À quoi bon négocier ?
Après tout conflit, vient logiquement le temps des négociations afin de mettre un point final aux divers différents. Les négociateurs ayant, certes, comme mission première de défendre leurs propres intérêts mais également celle de faire des compromis afin d’avancer vers la paix souhaitée. Des accommodements qui confirmeront l’intérêt mutuel des parties à poursuivre ces négociations afin d’envisager un avenir meilleur pour la région.
Dans le conflit proche-oriental, datant de plusieurs décennies, le processus de paix enclenché en 1993 n’a abouti en fait qu’à un retour à la case départ et à de probables futures confrontations.
Si le peuple israélien, à travers ses différents gouvernements, ont accepté l’idée d’un échange de territoires contre la paix, il en est pas du tout de même avec les dirigeants ‘’palestiniens’’ inculquant à leur peuple que la paix ne doit être rien de moins qu’une capitulation du peuple juif.
Ainsi, l’actuel président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, affiche publiquement son désir de voir le futur état indépendant de ‘’Palestine’’ purgée de toute présence israélienne. Au-delà de l’esprit de la charte des droits de l’homme autorisant chacun de vivre là où bon lui semble mais selon les lois locales en vigueur, le peuple juif doit-il se retirer de la terre qui fut le berceau du Judaïsme ? Est-il envisageable, lors d’un processus de paix, que les ressortissants d’une des parties soient, dès le départ, interdits de séjour alors que l’autre belligérant exige l’exacte contraire pour ses centaines de milliers de ses citoyens ?
Est-ce la façon d’envisager un nouveau départ pour la région ?
Les Israéliens ont fait également des compromis sur la ville de Jérusalem. Concernant la ville, et principalement le Mont du Temple devenu depuis 1967 l’Esplanade des Mosquées et le troisième lieu saint de l’Islam, les gouvernements israéliens (bien qu’en opposition à la majorité de leur peuple) ont proposé une partition. Les quartiers musulmans seront à la ‘’Palestine’’, les quartiers juifs israéliens. L’Esplanade sous la responsabilité ‘’palestinienne’’, le Mur des Lamentations sous celle d’Israël. Quant au sous-sol du Mont du temple il sera géré conjointement.
La réponse des ‘’Palestiniens’’ fut de tout temps négative. Leur vice-ministre de l’information Mutawakel Taha a encore récemment affirmé que « selon la tradition musulmane, le Mur est un lieu saint musulman comme partie intégrante de l’esplanade des Mosquées et l’endroit où le prophète Mahomet a attaché sa jument légendaire “Al Buraq” ». « Le mur Al-Buraq est le mur occidental (du site) d’Al-Aqsa dont l’occupation sioniste réclame faussement la propriété (…). Le mur n’a jamais fait partie du soi-disant temple juif ».
On ne peut faire plus direct pour assurer que le peuple juif n’a aucun lien avec cette ville !
Une autre exigence de la partie ‘’palestinienne’’ vient démontrer le peu de sérieux qu’il faut accorder à sa ‘’volonté’’ de paix. Le chef des négociateurs de ce camp, Saëb Arekat, a soulevé la question du retour des ‘’réfugiés’’ au sein même de l’état d’Israël. Des ‘’réfugiés’’ au nombre de sept millions, éduqués à la rancœur et à la certitude que les Juifs sont responsables du sort qui est le leur actuellement. Une sommation qui, si elle était mise en œuvre, n’assurerait point la paix pour les Juifs dans leur propre patrie.
A récapituler les revendications ci-dessus des ‘’Palestiniens’’, on s’aperçoit que :
Dans le conflit proche-oriental, datant de plusieurs décennies, le processus de paix enclenché en 1993 n’a abouti en fait qu’à un retour à la case départ et à de probables futures confrontations.
Si le peuple israélien, à travers ses différents gouvernements, ont accepté l’idée d’un échange de territoires contre la paix, il en est pas du tout de même avec les dirigeants ‘’palestiniens’’ inculquant à leur peuple que la paix ne doit être rien de moins qu’une capitulation du peuple juif.
Ainsi, l’actuel président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, affiche publiquement son désir de voir le futur état indépendant de ‘’Palestine’’ purgée de toute présence israélienne. Au-delà de l’esprit de la charte des droits de l’homme autorisant chacun de vivre là où bon lui semble mais selon les lois locales en vigueur, le peuple juif doit-il se retirer de la terre qui fut le berceau du Judaïsme ? Est-il envisageable, lors d’un processus de paix, que les ressortissants d’une des parties soient, dès le départ, interdits de séjour alors que l’autre belligérant exige l’exacte contraire pour ses centaines de milliers de ses citoyens ?
Est-ce la façon d’envisager un nouveau départ pour la région ?
Les Israéliens ont fait également des compromis sur la ville de Jérusalem. Concernant la ville, et principalement le Mont du Temple devenu depuis 1967 l’Esplanade des Mosquées et le troisième lieu saint de l’Islam, les gouvernements israéliens (bien qu’en opposition à la majorité de leur peuple) ont proposé une partition. Les quartiers musulmans seront à la ‘’Palestine’’, les quartiers juifs israéliens. L’Esplanade sous la responsabilité ‘’palestinienne’’, le Mur des Lamentations sous celle d’Israël. Quant au sous-sol du Mont du temple il sera géré conjointement.
La réponse des ‘’Palestiniens’’ fut de tout temps négative. Leur vice-ministre de l’information Mutawakel Taha a encore récemment affirmé que « selon la tradition musulmane, le Mur est un lieu saint musulman comme partie intégrante de l’esplanade des Mosquées et l’endroit où le prophète Mahomet a attaché sa jument légendaire “Al Buraq” ». « Le mur Al-Buraq est le mur occidental (du site) d’Al-Aqsa dont l’occupation sioniste réclame faussement la propriété (…). Le mur n’a jamais fait partie du soi-disant temple juif ».
On ne peut faire plus direct pour assurer que le peuple juif n’a aucun lien avec cette ville !
Une autre exigence de la partie ‘’palestinienne’’ vient démontrer le peu de sérieux qu’il faut accorder à sa ‘’volonté’’ de paix. Le chef des négociateurs de ce camp, Saëb Arekat, a soulevé la question du retour des ‘’réfugiés’’ au sein même de l’état d’Israël. Des ‘’réfugiés’’ au nombre de sept millions, éduqués à la rancœur et à la certitude que les Juifs sont responsables du sort qui est le leur actuellement. Une sommation qui, si elle était mise en œuvre, n’assurerait point la paix pour les Juifs dans leur propre patrie.
A récapituler les revendications ci-dessus des ‘’Palestiniens’’, on s’aperçoit que :
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