BHL et ses lumières
Bernard Henry Lévy est un intellectuel dont la qualité première est de coller à l’air ambiant s’il est politiquement correct. Dans un point de vue de l’hebdomadaire Le Point intitulé «L’honneur des musulmans », il en donne la parfaite mesure. Ainsi, pour lui, l’organisation des Assises internationales sur l'islamisation de l'Europe, qui se sont tenues à Paris le 18 décembre dernier, est réduite à deux seules associations. L’une étant le «groupuscule néonazi qui s'était rendu célèbre, le 14 juillet 2002, en tentant d'assassiner Jacques Chirac »- ici le Bloc identitaire qui a décidé de le poursuivre en diffamation car son existence débute en avril 2003-, la seconde n’étant qu’un «quarteron d'anciens trotskistes rassemblés sous la bannière du site Internet Riposte laïque » !
Réducteur lorsque l’on sait que 27 associations de tendances politiques différentes composent l’organisation de cet événement. Porter l’attention sur ces seules deux associations aux couleurs politiques opposées dénote pour le moins une volonté de nuire et non pas comprendre pour permettre une compréhension de la chose.
Mais là n’est pas le sujet actuel.
Selon son point de vue, BHL affirme qu’il a « une guerre sans merci entre, d'un côté, les partisans de l'aggiornamento d'une foi qui, comme les autres monothéismes avant elle, se déciderait à se mettre à l'heure du respect des droits du sujet et, de l'autre, les artisans de ce que je suis, sauf erreur, le premier à avoir appelé fascislamisme ». Il ajoute aussitôt, « que les premiers soient souvent trop timides ou, tout simplement, trop peu nombreux et que ce soient les seconds, je veux dire les fanatiques, qui tiennent, presque partout, le haut du pavé, c'est l'évidence».
Et c’est là que le bât blesse les ‘’souchiens’’ occidentaux lassés de voir l’expansion de l’Islam rigoriste et obscurantiste dans leurs contrées. Agacés de s’apercevoir que les autorités ignorent ce qui tracasse de plus en plus un nombre croissant d’individus. Excédés de voir les partis politiques faire des compromissions avec cette religion dans l’objectif d’obtenir les voix des croyants lors des élections. Contrariés de voir les droits collectifs des sociétés démocratiques bafoués au nom des droits de l’homme exigeant l’exercice de rites et coutumes d’un autre âge.
Telle la séparation des sexes dans les lieux communs comme les piscines ; le port dans les lieux publics d’un voile ou d’un hijab par les femmes musulmanes afin de se soustraire à la vue et au contact des concitoyens ; l’alimentation hallal dans les cantines rejetant ainsi les choix alimentaires des autres citoyens. Sans oublier l’appropriation des espaces publics sans autorisation à l’heure des prières, et cela au grand dam des riverains, et la construction de mosquées souvent au frais de l’état et donc des deniers des contribuables. Pour ne parler que des exigences les plus visibles.
Liste non exhaustive qui démontre le non respect envers la culture dominante et une tentative de la modifier par la force et non pas par la persuasion. Un viol, en quel que sorte, effectué également par les musulmans ‘’modérés’’ au nom de leur droit à leur religion et dénoncé par ceux que Bernard Henry Lévy qualifie rapidement de « néo-nazis » et de « trotskistes ». Ce qui doit faire sourire la majorité du peuple suisse qui par deux référendums distincts a marqué son ‘’intolérance’’ à l’islamisation de son pays !
Réducteur lorsque l’on sait que 27 associations de tendances politiques différentes composent l’organisation de cet événement. Porter l’attention sur ces seules deux associations aux couleurs politiques opposées dénote pour le moins une volonté de nuire et non pas comprendre pour permettre une compréhension de la chose.
Mais là n’est pas le sujet actuel.
Selon son point de vue, BHL affirme qu’il a « une guerre sans merci entre, d'un côté, les partisans de l'aggiornamento d'une foi qui, comme les autres monothéismes avant elle, se déciderait à se mettre à l'heure du respect des droits du sujet et, de l'autre, les artisans de ce que je suis, sauf erreur, le premier à avoir appelé fascislamisme ». Il ajoute aussitôt, « que les premiers soient souvent trop timides ou, tout simplement, trop peu nombreux et que ce soient les seconds, je veux dire les fanatiques, qui tiennent, presque partout, le haut du pavé, c'est l'évidence».
Et c’est là que le bât blesse les ‘’souchiens’’ occidentaux lassés de voir l’expansion de l’Islam rigoriste et obscurantiste dans leurs contrées. Agacés de s’apercevoir que les autorités ignorent ce qui tracasse de plus en plus un nombre croissant d’individus. Excédés de voir les partis politiques faire des compromissions avec cette religion dans l’objectif d’obtenir les voix des croyants lors des élections. Contrariés de voir les droits collectifs des sociétés démocratiques bafoués au nom des droits de l’homme exigeant l’exercice de rites et coutumes d’un autre âge.
Telle la séparation des sexes dans les lieux communs comme les piscines ; le port dans les lieux publics d’un voile ou d’un hijab par les femmes musulmanes afin de se soustraire à la vue et au contact des concitoyens ; l’alimentation hallal dans les cantines rejetant ainsi les choix alimentaires des autres citoyens. Sans oublier l’appropriation des espaces publics sans autorisation à l’heure des prières, et cela au grand dam des riverains, et la construction de mosquées souvent au frais de l’état et donc des deniers des contribuables. Pour ne parler que des exigences les plus visibles.
Liste non exhaustive qui démontre le non respect envers la culture dominante et une tentative de la modifier par la force et non pas par la persuasion. Un viol, en quel que sorte, effectué également par les musulmans ‘’modérés’’ au nom de leur droit à leur religion et dénoncé par ceux que Bernard Henry Lévy qualifie rapidement de « néo-nazis » et de « trotskistes ». Ce qui doit faire sourire la majorité du peuple suisse qui par deux référendums distincts a marqué son ‘’intolérance’’ à l’islamisation de son pays !
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