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Ecrivons massivement au Président Sarkozy pour dire NON au vote de l'ONU

Renard Jean-Pierre
93380 Pierrefitte Sur Seine

Mail :[email protected]

Membre du Comité départemental de l'UMP 93

ancien Délégué UMP de ville de Pierrefitte Sur Seine

 

                                               Monsieur  Le Président de la République
                                               Palais de l’Elysée

                                               55 Rue Faubourg St Honoré
                                               75008 Paris

                              Monsieur le Président de la République Française,

 

Pendant votre campagne électorale,  vous aviez fait savoir aux français que vous étiez un ami d’Israël. Ceci vous a valu le soutien de l’ensemble des pro-israéliens français, dont une très grande partie de la communauté juive, de 90% des franco-israéliens, mais surtout des chrétiens et protestants amis d’Israël, des militants anti-islamisations, des fervents défenseurs de la démocratie et des valeurs judéo-chrétiennes, qui tous savent qu’Israël est le seul pays démocratique du Moyen Orient qui défend les mêmes valeurs que les nôtres.

Les amis d’Israël, dont je suis, font aujourd’hui appel à vous pour user de votre influence et de votre autorité auprès des Etats membres de l'ONU, en vue d'empêcher l'adoption de la résolution par l’ONU de la reconnaissance d’un "Etat palestinien" sur les "frontières de 1967" que la délégation palestinienne entend présenter à la prochaine session de l'Assemblée générale.

Selon toutes les normes et critères, une telle résolution, si elle était adoptée serait une violation flagrante de tous les accords conclus entre Israël et les Palestiniens, elle contreviendrait également aux résolutions de l'ONU telles que la 242 (1967) et la 338 (1973) et des autres résolutions qui découlent de celles-ci.

Je tiens à souligner les éléments juridiques suivants :

1 - La base juridique pour la création de l'Etat d'Israël a été la résolution adoptée à l'unanimité par la Société des Nations en 1922, confirmant la création d'un foyer national pour le peuple juif sur le territoire historique de la Terre d'Israël. Cela comprend la Judée-Samarie, Jérusalem et les implantations juives à proximité. Ce fut ensuite confirmé par les deux chambres du Congrès Américain.

2 - L'article 80 de la Charte des Nations unies détermine la validité des droits accordés à tous les Etats et les peuples sur la base des documents internationaux existants y compris ceux adoptés par la Société des Nations et donc le vote unanime de 1922. En conséquence, la résolution ci-dessus (1) reste valable pour les 650.000 israéliens vivant actuellement en Judée-Samarie et de Jérusalem-est, qui résident légitimement dans ces endroits.

3 – Sur le plan juridique comme sur le plan politique, "Les frontières de 1967 "n'existent pas et n'ont jamais existé.

Les Accords d'armistice de 1949 conclus entre Israël et ses voisins qui établissent les  lignes de cessez le feu indiquent clairement que ces lignes "sont sans préjudice pour les règlements territoriaux ultérieurs, tracé de frontières ou revendications de chacune des parties liées".

En conséquence, elles ne peuvent ni être acceptées, ni être déclarées comme les frontières internationales d'un "Etat palestinien."

4 - Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU (242 et 338) ont appelé les parties à parvenir à une paix juste et durable au Moyen-Orient et ont plus particulièrement insisté sur la nécessité de négocier afin de parvenir à des « frontières sûres et reconnues ».

5 - La proposition palestinienne de tenter de modifier unilatéralement le statut du territoire et déterminer les « frontières de 1967 » comme des frontières reconnues, dirigées carrément à l'encontre des résolutions 242 et 338 , serait de plus une violation fondamentale de l'accord intérimaire israélo-palestinien de 1995 sur la Judée-Samarie et la bande de Gaza, dans lequel les parties s'engagent à négocier la question des frontières et de ne pas agir pour changer le statut des territoires en attendant l'issue des négociations sur le statut permanent.

6 - Les Palestiniens sont signataires des différents accords constituant les « Accord d'Oslo » en pleine connaissance de l'existence des implantations. Ils ont accepté le principe que ces implantations seraient l'une des questions qui serait débattue lors des négociations sur le statut permanent. En outre, les « Accords d'Oslo » n'imposent aucune limitation des activités d'implantation d'Israël dans les domaines où les palestiniens ont convenu d'être sous la juridiction et le contrôle d'Israël en attendant le résultat des négociations sur le statut permanent.

7 - L'accord intérimaire a été signé par Israël et l'OLP. Les témoins de cette signature ont été l'ONU, l'Union Européenne, la Fédération de Russie, les Etats-Unis, l'Egypte et la Norvège.
Il est donc inconcevable que de tels témoins, et en premier lieu l'ONU, soient désormais prêts à donner leur consentement à un vote de l'ONU visant à violer cet accord et ainsi bafouer les principales résolutions du Conseil de Sécurité.

8 - Alors que l'ONU a maintenu une politique persistante sur la non-reconnaissance de la souveraineté d'Israël sur Jérusalem dans l'attente d'une solution négociée, et ce en dépit des droits historiques d'Israël sur la ville, il est inconcevable que les Nations Unies reconnaissent aujourd'hui un "Etat palestinien" proclamé unilatéralement dont les frontières seraient notamment à Jérusalem-Est. Cela représenterait le comble de l'hypocrisie, les doubles standards et la discrimination, et surtout un mépris flagrant des droits du peuple Juif et des droits d'Israël.

Il semble manifestement clair que le procédé palestinien représente un abus cynique de l'Organisation des Nations Unies et des membres de l'Assemblée Générale.  Son but est de contourner le processus de négociation demandé par le Conseil de Sécurité.

Si l’ONU accédait à cette demande palestinienne ce serait reconnaitre ouvertement que les résolutions prises n’ont aucune valeur juridique dans le temps et peuvent être bafouées à tout moment au gré des majorités temporaires.

Ce serait également un discrédit  jeté sur les pays occidentaux témoins et garants du respect des accords passés entre les parties.

Cet abus de l'ONU et de son intégrité, en plus de bafouer le Droit International, ne conduira qu’à repousser pour de longues années le processus de paix au Moyen-Orient.

En effet, une déclaration unilatérale dans ces conditions ne peut conduire qu’à un état de casus belli contre Israël.       

L’Etat Hébreu pourrait-il céder une partie essentielle de son territoire, sa capitale Jérusalem et abandonner les 650 000 israéliens vivant en Judée-Samarie simplement parce qu’une majorité à l’ONU aurait suivi un vote bafouant toutes les règles de droit ?

En ce qui concerne Jérusalem, la ville fête cette semaine ses 3000 ans, durant laquelle elle n'a été coupée en deux que durant 19 ans seulement, lors de son annexion par la Jordanie. Il semble donc difficile que les Palestiniens puissent convaincre les amis d'Israël dont vous faites partie, Monsieur le Président, que sa réunification depuis 44 ans puisse porter préjudice à la paix.

Monsieur le Président, vous avez affirmé être soucieux de la sécurité d’Israël alors vous aurez le souci de ne pas soutenir  la constitution d’un Etat dans de telles conditions.

Je ne peux soutenir la création d’un Etat Palestinien sans négociation avec Israël. Une Paix juste et durable ne peut se faire que par la négociation. C’est pourquoi une large part de la population française soutient la démocratie et en particulier Israël, et ce malgré l’opinion politiquement correcte anti-israélienne largement répandue dans certains milieux.

J’espère que vous utiliserez votre pouvoir pour protéger les Nations-Unies et son intégrité de cette tentative de bafouer le Droit International, et agir pour empêcher toute affirmation ou reconnaissance de cette dangereuse initiative palestinienne.

 

Recevez, Monsieur le Président de la République, mes très sincères salutations distinguées et les plus dévouées,

 

 

 

                                                                       Jean-Pierre Renard


Intronisation des deux nouveaux prètres pour Pierrefitte et Stains:

      Hier, j'ai assisté à la Messe d'intronisation à l'Eglise Sainte Thérèse de Pierrefitte des deux nouveaux prètres sur les villes de Pierrefitte et de Stains: le Père Daniel Pizivin et le Père Jacques Braem en présence de l'Evêque de Seine Saint Denis: Mgr Pascal Delannoy; de deux prètres locaux (dont le père Bernard Lelan) du Maire et Conseiller Général PS de Pierrefitte Sur Seine: Michel Fourcade et de certains élus pierrefittois. Elle restera à jamais gravée dans ma mémoire ! Ce grand moment s'est terminé autour du traditionnel verre de l'amitié dans la salle paroissiale de l'église Sainte Thérèse...Je dirai plus tard (contrairement à certains grands absents): j'y étais !

JPR

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L'Evêque de Seine Saint Denis: Mgr Pascal Delannoy et Jean-Pierre Renard

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L'Eglise Sainte Thérèse de Pierrefitte

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L'Eglise Sainte Thérèse de Pierrefitte

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L'Eglise Sainte Thérèse de Pierrefitte

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L'Eglise Sainte Thérèse de Pierrefitte


L'une de mes Héroïnnes: La Princesse et ex-Imperatrice Soraya d'Iran décèdée à l'âge de 69 ans, le 25 Octobre 2001 à Paris. Qui repose en Allemagne à Munich avec toute sa famille.

À Ispahan, dans un jardin planté de roses, de pavots et de jasmin, une petite fille, Soraya Esfandiary, regarde le ciel où passe, au loin, l'avion du Roi des Rois. L'inaccessible Shah-en-Shah qui, moins de dix ans plus tard, deviendra son époux.
Née en 1932 à Ispahan, capitale de l'Empire perse, Soraya Esfandiary appartenait à la tribu des Bakhtiaris. Son grand-père en avait été Sardar Assad (chef suprême) à la fin du XIXè siècle. Elevée dans une école iranienne fondée par des missionnaires anglais, elle est envoyée en Suisse pour poursuivre ses études.

Soraya, qui fut la seconde épouse du shah d'Iran, s'est éteinte à Paris le 25 octobre 2001.
La fin solitaire d'une princesse tragique qui est entrée dans la légende grâce à un mariage de conte de fées, suivi sept ans plus tard d'un divorce déchirant.

Tout le destin de Soraya tient en deux dates : 12 février 1951 - 14 mars 1958. La première est celle de son mariage avec le shah d'Iran. La seconde est celle de leur divorce, sept ans plus tard. Sept années de bonheur qui suffiront à changer le destin d'une jeune fille iranienne anonyme en celui de la "Princesse aux yeux tristes". Peu importe que sa vie se soit achevée dans la solitude à Paris le 25 octobre 2001. La solitude du coeur, l'exil du bonheur, elle les côtoyait depuis si longtemps qu'elle avait fini par s'y résigner.

Au commencement était une belle jeune fille. Le plus beau regard vert du monde. Par son père, elle appartenait à une très ancienne famille iranienne de la tribu des Baktiars. Par sa mère, en revanche, elle se rattachait à l'Europe, puisque cette dernière était d'origine balte. Depuis sa plus tendre enfance, Soraya avait vécu entre les deux cultures.

C'est une princesse qui donne le coup de baguette magique, qui transforme son destin. Au mois de septembre 1950 à Londres, Soraya est présentée à la princesse Shams d'Iran, soeur aînée du shah. La rencontre est-elle fortuite ? Sans doute pas. Le souverain, divorcé de sa première épouse la princesse Fawzia d'Egypte, cherche à se remarier pour assurer la succession à la couronne. Toute la famille impériale s'est donc mise en chasse. Toujours est-il que la jeune fille fait la conquête de la princesse qui discerne en elle toutes les qualités d'une future impératrice d'Iran. Elle est belle et incarne le type de jeune femme moderne avec laquelle Mohamed Reza Shah souhaite partager sa vie. Son extrême jeunesse, 18 ans, semble une garantie de sa docilité.

Shams décide de ramener Soraya à Téhéran. Deux jours après leur arrivée, la jeune fille est conviée à un dîner chez la reine mère Tadj EL Molouk. Déjà étonnée par la pluie d'honneurs qui s'abat sur elle, elle sursaute à peine lorsqu'un chambellan lance : "Sa Majesté, le shah". Elle n'est pas au bout de ses émotions. Le lendemain matin, son père lui annonce : "Soraya, tu as beaucoup plu au shah ! Es-tu prête à l'épouser ?" Vingt-quatre heures plus tard, les fiançailles sont publiées. La deuxième union du shah a été conclue en moins de trois jours.

Le mariage a lieu le 12 février 1951. Pour Soraya, il est une véritable épreuve physique. Elle relève d'une congestion pulmonaire et tient à peine sur ses jambes. Le palais est glacial et, afin de lui éviter de trop souffrir du froid, le shah a fait installer des dizaines de poêles. Jugeant la précaution insuffisante, le médecin de la cour lui a ordonné de porter un gilet de laine par- dessus sa robe jusqu'à la dernière minute. Sous ses jupons, elle a enfilé une paire de grosses chaussettes. Malheureusement pour la jeune mariée, Christian Dior, le couturier français chargé de réaliser la robe, a vu un peu trop grand et trop lourd. Les vingt mètres de soie blanche qui composent la robe et sa traîne sont surchargés de broderies d'or et de strass. Le tout pèse plus de trente kilos. Quelques minutes avant le début de la cérémonie, afin de soulager sa fiancée, le shah et un de ses aides de camps, munis chacun d'une paire de ciseaux, tranchent les huit mètres de traîne. Soulagée d'une partie de son armure de soie blanche, la nouvelle impératrice parvient à tenir jusqu'au bout de la réception qui suit la célébration religieuse.

Les premiers mois sont idylliques. Installés dans une grande villa blanche, le shah et son épouse vivent un roman d'amour sans nuages. Soraya est encore un peu gamine et pour l'instant, ses enfantillages amusent son époux et la cour. Certains, dont la reine mère Tadj EL Molouk, grognent bien un peu contre ses extravagances. N'a-t-elle pas adopté un dauphin pour lequel elle a fait construire une piscine dont l'eau est filtrée grâce à un coûteux système importé des Etats-Unis ? D'autres s'inquiètent qu'elle ne juge pas utile d'approfondir sa pratique du persan.

Lors d'un discours retransmis en direct à la radio iranienne, la jeune reine a en effet buté sur un mot qu'elle ne connaissait pas. Après avoir bafouillé quelques secondes, elle a tout simplement éclaté de rire. De simples peccadilles qui pèsent peu au regard du bonheur qu'affichent les deux jeunes gens. Le shah, la famille impériale, l'Iran n'attendent plus qu'une chose : la naissance d'un enfant. Or, justement, l'enfant ne vient pas.

Durant les premières années du mariage, la stérilité de la jeune reine passe à peu près inaperçue. L'Iran traverse en effet une nouvelle crise politique. La nationalisation des gisements et des raffineries, le 15 mars 1951, a suscité les foudres diplomatiques de l'Angleterre. Et l'arrivée au pouvoir d'un nouveau Premier ministre, Mohamed Mossadegh envenime le conflit. Défenseur d'un nationalisme sans concessions, ce dernier refuse toute négociation avec l'Angleterre, propriétaire des installations nationalisées. Le shah, qui sait ce qu'il peut en coûter de braver le gouvernement de Sa Majesté britannique, souhaite au contraire entamer des pourparlers afin de mettre en place un système d'indemnité. Porté par l'enthousiasme populaire, Mossadegh s'arc-boute sur sa position. La crise parvient à son paroxysme lorsqu'au mois d'août 1953, le shah décide de quitter le pays. Gardé à vue dans sa résidence depuis des mois, il s'enfuit avec Soraya à bord d'un petit avion qui les conduit en Italie. Le couple impérial s'installe dans un grand hôtel de Rome, pour le plus grand bonheur de Soraya qui n'aspire qu'à une vie calme loin de l'agitation de la politique et des coups d'Etat. Sa félicité sera de courte durée. Le geste du shah suffit à faire basculer l'opinion. Il est rappelé par le parlement trois jours plus tard. Il rentre immédiatement en Iran. Mossadegh est traduit devant un tribunal d'exception qui le condamne à mort. Le shah commue la peine en trois années de détention. Le drame intime du couple impérial devient public un an plus tard, au mois d'octobre 1954. Le soir du 26, jour anniversaire du shah, sa mère décide de donner un grand dîner familial dans son palais. L'ambiance est assez tendue. Le médecin de Soraya vient d'annoncer une fois de plus que ses espérances de grossesse ne sont pas fondées et qu'il faudrait sans doute attendre quelques années avant que la chose soit possible. Le shah, déjà d'humeur morose, se met franchement en colère lorsqu'on lui annonce que son frère Ali Reza, héritier de la couronne, ne sera pas présent. Il est retenu par une partie de chasse dans les forêts qui bordent la Caspienne. Le lendemain, la famille impériale effondrée apprend que son avion s'est écrasé alors qu'il rentrait à Téhéran. Au-delà du deuil familial, cette terrible nouvelle plonge les Pahlavi et la monarchie iranienne dans une véritable crise dynastique. A la suite de la mort de son frère cadet, le shah se retrouve dans la position délicate d'être le seul souverain du monde qui ne dispose d'aucun héritier. Dès lors son bonheur avec Soraya est condamné. La pression politique et familiale se fait de plus en plus forte sur le couple impérial. Toutes les solutions sont envisagées. En désespoir de cause, le problème est soumis à un conseil de sages qui propose la solution classique prônée par le Coran : le mari dont la femme est stérile doit prendre une seconde épouse. L'arrangement est jugé inacceptable par le shah aussi bien que par Soraya. Il ne leur reste plus qu'une issue : le divorce. Il est prononcé le 14 mars 1958. Largement pensionnée par son ex-époux, titrée Altesse Impériale, Soraya s'installe à Paris où elle deviendra une icône de la jet-society.

C'est là qu'elle a achevé sa vie, un soir d'automne dans la solitude dorée de son appartement de l'avenue Montaigne. La fin presque logique d'un destin poignant. Une dernière fois sans doute, des dizaines de milliers d'anonymes de par le monde lui rendront un hommage silencieux, ému et sincère.

[Soraya aura été une jeune femme moderne et une éblouissante Première dame. Plusieurs fois au cours de ces sept années de bonheur, Soraya perdra l'espoir de donner un héritier à l'Iran. Après sa répudiation et une vie d'errance, la princesse partageait son temps entre Paris et sa maison de Marbella. Si elle avait surtout trouvé refuge à Paris, elle n'était jamais parvenue à tourner la page et à se reconstruire un bonheur serein.]

 


Edito de Guy Rozanowicz du 12 septembre 2011 sur RadioJ

Réveillez-vous !

Le temps, où les juifs, sujets des nations, n’avaient pas la capacité de prendre leur destin en main, est révolu.

La renaissance de l’Etat d’Israël constitue désormais un exemple pour le peuple juif qui ne doit plus accepter d’être utilisé comme un bouc émissaire. Ils en a le pouvoir, ils en a surtout le devoir !

Les évènements de ces derniers mois illustrent le recours aux anciennes recettes antisémites par des nations aux abois.

Et tout particulièrement, le printemps arabe qui est devenu un rude hiver pour les juifs :

Le nouveau pouvoir en Egypte et son incapacité, voire sa complicité vendredi dernier, dans les premières heures, avec des manifestants assoiffés du sang des juifs, lors de la tentative de lynchage des diplomates israéliens au Caire.

Le nouveau pouvoir en Tunisie qui n’a su, pu ou je n’ose le croire, voulu, empêcher le 18 août dernier le saccage de la synagogue Beth-El à Sfax.

Le Maroc où le pouvoir est sans doute plus responsable et volontaire mais où les groupes de terroristes réussissent tout de même à s’en prendre à des lieux à forte fréquentation touristique comme à Marrakech le 28 avril dernier, provoquant la mort de 6 de nos concitoyens parmi lesquels des coreligionnaires.

En Turquie aujourd’hui et demain, où le pouvoir s’en prend à Israël, juif des nations, avec une provocation sans précédent, justifiant par avance toutes les exactions.

N’oublions jamais que tout cela n’a été possible et n’est possible qu’en raison de l’enseignement de la haine à l’encontre des juifs et d’Israël, prodigué dans les systèmes scolaires de ces pays ou par le biais de prédicateurs dont l’influence résulte d’une récupération des défaillances des systèmes sociaux.



Réveillez vous, disais-je en introduction : nous, juifs de diaspora, ne disposons pas du pouvoir politique ou militaire. Que l’Etat d’Israël, agisse dans la cadre de sa logique d’Etat. Que les citoyens juifs des nations démocratiques jouent leur rôle autant que faire se peut.

Mais surtout, et c’est à la mesure de chacun d’entre nous : réveillons nous : arrêtons de fermer les yeux et de continuer à alimenter les économies touristiques des pays de l’obscurantisme.

En d’autres termes, là où la sécurité des juifs n’y est pas assurée, là où le rejet d’Israël y est patent, ne soyons pas masochistes et choisissons d’autres destinations.

Et la liste des pays infréquentables risque cruellement de s’allonger à un moment où nombre de nations s’apprêtent à faire payer à Israël le refus palestinien de s’assoir à une table de négociation, en procédant à une reconnaissance unilatérale d’une Palestine constituant dès lors une provocation annonciatrice de jours sombres pour le peuple d’Israël et les juifs à travers le monde


Rue Daniel Faulkner: à l'ordre du jour du Conseil Municipal de Saint Denis du 15/09/2011‏

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dimanche 11 septembre 2011 sur http://saintdenislabauneump.blogspot.com/

Rue Daniel Faulkner: à l'ordre du jour du conseil municipal du 15/09/2011

Voici le texte que je reprendrai dans les questions diverses jeudi prochain (séance publique):

"Il y a plus de 5 ans, la municipalité de Saint-Denis a admis, sans opposition notable(droite ou gauche !), que l'on pouvait donner le nom d'une rue de notre ville à un homme qui avait été condamné dans son pays pour avoit tué un autre homme.
Le nombre de condamnés à mort aux U.S.A est important. Pourquoi avoir choisi ce condamné plutôt qu'un autre ? Il est évident que vous avez choisi la victime : POLICIER !
En vous y prenant de cette façon, vous desservez gravement le condamné. Libre à vous !
Pire, vous donnez un signal absolument impardonnable, invitant tout délinquant à prospérer sous votre protection à l'avance acquise !
Je ne vous demande pas de comprendre ce que je vous dis, je vous demande une rue " Daniel Faulkner " du nom de celui qui dans l'exercice de ses fonctions de policier a été éxécuté d'une balle dans le dos et dans le visage !
A un moment où la mission de policier en Seine-Saint-Denis implique un risque sans précédent (un quart de blessés parmi l'effectif global de Police dans notre département en 2010), il est indispensable qu'au moins une voix s'élève ici pour contrer l'impression réelle donnée par cette assemblée à toute la population : je vous le rappelle monsieur le Maire, chers collègues , la Police n'est pas une bande rivale, c'est un service public vital qui a tout mon soutien, faute de pouvoir obtenir le vôtre !"

Didier Labaune (Conseiller Municipal Parti Radical de St Denis)
[email protected]

Le 11 Septembre 2011 à Paris, j'y étais !

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      J'ai assisté sous la pluie à la cérémonie sur les 10 ans des attentats de New-York, au Trocadero. J'y ai fait mon devoir ! Pour rendre hommage à nos "frères" et nos "soeurs" américais tombés au champ d'honneur contre les terroristes. Ce fut extrêmement émouvant ! Les larmes coulaient de nos yeux et tombaient en même temps du ciel. Nous avons terminé par un rayon de soleil (un signe de Dieu !).

JPR

Il y a 10 ans le terrorisme islamique a frappé et aujourd'hui encore il est vivant !

Il y a 10 ans, les États Unis étaient attaqués, 2 avions étaient précipités sur les tours New Yorkaises.

Il y a 10 ans, le monde libre était frappé par des terroristes, envoyés et financés par Oussama Ben Laden.

Nous ne pourrons jamais oublier ces images apocalyptiques et inimaginables.

Nous ne pourrons jamais oublier ces corps qui se jetaient dans le vide et ces visages ensanglantés et recouverts de la poussière du nuage qui transportait la mort.

Nous ne pourrons oublier les cris, les mots, les voix et les regards hagards de ceux qui, impuissant devant l 'horreur, assistaient en direct à la fin d'un monde et une victoire du mal absolu.

Il y a 10 ans, plus de 3000 innocents tombaient sous les coups du terrorisme islamique.

Le 11 septembre 2001, le monde libre avait basculé et se devait de trouver la force de se relever.

Il n'avait d'autre choix que de réagir et de montrer que la vie pouvait et devait triompher des adorateurs de la mort.

Il y a 10 ans, j'ai voulu croire que les terroristes avaient commis l'attentat de trop !

Il y a 10 ans, j'ai cru en l'union sacrée et j'ai espéré que les terroristes seraient pourchassés, combattus et éliminés.

Comme un seul homme, le monde avait alors décidé de se battre !

Force est de constater qu'il n'en fut pas ainsi.

Quelques jours à peine après le cauchemar, des scènes de liesse nous parvenaient de Gaza et d'autres pays qui se réjouissaient de voir le " grand Satan " être frappé.

La théorie du complot apparaissait et aujourd'hui encore certains n'hésitent pas à en parler.

Aujourd'hui encore, dans nombres de pays, les terroristes sont au pouvoir.

Ils sèment la terreur et fomentent des attentats.

Ils enlèvent des civiles et sont financés et armés par des dictateurs connus.

Ils bafouent les libertés et se jouent des démocraties et de nos principes.

Aujourd'hui, 10 ans après l'attaque des tours jumelles de New York le monde n'a pas gagné !

Aujourd'hui nous nous souvenons mais nous n'avons pas réussi.

Ground Zéro sera reconstruit mais le terrorisme est toujours vivant à Teheran, à Gaza, au Soudan et trouve même la tribune de l'ONU pour s'exprimer.

Les tours renaitront mais le ventre de la bête immonde est toujours fécond.

Aujourd'hui nous nous souvenons de toutes ces âmes arrachées à la vie mais nous assistons impuissant à la résurgence des adorateurs du mal qui manipulent les peuples et gagnent du terrain.

Il est encore temps de réagir mais il y a urgence, le monde est en mouvement mais ne nous laissons pas endormir par cette danse envoutante qui risque demain de nous frapper.

Gil TAIEB


L'un de mes films préfèrés:

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‎10 septembre 1958 : Sortie à Paris du film Sissi face à son destin, avec Romy Schneider.Sissi face à son destin (Sissi - Schicksalsjahre einer Kaiserin Sissi) est un film autrichien réalisé par Ernst Marischka, sorti en 1957. Il a été nommé en 1958 pour la Palme d'or du Festival de Cannes.

Le film se base sur l'histoire amoureuse de l'impératrice Sissi jouée par Romy Schneider et de l'empereur François-Joseph joué par Karlheinz Böhm.


Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « Veillez donc, car vous ne connaissez pas le jour où votre Seigneur viendra ... Tenez-vous donc prêts, vous aussi : c'est à l'heure où vous n'y penserez pas que le Fils de l'homme viendra. (Mt. 24)


Garde-moi, mon Dieu : j'ai fait de toi mon refuge. J'ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu ! Seigneur, mon partage et ma coupe : de toi dépend mon sort. Je bénis le Seigneur qui me conseille : même la nuit mon coeur m'avertit. Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ; il est à ma droite : je suis inébranlable. Je n'ai pas d'autre bonheur que toi. » (Ps. 15)