Saint Joseph
Sur saint Joseph, père nourricier de Jésus, l’Evangile nous en dit peu mais suffisamment pour apprécier sa foi, sa noblesse de cœur, son obéissance et sa confiance en la main de Dieu. Joseph est de la lignée de David et charpentier à Nazareth. Fiancé à Marie et accepté par elle au moment de l’Annonciation, il décide de la répudier en secret afin de lui éviter le déshonneur, ce qui conduit l’évangile à le dire « homme de bien ».
On suit ensuite saint Joseph et la sainte famille à Bethléem pour la naissance du Sauveur, puis en Egypte pour échapper au massacre des saints Innocents ordonné par Hérode, puis à Nazareth de retour d’Egypte après la mort d’Hérode, à jérusalem pour la présentation au Temple et la prophétie de Siméon et enfin à Jérusalem pour la présentation au Temple et la prophétie de Siméon et enfin à Jérusalem chaque année à l’occasion de la Pâque jusqu’à l’épisode de Jésus enseignant les Docteurs à l’âge de douze ans. Il meurt certainement avant la passion de Jésus qui au moment de mourir prend soin de confier sa mère à saint Jean.
Le 8 décembre 1870, Pie IX proclame saint Joseph patron de l’Eglise universelle. Pie XII proclame saint Joseph Travailleur, le 1er mai, christianisant ainsi la fête séculière du Travail. Jean XXIII l’inscrit le 8 décembre 1962 au canon de la messe en mémoire du Concile de Vatican II qu’il avait mis sous le patronage de saint Joseph.
En 1519, les 10 et 11 août la Vierge apparaît sur le Mont Verdaille, à Cotignac, à un bûcheron Jean de la Baume. Elle demande la construction d’une chapelle pour y venir en procession et y recevoir « les grâces que je veux répandre. »
Le 7 juin 1660, à 3 kilomètres de là, au Bessillon apparaît à un berger assoiffé un homme qui lui dit : « Je suis Joseph, soulève ce rocher et tu boiras. » De ce rocher imposant coule depuis lors une source.
L’Eglise reconnaît les apparitions de Marie et de Joseph. Cotignac devient un lieu de Pèlerinage pour les familles qui, encore aujourd’hui, y obtiennent de grandes grâces, mariages, naissances, guérisons…
Le livre des Bannières Association pour le Xve centenaire de la France Tome I p. 30
19 mars : Saint Joseph, époux de la T.S.V. Marie et père nourricier de N.S. Jésus-Christ, patron de l’Eglise universelle (1870), protecteur de la famille et de la résistance au communisme (1937).
De la descendance du roi David et ainsi qualifié de « fils de David » par l’ange dont parle saint Mathieu (Ev., 1, 20), saint Joseph semble être mort avant la vie publique de Jésus. Les Français furent à travers les siècles de grands propagateurs de son culte et de nombreux pays l’ont pour protecteur, comme le Canada (1637). Proclamé par Pie IX patron et protecteur de l’Eglise universelle (8 décembre 1870), il fut proclamé par Pie XI, protecteur de « la grande action de l’Eglise catholique contre le communisme athée mondial pour hâter la venue de la paix du Christ dans le règne du Christ », car c’est lui « le Juste, modèle vivant de cette justice chrétienne qui doit régner dans la vie sociale » (19 mars 1937). Patron des familles chrétiennes, de la bonne mort, des ouvriers (1955, saint Joseph artisan est fêté le 1er mai), il figure au canon de la messe depuis 1962.
Les apparitions de Saint Joseph sont rares. Il apparut avec la Vierge et l’Enfant Jésus à Fatima le 13 octobre 1917, mais il est particulièrement vénéré à Cotignac (diocèse de Fréjus et actuellement du Var). La Vierge était apparue sur le mont Verdaille au bûcheron Jean de La Baume (10 et 11 août 1519), ce qui avait entraîné la construction d’une église dédiée à Notre-Dame de Grâces, lieu de miracles dont les papes firent mention. Or, à Paris le frère Augustin déchaussé Fiacre de Saine Marguerite (né Denis Antheaume, 1609-1684) pria beaucoup la Vierge pour que Anne d’Autriche ait un héritier. La Vierge lui demanda trois neuvaines, la première à Notre-Dame de Grâces de Cotignac, la deuxième à Notre-Dame de Paris et la troisième à Notre-Dame des Victoires de la même ville. C’est ainsi que naîtra Louis XIV, le frère Fiacre ayant été envoyé par Louis XIII et Anne d’Autriche à Cotignac pour y faire la neuvaine voulue ; peu de jours après son départ, Louis XIII déclarera consacrer la France à la Vierge, et le Dauphin tant désiré verra le jour le 5 septembre 1638. En 1644, la régente Anne d’Autriche envoya à nouveau le frère Fiacre à Cotignac pour demander à la Vierge de protéger son fils et Louis XIV en personne viendra en pèlerinage le 21 février 1660, en compagnie de sa mère, de son frère le duc d’Anjou (futur duc d’Orléans), de sa cousine la Grande Mademoiselle, du cardinal Mazarin. Le roi donnera d’importants cadeaux à l’église de Cotignac, et envoya une dernière fois le frère Fiacre vers Marie en 1661. Pour combler de grâces la terre provençale, Dieu permit encore que saint Joseph apparaisse le 7 juin 1660 à un berger assoiffé, Gaspard Ricard, lui ordonnant de déplacer une trop lourde pierre, ce qu’il put quand même faire et ce qui entraînera la naissance d’une source, bien vite miraculeuse, puis la construction d’une chapelle Saint-Joseph, approuvée par l’évêque. On honore donc toujours à Cotignac la Vierge et son époux : la nouvelle église Notre-Dame de Grâces conserve l’inscription signalant la visite royale de 1660) (ex-voto de marbre noir, 1667), l’ancienne statue de la Vierge et le cœur du frère Fiacre ; à 3 km de là, une église bâtie au pied du Grand-Bessillon est sur le lieu de la source et de l’apparition de saint Joseph. Le 12 mars 1661, Louis XIV invita les évêques de France à faire chômer la fête de saint Joseph, le 19 suivant, interdisant tout commerce et travaux en ce jour, ce qui fut immédiatement ratifié par les vicaires généraux de l’archevêque de Paris le 14. On remarquera que le 7 juin 1660 était le jour où l’infante Marie-Thérèse entra en France pour y épouser Louis XIV en personne (elle était déjà mariée par procuration).
MOIS DE MARS, MOIS DE SAINT JOSEPH
19 mars 2006 : 345e anniversaire de la consécration de la France à St Joseph par LOUIS XIV
On sait que la dévotion à saint Joseph s’est développée assez tardivement en Occident : ce n’est guère qu’au XVème siècle qu’on en trouve les premières manifestations bien caractérisées. Et c’est principalement en Italie et en Espagne que le mouvement prit son essor (on sait la confiance que la grande sainte Thérèse d’Avila avait envers le Père nourricier de l’Enfant Jésus ; c’est sous son vocable qu’elle plaçait les carmels qu’elle fondait).
Etape décisive : en 1621, le pape Grégoire XV proclama que la fête de saint Joseph, au 19 mars, serait fête de précepte, c’est-à-dire fête chômée, pour l’Eglise universelle ; mais cette décision pontificale ne fut pas partout immédiatement reçue (l’aval des princes était nécessaire pour qu’elle aie force de loi dans chaque Etat).
En France, c’est au tout début du règne personnel de Louis XIV que la Saint Joseph fut ainsi reconnue, et cela, avec une rapidité confondante. Qu’on en juge : dans la nuit du 8 au 9 mars 1661, le cardinal Mazarin meurt, après plus de quinze ans de gouvernement. Les 9 et 10 mars, Louis XIV, âgé de 22 ans, prit personnellement le pouvoir et, avec une détermination qui causa la surprise générale, ne nomma pas de premier ministre ; il s’entoura cependant de deux conseils pour faire entériner ses décisions.
Et sur le point qui nous occupe dans cet article, le jeune roi était tout aussi décidé et mena l’affaire tambour battant ; où doit-on alors chercher les origines de la dévotion de Louis XIV à saint Joseph ? – Sans doute dans les suites de l’apparition de notre saint près du village de Cotignac en Provence (le 7 juin 1660), qui avait fait grand bruit à la Cour… mais chez les deux princesses les plus proches du souverain : sa mère, Anne d’Autriche (espagnole, malgré le nom qui lui est resté dans l’histoire), et puis l’infante Marie-Thérèse d’Espagne, qui était entrée en France, en traversant la Bidassoa avec son futur mari… le 7 juin 1660, jour même de l’apparition susdite, pour le mariage royal à Saint-Jean-de-Luz.
Revenons à l’année 1661 : le 12 mars, trois jours après avoir pris le pouvoir, Louis XIV décide donc de faire solenniser sans retard le culte de saint Joseph, en faisant chômer sa fête dans le royaume. Il fallait toutefois consulter les prélats français, mais le 19 mars est bien proche… Les quelques évêques qu’on réussit à contacter (les moyens de communications n’ont pas la promptitude de ceux de notre époque…) donnent leur accord. Le lendemain, 13 mars, pendant la réunion du Conseil d’En Haut, le roi interdit tout commerce et tout travail tous les 19 mars à partir de 1661.
Le fait que je viens de rapporter : la saint Joseph qui devient fête d’obligation en France en 1661, est connu et rapporté par les historiens du Grand Siècle (qui ne songent cependant pas à noter la rapidité de la procédure). Ce qui en revanche, était tombé dans l’oubli le plus total, c’est la consécration du royaume à ce même saint à cette occasion, oubli qui contraste avec la notoriété du Vœu de Louis XIII, consacrant la France à la Très Sainte Vierge en 1638.
Il est vrai que la cérémonie de 1661 fut tout intime : non dans une basilique, une cathédrale ou une église, mais simplement dans la chapelle du Louvre. C’est là que, le matin du samedi 19 mars 1661, la France fut consacrée à saint Joseph ; l’après-midi, après les vêpres, Bossuet, qui était occupé à prêcher le carême aux carmélites du Faubourg Saint Jacques, célébra, dans leur chapelle, les gloires du nouveau protecteur de la patrie, en présence d’Anne d’Autriche ; le célèbre évêque de Meaux avait accepté, au pied levé, de ne pas prêcher sur le Carême ce jour-là et de composer, en quelques jours, son deuxième Panégyrique à saint Joseph (il ne pouvait, certes, avoir l’indélicatesse de répéter le premier Panégyrique qu’il avait déjà prêché, quelques années plus tôt, devant la même Reine Mère).
Citons, pour conclure, la belle envolée par laquelle se termine ce sermon : « Joseph a mérité les plus grands honneurs, parce qu’il n’a jamais été touché de l’honneur ; l’Eglise n’a rien de plus illustre, parce qu’elle n’a rien de plus caché. Je rends grâces au roi d’avoir voulu honorer sa sainte mémoire avec une nouvelle solennité. Fasse le Dieu tout-puissant que toujours il révèle ainsi la vertu cachée ; mais qu’il ne se contente pas de l’honorer dans le ciel, qu’il la chérisse aussi sur la terre. Qu’à l’exemple des rois pieux, il aille quelquefois la forcer dans sa retraite… Si votre Majesté, Madame, inspire au roi ces sages pensées, elle aura pour sa récompense la félicité ».
Cette consécration de la France à saint Joseph fut célébrée en France tous les 19 mars jusqu’à la Révolution. Depuis, elle n’a jamais été reprise. Il n’empêche qu’il est nécessaire de rappeler cet événement majeur dont on fête cette année le 348ème anniversaire.
Le signataire de ce bref exposé n’en est pas le véritable auteur, car il en doit la substance à un ami, Monsieur Christian Gaumy, conservateur de la Bibliothèque universitaire de Limoges, qui a eu pour cela la patience d’explorer les montagnes de documents des Archives nationales et de la Bibliothèques nationale (Département des Manuscrits), et qu’honore le profond souci de faire connaître et aimer le saint patron de l’Eglise universelle ; qu’à tous ces titres, il soit ici remercié et assuré de ma gratitude.
Père Damien-Marie « Le Sourire de Marie »
DES LIEUX D'ACCUEIL au Sanctuaire ND de Cotignac A COTIGNAC (Provence) - Pèlerinages
Le Foyer St Jean-Baptiste qui permet de mûrir et discerner l'appel de Dieu pour des garçons de la Seconde à la Terminale et le Foyer de la Sainte Famille à proximité du sanctuaire.
Renseignements - Réservations: Association des Pèlerins
tél : 04 94 69 64 90 - Fax : 04 94 69 64 91 Courriel : [email protected]
le Père Chapelain - tél : 04 94 69 64 85 Quartier Notre-Dame 83570 Cotignac
Neuvaine à Saint Joseph
Premier jour Saint Joseph, tu as veillé sur Marie avec sagesse, délicatesse, respect et tendresse. Tu as été soutien et réconfort pour Marie. nous te rions pour les épouses, les mères de nos familles. Nous te recommandons les femmes abandonnées, trahies, maltraitées, exploitées. Saint Joseph, je me place sous ta protection.
Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père. Saint Joseph, prie pour nous.
Deuxième jour Saint Joseph, père nourricier du Fils de Dieu, tu as veillé sur Jésus avec sagesse, affection, tendresse et amour paternel. Nous te prions pour les enfants de nos familles et du monde. Veille spécialement sur les orphelins, les enfants abandonnés, handicapés, exploités et maltraités. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie…
Troisième jour Saint Joseph, protecteur de la Sainte Famille, tu veillais à tout avec amour. Nous te recommandons nos familles. Nous te prions pour nos familles déchirées, les enfants malheureux, les enfants victimes de ces situations familiales. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Quatrième jour Saint Joseph, tu as connu le dépouillement total à Bethléem puis la fuite et l'exil en Egypte. nous te prions pour les personnes dans le dénuement, les sans-abri, les victimes de guerre, de la violence et de la haine. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Cinquième jour Saint Joseph, pour subvenir aux besoins de la Sainte Famille, tu as travaillé de tes mains avec courage, patience et persévérance. Nous te prions pour tous les travailleurs, ouvriers, artisans, commerçants, employés et pour ceux qui sont sans travail. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce
Sixième jour Saint Joseph, descendant du roi David, tu n'as pas revendiqué cet honneur. Tu es resté humble, simple, accueillant et bon pour tous. Nous te prions pour ceux qui détiennent une autorité, un pouvoir . Qu'ils emploient leurs compétences, leurs influences pour lutter contre l'injustice, la pauvreté, la misère, en vue du bien de tous. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Septième jour Saint Joseph, Jésus et Marie étaient à ton chevet, quand tu as quitté cette terre. Tu es mort en paix dans leurs bras. Nous te confions les agonisants de chaque instant, sois auprès de ceux meurent seuls, abandonnés dans des camps, dans les prisons, victimes d'accidents, de catastrophes, et de la violence. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Huitième jour Saint Joseph, Jésus a fondé la Sainte Eglise dont Marie est devenue la Mère. Il est bien juste que tu en sois le protecteur. Nous t'en supplions, veille sur la Sainte Eglise du Christ. Protège-la. Soutiens son chef suprême, notre Saint-Père, les pasteurs, les fidèles. Que la Bonne Nouvelle soit annoncée à tous. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Neuvième jour Saint Joseph, aujourd'hui je viens spécialement te recommander toutes mes intentions personnelles. Je te confie mes peines, mes soucis, mes difficultés, mes souffrances, mes joies aussi. Soutiens-moi dans l'accomplissement de mes tâches quotidiennes. Donne-moi la paix, la sérénité, sois mon protecteur assuré tout au long de mes jours. Sois mon intercesseur, mon défenseur à l'heure de ma mort. Saint Joseph, je me place sous ta protection. Prie pour moi, obtiens-moi la grâce ...
Prière à Saint Joseph
« Je vous salue Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux. Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant de votre virginale épouse est béni. Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. » Amen.
Texte de la prière promulguée par l'Encyclique de Léon XIII : Prière à saint Joseph
Nous recourons à vous dans notre tribulation, ô bienheureux Joseph : et, après avoir imploré le secours de votre très sainte Epouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage. Par l'affection qui vous a uni avec la Vierge Immaculée, Mère de Dieu ; par l'amour paternel dont vous avez entouré l'Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l'héritage que Jésus-Christ a conquis au prix de son sang, et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans nos besoins.
Protégez, ô très sage Gardien de la divine Famille, la race élue de Jésus Christ. Préservez-nous, ô Père très aimant, de toute souillure d'erreur et de corruption, soyez-nous favorable, ô notre puissant libérateur. Du haut du ciel, assistez-nous dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres ; et de même que vous avez arraché autrefois l'Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd'hui la Sainte Eglise de Dieu des embûches de l'ennemi et de toute adversité. Couvrez chacun de nous votre perpétuelle protection, afin que, à votre exemple, et soutenus par votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle. Ainsi soit-il.
St Joseph, époux de la Vierge Marie, patron de l'Eglise universelle, solennité,
La fête de saint Joseph se répandit surtout au 15ème siècle. Le pape Grégoire XV l'a inscrite au calendrier de toute l'Eglise en 1621. Fête de st Joseph le 19 mars.
Litanies de Saint Joseph.
Seigneur, ayez pitié de nous. (bis)
Jésus-Christ, ayez pitié de nous. (bis)
Seigneur, ayez pitié de nous. (bis)
Jésus-Christ, écoutez-nous. (bis)
Jésus-Christ, exaucez-nous. (bis)
Père céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Fils, Rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Esprit Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Trinité Sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.
Sainte Marie, priez pour nous.
Saint Joseph, priez pour nous.
Illustre descendant de David, priez pour nous.
Lumière des Patriarches, priez pour nous.
Époux de la Mère de Dieu, priez pour nous.
Chaste gardien de la Vierge, priez pour nous.
Nourricier du fils de Dieu, priez pour nous.
Zélé défenseur de Jésus, priez pour nous.
Chef de la Sainte Famille, priez pour nous.
Joseph très juste, priez pour nous.
Joseph très chaste, priez pour nous.
Joseph très prudent, priez pour nous.
Joseph très courageux, priez pour nous.
Joseph très obéissant, priez pour nous.
Joseph très fidèle, priez pour nous.
Miroir de patience, priez pour nous.
Ami de la pauvreté, priez pour nous.
Modèle des travailleurs, priez pour nous.
Gloire de la vie de famille, priez pour nous.
Gardien des vierges, priez pour nous.
Soutien des familles, priez pour nous.
Consolation des malheureux, priez pour nous.
Espérance des malades, priez pour nous.
Patron des mourants, priez pour nous.
Terreur des démons, priez pour nous.
Protecteur de la Sainte Eglise, priez pour nous.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous.
V/. Il l'a établi le chef de sa maison.
R/. Et l'intendant de tous ses biens.
Prions. O Dieu, qui, par une providence ineffable, avait daigné choisir le bienheureux Joseph, pour être l'époux de votre Sainte Mère, faites, nous vous en prions, que, l'honorant ici-bas comme protecteur, nous méritions de l'avoir pour intercesseur dans le ciel : Vous qui vivez et régnez dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
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