste ; aucune saison liturgique n'est privée du souvenir de ces glorieux témoins du Christ.

Mais depuis la consommation des mystères du salut, qui livra le monde aux conquêtes de leur zèle, leurs noms se pressent davantage encore sur les fastes sacrés ; chaque mois du Cycle emprunte son éclat, pour une part principale, au triomphe de quelqu'un d'entre eux. Le mois de juin, tout embrasé des feux récents de la Pentecôte, vit l'Esprit-Saint poser les premières assises de l'Eglise sur ses fondements prédestinés ; il méritait l'honneur d'être choisi pour rappeler au monde les grands noms de Pierre et de Paul, qui résument les services et la gloire du collège entier des Apôtres. Pierre proclama l'admission des gentils à la grâce de l'Evangile ; Paul fut déclaré leur Apôtre; mais, avant même d'avoir comme il convient rendu gloire à la puissante principauté de ces deux guides du peuple chrétien, l'hommage des nations s'adresse à bon droit en ce jour au guide de Paul lui-même dans les débuts de son apostolat, au fils de consolation (Act. IV, 36.) qui présenta le converti de Damas à l'Eglise éprouvée parles violences de Saul le persécuteur. Le 29 juin tirera sa splendeur de la confession simultanée des deux princes des Apôtres, unis à la mort comme dans leur vie (Ant. Oct. Ap. ad Bened.). Honneur donc tout d'abord à celui qui noua dans l'origine cette union féconde, en conduisant au chef de l'Eglise naissante le futur docteur de la gentilité (Act. IX, 27.) ! Barnabé se présente à nous comme avant-coureur ; la fête que lui consacre l'Eglise, est le prélude des joies qui nous attendent à la fin de ce mois si riche en lumière et en fruits de sainteté.

Barnabé, lévite, ne en Chypre, et appelé aussi Joseph, fut destiné avec Paul à la prédication de l'Evangile de Jésus-Christ en qualité d'Apôtre des Gentils. Il avait vendu un champ qu'il possédait, et en avait apporté le prix aux Apôtres. Envoyé à Antioche pour y prêcher, il y rencontra un grand nombre de personnes déjà converties à la foi du Seigneur Christ, ce qui lui fut un motif de grande joie, et il multiplia ses exhortations pour les engager à persévérer dans la foi. Sa parole eut un grand succès, parce qu'il était regardé de tous comme un homme bon et rempli du Saint-Esprit.

Il partit de là pour Tarse afin d'y chercher Paul, et vint avec lui à Antioche. Ils passèrent un an avec les fidèles qui composaient l'Eglise de cette ville, s'appliquant à leur inculquer les préceptes de la foi et de la vie chrétienne. Ce fut dans cette même ville que l'on commença à donner le nom de Chrétiens aux adorateurs de Jésus-Christ. Les disciples de Paul et de Barnabé secouraient de leurs aumônes les chrétiens de Judée et faisaient passer leurs largesses par les deux Apôtres. Ayant accompli cet office de charité, Paul et Barnabé revinrent à Antioche avec Jean surnommé Marc, qu'ils s'étaient adjoint.

Pendant que Paul et Barnabé servaient le Seigneur dans l'Eglise d'Antioche, jeûnant et priant avec les autres prophètes et docteurs, le Saint-Esprit dit : " Séparez-moi Paul et Barnabé pour l'œuvre à laquelle je les ai destinés ". Alors, avec des jeûnes et des prières, on leur imposa les mains et on les laissa partir. Ils allèrent à Séleucie, et de là en Chypre ; ils parcoururent en outre beaucoup de villes et de pays, prêchant l'Evangile avec un grand fruit pour ceux qui les écoutaient. Barnabé se sépara ensuite de Paul avec Jean surnommé Marc, et il revint en Chypre. Ce fut là que, vers la septième année de Néron, le trois des ides de juin, il unit la couronne du martyre à l'honneur de l'apostolat. Son corps fut retrouvé dans l'ile de Chypre sous l'empire de Zenon ; sur sa poitrine était une copie de l'évangile de saint Matthieu écrite de la main de Barnabé lui-même.

Prière:


" Recevez, Ô Barnabé, l'hommage des nations reconnaissantes. Lévite fidèle, vous veilliez près du sanctuaire figuratif des siècles de l'attente, observant l’arrivée du Seigneur Dieu (Levit. VIII, 33.), jusqu'à ce que la véritable arche sainte, l'humanité du Sauveur, ayant paru dans Sion, vous vous rangeâtes près d'elle aussitôt pour la défendre et la servir. Elle venait rallier tous les peuples, leur donner la vraie manne, fonder avec tous un Testament nouveau ; elle demandait aux fils de l'ancienne alliance le sacrifice des privilèges qu'ils avaient eus au temps de l'égarement des nations. Membre de la tribu favorisée entre toutes, vous eûtes promptement fait l'abandon d'un titre périmé ; allant plus loin que le précepte, on vous vit renoncer aux possessions mêmes que vous teniez de votre famille, et vous donner, vous et vos biens, à l'Eglise à peine née, persécutée, méconnue de la synagogue. Aussi l'Esprit-Saint, qu'on ne surpasse jamais en générosité, vous réserva-t-il l'insigne honneur de donner aux nations leur Apôtre. Saul, votre ami, aveuglé par les préjugés de la secte pharisienne, n'avait point suivi votre exemple ; et les fidèles tremblaient à son seul nom, comme à celui du plus fougueux des persécuteurs. Mais votre intercession montait silencieusement pour lui de cette terre, et s'unissait dans le ciel à la prière d'Etienne pour son meurtrier. L'heure de la grâce sonna enfin ; vous fûtes le premier dans Jérusalem à connaître son triomphe, et il ne fallut rien moins que l'autorité de votre témoignage pour faire ouvrir au récent converti les portes de l'assemblée des croyants.

Devenu près de l'Eglise garant du Docteur des nations, il vous appartenait de le conduire en ses premiers travaux. Quelle gloire à vous d'avoir eu Paul pour compagnon ! S'il vous manqua d'avoir été mis au nombre des douze, votre autorité fut bien celle qui se rapprocha le plus de la leur. Délégué par eux à Antioche après le baptême de Cornélius, pour prendre en mains la conduite de l'évangélisation des gentils, vous vous adjoignîtes le nouvel ouvrier ; c'est alors que la parole du salut, passant par vos lèvres, produisit des conversions si nombreuses, qu'on donna pour la première fois aux fidèles le nom de chrétiens, qui les distinguait à la fois des païens et des Juifs. L'émancipation des nations était accomplie ; et Paul, aux yeux de tous et d'après le langage de l'Esprit-Saint lui-même, n'était encore que votre disciple et votre protégé (Act. XI, 30 ; XII, 25 ; XIII, 1.), Aussi l'Esprit voulut-il que l'ordination solennelle qui le constituait Apôtre des gentils, vous fût commune avec lui. Vos voies, inséparables jusque-là et quelque temps encore, n'allaient pas tarder à se diviser pour le bien d'un plus grand nombre d'âmes. L'île de Chypre, fatalement abusée par le démon de la volupté durant les siècles de l'idolâtrie, reçut plus spécialement vos soins apostoliques ; elle vous avait donné le jour : vous lui rendîtes en échange votre sang et vos sueurs, portant partout sur son territoire la sainte et purifiante lumière du Fils de Dieu.

Mais le feu de la Pentecôte qui brûlait en vous, sollicitait votre âme à des missions plus lointaines. C'est de vous-même qu'il était écrit, en même temps que de Paul :
" Je t'ai établi pour être la lumière des nations et leur salut jusqu'aux extrémités de la terre." (Act. XIII, 47.).
L'Italie entendit votre douce parole qui répandait la joie sainte et la consolation du Paraclet ; elle vit ce noble visage, dont la sereine majesté faisait croire aux pauvres païens qu'ils recevaient en votre personne le prince de leurs dieux, caché sous des traits humains (Ibid. XIV, 11.). Bergame, Brescia, d'autres villes encore, Milan surtout, vous honorent comme leur père. Du haut de votre trône d'Apôtre, Ô Barnabé, gardez en elles toujours la foi que vous y avez déposée ; plus heureuses que les cités de l'île de Chypre, elles sont jusqu'ici restées fidèles. Protégez l'Ordre utile à l'Eglise, qui se réclame de votre puissant patronage; que son apostolat continue le vôtre, et mérite jusqu'au dernier jour à ses membres l'estime dont les entourait saint Charles Borromée, votre glorieux successeur sur le siège de Milan. Enfin, Ô père des nations, étendez votre sollicitude à la gentilité entière qui vous fut confiée par l'Esprit-Saint sans distinction de races ou de pays : qu'elle entre toute dans la voie de lumière si bien décrite par la Lettre précieuse qui porte votre nom béni (Ep. cathol. S. Barnab. ap. XIX.) ; qu'elle soit pour Dieu le vrai temple dont celui de Moriah n'était que la figure (Ibid. XVI.)."


Mon lundi de Pentecôte 2014:

Avant-hier, je suis allé prier avec ma compagne: Do Quyen Pham, aux pieds de la statue de la Vierge Noire, Notre Dame de Bonne délivrance (qui a réussi de très nombreux bienfaits et de très nombreuses guérisons. J'espère qu'i en sera de même pour moi avec mes yeux, je dois subir deux examens très importants tout à l'heure...Puis qu'elle me guidera dans mon action d'élu municipal sur mon antre de Pierrefitte. Puis, au quotidien dans mon travail sur le plan professionnel. Puis, qu'elle m'aidera au niveau de mon nouveau combat politique...Puis, enfin qu'elle protègera mon couple et celle que j'aime et qui m'aime tant) à la Chapelle des soeurs de la Maison Générale de la Congrégation des soeurs hospitalières de Saint thomas de Villeneuve à Neuilly Sur Seine. C'est la plus belle de France ! J'espère que mes principales prières seront exaucées...Voici, les photos de ce magnique endroit. Que Dieu vous garde tous !

JPR

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La Vierge Noire, Notre Dame de Bonne délivrance.

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Do Quyen Pham.

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Do Quyen Pham.

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La Vierge Noire, Notre Dame de Bonne délivrance.

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La Vierge Noire, Notre Dame de Bonne délivrance.

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Do Quyen Pham.

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La Vierge Noire, Notre Dame de Bonne délivrance.

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Do Quyen Pham.

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AGRESSION ANTISEMITE EN PLAIN JOUR A 11H CE MATIN PLACE DE LA REPUBLIQUE A PARIS !!!


Aujourd'hui, place de la République à Paris, une agression antisémite perpétrée par six personnes de type noir africain ont agressé un juif de 15 ans, Raphaël, portant une kippa et les tsitsit.
Un des agresseurs portait une matraque.
Les agresseurs avaient entre 15 ans et 17 ans, ils étaient en train d'électrocuter leur victime, quand Alexandre B, voyant la scène s'est précipité sur l'agresseur armée de la matraque, et lui a planté un petit couteau dans le ventre, l'agresseur et ses amis ont pris peur et ont pris la fuite . Raphael est parti choqué , Il ne doit son salut qu'à Alexandre.


10 JUIN 1807: la Bataille d'Heilsberg:

"...L’armée française, victorieuse à Guttstadt, marcha dès le lendemain, 10 juin 1807, sur Heilsberg. 

Elle commença par enlever plusieurs petits camps.   

L’arrière garde russe s’y montra bientôt en position.

Elle était forte de quinze à dix-huit mille hommes. Les cuirassiers, les dragons et la cavalerie légère, firent plusieurs charges brillantes, et gagnèrent du terrain.

Le corps du maréchal Soult se trouva formé sur les deux heures.

Deux divisions marchèrent sur la rive droite, tandis qu’une autre s’avançait sur la gauche de la pointe d’un bois dont l’occupation était nécessaire pour appuyer la cavalerie.   Toute l’armée russe se trouvait à Heilsberg.

Elle alimenta continuellement par des troupes fraîches ses colonnes d’infanterie et de cavalerie, et fit de vigoureux efforts pour se soutenir dans les positions en avant de cette ville.

Plusieurs régiments russes furent mis dans une déroute complète.

A dix heures du soir, on se trouva sous les retranchements ennemis.

Les fusiliers de la garde impériale française, commandés par le général Savary, se distinguèrent par une rare intrépidité.

La division Verdier et le corps de réserve du maréchal Lannes, s’engagèrent à la nuit commencée, et débordèrent l’ennemi: on réussit ainsi à le couper.

L’ardeur des troupes était telle, qu’au moment où le grand-duc de Berg passa sur la ligne de la troisième division des cuirassiers, le colonel d’Avenay, commandant le sixième de cette arme, lui présenta son sabre tout dégouttant de sang, en disant avec fierté : « Prince, faites la revue de mon régiment, et vous verrez qu’il n’est aucun soldat dont le sabre ne soit comme le mien ».

Le chef d’escadron Chipault reçut dans cette seule journée cinquante-deux blessures. Il eut le bonheur d’en guérir, et de pouvoir encore rendre des services à la patrie.   

Plusieurs compagnies d’infanterie légère y portèrent l’audace jusqu’à aller insulter les ouvrages avancés des Russes ; quelques braves trouvèrent la mort dans les fossés des redoutes et au pied des palissades.

Le combat cessa pendant la nuit, mais dès le point du jour, l’Empereur se porta sur le champ de bataille.

Il y disposa tous les corps pour donner une bataille générale et décisive.

Toute l’armée russe était réunie à Heilsberg ; elle y possédait ses magasins, y occupait une superbe position, extrêmement forte par-elle-même, et fortifiée encore par des retranchements laborieusement élevés pendant quatre mois.

L’Empereur attendit que les Russes sortissent de leurs retranchements pour les combattre.

A quatre heures, il ordonna au maréchal Davout de faire un changement de front par son extrémité vers la droite.

Ce mouvement le porta sur la Basse-Alle, et intercepta pleinement la route d’Eylau.

Chaque corps d’armée avait son poste assigné ; tous étaient réunis, hors le premier, qui continua de manœuvrer sur la Basse-Passarge.

Ainsi les Russes, qui avaient recommencé les hostilités, se trouvaient comme bloqués dans leur camp retranché, et l’on venait leur présenter bataille sur le terrain qu’ils avaient eux-mêmes choisi.

Ils se laissaient voir dans leurs retranchements formés en colonnes, environnés d’une nombreuse artillerie, pendant ces manœuvres faites pour les recevoir, dans le cas où il leur resterait quelque désir de se battre.

Mais soit que ces retranchements ne leur parussent pas encore assez formidables, soit qu’ils fussent épouvantés par l’aspect des préparatifs qu’ils voyaient devant eux, soit que l’impétuosité déployée par les Français dans la journée du 10 leur en eût imposé, ils ne crurent point pouvoir y attendre le contingent promis par l’Angleterre, et commencèrent à repasser à dix heures du soir sur la rive droite de l’Alle, abandonnant aux Français tout le pays de la gauche, leur laissant leurs blessés, leurs magasins et leurs retranchements.

Les Français firent trois à quatre mille prisonniers. Les maisons d’Heilsberg étaient remplies de blessés.

On trouva dans ses murs d’immenses magasins de vivres et de munitions.

Le grand-duc de Berg eut deux chevaux tués sous lui dans cette journée ; M. de Ségur, un de ses aides de camp, eut le bras emporté.

L’impuissance de l’armée de la coalition déjà démontrée par la prise de Dantzick, qui venait de capituler sous ses yeux, le fut encore davantage par l’évacuation d’Heilsberg et par la retraite des Russes, qui ne se crurent pas en état de tenir devant les Français et leurs alliés, malgré l’avantage de leur position et la force de leurs retranchements.

Elle le fut d’une manière plus éclatante encore trois jours après à Friedland, où fut terminée par une action décisive la longue querelle de la Russie et de la Prusse avec la France.

L’armée française entra dans Heilsberg le 12 juin 1807.

 

D’après « Nouveau dictionnaire historique des sièges et batailles mémorables » – 1809


C'EST UN ARTICLE, TRES IMPORTANT DE Arié Bensemhoun , PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE JUIVE DE TOULOUSE ,DU 25 MARS 2012 SOIT 6 JOURS APRES LE DRAME ATROCE DE TOULOUSE QUE PERSONNE DANS LA COMMUNAUTE JUIVE MONDIALE N'OUBLIERA NI NE PARDONNERA .
"Arié Bensemhoun , président du CRIF Midi-Pyrénées nous parle de la marche de cet après-midi et nous livre ses pensées sur cette atroce semaine.

Quel est votre sentiment à quelques heures de cette marche silencieuse ?

Toute la communauté juive toulousaine est absolument horrifiée par cette tuerie qui a vu la mort d’enfants et d’un professeur qu’ils connaissaient. Et dans ce lieu qu’ils aimaient, qui est leur intimité, qu’est l’école Ozar Hatorah. Nous avons reçu des témoignages de solidarité, des Toulousains, de la France entière et même du monde entier. Il semble y avoir un changement dans la prise de conscience sur ce mal absolu qu’est l’islam radical. La tuerie de Merah était uniquement motivée par une haine implacable des Juifs, d’Israël, mais aussi de tout ce qui fait la beauté de nos sociétés démocratiques : la liberté, la tolérance, la fraternité. D’ailleurs le terroriste l’a dit : « Il voulait mettre la France à genoux ».

C’est la pire épreuve de votre existence…

Bien sûr. Nous avons tous du mal à réaliser. On nous a enlevé cette insouciance qui fait le plaisir de la vie. Qui fait qu’on peut envoyer un enfant à l’école sans penser qu’un terroriste va lui loger une balle dans la tête Nous avons, dans le passé, connu cette atroce peur et nous pensions qu’elle ne reviendrait jamais. Et maintenant cela recommence… Il faut remonter aux nazis pour retrouver des individus animés d’une haine telle qu’ils exécutent des enfants au nom de cette seule haine. Et aujourd’hui, ce que je vois de terrible, c’est cette peur qui s’est logée dans le regard des enfants de l’école. Ils ont perdu à jamais leur insouciance.

Comment lutter contre ce terrorisme ?

Il faut prendre le mal à la racine. Si on ne prend pas conscience que l’islam radical est le nouveau fascisme du XXIe siècle, et qu’il plonge ses racines au cœur même de l’islam, alors nos sociétés sont finies. Et celle également de tous les musulmans qui sont d’ailleurs les premières victimes, dans leurs pays, de ces terroristes.

Et dans les actes ?

Arrêter la complaisance. J’ai été choqué de voir que jusqu’à mercredi, les médias parlaient à 100 % des victimes et que depuis mercredi c’est 100 % sur le tueur, en nous racontant sa vie comme un héros… « Mal nommer les choses, c’est rajouter du malheur au monde », disait Camus. Il faut voir la réalité en face. Le terroriste islamiste, c’est le mal à l’état pur, Aujourd’hui à part la Turquie, je ne vois pas un seul des pays 54 musulmans du monde qui pratique la liberté, la tolérance ou la démocratie… On ne veut pas stigmatiser les musulmans et, au nom de cela, on ne désigne pas ce mal. Or il faut isoler les choses, les nommer pour les combattre. Si vous ne voulez pas que le cancer se généralise, isolez-le.

L’iman Chalghoumi sera là cet après-midi. C’est un signe fort ?

Bien sûr. L’autre jour place du Capitole, des musulmans toulousains sont venus me témoigner leur solidarité. Je leur ai dit : vous devriez parler plus fort. Mais ils ne le peuvent pas parce qu’ils ont peur. Il faut savoir que l’iman Chalghoumi, que je connais, vit sous protection policière. Parce qu’il est aussi une cible pour ces extrémistes…"

Arié , et MAINTENANT APRES BRUXELLES NOUS EN SOMMES AU MÊME NIVEAU MÊME PIRE CAR PAS UN JOUR NOUS N'ENTENDONS PAS PARLER D'UNE AGRESSION DE JUIFS EN FRANCE EN EUROPE AUX USA ???
http://www.leptithebdo.net/2012/03/25/arie-bensemhoun-nous-avons-perdu-le-plaisir-de-la-vie/


9 JUIN 1895 ~ 9 JUIN 2014 : 119ème anniversaire de l'Acte d'Offrande de Thérèse

« Afin de vivre dans un acte de parfait Amour Je m'offre comme victime d'holocauste à votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en vous et qu'ainsi je devienne Martyre de votre Amour, ô mon Dieu ! Que ce martyre après m'avoir préparée à paraître devant vous me fasse enfin mourir et que mon âme s'élance sans retard dans l'éternel embrassement de Votre Miséricordieux Amour. Je veux, ô mon Bien-Aimé, à chaque battement de mon cœur vous renouveler cette offrande un nombre infini de fois, jusqu'à ce que les ombres s'étant évanouies je puisse vous redire mon Amour dans un Face à Face Eternel ! »

PRIÈRE N°6, ACTE D'OFFRANDE A L’AMOUR MISÉRICORDIEUX, JUIN 1895