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Marseillaise sifflée: c'est la France et nos valeurs qu'on assassine...!

 
Une fois de plus la Marseillaise a été sifflée au cours d’un match en l’occurrence entre la France et laTunisie.

Faut-il s'en étonner ?

N'a-t-on pas appris à notre jeunesse depuis mai 68 que la patrie, le drapeau et la Marseillaise étaient des valeurs ringardes ?

N'a-t-on pas fait du renoncement permanent, de la repentance à tout propos et du reniement de nos valeurs un mode de gouvernance accepté de tous ?

Quand un pays a honte de son histoire,

quand il n'ose pas fêter le bicentenaire d'Austerlitz ou défendre son œuvre colonisatrice,

quand il refuse d'affirmer ses racines chrétiennes par manque de courage,

quand il victimise sans cesse les voyous en blâmant l'ordre moral,

quand il cède partout à la montée des communautarismes,

Un tel pays ne peut exiger d'être respecté de sa jeunesse et particulièrement de sa jeunesse issue de l’immigration.

Voilà trente ans que nous confondons acceptation de l'autre et reniement de nos valeurs.

Comment pourrions-nous réussir l'intégration avec un tel manque de courage ?

Ce ne sont pas les jeunes issus de l’immigration qui sont responsables de ce ratage, les vrais responsables sont notre lâcheté collective et notre idéologie soixante-huitarde qui ont fini par saccager notre héritage culturel.

Nous devrons bien un jour payer nos erreurs et notre aveuglement au prix fort.

Lire mon discours de Corte:
http://blog.ladroitelibre.com/archives/635-Discours-de-Rachid-Kaci-a-Corte-sur-le-theme-de-la-diversite..html

Découvrir la réaction du bureau de la Droite libre:
http://blog.ladroitelibre.com/archives/636-La-Droite-libre-exprime-son-indignation-apres-les-sifflets-contre-la-Marseillaise!.html
Rachid Kaci, président de la Droite libre, conseiller exécutif UMP

La Honte a rejailli un soir d'octobre 2008 à St Denis, contre la Nation et contre notre drapeau national !

 
Le 15.10.08, le JSD a publié la lettre de mon père (voir lien : http://www.lejsd.com/index.php??u=344739&s=17&l=fr&t=lejsd&a=initArticle#).
 
La veille au soir, des sifflets accueillaient la Marseillaise au Stade de France de La Plaine Saint Denis, sur les lieux où s'est déroulée la tragédie du 21 avril 1944.
Cette publication est un bon moyen pédagogique (53 000 exemplaires) pour rappeler l'histoire du quartier Stade de France...et de la France plus généralement.
 
 
Didier Labaune
Conseiller Municipal UMP de Saint-Denis


 



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Histoire du Sacré Cœur sur le drapeau Français

Espoir et Salut de la France

Marguerite-Marie est sœur chez les visitandines de Paray Le Monial, c'est là que le Seigneur lui fait savoir son désir de faire connaître au plus grand nombre l'amour de son Cœur. Jésus lui apparaît de nombreuses fois, alors qu'elle était en prière devant le Saint-Sacrement. L'essentiel de son message est regroupé dans trois de ces révélations. La première a lieu le 27 décembre 1673 : "Une fois, étant devant le Saint-Sacrement... me trouvant toute investie de cette divine présence... je m'abandonnai à ce divin Esprit, livrant mon cœur à la force de son amour... Il me fit reposer fort longtemps sur sa divine poitrine, où il me découvrit les merveilles de son amour, et les secrets inexplicables de son Sacré-Cœur... Il me dit : "Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen, et qu'il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre...". La deuxième se situe probablement un des premiers vendredis de l'année 1674 : "Et une fois, entre les autres que le Saint-Sacrement était exposé, après m'être retirée toute au dedans de moi-même... Jésus-Christ, mon doux maître, se présenta à moi, tout éclatant de gloire avec ses cinq plaies, brillantes comme cinq soleils, et de cette sacrée Humanité sortaient des flammes de toute part, mais surtout de son adorable poitrine qui ressemblait à une fournaise; et s'étant ouverte, me découvrit son tout aimant et tout aimable Cœur, qui était la vive source de ces flammes. Ce fut alors qu'il me découvrit les merveilles inexplicables de son pur amour, et jusqu'à quel excès il l'avait porté d'aimer les hommes, dont il ne recevait que des ingratitudes et méconnaissances..."

Le 17 juin 1675, le Sacré Cœur apparaît de nouveau à Ste Marguerite-Marie et lui demande : "Fais savoir au fils aîné de mon sacré cœur que comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de la Sainte Enfance (la naissance de Louis XIV fut en effet miraculeuse), de même il obtiendra sa naissance de grâce et de gloire éternelle par la consécration qu'il fera de lui-même à mon cœur adorable. Il veut régner dans son palais, être peint dans ses étendards et gravé dans ses armes, pour le rendre victorieux de tous les ennemis de la Sainte Eglise." Cette demande ne fut pas exaucée par Louis XIV ni par ses successeurs.

On dit que le Christ est apparu à plusieurs reprises pendant la première guerre mondiale pour demander que son sacré cœur soit peint sur le drapeau tricolore, notamment à une bergère prénommée Claire. Beaucoup de soldats, de généraux et de civils accédèrent personnellement à cette demande.

Signification

Le drapeau Français orné du Sacré Cœur de Jésus est le symbole de la France catholique, de la France unie à Dieu. Il nous rappelle que la France est née de la volonté de Dieu et qu'elle a reçu pour mission de promouvoir la foi catholique. Il nous rappelle nos origines de "Fille aînée de l'Eglise" et aux devoirs qu'elles incombent. Devoirs qui sont toujours les nôtres, même s'ils ne semblent pas préoccuper nos dirigeants aujourd'hui. Il est enfin, et surtout une réponse à une demande divine qui n'a jamais été exécutée. Il symbolise la Royauté du Christ sur notre pays. "Le règne du Christ est celui du Sacré Cœur" dit Mgr Pie.

DIEU D’ESPERANCE

Dieu d’espérance,

Dieu Protecteur,

Sauvez la France

Par votre Sacré-Cœur.

Ici, mon Dieu, c’est pour notre patrie

Que nous prions au pied de votre autel ;

Tous les Français sont enfants de marie,

Tous les soupirs font écho dans le ciel !

Seigneur, Seigneur, arrêtez vos vengeances ;

Nous l’avons ; oui, nous sommes pêcheurs ;

De votre Fils nous causons les souffrances ;

Pardon, pardon ! Convertissez nos cœurs.

Vierge marie, en vous chacun espère ;

Sur votre Fils, vous avez tout pouvoir ;

Des affligés, n’êtes-vous pas la Mère ?

De notre France, et l’amour et l’espoir ?

Dieu d’espérance,

Dieu Protecteur,

Sauvez la France

Par votre Sacré-Cœur.

IMMOLE SUR LE CALVAIRE

 Cœur aimant, sainte Victime

Expirant pour le pêcheur,

Que ton sang lave mon crime

Et que j’aime enfin ton Cœur !

Immolé sur le calvaire,

O Jésus, agneau si doux,

Tu versais ton sang pour nous.

Et près de la croix, ta Mère,

Immobile en sa douleur,

Contemplait le doux Sauveur.

Et dans ta bonté suprême

Tous les jours pour les mortels

Tu descends sur nos autels.

Au sacrement qui nous aime

Nous sentons avec bonheur

Battre encor ton divin Cœur.

Loin de son Jésus, le monde

Oubliant tous les bienfaits,

Te réponds par des forfaits.

Dans sa misère profonde,

O jésus notre sauveur,

Montre-lui ton divin Cœur.

 


 

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Le duc de BAUFFREMONT
Président
et les Membres du Comité du
MEMORIAL DE France A SAINT-DENYS
vous prient
de vous unir par votre présence à la Messe
qui sera célébrée le jeudi 16 octobre 2008
en la BASILIQUE ROYALE DE SAINT-DENYS
à la mémoire de
Marie-Antoinette
REINE DE France ET DE NAVARRE

Midi très précise                                            
Métro : Basilique St Denis

MEMORIAL DE France A SAINT DENYS
18, rue Cler ­ 75007 Paris


Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de l'assassinat de la Reine Marie-Antoinette. Voici, ci-dessous, sa dernière lettre:

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DERNIERE LETTRE DE MARIE-ANTOINETTE A MADAME ELISABETH

ce 16 octobre 1793 à 4h1/2 du matin.

        C'est à vous, ma sœur que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée non pas à une mort honteuse – elle ne l'est que pour les criminels – mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments. Je suis calme comme on l'est quand la conscience ne me reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J'ai appris par le plaidoyer même du procès de ma fille était séparée de vous. Hélas ! La pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait ma lettre. Je ne sais pas même si celle-ci vous parviendra. Recevez pour eux deux ici ma bénédiction. J'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous et jouir en entier de vos tendres soins. Qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer, que les principes et l'exécution exacte de ses devoirs, sont la première base de la vie, que leur amitié et leur confiance mutuelles en feront bonheur. Que ma fille sente qu'à l'âge qu'elle a, elle doit toujours aider son frère, par les conseils que l'expérience qu'elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils à son tour, rende à sa sœur tous les soins, tous les services que l'amitié peuvent inspirer; qu'ils sentent enfin tous deux que dans quelque position qu'ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union ; qu'ils prennent exemple (sur) nous. Combien dans nos malheurs, notre amitié nous adonné de consolation, et dans le bonheur on jouit doublement quand on peut le partager avec un ami, et où en trouver de plus tendre, de plus uni que dans sa propre famille ? Que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément : qu'il ne cherche jamais à venger notre mort. J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine : pardonnez-lui, ma chère sœur, pensez à l'âge qu'il a et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut, et même ce qu'il ne comprend pas. Un jour viendra, j'espère, où il ne sentira que mieux le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore mes dernières pensées. J'aurais voulu les écrire dès le commencement du procès, mais, outre qu'on ne me laissait pas écrire, la marche a été si rapide que je n'en aurais réellement pas eu le temps.

        Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée. N'ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant s'il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop s'ils y entraient une fois. Je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j'ai pu commettre depuis que j'existe. J'espère que, dans Sa bonté, Il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps, pour qu'Il veuille bien recevoir mon âme dans Sa miséricorde et Sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais et à vous ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j'aurais pu leur causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant. Qu'ils sachent du moins que jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux.

        Adieu, ma bonne et tendre sœur. Puisse cette lettre vous arriver. Pensez toujours à moi ; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfants. Mon Dieu ! qu'il est déchirant de les quitter pour toujours ! Adieu, adieu, je ne vais plus que m'occuper de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m'amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot et que je le traiterai comme un être absolument étranger.

 


 

Aprés la Marseillaise avec Mireille Mathieu, je suis trés fier de cette autre interprètation, de l'une de mes autres chanteuses préfèrées ! Aussi française que moi !

Football - La Marseillaise de Lââm sifflée avant France-Tunisie !!!


La Marseillaise de Lââm sifflée avant France-Tunisie
Des sifflets ont accompagné l'hymne national français avant le coup d'envoi du match amical France-Tunisie, gagné par les Bleus 3 butsà1.
Juste avant les hymnes, les noms des joueurs français avaient également été pris pour cible.

- le 14/10/2008 - 23h10




La Fédération française de football voulait éviter ça. Elle avait donc convié deux chanteuses franco-tunisiennes, Lââm et Amina, pour chanter les hymnes nationaux avant le coup d'envoi du match France-Tunisie. Malgré ces efforts, les quelques 60.000 spectateurs présents, dont une majorité de Tunisiens, ont accompagné l'hymne français par des sifflets, comme lors des rencontres amicales France-Algérie en octobre 2001 et France-Maroc en novembre 2007.

Juste avant les hymnes, les noms des joueurs français avaient également été pris pour cible. Le plus conspué : Hatem Ben Arfa, né à Clamart de parents tunisiens et qui avait opté pour la sélection française malgré les sollicitations de la Fédération tunisienne.

Le match s'est ensuite déroulé sans incident et s'est teminé par une victoire de l'équipe de France 3 buts à 1, malgré des erreurs défensives en première période. Côté tunisien, Issam Jemaa a marqué à la 30e minute. Du côté des Bleus, Thierry Henry s'est offert un doublé, à la 40e puis à la 48e minute. Enfin, Karim Benzema a offert un troisième but à la France à la 58e minute. Grâce à ce match, les Bleus semblent avoir définitivement validé les options de son sélectionneur Raymond Domenech, qui sera logiquement reconduit à son poste mercredi au conseil fédéral.


Photo : La chanteuse Lââm qui interprète La Marseillaise avant le coup d'envoi du match France-Tunisie, le 14 octobre au Stade de France


Les élus de la Seine Saint Denis (avec le Député/Maire UMP du Raincy; ex-Ministre; ex-Vice Président de l'Assemblée-Nationale et actuel Président de l'ADELMAD: Eric Raoult à leur tête) reçus au Ministère de l'Intérieur

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medium_OLIVIER4.jpgA Guilad Shalit    

Mon petit Guilad. C'est à mon fils que j'envoie cette lettre. Bientôt un an que les fous de Dieu, amoureux de la haine et destructeurs de la liberté, t'ont kidnappé.

Cela fera bientôt un an que ton regard, celui d'un jeune homme d'à peine 20 ans nous appelle et nous dit : "Venez, libérez-moi. Je n'en peux plus. Je veux revoir mes parents. Je veux rentrer à la maison, sortir de l'enfer dans lequel je me trouve".

Ton regard, Guilad - c'est un père qui te le dit - me hante jour et nuit. Je pense a toi comme des millions d'Israéliens et d'Israéliennes pensent à toi, tous les jours.

Au début, je pensais que nous pourrions obtenir ta libération par des négociations et des pourparlers. Mais aujourd'hui, alors que l'armée terroriste du Hamas aux ordres de Téhéran a lancé une offensive balistique sur l'Etat d'Israël, je suis de plus en plus inquiet.
Ce matin, alors que nous venions d'apprendre la mort d'un jeune Israélien assassiné par un missile Kassam à Sdérot, tes ravisseurs annoncent qu'ils sont prêts à mettre fin à tes jours. Un odieux chantage qu'ils menacent de mettre à exécution si Israël ne cesse pas sa riposte militaire qui n'est pourtant ni plus ni moins que de la légitime défense face à des actes de guerre quotidiens.

Mon petit Guilad, tu viens d'être enlevé une deuxième fois aujourd'hui : les terroristes utilisent ton nom et ce que tu représentes pour tout un peuple afin de nous culpabiliser d'être un pays qui se défend et qui ne peut continuer d'être attaqué sans riposter.

C'est une sale guerre que nous menons face à l'Islam intégriste. Je ne crois pas qu'ils croient en Dieu comme ils le disent. Je ne pense pas que ce soit l'Islam qui les mène, mais un appétit sans limite pour la mort et la destruction. Ils ne sont forts que parce qu'ils connaissent nos faiblesses. J'appelle faiblesse l'amour de la vie, le respect de nos enfants -je devrais dire de tous les enfants sans distinction- alors qu'eux sont prêts à chaque instant à mettre les leurs en péril ou pire, à les utiliser comme bombes humaines. Je me souviens de ces gosses de 12 ou 14 ans se présentant à un point de contrôle de l'armée avec, dans leur cartable, une bombe prête à exploser. Elle avait été placée là, à leur insu, par un copain plus âgé.

Guilad - j'ai presque envie de te dire "mon enfant"- tiens bon, sois fort! Ton destin est aujourd'hui le notre. Un destin dans lequel, de nouveau, le juif est emprisonné, menacé uniquement parce qu'il est le symbole d'une nation et d'une histoire unique.
Si les dirigeants du Hamas pensent qu'en utilisant ta vie ils changeront le cours de l'Histoire, ils se trompent une fois de plus. Nous aimons nos enfants mais nous avons aussi une autre qualité : nous n'oublions jamais…
J'appelle les dirigeants du Hamas et leurs acolytes à bien réfléchir aux conséquences désastreuses -pour eux et pour ceux qui les soutiennent- au cas où il serait attenté à la vie de Guilad. La guerre est une chose. La cruauté et la barbarie en sont une autre.
L'Etat d'Israël est avec toi mon fils. Et sache que même si parfois la situation semble trouble, tes ravisseurs ne doivent pas confondre retenue et faiblesse. Guilad, c'est à la fois une lettre de respect et d'amour que je t'envoie ici. Même si tu crois être seul dans cette mer d'extrémisme et de violence, nos regards, nos pensées et nos actes se tournent vers toi.

Olivier Rafowicz
Infolive.tv


L'actullité sur notre compatriote: Guilad Shalit

Libération du soldat Shalit : le Hamas confirme la reprise des négociations. Ayman Taha, un porte-parole de l'organisation terroriste, a indiqué que les tractations ont été relancées avec Israël. Selon lui, le Hamas ne s'opposera pas à la médiation de l'Egypte dans le dossier, à condition que les discussions reprennent du point où elles en sont restées précédemment.

Source: Guysen News