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Le prix de la liberté!

Par Guy Senbel pour Guysen International News
                       I90_sortie_degypt   Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur les fêtes de Pessah, que les Juifs célébreront bientôt, sur les idées et les symboles, pour la liberté, et pour Israël, que la « Pâque juive » véhicule aujourd’hui.

« Pessah » n’est pas une fête comme les autres. C’est sans doute la plus universelle des fêtes du calendrier juif. La sortie d’esclavage des Hébreux, leur révolte, la prise de conscience de leur condition et leur lutte pour la liberté, ont fait dire aux plus brillants auteurs, écrivains ou savants, que l’aventure humaine de la liberté a commencé avec Moïse.

Certains ont donc fondé leur idéologie de l’espoir à partir d’une des plus importantes histoires de l’émancipation et de la liberté. Karl Marx voyait dans la Sortie d’Egypte la première expression de la lutte des classes, la révolte des opprimés contre les oppresseurs, salvatrice et émancipatrice.
D’autres au contraire ont considéré que Pessah enfermait les Juifs dans l’esclavage ; Adolf Hitler écrivait dans « Mein Kampf » que les Juifs étaient une race inférieure parce qu’ils reconnaissent chaque année, à Pessah, avoir été un peuple esclave. Six millions d’entre eux périrent d’avoir dit leur fierté de devenir libre et de non de naître libre.

La plupart des légendes antisémites ont été bâties à partir des grands symboles de cette fête. D’ailleurs, le mythe des meurtres rituels organisés par les Juifs afin de récupérer le sang d’enfants chrétiens pour préparer le pain azyme fut elle-même meurtrière ; accusés de meurtres rituels, des milliers de Juifs furent condamnés à mourir sur les bûchers du Moyen Age. Des dizaines d’entre eux, 42 exactement, moururent à Kielce en Pologne des suites d’un pogrome déclenché par une rumeur selon laquelle un enfant chrétien avait disparu, tué par les Juifs et vidé de son sang, pour la fabrication du pain non levé… Ce pogrome eut lieu après la Seconde guerre mondiale, en 1947, un massacre de survivants, parmi d’autres en Pologne.

Il y a 65 ans, à l’époque de Pessah, le Ghetto de Varsovie se soulevait, pour résister et lutter contre les Allemands. A l’aide de quelques armes glanées par-delà le mur du ghetto, à l’aide de cocktails Molotov, Mordechaï Anielewicz (Z’L) et Marek Edelman repoussèrent pour la première fois une attaque allemande.
A ce sujet, il convient de rappeler que contrairement à ce qu’une certaine presse polonaise aura prétendu au moment de la visite de Shimon Pérès en Pologne, les Polonais n’ont pas aidé les Juifs au moment du soulèvement du Ghetto.
Les Juifs luttèrent seuls et moururent seuls. Les rares qui survécurent tentèrent de rejoindre la résistance polonaise et, lorsqu’ils y furent admis, et non fusillés par l’Armia Krajowa (Armée de l’Intérieur), ils prirent part à l’Insurrection de Varsovie, guidés par leur conscience d’hommes libres, prêts à mourir pour une Patrie qui ne voulait plus d’eux.

La liberté des Juifs passe par leur autonomie culturelle et politique. Israël n’était pas une utopie religieuse mais le projet territorial d’un peuple qui a eu longtemps besoin de rassembler son histoire.

Israël est pour les Juifs une terre de liberté. Et c’est bien ce « miracle » selon les termes d’Arthur Koestler, que des dizaines de milliers de touristes d’Amérique et d’Europe investissent à leur tour, en imitant une sortie d’Egypte, éternel retour de la liberté.

Mercredi 15 avril, au nom de la liberté d’Israël à assurer sa sécurité et sa survie, face à un Hamas menaçant qui cherche la guerre, trois soldats sont tombés. Manhach Al Baniat, un jeune pisteur druze, David Papiam, 21 ans, Matan Ouvdati, 19 ans, sont morts (Z’L). Le triple assassinat a été revendiqué par les Brigades Azzedine Al Qassam, branche armée du Hamas. Ce soir, nous pensons à leurs familles endeuillées, privées de la liberté de voir leur fils et leurs frères.

Ce soir, nous pensons à Guilad Shalit, Eldad Reguev, Ehoud Goldwasser. Privés de liberté, privés de Pessah, alors que la rue israélienne s’interroge sur leur survie, depuis 664 jours, ils nous rappellent qu’au cours de leur histoire, les Juifs continuent de payer cher le prix de la liberté.

La chronique de Thierry Roland : La Ligue 2 à Paris...!

Thierry Roland,

"J’ai la triste impression qu’il n’y aura pas la saison prochaine de clubs de Ligue 1 à Paris. A force de côtoyer les abîmes, le PSG est tombé dedans.

Ainsi, l’avertissement de la saison dernière n’a servi à rien, et seul un miracle peut maintenant sauver le club parisien. Bien sûr il reste encore quatre matches à disputer, deux à la maison, Auxerre et Saint-Etienne, et deux à l’extérieur, Toulouse et Sochaux, soit douze points à obtenir.

Pour un club en confiance, la tâche n’aurait rien d’insurmontable, mais en cette année 2008, le Paris-Saint-Germain est tout sauf un club en confiance. Joueurs et dirigeants arborent des masques de morts vivants, et même lorsque l’équipe mène (2-1) à sept minutes de la fin comme contre Nice il y a dix jours, elle ne parvient pas à conserver le résultat.

A Caen, samedi dernier, elle a frôlé le ridicule et redresser la barre s’annonce donc très difficile, voire impossible. Le football français va donc, selon toute probabilité, s’offrir le luxe d’avoir la seule capitale du monde moderne sans club de Ligue 1 de football, on se distingue comme on peut !

Reste à espérer un sursaut mais il faut vraiment être optimiste pour y croire. Seuls les joueurs détiennent la clef. Après tout Landreau peut retrouver son niveau, Souza se souvenir qu’il était un international en puissance lorsqu’il évoluait au Brésil et Pauleta, s’il joue, continuer à marquer des buts. Les miracles, après tout, ça existe…"

Edition France Soir du lundi 21 avril 2008 n°19777


Luis Fernandez: «Revenir au PSG comme conseiller»

L'entraîneur français du Betis Séville Luis Fernandez, le 28 février 2007

Luis Fernandez n'est jamais bien loin du PSG. Même s'il n'entraîne plus le club depuis la fin de la saison 2003, il n'a pas perdu tout espoir de revenir aux affaires dans son club. Petite explication des difficultés du PSG par quelqu'un qui en a connu beaucoup.

La situation du PSG vous attriste-t-elle?

Oui bien sûr, quand je regarde le PSG, ça me fait mal au cœur.

Qu'est-ce qui ne va pas dans ce club?

Le PSG traîne comme un boulet les mêmes problèmes depuis longtemps. Je pose la question de l'incompétence des actionnaires. Ces gens sont censés être compétents, avoir un savoir-faire. Ils s'y connaissent peut-être en économie, mais pas en football.

Les actionnaires actuels n'y connaissent pas grand-chose au foot, mais Cayzac et Le Guen s'y connaissent un peu quand même?

Les responsables, ce ne sont pas les actionnaires d'aujourd'hui, mais ceux d'avant (Canal+). Ils doivent surtout éviter de refaire les erreurs qui ont déjà été commises.

Lesquelles?

Vouloir changer systématiquement les joueurs, écouter l'opinion publique, ne pas laisser travailler les gens en place, l'absence de centre d'entraînement….

Cette fois, les actionnaires veulent construire un centre d'entraînement, on laisse travailler Le Guen, alors que certains demandent sa tête. Ils sont sur la bonne voie?

Oui, mais il faut aussi que les gens en place aient le flair pour trouver les bons joueurs. Ce qui faisait la force du PSG avant, celle du Barça ou du Real maintenant, c 'est que sur dix joueurs, ils ne se trompent qu'une fois. Au PSG, sur dix, on se trompe huit fois. Il faut trouver des joueurs qui ont le profil pour jouer au PSG, qu'ils aient le bon état d'esprit. Paul le Guen a fait un recrutement en début de saison, et il doit assumer ses responsabilités.

Des Heinze, des Pocchettino que vous avez fait venir, ça ne se trouve pas non plus sous le sabot d'un cheval…

Il ne faut pas non plus avoir peur de faire venir des joueurs avec une forte personnalité, un caractère. C'est ce qu'il faut pour Paris.

Il y en avait un qui avait aussi un fort caractère, c'était Ronaldinho, et cela n'a pas été évident…

Il n'avait pas un fort caractère, c'est un gosse. Il avait du mal à assumer sa réussite, son titre de champion du monde. C'est Ronnie. Au Barça, comme à Paris, il fait une bonne première saison, et ensuite il retombe dans ses travers.

Vous envisagez de revenir au PSG? A quel poste?

Ni entraîneur, ni président. J'aimerais bien être un conseiller, un peu comme Bernard Lacombe à Lyon, faire l'interface entre la direction et le sportif. Un président doit être bien entouré.

Et là, Cayzac n'est pas bien entouré?

Le problème d'Alain, qui est un homme tellement bon, que j'aime beaucoup, c'est qu'il écoute trop de monde. Tout le monde pense qu'il a la solution. Mais cela fait dix ans qu'on la cherche. Il n'y a pas de solution miracle. Il faut reconstruire du solide.

Propos recueillis par Pierre Koetschet pour 20 Minutes


Foot - L1 - PSG - Fernandez n'a pas été appelé!

S'il avoue d'emblée sa « tristesse » de voir "son" club dans une telle situation sportive, c'est-à-dire de plus en plus proche de la relégation, Luis Fernandez affirme dans un entretien accordé à L'Equipe qu'il n'a pas été contacté par les dirigeants du PSG. Suite à une réunion de crise organisée dimanche en présence de Sébastien Bazin, Alain cayzac et Paul Le Guen, la rumeur a enflé sur la possible arrivée de Fernandez pour les quatre dernières journées de L1. « Je n'ai eu ni Alain Cayzac ni personne d'autre. Vous pouvez contrôler mes appels téléphoniques. Pour l'heure, l'entraîneur est Paul Le Guen. C'est une situation que je respecte. »

Toutefois, l'ancien entraîneur du club (1996-1998 et 2000 - 2003) ne ferme pas la porte à une opération sauvetage très risquée. « Qu'ils appellent ! Après, on verra », dit-il. Sans club depuis son départ il y a un an du Betis Séville, Fernandez réaffirme son intention de revenir au club dans un futur proche. « Que ce soit dans un, deux ou cinq ans, j'aimerais bien revenir à Paris. » Pour l'heure, d'autres noms circulent pour remplacer ou encadrer Paul Le Guen. Ceux de Gérard Houllier, grand ami d'Alain Cayzac, et de Laurent Fournier, proche de Le Guen. Soutien, limogeage ou statu quo, on devrait très vite savoir ce qu'il en est.

l'Equipe.fr

Benoît XVI se rend dans une synagogue américaine!

NOUVELOBS.COM

Il est ainsi devenu le premier souverain pontife de l'histoire à entrer dans un lieu de culte judaïque outre-Atlantique, profitant de l'occasion pour adresser ses vœux à la communauté juive, à la veille de Pessah.

Benoît XVI (Reuters)

Benoît XVI (Reuters)

Benoît XVI est devenu, vendredi 18 avril, le premier pape de l'histoire à se rendre dans une synagogue américaine, à New York, profitant de cette occasion pour adresser ses voeux à la communauté juive qui célébrera à partir de samedi la fête de Pâques, Pessah.
Avant de pénétrer dans le lieu de culte judaïque de Park East, le souverain pontife s'est arrêté devant l'édifice religieux pour rappeler les premières heures de la vie du Christ, élevé dans les prêches de l'Ancien Testament. "Je trouve cela émouvant de penser que Jésus, dans sa plus tendre enfance, a entendu les Ecritures saintes dans un tel lieu", a-t-il confié.
Quelques minutes plus tard, le chef de l'Eglise chrétienne a été accueilli dans la synagogue par un chant de "Shalom", symbole de paix, avant de rejoindre le rabbin Schneier sur l'estrade, un survivant de la Shoah d'origine autrichienne âgé aujourd'hui de 78 ans.

Les rouleaux de la Torah


Fondateur d'une ONG engagée dans le dialogue entre juifs, musulmans et chrétiens, le rabbin Schneier a présenté à Benoît XVI les rouleaux de la Torah conservés dans la synagogue, ainsi que le veut la tradition.
"Au cours de notre vie, nous avons fait l'expérience des ravages de la guerre, de l'Holocauste, de l'inhumanité de l'homme mais aussi des joies de la liberté", a rappelé le rabbin devant son homologue chrétien.
Pour son premier discours délivré dans une synagogue américaine, le pape a indiqué qu'il se sentait "proche" des fidèles réunis vendredi soir à la veille de la Pâque juive, temps fort du calendrier judaïque pour les Juifs du monde entier.

Construire des ponts d'amitié entre les religions

Après avoir reçu des offrandes et lui-même fait le don à la synagogue de New York d'un manuscrit de l'Ancien Testament, Benoît XVI a encouragé le dialogue interreligieux, invitant les fidèles "à construire des ponts d'amitié entre les différents groupes ethniques et religieux".
Arrivé mardi soir aux Etats-Unis pour une visite officielle de six jours, le souverain pontife s'était rendu plus tôt dans la journée à l'Assemblée générale de l'ONU où il a délivré un message de paix et d'espérance, appelant notamment à un plus grand respect des Droits de l'homme à travers le monde. (Avec AP)

Benoît XVI bénit Ground Zero et s'engage contre l'avortement à New York!

Par Martine NOUAILLE du Point

Benoît XVI a béni dimanche le site des attentats du 11 septembre 2001 à New York, et a pris résolument position contre l'avortement dans l'après-midi au cours d'une messe qui a réuni près de 60.000 fidèles au Yankee Stadium.

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En début de matinée, sous un ciel gris, au milieu de gratte-ciel perdus dans le brouillard, le pape a descendu dans sa "papamobile" une rampe conduisant au lieu même où s'étaient effondrées les tours jumelles du World Trade Center, et où près de 3.000 personnes avaient péri.

Dès son arrivée, escorté par l'archevêque de New York Edward Egan, le pape s'était agenouillé sur un prie-dieu, dressé sur un terre-plein recouvert d'un tapis jaune et blanc aux couleurs du Vatican, face à un gros cierge allumé en signe de résurrection.

Le pape a été accueilli par le maire de New York, Michael Bloomberg, et par une délégation des services de secours qui ont payé un lourd tribut en tentant de sauver des vies dans les tours en flammes, ainsi que par des blessés et des proches de victimes.

Après un temps de prière silencieuse, le pape a allumé le cierge et prié en anglais pour toutes les victimes et leurs proches.

Le pape a demandé à Dieu d'apporter "la paix dans un monde violent" et de "faire retrouver le chemin de l'amour à ceux dont le coeur et l'esprit sont consumés par la haine".

Le souverain pontife a ensuite adressé des paroles de réconfort à plus de vingt proches des victimes des attentats, relevant ceux et celles qui s'agenouillaient devant lui.

Dans l'après-midi, le pape a lancé un appel à l'unité aux catholiques des Etats-Unis et s'est engagé résolument contre l'avortement au cours d'une messe célébrée sous le soleil revenu devant près de 60.000 fidèles au Yankee Stadium de New York.

Très applaudi après ce passage, le souverain pontife a rappelé aux fidèles les "seules vérités qui garantissent le respect de la dignité et des droits de chaque Homme", citant notamment les droits "de chaque femme et de chaque enfant dans le monde, y compris des enfants non encore nés dans le ventre de leur mère".

Auparavant, le pape a demandé aux catholiques américains de rester unis face à l'avenir et de surmonter les égoïsmes et les divergences séparant les communautés.

"Le visage de la communauté catholique dans votre pays a considérablement changé", a dit le souverain pontife dans son homélie.

Dans sa dernière messe avant de quitter les Etats-Unis, où il a effectué une visite de six jours, à Washington et New York, le pape a rendu hommage à la variété ethnique de la société américaine et à ses aspirations à la liberté.

"Nous pensons aux vagues continues d'immigrants, dont les traditions ont considérablement enrichi l'Eglise en Amérique", a dit Benoît XVI, dont une partie de l'homélie a été lue en espagnol.

Le pape a insisté sur la nécessité de surmonter les divergences entre communautés, et de canaliser les aspirations à la liberté individuelle d'une manière conforme aux valeurs chrétiennes.

Ce voyage entamé mardi à Washington a été dominé par la volonté du pape de tourner la page du vaste scandale de pédophilie qui a secoué l'Eglise catholique américaine depuis 2002. Le pape a dit sa "honte" pour les crimes commis par ces prêtres et sa compassion pour les victimes, dont il a reçu une délégation jeudi à Washington.

Au cours de ce séjour, le pape a également rencontré à deux reprises des membres de la communauté juive, notamment vendredi lorsqu'il s'est rendu dans une synagogue de New York quelques heures avant le début de la Pâque juive.

Dimanche soir, Benoît XVI doit quitter New York depuis l'aéroport JFK pour regagner Rome et le Vatican par un avion spécial de la compagnie italienne Alitalia


Consistoire : les contre-vérités du Figaro!

Le_figaro Mardi, jour de la réception du Premier Ministre par le Consistoire, Le Figaro consacre un article tendancieux sur le judaïsme français.

L’angle de cet article ? Démontrer que le Consistoire – qui fête son bicentenaire cette année – est une institution « affaiblie et endettée ».

Affaibli ?

Si le Consistoire s’est effectivement endormi ces vingt dernières années à Paris et a connu la concurrence normale d’autres associations cultuelles, il s’est notablement relancé il y a deux ans avec l’arrivée d’une nouvelle génération de responsables communautaires autour de Joël Mergui.

Un des premiers signes de cette dynamique a été l’ouverture du centre Edmond Fleg destinée à la jeunesse dans le Centre de Paris. Son inauguration, le 21 février dernier, a donné lieu à une très belle rencontre à la Sorbonne en présence de Valérie Pécresse, Bernard-Henri Lévy, Francis Huster de milliers de participants.

Un autre projet est lui aussi en bonne voie, celui de la création d’un centre cultuel et culturel dans le 17e.

Cette année aura été marquée l’achat des murs de deux synagogues, dont celle de la rue Saint-Lazare.

Le mouvement de jeunesse de Consistoire a rassemblé plus de trois mille jeunes lors d’une soirée le 1er avril au Zénith et signe d’une « représentativité affaiblie », le Président de la République est venu assister à l’office du Yom Kippour à la synagogue de la Victoire.

Endetté ?

Si les finances (près de 22 millions d’euros) du Consistoire sont  encore négatives, elles sont sur la voie du redressement.

Pour la première année, un bilan a été établi et les comptes sont depuis des années certifiés par deux commissaires aux comptes.

Faut-il rappeler que cette institution doit gérer plus de cent communautés en Ile-de-France, entretenir plus de cent bâtiments (pour certains inscrits), employer près de six cents salariés, sans le soutien financier des Pouvoirs publics.

Alors pourquoi cette attaque frontale du Figaro contre la première institution de la communauté juive française ?

Jack-Yves Bohbot (Conseiller UMP du XIème arrondissement de Paris et Membre du Consistoire)


Tromperie à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris!

Andr_zucca Depuis cent cinquante ans, la BHVP (Bibliothèque Historique de la Ville de Paris) est dédiée à l’histoire de notre ville et présente régulièrement des expositions de grande qualité.

Or, depuis quelques jours, cette bibliothèque expose 250 photographies inédites sur Paris pendant l’Occupation et la Libération, prises par André Zucca qui travaillait pour le tristement célèbre magazine Signal, journal allemand au service de la propagande nazie.

20080402zuccabelleville L’exposition donne ainsi la vision d’une vie parisienne insouciante, témoignant de la Collaboration mais masquant bien sûr la triste réalité de l’Occupation (les rafles, les lois anti-juives, le rationnement, la terreur...).

Rien n’interdit de montrer ces photographies qui traduisent une réalité de l'époque. Mais il aurait été nécessaire d’expliquer le sordide contexte dans lequel ses photographies avaient été prises.

C’est le moins que l'on aurait pu attendre de notre bibliothèque « historique » qui a donné à cette exposition un titre (Les Parisiens sous l’Occupation. Photographies en couleurs d’André Zucca) trompeur pour un visiteur non averti.

Jack-Yves Bohbot (Conseiller UMP du XIème arrondissement de Paris et Membre du Consistoire)


PSG: Fernandez approché ? Du changement dans les prochaines heures ...

Selon RMC, les prochaines 48 heures du Paris Saint-Germain pourraient être très mouvementées.

Il semblerait en effet que la rumeur d’un retour de Luis Fernandez à la tête de l’équipe première du PSG soit persistante, même après le refus d’Alain Cayzac de se passer des services de Paul Le Guen, « Ce n’est pas de la faiblesse de ma part. Je pense, moi, président du PSG, qu’un changement à quatre journées de la fin ne donnerait rien de bon. C’est ma décision mais je ne suis pas le propriétaire du club. Il n’est pas protégé. » expliquait hier le président parisien après la défaite face à Caen (3-0).

Toujours présent dans le paysage médiatique proche du Paris SG, Luis Fernandez aurait été contacté par téléphone par des proches de Sébastien Bazin, l'actionnaire majoritaire du club, entre la fin du match Caen-Paris SG et ce dimanche midi.

Si cette rumeur, appuyée par la radio RMC (où il dispose d’une émission a son nom, « Luis Attaque »), était avérée, elle entrainerait un énorme changement dans l’organigramme : nul doute qu’Alain Cayzac passerait lui aussi à la trappe, lui qui milite depuis toujours pour le maintien de Paul Le Guen au poste d’entraineur du club.

Ce matin dans le quotidien Le Parisien, Paul Le Guen constatait son échec, « Il n’y a pas de solution miracle sauf celle, classique, de changer d’entraîneur », alors que Alain Cayzac constatait : « Beaucoup m’ont reproché de répéter sans cesse les mêmes paroles, de ne pas avoir été assez ferme. Il y a ceux qui sont partisans de la méthode douce, d�autres qui préfèrent pousser des « gueulantes ». Je ne suis pas sûr que cette dernière soit la solution. »

Un profil bien lointain de celui de Luis Fernandez, énergique et champion de France des « gueulantes »

Par JeBaY (Source : RMC - DIVERS)