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Sur le modèle de nos amis de la Fédérations UMP des Hauts de Seine, je vous prose de signer cette pétition. Les résultats seront transmis au Ministre UMP de l'Education nationale: Monsieur Xavier Darcos. D'avance merci.

PETITION
Familles,
Dites oui à l'accueil de nos enfants à l'école les jours de grève
Lors de son allocution télévisée le 15 mai, le Président de la République a annoncé qu'un projet de loi serait déposé par le Gouvernement avant l'été, instaurant le droit à l'accueil des élèves dans les écoles les jours de grève.

Ce texte garantira à la fois le droit pour les enseignants de faire grève, mais aussi le droit pour les enfants d'être accueillis les jours de grève, et le droit pour les parents de travailler ou de s'organiser dans les meilleures conditions.

Le Président de la République, le Gouvernement, et l'UMP sont décidés à donner aux familles, notamment les plus modestes, le droit de ne pas subir financièrement, comme c'est le cas aujourd.hui, la grève des enseignants.
Signez la pétition de soutien
à l'instauration d'un droit d'accueil des enfants à l'école les jours de grève
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Israël et la Syrie négocient à Istanbul

NOUVELOBS.COM
 

Il s'agit de la première confirmation d'entretiens de cette nature entre les deux ennemis voisins depuis huit ans.

Vignes israéliennes sur le plateau du Golan, près de Merom Golan (Reuters).

Vignes israéliennes sur le plateau du Golan, près de Merom Golan (Reuters).

Israël et la Syrie annoncent mercredi 21 mai avoir entrepris des pourparlers de paix indirects à Istanbul, dans le cadre d'une médiation turque. Il s'agit de la première confirmation d'entretiens de cette nature entre les deux ennemis voisins depuis huit ans.
Dans des communiqués publiés de façon coordonnée, ils disent avoir entamé un dialogue ouvert dans le but de parvenir à une paix complète. La Turquie a précisé que des délégations des deux pays - officiellement en guerre depuis la création de l'Etat juif en 1948 - se trouvaient à Istanbul.
"Ce sera un très long processus. Les entretiens directs, eux, n'ont pas encore commencé", a déclaré un responsable israélien spécialiste des relations avec Damas.

Washington saluent le rôle d'Ankara

Les Etats-Unis, allié capital d'Israël, ont dit avoir été tenus informés des pourparlers indirects et ont salué le rôle d'Ankara. "La Turquie a joué un rôle positif et utile à cet égard", a dit David Welch, responsable du département d'Etat.
L'hostilité de Washington à la Syrie et à ses alliés en Iran et au Liban est considérée comme un obstacle possible à un accord définitif sur la base duquel les Israéliens pourraient restituer aux Syriens le plateau stratégique du Golan.
"Les deux parties ont entamé des pourparlers indirects sous les auspices de la Turquie", fait savoir un communiqué des services du Premier ministre israélien Ehud Olmert deux jours avant que celui-ci soit de nouveau interrogé par la police dans une affaire de pots-de-vin présumée.
"Elles ont décidé de conduire ce dialogue de façon sérieuse et suivie, dans le but de parvenir à une paix complète."

Enquête sur Olmert

Selon un communiqué analogue du ministère syrien des Affaires étrangères, les deux parties mèneront les pourparlers dans un esprit de bonne volonté "pour parvenir à une paix complète". Des responsables turcs pensent qu'ils se poursuivront par sessions de plusieurs jours, une ou deux fois par mois.
Après l'annonce de ce dialogue avec la Syrie, les adversaires intérieurs d'Olmert l'ont aussitôt accusé de chercher à détourner l'attention de la nouvelle enquête judiciaire qui pourrait entraîner sa démission. Il a nié toute malversation au sujet des sommes d'argent reçues d'un homme d'affaires américain lors de campagnes électorales passées.

Une "formule" pour le Golan

Des représentants du gouvernement israélien ont dit que des discussions sur la reprise du dialogue avec Damas avaient débuté l'an dernier avec une médiation de la Turquie.
Selon l'un d'eux, Olmert a offert à la Syrie une "formule" pour le Golan "que souhaitait (le président Bachar al) Assad", mais la teneur exacte en est tenue secrète.
Le président israélien Shimon Peres a parlé de "contacts préliminaires" dont on ne pouvait encore apprécier la portée.
Eli Yishai, membre du cabinet israélien et du parti Shas qui fait partie de la fragile coalition d'Olmert, a réagi à la nouvelle en élevant une mise en garde contre la restitution du Golan à "l'axe du mal".
Des responsables israéliens ont assuré qu'un processus de paix israélo-syrien ne s'effectuerait pas aux dépens des pourparlers sur la création d'un Etat palestinien que Washington souhaite voir aboutir à un accord cette année.
En Cisjordanie occupée, le président palestinien Mahmoud Abbas a déclaré mercredi: "Nous apprenons la nouvelle au sujet de la Syrie et d'Israël, nous espérons que les deux parties parviendront à une solution pacifique."

Négociations en 2000 aux Etats-Unis

Israël et la Syrie avaient organisé des pourparlers de paix pour la dernière fois en 2000 aux Etats-Unis, mais ils s'étaient soldés par un échec en raison de désaccords sur le Golan, territoire syrien conquis par Israël en 1967 et annexé en 1981.
Le contrôle des rives du lac de Tibériade, dominé par le Golan, passait pour le principal point de litige entre les deux pays. Le territoire s'étend, en outre, à proximité de Damas.
Olmert s'est dit prêt à évoquer la restitution du plateau si Damas rompait ses liens avec l'Iran et les mouvements de guérilla hostiles à Israël, notamment le Hamas et le Hezbollah.

Peu de perspectives

Environ 18.000 Israéliens se sont installés sur le Golan, où vivent aussi quelque 20.000 Druzes. Israël a offert à ces derniers la possibilité d'acquérir la citoyenneté israélienne après avoir annexé le territoire, mais beaucoup ont refusé cette offre non reconnue internationalement.
Selon des analystes, et notamment d'anciens responsables israéliens, il est peu probable qu'un accord de paix soit conclu entre Israël et la Syrie si les Etats-Unis ne changent pas de position envers Damas.
Pour certains, l'Etat juif a peu de chose à offrir à la Syrie en dehors de territoires annexés et seule la perspective de liens diplomatiques et économiques avec Washington pourrait amener Damas à prendre ses distances avec l'Iran.
La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a indiqué ce mois-ci que les Etats-Unis soutiendraient des négociations entre Israël et la Syrie sous l'égide de la Turquie. (Reuters)

Alex (l'un de mes footballeurs préfèrés) quitte Goias


                                   251323363 Revenu en janvier 2008 à Goiás dans le club qui l'a révélé, Alex vient de mettre fin à sa troisième aventure avec le plus grand club de l'état de Goiâna.
Alex4289 Alex
Le 15 mai dernier, l'ancien attaquant stéphanois a résilié son contrat à la suite d'une violente altercation avec Fabrício Mendes, un préparateur physique du club. Les deux hommes en seraient même venus aux mains et auraient été séparés par des joueurs de l'équipe. L'ancien parisien a présenté sa démission le jour même et une conférence de presse pour officialiser son départ a été organisée en début d'après-midi. Une conférence durant laquelle il a présenté ses excuses à ses partenaires avant de quitter le club.

A bientôt 36 ans, celui qui a récemment déclaré vouloir imiter son meilleur ami Romario et jouer jusqu'à plus de 40 ans pourrait rebondir à Vasco de Gama, club qui s'est d'ores et déjà positionné pour le recruter.

Avec PSG70.com

Mis en ligne par McSim

Foot - L1 - PSG - Les interrogations de Landreau

Le gardien de but du Paris Saint-Germain, Mickaël Landreau, a tenu un mini-point presse mercredi, au siège du club, durant laquelle il n'a pas caché que son avenir le taraudait. La présence ou pas de Paul Le Guen au poste de l'entraîneur est un des facteurs de sa réflexion. Il dit aussi que son passé nantais lui interdit quasiment d'aller à Rennes, qui pense pourtant à lui.

« Mickaël Landreau, quelle analyse faites-vous de cette saison ?
Sur le papier, on n'était pas si fort que ça et j'avais conscience que ce ne serait pas simple. Les vraies questions, c'est maintenant. Il faut obligatoirement changer pas mal de choses, il faut une épine dorsale forte. Il faut se donner les moyens pour être dans les quatre ou cinq premiers. On pourrait toujours dire ou redire des choses sur cette saison. Il reste une chose, c'est que le club ne s'était pas donné les moyens.

Comment avez-vous perçu l'arrivée de Michel Moulin ?
Ça a surpris, mais à un moment donné, dans un contexte difficile, ça a été un plus. C'était ce qu'il fallait faire puisqu'on s'est sauvés. On a aussi souvent réclamé de la stabilité pour travailler et peut-être qu'avec un autre entraîneur, on ne serait pas en Ligue 1 aujourd'hui.

Le club de Rennes a manifesté de l'intérêt pour vous. Allez-vous rester au PSG ?
Il me reste deux ans mais je m'interroge. On est obligé de s'interroger quand on ne connaît pas qui va être le président, qui va être l'entraîneur. On a dit que j'avais signé à Rennes. Je n'ai eu aucun contact personnel avec Rennes. Vous me voyez jouer à Rennes ? Il y a un grand club pas loin (Nantes), dans lequel j'ai joué et je ne peux pas, vous comprendrez bien. Je dis toujours que les points, on les compte à la fin. J'ai fait deux saisons à 38 matches, je viens d'avoir 29 ans et veux continuer mais je ne suis pas ''maso''.

Si Paul Le Guen partait, est-ce que cela pourrait influencer votre choix ?
C'est quelque chose qui peut être dans la réflexion.

Comment jugez-vous votre saison ? Diriez-vous que vous avez été moins bon ?
Ecoutez, j'étais dans une situation difficile. Quand tu vis sous haute pression, c'est normal d'avoir une petite baisse. J'ai été dans une déstabilisation que je ne souhaite à personne, j'ai eu des pressions de partout et encore plus sur moi. Tout ce que j'ai fait, c'est tenir bon ! J'ai continué à travailler car il fallait être présent. Avec l'équipe de France, j'ai pris un but en dix matches. Je veux bien être ''cartonné'' parce que je prends un but contre le Maroc mais c'était dans un contexte difficile avec le PSG.

Vous assumez votre baisse de régime cet hiver ?
Ce qui est essentiel, c'est d'assumer ses responsabilités. Je ne me suis jamais caché, j'ai assumé le rôle que je devais avoir. C'est ce que le coach a pensé en me faisant confiance.

N'a-t-il pas manqué de leaders cette saison selon vous ?
Oui, on a manqué de leaders. Les jeunes (Sakho, Sankharé, Arnaud, Ngoyi, Ngog etc..) ont pris la place qu'on leur a donnée. Je n'ai pas mal vécu cette épisode (titularisation de cinq jeunes le 20 octobre contre Valenciennes), j'avais compris le message du coach mais après, peut-être que ce n'était pas la meilleure solution. Pour ma part, le plus jeune des gardiens n'a pas pris ma place.

Vous ne jouerez pas la finale de la Coupe de France...
C'est vrai mais j'espère, pour le club, un deuxième titre (après la Coupe de la Ligue). Je n'ai pas changé quoi que ce soit cette saison, je donne pour le groupe. Si on gagne la Coupe, je dirai que cette saison aura été difficile et enrichissante.

Propos recueillis par Christophe MICHEL


PSG: Alonzo juge Le Guen


Par Patrick Juillard

A trois jours de la finale de la Coupe de France face à l'OL, le gardien de but du Paris-SG Jérôme Alonzo (35 ans) revient sur la saison vécue par son club. Interrogé par Le Parisien, le portier réserviste analyse avec sa franchise habituelle les décisions de son entraîneur. "A la place de Paul Le Guen, j'aurais fait des choix différents cette saison, explique Alonzo. Je n'aurais pas mis tous les jeunes d'un coup à Valenciennes. J'aurais plus fait jouer Pauleta le premier semestre." En revanche, l'ancien Stéphanois n'est pas surpris de n'avoir disputé que trois rencontres en Coupe de la Ligue. "Sur ce coup, j'aurais pris la même décision, poursuit Alonzo. Je ne me suis pas considéré comme une roue de secours. Avant Bastia, je n'avais plus joué depuis dix-huit mois. Je n'y croyais plus. J'ai eu un rôle que j'adore, celui de grand frère. Les jeunes sont doués mais il faut être derrière eux tout le temps." .


Mon principal mentor en politique!

Trente ans après, VGE commémore Kolwezi

De notre envoyée spéciale à Calvi Sophie de Ravinel du Figaro

 
Lundi à Calvi, Valéry Giscard d'Estaing a rendu hommage au régiment qui a permis la libération de 2 000 civils européens au Zaïre.
Lundi à Calvi, Valéry Giscard d'Estaing a rendu hommage au régiment qui a permis la libération de 2 000 civils européens au Zaïre.

L'ancien président a célébré, lundi en Corse, la «dernière grande victoire de l'armée française».

«Premier largage effectué ; la première vague a sauté entre 15 h 40 et 16 heures locales. Erulin a installé son PC au sol ; opération réussie.» À l'époque, le 19 mai 1978, le président Valéry Giscard d'Estaing se prend la tête entre les mains, soulagé, plongé dans l'émotion. À l'Élysée, il imagine les quelque 500 corolles blanches des parachutistes qui se sont ouvertes sans problème à la verticale de la ville de Kolwezi, au Zaïre, à plus de 6 000 kilomètres de la France. Mais il ne sait pas encore qu'après des combats violents, les légionnaires du 2e REP (régiment étranger de parachutistes) vont libérer avec un minimum de pertes les quelque 2 000 civils européens, Belges ou Français, pris en otages par «les gendarmes katangais», des rebelles zaïrois­.

Lundi, l'ancien président de la République s'est rendu à Calvi, en Corse, à l'invitation du 2e REP, pour se souvenir avec eux, trente ans plus tard, de cette «dernière grande victoire de l'armée française». Devant les légionnaires, képis blancs, torses décorés et bras tatoués, devant deux anciens de Kolwezi qui servent encore ce régiment, devant plusieurs généraux qui ont sauté sur Kolwezi, parmi lesquels le général Bruno Dary, gouverneur militaire de Paris, devant la veuve du colonel Philippe Erulin et quelques autorités civiles, VGE a rappelé que le succès de cette «opération Bonite» est devenu «une référence, un cas d'école pour tous ceux, militaires ou dirigeants politiques, qui auront à préparer ce qu'on appelle aujourd'hui les opérations extérieures».

«Opération réussie»

Mais lundi, l'atmosphère volontairement intimiste de la commémoration, le ciel noir et lourd, la marche lente des légionnaires, la sonnerie aux morts pour les cinq membres du régiment tombés sur ce champ d'honneur, ont fait se rappeler à l'ancien chef des armées combien fut difficile à prendre la décision de s'engager dans cette opération aéroportée exceptionnelle. «Opération réussie, a-t-il dit. Mais il avait fallu prendre la décision de l'engager. Il avait fallu la mener.»

En marge de la cérémonie, l'ancien président s'est dit conscient des pressions économiques exercées aujourd'hui sur l'armée. «Je ne donne de conseils à personne, a-t-il précisé, ce n'est pas dans mon habitude. Mais je dis tout de même : faites attention à l'armée de terre !» Des propos bus comme du petit-lait par les généraux présents à ses côtés. Le général de brigade Louis Pichot de Champfleury, commandant la Légion étrangère, dit d'ailleurs observer «avec attention» les décisions en cours d'être prises. «Une opération comme celle-ci pourrait encore avoir lieu aujourd'hui, assure-t-il. Mais nous devons veiller sur cette compétence comme sur la prunelle de nos yeux. Elle se perd très vite…»

Demain, aux Invalides, le président Nicolas Sarkozy célébrera à son tour le 30e anniversaire de Kolwezi, la première des grandes «opérations extérieures» qui caractérisent l'armée aujourd'hui. Une façon aussi de mettre en œuvre cette «politique de mémoire moderne» évoquée lors de ses vœux aux armées, en janvier.



Mardi 24 juin à 20h

Mai 68 

Au delà de la commémoration à quoi bon encore en parler ?



Débat entre Gérard Leclerc 

et Jean-Pierre Le Goff




Salle Pierre Nicole
9 rue Pierre Nicole - 75005 PARIS
Entrée libre

Pas de conférence en mai.


Le PSG jouera le Trophé des Champions 2008

 

Par rOnnie

Le traditionnel Trophée des Champions, se déroulant en début de chaque saison et opposant le vainqueur du championnat de France de Ligue 1 au vainqueur de la Coupe de France, verra son édition 2008 disputée par l'Olympique Lyonnais et le ... Paris SG. Et ce, quelle que soit l'issue de la finale de Coupe de France entre ces mêmes deux clubs samedi soir au Stade de France.

En effet, en cas de doublé Championnat - Coupe de France, le règlement stipule alors que le Trophée des Champions est ouvert au vainqueur de la Coupe de la Ligue... qui n'est autre cette année que le Paris SG. A titre d'information, si un club réussit le triplé Championnat - Coupe de France - Coupe de la Ligue, c'est alors le dauphin de Ligue 1 qui est sollicité.

Rappelons que le Paris SG est double détenteur du Trophée des Champions en l'ayant remporté lors de sa création en 1995 face à Nantes (2-2 puis 6 à 5 aux tirs aux buts) puis trois ans plus tard en 1998 face à Lens (1-0). Les Bleu et Rouge ont ensuite échoué deux fois aux tirs aux buts dans cette compétition, en 2004 et 2006, à chaque fois face aux... Lyonnais, et sur le même score de 1-1 après 90 minutes. Ces derniers sont d'ailleurs les tenants du titre depuis 2002 et avec 6 victoires en autant de participations, ce qui constitue un record.


Pauleta vexé sur son contrat avec le PSG!

 

Pedro Pauleta a confié qu'il aurait aimé discuter de son avenir avec le Paris-Saint-Germain, à quelques jours de la fin de son contrat, qui ne sera pas renouvelé. «Bien sûr que j'aurais aimé qu'on me demande plus tôt ce que je voulais faire, a-t-il déclaré sur l'antenne d'Infosport, dans des propos relayés par l'Agence France-Presse. Je n'ai pas dit que c'était trop tard, mais aujourd'hui c'est difficile. Une chose que j'aurais sincèrement aimée, c'est qu'on me demande: ''Pedro, qu'est-ce que tu veux faire à la fin de la saison?''. Mais c'est normal, on était dans une situation très difficile, et le plus important était que Paris reste en Ligue 1».

«On ne peut jamais dire jamais, on ne sait pas ce qui va se passer, assure cependant le buteur des Açores. A la date d'aujourd'hui, je termine mon contrat, j'ai 35 ans. Une chose est sûre, c'est que Paris, c'est mon dernier club en France et à l'étranger», une phrase qui n'exclut pas formellement une aventure dans un club portugais. «Mon problème de rester à Paris ou non, ça n'a jamais été le salaire, sinon je serais parti il y a deux ans à Lyon», a-t-il assuré en référence àl'intérêt de Jean-Michel Aulas, à l'été 2006, lequel avait débouché sur une revalorisation à Paris.

l'Equipe.fr