76, Péri
Le 03 décembre 2008, des enfants qui jouent et qui dansent, une fête malgré tout, malgré des conditions d’existence indicibles: j’étais aussi au 76 rue Gabriel Péri.
J’ai échangé quelques mots avec Monsieur CISSE, porte-parole du collectif 76 et avec Maître MISSAMOU avocat des familles.
Monsieur CISSE a bien voulu me recevoir quelques jours plus tard. Dans cette petite pièce au rez-de-chaussée, aménagée en salle de télévision, c’est un drapeau français qui m’accueille; il est disposé en tapisserie murale face à la porte. Au milieu d’une dizaine d’habitants, je bénéficie d’un complément d’informations sur la situation des familles, des enfants…
Au lendemain de cet entretien, j’ai posé quelques questions à la sous-préfecture. Ce soir, 15 décembre 2008, le sous-préfet, Monsieur DUBAUT m’a indiqué qu’il me fera parvenir les éléments du dossier.
Je devrais peut-être attendre avant d’écrire sur ce blog…
Pourtant, je crois que sur l’essentiel, j’ai une réponse : j’ai un enfant de 5 ans et je ne l’imagine pas survivre s’il devait partager l’existence des enfants de cet immeuble….Je n’imagine donc pas que des enfants continuent à vivre dans cet endroit, tout simplement…
Je ne sais pas encore comment mais je vais aider Monsieur CISSE et ses amis…
Une dernière chose, dans cet endroit désolé du 76 rue Gabriel Péri, j’ai trouvé un bien précieux: une fraternité spontanée, naturelle, règne là-bas.
J’ai échangé quelques mots avec Monsieur CISSE, porte-parole du collectif 76 et avec Maître MISSAMOU avocat des familles.
Monsieur CISSE a bien voulu me recevoir quelques jours plus tard. Dans cette petite pièce au rez-de-chaussée, aménagée en salle de télévision, c’est un drapeau français qui m’accueille; il est disposé en tapisserie murale face à la porte. Au milieu d’une dizaine d’habitants, je bénéficie d’un complément d’informations sur la situation des familles, des enfants…
Au lendemain de cet entretien, j’ai posé quelques questions à la sous-préfecture. Ce soir, 15 décembre 2008, le sous-préfet, Monsieur DUBAUT m’a indiqué qu’il me fera parvenir les éléments du dossier.
Je devrais peut-être attendre avant d’écrire sur ce blog…
Pourtant, je crois que sur l’essentiel, j’ai une réponse : j’ai un enfant de 5 ans et je ne l’imagine pas survivre s’il devait partager l’existence des enfants de cet immeuble….Je n’imagine donc pas que des enfants continuent à vivre dans cet endroit, tout simplement…
Je ne sais pas encore comment mais je vais aider Monsieur CISSE et ses amis…
Une dernière chose, dans cet endroit désolé du 76 rue Gabriel Péri, j’ai trouvé un bien précieux: une fraternité spontanée, naturelle, règne là-bas.
Rédigé par : |