Pierrefitte@Venir

YOM HASHOAH - DIMANCHE 11 AVRIL 2010

S'il vous plait, attendez vingt secondes avant de fermer ce message
Ce message vous demande de faire un petit geste
pour perpétuer le souvenir des six millions de vies juives annéanties pendant l'Holocauste

Envoyez ce message à chaque Juif de votre connaissance :
si nous atteignons notre objectif de faire circuler ce message, avant le 11 Avril 2010 à six millions de juifs,
nous aurons le sentiment d'avoir accompli notre devoir de mémoire envers nos frères et soeurs qui ont péri durant l'Holocauste.
Six millions de Juifs qui sont vivants aujourd'hui se souviennent de leurs frères et soeurs qui ont disparu durant l'Holocauste.
Merci de faire suivre ce message à tous vos contacts en leur demandant de le faire suivre à leur famille et amis

Journalist: Mexican Police Fabricated Evidence in Cassez Case MEXICO CITY – French journalist Anne Vigna, author of a book critical of the administration of justice in Mexico, is alleging that Mexican police fabricated evidence in the case of Florence Cassez, a Frenchwoman convicted of kidnapping and serving a 60-year prison sentence. “We assume that there is no evidence of her involvement (in the    kidnappings). It is not up to us to say whether she is innocent or not, but what we can see is that there was fabrication of evidence, manipulation of the victims, and the police did that,” Vigna said in an interview with Efe The Cassez case has been tainted by controversy almost since the beginning. Cassez was arrested on Dec. 8, 2005, on the Mexico City-Cuernavaca highway along with her boyfriend, Israel Vallarta, suspected leader of the Los Zodiaco gang. A day later, agents from the defunct AFI, Mexico’s equivalent of the FBI, staged a mock raid so TV cameras could film the arrest of the gang members in a wooded area near Mexico City. Vigna, co-author with fellow journalist Alain Devalpo of the recently released “Fabrica de culpables. Florence Cassez y otros casos de la injusticia mexicana” (Factory of the Guilty. Florence Cassez and Other Cases of Mexican Injustice), said her work was not intended to just “help a Frenchwoman.” The journalist said that if “anything against her (Cassez)” had been found, she would have published it, but nothing turned up. The results of the investigation “forcefully” help the cause of Cassez, who is serving her sentence at Mexico City’s Santa Martha Acatitla prison, Vigna said. “She has been saying that she is innocent for four and a half years. We did not find any evidence of her guilt in the case in the investigation,” Vigna said. The journalist said she could not understand how the judge in the case could have received information about other people who participated in the gang’s kidnappings but still failed to go after them or charge them. The case demonstrates that “Mexican justice ... when it decides to charge you, it charges you and it’s going to be very hard for you to prove your innocence,” Vigna said. Cassez has publicly accused former AFI director Genaro Garcia Luna, who was named public safety secretary in December 2006, of using her case to score public relations points on a sensitive issue in Mexican society. Last June, President Felipe Calderon said Mexico would not repatriate Cassez. Cassez “will serve her sentence of 60 years in prison in Mexico” for the crimes she committed, Calderon said in a national address. The Frenchwoman was sentenced to 98 years in prison in 2008, but her sentence was reduced to 60 years before French President Nicolas Sarkozy’s visit to Mexico last year. Sarkozy asked Calderon to repatriate Cassez during his visit to Mexico in March 2009. The French government has been working through legal and diplomatic channels to have Cassez transferred to France, but there was opposition in Mexico on the grounds that Paris could allow her to be released or receive a reduced sentence. The Mexican and French governments created a joint commission to examine the case during Sarkozy’s visit. Vigna said the Calderon administration’s decision to push for deep reforms in the criminal justice system was positive, but she expressed concern about the fact that one of the objectives was to give more power to police. “The power they have in this country is very worrisome because there is no institution to control what they do,” the journalist said. Vigna cited the case of Jacinta Francisco Marcial, an Indian woman sentenced to 21 years in prison, as an example. Francisco Marcial is accused of kidnapping six federal officers, who alleged that she and other market stall holders in the plaza of Santiago Mexquititlan, a city in the central state of Queretaro, took them hostage in March 2006 during an operation targeting sellers of pirated DVDs. Vigna, who collaborated with Mexican and foreign journalists on her book, works for several French media outlets, including France 2 television, Le Monde Diplomatique and the magazine Marianne. EFE

La chanson préfèrée de notre compatriote: Florence Cassez. Retenue prisonnière au mexique.

"Dignificada" (Lila Downs) La chanson de Lila est un hommage à l'avocate mexicaine Digna Ochoa assassinée le 19 octobre 2001, la PGJDF a fait croire que c'était un suicide. La balle est entrée du côté droit de la tête, or Digna était gauchère.

J'entends un cri
Au loin dans la nuit
C'est la voix du silence

dans cette armoire il y a un chat enfermé
Parce qu'une femme
Parce qu'une femme
A défendu ses droits

Dans la montagne on entend la voix d'un éclair
C'est l'éclair de la vérité
Dans cette sainte vie où personne ne pardonne rien
Il y a une femme
Il y a une femme
Qui se bat pour sa dignité

Ah ma brune
Ma petite brune à moi
Je ne t'oublierai pas

Je me fais entendre parce que je suis une femme
Et tout ce qui m'arrive, je ne peux pas y croire
Toi, le mensonge et les voyous me regardez
Que je le veuille ou non, moi j'aime aimer
De ta chair à ma chair, donne-moi un taco au boeuf
Je les aime et je les prèfère à celui qui me donne à manger
Que le bon désir du ciel m'envoie le premier
Qu'il m'aime comme je suis, mais celui-là je ne l'aime pas
mais celui-là je ne l'aime pas
mais celui-là je ne l'aime pas

J'ai suivi tes pas petite
Jusqu'à arriver à la montagne
Et j'ai suivi le chemin de DieuQue les âmes accompagnent
J'ai suivi tes pas petite
Jusqu'à arriver à la montagne
Et j'ai suivi le chemin de Dieu

Que les âmes accompagnent
J'entends un cri
Au loin dans la nuit
C'est la voix du silence
dans cette armoire il y a un chat enfermé
Parce qu'une femme
Parce qu'une femme
A défendu ses droits

Dans la montagne on entend la voix d'un éclair
C'est l'éclair de la vérité
Dans cette sainte vie où personne ne pardonne rien
Il y a une femme
Il y a une femme
Qui se bat pour sa dignité

Ah ma brune
Ma petite brune à moi
Je ne t'oublierai pas

 

Stage - Découverte "Danse Orientale"
dirigé par Yaël Zarca

Dans ce Stage vous découvrirez :

- Le secret techniques du travail des bras : position, éveil des articulations, travail sur l'imaginaire pour une danse fluide et expressive.

- Coordination avec le mouvement, l'intention et la musique.

- Pour évoluer ensemble vers une petite chorégraphie


Déroulement du Stage
Le cours de danse comprend :

– l’échauffement (mise en condition du corps et assouplissement) ;

– le travail technique (apprentissage des différents mouvements) ;

– l’apprentissage d’un court enchaînement chorégraphié (réutilisation des mouvements appris sur une musique précise, afin de travailler les enchaînements et l’écoute musicale) ou la création chorégraphique (création personnelle d’un enchaînement sur un rythme précis) ou l’improvisation ;

– les étirements finals (détente, relaxation du corps afin d’éviter les courbatures).

• Tenue idéale
Le plus important est d’être à l’aise dans ses vêtements :

– caleçon ou bas de jogging ou jupe ample ;

– haut moulant (pour permettre au professeur de corriger les mouvements), avec ou sans manches, couvrant ou laissant voir le ventre ;

– on danse pieds nus de préférence, mais on peut porter des chaussons de danse ou des chaussettes (pas de chaussures) ;

– facultatif : foulard à nouer autour des hanches, avec ou sans sequins (piécettes).

Prévoir une bouteille d’eau.


Tarifs du Stage : 15 euros

Adresse : 70 rue René Boulanger - 75010 Paris
Métro République ou Strasbourg St Denis.

Informations / Réservations / Inscriptions : 06 59 43 98 10 (Aurélie ATTIA) ou 06 27 67 70 84 (Franck ATTIA)

Venez nombreuses !!!!

♥ ♥ ♥ LA SAINT AMOUR...♥ ♥ ♥

Viens, j'ai envie d'être près de toi, viens, j'ai donné libre, à mes folles idées , vient, je ne veut penser qu' à toi, ne vivre que par toi, sans aucune contrainte... excusez moi mais mon coeur à décidé de fêter la journée de l''amour...

Comment, ça n'existe pas la journée de l'amour, une journée mobile que l'on choisit et que l'on ne nous impose pas... Comment cela, mais chez moi tout est possible, surtout pour toi que j'aime et que je veux surprendre chaque jour...

J'ai vu Saint Valentin tout à l'heure, il est reparti dépité, déçu de n'avoir pas réussi à me prendre dans ses filets... Oui l'amour ici c'est la folie perpétuelle et c'est toi qui en est à l'origine, c'est toi qui en est le feu permanent...

Oui , c'est vrai on est deux drôles, tout à fait hors norme... des rêveurs.... des amoureux, enfin cela n'existe pas paraît il... Et pourtant si ça existe puisque toi tu existe, puisque toi tu veux que cela existe, puisque toi simplement tu es l'amour...

Je t'aime toi et notre déraison, je t'aime puisque tu sais m'apporter le bonheur, je t'aime parce que tu sais être enfant , je t'aime puisque tu sais être femme, je t'aime puisque tu sais être à moi... oui à moi quel merveilleux cadeau....

C'est pour cela que je veux t'offrir une vie hors du commun, sans artifices, sans choses bassement matérielles, l'amour a t'il besoin de cela pour exister... L'amour est un sentiment noble dénué de toute envie de richesse artificielle...

Viens, je t'aime aujourd'hui laissons nous porter par notre folie....

Jean-Pierre BOCHEUX 09 avril 2010

Hier soir, j'ai vu à la télé ce film extrêmement émouvant qui m'a bouleversé !

Pour une cigarette...

Pour la guérison de tous nos malades en particulier pour michael ben sylvia.

A l'époque à l'époque du Hafetz Haim (Grand décisionnaire du début du 20 éme siècle) un élève fut surpris en train de fumer en cachette en plein shabbat.
Le Hafetz Haim le fit venir et lui parla seule pendant 10 minutes.A la fin de cet entretien privé, l'élève sortit de la pièce en pleurant et en exprimant ses plus profonds regrets.
Personne ne sut ce que le Hafetz Haim lui avait dit et cela resta un secret pendant très longtemps.
Des années plus tard,un Rav raconta cette histoire devant une grande assistance et conclut: " il est bien dommage que personne n'ait demandé à l'élève ce que le Hafet Haim lui avait dit afin d'apprendre comment parler aux jeunes".
A la fin du discours, les assistants se dispersèrent.. à l'exception d'un jeune homme d'un certain âge qui resta assis sur la chaise, la tête penchée.
Le croyant endormi,Rav s'approcha de lui pour le réveiller et se rendit compte qu'il avait perdu connaissance. Le rav le ranima et lui demanda si il se sentait bien.
L'homme lui répondit :" je me suis évanoui car je suis l'élève cdont vous avez parlé dans le discours".
Très ému le Rav le supplia de lui révéler ce que le Hafetz Haim lui avait dit pour exercer sur lui une bonne affluence.
L'homme expliqua :" quand je suis rentré chez le Hafetz Haim, il m'a tenu la main entre les siennes, il m'a regardé avec pitié et une grande affection, et il a pleuré pendant 10 minutes en disant : "Aie ! le saint chabat , Aie ! le saint chabat".
J'ai tremblé de tous les membres et j'ai senti que mon corps était traversé par un courant de sainteté. J'ai éclaté en sanglots, j'ai regretté amèrement ma transgression dont je me repens jusqu'à aujourd'hui!
Quand je vous ai entendu raconter cette histoire, j'ai été tellement saisi en me rappelant mon entrevue émouvante avec le Hafetz Haim que j'ai perdu connaissance.
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Hillet avait l'habitude de dire : Si moi je ne suis pas pour moi qui le sera? et quand moi je suis pour moi ,que suis-je ?Et si pas maintenant ,quand?
Piké avot chapitre 1 miichna 14
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Shabbat chalom à tous !

 

QUELQUES IMAGES DE MES INTERVENTIONS AU CONSEIL MUNICIPAL DU 18 mars 2010 A VOIR SUR LE SITE DE LA VILLE DE SAINT DENIS :

de 4 h 43 min 30 sec à 5 h 01 min 10 sec.

Il y est question de :

• L’audit sur la sécurité du Préfet Meddah (accablant pour la municipalité en place), dissimulé aux élus de l’opposition et à la population (hormis quelques personnes triées sur le volet qui ne l’ont pas rendu public !!!) depuis la mi-octobre 2009…Les préconisations qui y figurent auraient dues être budgétisées en 2010.

• La propagande de Stéphane Peu (adjoint au logement depuis plusieurs mandatures.. président de Plaine-Commune-Habitat, responsable de fait, par imprévoyance, de l’habitat dégradé…) dans le quartier Gare; son exercice de la démagogie participative*

• Braouezec et le cannabis : lors d’une émission sur M6 (encore des journalistes qui ne prennent pas la peine de contacter les membres de l’opposition !!) pourtant dédiée à l’insécurité, le député de la 2ème circ. du 93, ancien maire de Saint-Denis mais pour longtemps encore responsable de sa dégradation, a repris ses théories « fumeuses » sur la légalisation du cannabis. Confortablement installé sur la terrasse de l’Hôtel de Ville, avec la Basilique en second plan, sa permissivité sur le sujet de la drogue a été perçue par tous les dealers ou trafiquants des communes limitrophes comme une invitation à faire chez nous ce qu’ils redoutent de faire ailleurs …Merci encore..

• L’illustration de ce que peut être l’action de cette majorité municipale en matière de propreté de la ville peut se vérifier en observant l’état des sanitaires près de la salle du conseil municipal après 3 heures d’utilisation (ou comment préconiser pour la collectivité ce que l’on n’applique pas à sa propre personne).

DL

* rappel : la démagogie participative est la démocratie participative à la sauce Braouezec-Paillard : elle consiste à identifier dans la population (lors des démarches-quartiers ou réunions budgets participatifs) les éléments qui tentent de s’opposer à eux, les approcher, convertir, tromper ceux qui sont « manoeuvrables » puis les intégrer à leur équipe à peu de frais…

 

Publié par Didier LABAUNE  (Conseiller Municipal UMP de St Denis)