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HenriVI Comte de Paris (1940-1999)



Dès 1926, il est interdit de territoire national en vertu de la loi d'exil de 1886. Il habite donc en Belgique, au Maroc, en Espagne et enfin au Portugal. En 1929 son père le proclame « comte de Paris ».

Désireux de servir son pays, alors que la loi d'exil le lui interdisait, il s’engagea dans la Légion Etrangère, au début de la Seconde Guerre mondiale, sous le nom d'Henri Orliac, nom emprunté en 1909 par le duc de Guise, prétendant au trône de France et son épouse, lors de leur installation au Maroc (Orliac était le nom du clairon du duc d’Aumale).Il choisit d’abord la cause Pétainiste, ce qui lui valut de Pierre Laval la proposition de diriger le ministere du ravitaillement, ce qu'il considéra comme insultant.Par la suite, il se prêta, à Alger, en novembre-décembre 1942, à une conspiration organisée par le résistant Henri dAstier de la Vigerie. Ce complot visait à permettre au prince de prendre la place de l’amiral Darlan. Ce dernier, en effet, après avoir fait tirer sur les Alliés qui débarquaient en Algerie et au Maroc, du 8 au 11 novembre 1942, avait changé de camp, et, en qualité de haut-commissaire de France en Afrique, y avait maintenu intégralement le régime Vichyste, sous un protectorat américain. En outre, la présence de Darlan à la tête des autorités d’Alger empêchait l’unification, pour libérer la France, des forces de la France combattante et de celles de l’armée d’Afrique. Cette conspiration visait pas, à constituer sous l’égide d'Henri d'Orléans, un gouvernement d’union, dans lequel De gaulle aurait dirigé les affaires politiques et Giraud les affaires militaires, jusqu’à la libération de la métropole. Une fois cette libération réalisée, il aurait appartenu aux Français de choisir, par la voie électorale, le régime ayant leur préférence. C’est alors queFernand Bonnier de la Chapelle abattit l’amiral. Certains rendirent Henri d'Orléans responsable de cet acte, à travers Henri d'Astier. D’autres, toujours à travers Henri d'Astier, prétendirent y voir un geste du général de Gaulle. Or l’exécution de Darlan n'a pas profité à Henri d'Orléans. L'attitude d'Henri d'Orléans au moment de l’assassinat de Darlan entraîna son exclusion des clans de la France libre. Interdit de séjour en Algérie par la loi d'exil de 1886, il retourna au Maroc espagnole.


" (...) son destin aurait pu être autre si son comportement avait été différent pendant la guerre, en particulier s'il avait porté les armes de la France au combat. Le prince Napoléon, lui, avait saisi l'occasion en venant me demander de servir au front". Charles de Gaulle à François Flohic, mai 1969 (pour mémoire, dès le 28 décembre 1940, celui-ci avait décidé d'ouvrir la porte "aux chefs français, quelles qu'aient été leurs fautes, qui décideront de tirer l'épée qu'ils ont remise au fourreau" - cité par François Broche, op. cit, p.117). Après l'abrogation de la loi d'Exil, par l'Assemblée nationale en 1950, Henri d'Orléans rentra en France et s'installa à Louveciennes avec sa famille. Hostile à l'impuissance de la IVe République, il tenait un "bulletin politique" mensuel de quatre pages dans lequel il livrait ses analyses et cherchait à combiner le souci monarchique du long terme avec le respect des règles démocratiques. Une fois acquise l’élection du Président de la République au suffrage universel (1962), le Comte de Paris se rallia au général de Gaulle. Celui-ci lui aurait laissé entendre, en 1962, au début de la Ve République , qu'il souhaitait le retour de la Monarchie. Déçu dans ses espoirs, le comte de Paris décida en 1967 de mettre fin à ses activités politiques et cessa la publication de son Bulletin qui était envoyé gratuitement à plusieurs milliers de personnes. .Lors de la première cohabitation (1986-1988), le comte de Paris se prononça à plusieurs reprises en faveur de François Mitterand. Le président Mitterrand était une vieille connaissance .

Activités privées

En 1975, le Comte de Paris crée la Fondation Saint Lois pour préserver les biens de la Familles d'Orléans. Il administre aussi la Fondation Condé, centre de gériatrie à Chantilly (avec le concours de Monique Friesz ), sa gouvernante-secrétaire-dame de compagnie), qui lui fut présentée en 1974 lors d'un dîner parisien par sa fille Chantal, baronne de Sambucy de Sorgue. En 1983, un drame frappe la famille : le onzième enfant, Thibaut, « comte de la Marche », meurt en République Centreafricaine, après avoir été arrêté et inculpé de recel, puis avoir passé 14 mois en détention provisoire, et avoir par la suite bénéficié d'un non-lieu. Un des fils du "comte de Paris", François, était mort pour la France, en Algérie, en 1960. En septembre 1987, très médiatiquement et à l'occasion du Millénaire des Capétiens, devant des milliers de fidèles invités, le comte de Paris titre ses petits-fils les princes Jean et Eudes, respectivement duc de Vendôme et duc d'Angoulème, lors d'une grande cérémonie solennelle célébrée au château royal d'Amboise. Le comte de Paris présente alors le prince Jean, son petit-fils, comme son successeur spirituel à la tête de la Maison de France. En 1992, avec un an de retard, le comte et le comtesse de Paris, séparés de corps et de biens depuis 1986, ont fêté en la chapelle royale Saint Louis de Dreux leurs "noces de Diamant". Le 5 juillet 1998, le comte de Paris célébrait avec un faste certain ses 90 ans au château d'Amboise. Ce fut la dernière réunion de famille du vieux prince, entouré du gotha et de bon nombre des siens, malgré les querelles familiales déjà largement étalées dans la presse française et internationale.


Le 19 juin 1999, jour du mariage civil célébré à Dreux de son petit-fils le prince Eudes avec Marie-Liesse de Rohan-Chabot, il meurt au domicile de sa dernière compagne, Monique Friesz. le 21 juin 1999, le prince Henri d'Orléans, Comte de Paris, fut inhumé dans la Chapelle Royale deDreux.

Delorme


Pour la 16ème journée du Championnat de France de football, en Ligue 1, mon équipe préfèrée: le PSG, a perdu à Rennes: (1à 0). Malgré un bon match des parisiens ! Voici, quelques photos:

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Photos: Site officiel du PSG


Bombay : Israël compte ses morts !


Par Itaï Smadja pour Guysen International News


                        

 P90_bougie2    Les 11 assauts terroristes perpétrés simultanément mercredi 26 novembre à Bombay n’en finissent pas de choquer le monde. Un quelques minutes, la capitale économique de l’Inde est devenue le théâtre d’une guérilla impensable. Le bilan est lourd, au moins 172 morts. Depuis le 26 novembre, les Israéliens ont eu eux aussi les yeux rivés sur leurs écrans. Comme une quinzaine d’autres pays, Israël a ses morts dans ce ’11 septembre indien’. Une émotion d’autant plus grande que l’Inde est l’une des destinations favorites de la jeunesse israélienne.

Parmi les bâtiments qui sont tombés entre les mains des terroristes figure le centre culturel juif Habad. Vendredi 28 novembre, le rabbin Gabriel Holtzberg et son épouse Rivka, qui dirigeaient ce centre à Bombay depuis 5 ans, ont été tués.

Les parents de la jeune femme sont arrivés en Inde dans la matinée du vendredi à bord d’un vol spécialement affrété par une association israélienne.
Hébergés dans les appartements du Consul israélien en Inde, ils sont restés sans nouvelle de leur fille jusqu’au samedi soir.

Ce n’est qu’une fois la nuit tombée que le Consul a officiellement annoncé aux parents le décès de Rivka. Le jeune fils du couple, Moïshé, âgé de 2 ans a pu en revanche, grâce au courage de sa nourrice qui est parvenue à sortir du bâtiment avec l’enfant dans ses bras, être sauvé.

Face à une telle situation, le président du mouvement religieux Habad, Yosef Yitzhak Aharonov, a appelé Israël à accorder un visa permanent à Sandra Samuel, la nourrice de l’enfant.
« J’ai parlé aux responsables indiens et je leur ai demandé d’arranger les procédures administratives. La demande a également émané de la famille du jeune garçon » a –t-il expliqué.

Une volonté facilement compréhensible quand on sait que les liens entre la femme indienne et l’enfant israéliens étaient, selon tous les témoignages, très forts.
Selon la principale intéressée « tous les soirs, sa mère le couchait. A présent il est totalement perdu, il ne comprend pas ce qu’il se passe. C’était horrible à l’intérieur, il y avait des explosions partout, des tirs, ils ont essayé de me tirer dessus ».

Les images provenant du centre Habad ont attesté de l'ampleur du carnage. Le sol était jonché de rouleaux de la Thorah et de livres de prières rouges de sang, des traces de balles couvraient les murs, les bancs et tables étaient renversés.
Au final ce sont neuf Israéliens ou Juifs qui trouvé la mort dans ces attaques. Six ont été identifiés, et l’identité de 5 d’entre eux a été révélée.

Outre le couple Holtzberg, le gendre d'un éminent leader hassidique à Jérusalem, Aryeh Teitelbaum, son ami Ben Tsion Kroman et Yohéved Orpaz figurent parmi les victimes. Cette dernière était âgée de 60 ans et était partie en Inde pour rendre visite à sa fille et ses petits-enfants qui excursionnaient dans le pays.

Afin d’accélérer le travail d’identification des trois victimes restantes, des légistes israéliens ont pris dimanche 30 novembre l’avion pour l'Inde. Au total, ce sont sept experts de la police en matière d'identification d'empreintes digitales, dentaires et d'ADN, ainsi qu'un médecin de l'institut médico-légal qui se rendront à Bombay.

Avec eux partira également le porte-parole de la Police ainsi qu’une délégation de rabbins qui s’assura que les corps soient traités selon la tradition juive. Ils devraient être réacheminés en Israël à bord d’un avion de l’armée de l’air.

Une fois les faits établis et les attaques passées, l’heure était aux réactions.

Dans une interview donnée à la télévision israélienne, le ministre de la Défense Ehoud Barak a déclaré que le but des terroristes était « de tuer, non de négocier ». Le ministre israélien de la Défense a ajouté qu'il s'agit d'une attaque « visant délibérément des ressortissants étrangers. Etre israélien engage à faire preuve de prudence partout dans le monde ».

Par ailleurs, il a affirmé que selon ses informations, les otages ont été ligotés avant d’être tués et que les femmes ont été exécutées les premières.

Le Premier ministre Ehoud Olmert a déclaré pour sa part qu’il espérait « ne plus revoir ces images ». « Les images des victimes juives et cette scène terrible des dirigeants du centre Habad drapés dans des Talit (châle de prière) nous ramènent à une époque de l'Histoire, que nous aurions aimé ne pas revivre. Il semble que la haine des juifs et des Israéliens ait motivé ces attaques », a ajouté le chef du gouvernement avant de préciser qu’il avait reçu un appel du Premier ministre turc.

Ce dernier lui a présenté les condoléances de son pays et s’est entretenu avec son homologue des moyens de lutter contre le terrorisme international.
Dans le chagrin, quelques voix sont toutefois venues troubler l’unité. Des experts israéliens en matière de contre-terrorisme ont en effet critiqué l'action menée par les forces de sécurité indiennes à Bombay et notamment l'opération visant à libérer les otages retenus à l'intérieur du centre Habad de la ville.

Selon ces experts, en cas de prise d'otages, d'importantes forces de sécurité doivent pénétrer dans le bâtiment et atteindre les otages le plus rapidement possible. Or la libération du centre Habad a duré plus de douze heures.

Le quartier n'a été ni bouclé, ni évacué, ce qui démontre un manque de professionnalisme côté indien selon les experts israéliens qui ont tenu cependant à féliciter pour leur courage, les hommes des forces de sécurité indiennes.

Critiques non acceptables pour le ministère des Affaires étrangères qui ne veut pas porter atteinte à ses excellentes relations avec l’Inde.

« Nous sommes persuadés que les forces indiennes ont tout fait pour éviter que les otages et civils ne soient atteints. Les relations entre Israël et l'Inde sont fondées sur des ententes profondes et communes qui ont surmonté le cap en ces instants de crise », a ainsi déclaré Yossi Levi, un porte-parole du ministère.

De plus, si les autorités indiennes ont refusé l’aide israélienne durant les attaques terroristes, des sources sécuritaires ont indiqué qu’un responsable du ministère israélien de la Défense et un second du Shin Bet se sont envolés pour l'Inde pour apporter leur contribution à l'enquête sur ces attaques meurtrières.

Une polémique qui aura, très probablement, la vie longue, mais qui ne devrait tout de même céder la place au recueillement dans les jours à venir.

Les victimes israéliennes des attentats de Bombay seront en effet reconnues en Israël comme « victimes du terrorisme ». Ainsi en a décidé dimanche la commission ministérielle chargée des cérémonies officielles. Cette décision assurera l'aide de l'Etat pour les obsèques et des dédommagements pour les familles des victimes.


Une conférence, que je me permets de vous conseiller de ne pas louper !

L’Institut de la Maison de Bourbon (I.M.B.) organise un cycle de conférences

 

(ouvert à tous, entrée libre)

 

tous les premiers lundis de chaque mois

 

suivie d’un dîner au restaurant

 

Lundi 1er décembre 2008 à 19h précises

 

« Le Grand Condé »

 

par Dominique PALADILHE, Historien.

 

(L’ auteur dédicacera son ouvrage).

 

à la DRAC, 8 bis rue Vavin Paris 6ème

 

Attention : il y a un code maintenant : code ….

(Arrivée avant 19h, une personne vous ouvrira la porte,

après 19h, il n’y aura plus personne ! ! !)

 

Métro : Vavin ou N.D. des Champs

Rez-de-chaussée, au fond de la cour (interphone DRAC)

 

Possibilité de dîner après dans un restaurant de cuisine française (21 €)

Prière de s’inscrire pour le dîner au restaurant avant le lundi midi

 

01 45 50 20 70  ou 06 23 33 35 53 (secrétariat l’IMB)

 

L'Institut de la Maison de Bourbon : I.M.B.

Organisme culturel reconnu d'utilité publique

Secrétariat : 81, av de la Bourdonnais, 75007 Paris

Tél. 01 45 50 20 70 - Fax. 01 45 50 48 89 –

Courriel : [email protected] - Site : www.royaute.org

Revue de l’IMB : Abonnement annuel 16 euros

 

Président : M. le duc de Bauffremont

Président d'honneur : Monseigneur le Prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou 

 

Montant des cotisations 2008 voir Site : www.royaute.org.

Ne rien verser avant votre admission définitive par le bureau de l'Institut. Un courrier spécial vous sera adressé dès que le Bureau aura procédé à l’acceptation de votre candidature

 

11 décembre 2008 : réunion à Versailles pour protester contre la présence des oeuvres de Koons dans le château de Versailles.

L'IMB s'associe à cette manifestation et invite ses amis et ses adhérents à se rendre le jeudi 11 décembre à 20 heures à l'hôtel de France, à Versailles, au 5 rue Colbert, face au château. Site : coordination-defense-de-versailles.fr




Voici, un entretien exclisif de Monseigneur Jean d'Orléans, Duc de Vendôme, accordé au mensuel:"Politique Magazine"


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Monseigneur, vous avez récemment assisté à la cérémonie de réouverture du Petit Trianon après un an de travaux. Qu'avez-vous pensé de cette restauration ?

Qu'elle est remarquable. Ce qui m'a fait particulièrement plaisir car je suis passionné depuis toujours par Versailles. Par tous les Versailles. Celui de Louis XV, de Louis XVI et de Marie-Antoinette me touche au plus haut point. C'est un sommet de civilisation dont le Trianon, par son architecture et son aménagement intérieur, est l'illustration. J'ai eu également l'occasion tout récemment de participer à l'inauguration des nouvelles salles Orléans. C’est vous dire si c'est un lieu où j'aime me rendre. La restauration du Petit Trianon est aussi un bel exemple de mécénat. Louis- Philippe en son temps a été le premier des mécènes et a ainsi sauvé le château. Sur ses deniers personnels, je tiens à le souligner. On ne peut donc aujourd'hui que remercier et féliciter la maison Bréguet pour ce mécénat exemplaire. On sait que Bréguet fut l'horloger de la reine Marie-Antoinette. Quel bel exemple à travers les temps de la fidélité suisse à la famille royale française !

Vous êtes d'ailleurs aujourd'hui très impliqué dans la défense du patrimoine. Pouvez-vous nous en dire plus sur vos activités professionnelles ?

Mes activités professionnelles me conduisent dorénavant à promouvoir et à illustrer le patrimoine français, particulièrement le patrimoine royal. Toute cette fin d'octobre, j'étais aux Etats-Unis pour donner des conférences sur le patrimoine royal français. Et je suis décidé à m'impliquer encore davantage dans ce domaine. Etant l'héritier de la Maison de France, cette activité en symbiose avec ma vie publique forme une unité. Dans ce cadre, j'assume les responsabilités qui m'échoient et je m'inscris ainsi dans la vraie tradition de ma famille, celle de toujours.

Et vos projets personnels?

Chacun le sait maintenant, je compte me marier, fonder une famille, avoir des enfants.

Vous avez présidé, le 10 octobre, l'Assemblée générale de Gens de France. Comment voyez-vous l'avenir de cette association?

Elle me donne de plus en plus satisfaction. Cette Assemblée Générale a été une réussite à tous points de vue et constitue une étape importante dans le développement de cette association dont le but est de soutenir mon action et d'en constituer la vitrine. Je remercie les organisateurs, en particulier Raymond Sorel et toutes ses équipes. Je ne saurais trop inciter ceux qui veulent m'aider dans mon action publique à prendre des renseignements sur cette association (1). J'ai pu, grâce et avec Gens de France, parcourir la France et le monde pour connaître et me faire connaître.

Mardi 14 octobre. Une partie des biens de la succession du comte et de la comtesse de Paris a été vendue lors d'une vente Christie's. Quelle est votre réaction sur cette dispersion du patrimoine historique de votre famille ?

Je n'ai pas caché ma désapprobation et je la maintiens. Tout le monde a pu constater que j'étais présent dans la salle de ventes avec les cousins de ma génération. J’ai pu constater aussi - et ce fut, pour moi, d'un grand réconfort - que de nombreux amis étaient présents. Nous avons tenté l'impossible. Mais il est évident que des biens de ce genre prennent une valeur considérable en raison des souvenirs qui y sont attachés. Il a donc été difficile de lutter.
Je tiens à dire qu'il est des objets qui n'auraient jamais dû être proposés à la vente. Car l'histoire est un bien inappréciable. Mais c'est le passé. Voilà qu'une page se tourne ... Je suis désormais résolu à me tourner vers l'avenir. Il faut construire ! C'est mon objectif. Je le ferai avec mon frère Eudes, mes cousins et mes cousines et tous ceux qui voudront se joindre à nous pour que vive la tradition française, royale et princière.


Leurs Altesses Royales, le Comte de Paris, Duc de France et Madame, Duchesse de Montpensier…Le 30 novembre 2008

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« …ont la joie d’annoncer les fiançailles de leur fils SAR Monseigneur le Duc de Vendôme avec Dona Philomena de Tornos y Steinhart. Fait à Paris le 28 novembre 2008 »

Annonce officielle donc, des fiançailles de Jean de France avec Philomène de Tornos.

C’est lors du gala offert par la Maison Breguet à Versailles en octobre 2008 , pour la réouverture du Petit Trianon que Mademoiselle  Philomène de Tornos est apparue aux côtés du prince Jean.

Petite fille de Juan de Tornos qui fut chef du Secrétariat de feu le comte de Barcelone lors de son exil à Estoril – Portugal – , fille de Juan de Tornos et Maria Antonia Steinhart, Philomène de Tornos travaille en France dans l’industrie maritime.Ses parents demeurent à Vienne, en Autriche.

Monseigneur le duc de Vendôme n’avait pas manqué de préciser le 10 octobre 2008, lors de l’assemblée générale de l’association « Gens de France » qu’il se trouvait à «  un tournant de sa vie publique et de sa vie privée