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Grossmann livre son rôle dans le gaullisme:

Communiqué du 21 mars 2008

             Grossmannr « L'incroyable parcours politique de Robert Grossmann. » C'est ainsi que les Editions du Rocher présentent le dernier ouvrage du futur ex-président de la Communauté Urbaine de Strasbourg. Sorti hier en librairie, il s'intitule L'Appel du gaullisme. Au fil de 360 pages, l'élu clame sa fidélité au Général de Gaulle et revient sur sa relation avec Nicolas Sarkozy. « Je lui ai mis le pied à l'étrier », estime-t-il. Avant de reconnaître que « depuis l'été 2007 des vents inattendus soufflent sur l'Elysée. La rupture n'est plus là où on l'attendait. »

Rares sont les mots sur ses années à la tête de la CUS, son mandat de maire délégué ou les municipales qu'il vient de perdre aux côtés de Fabienne Keller (UMP-UPS). Et pour cause, l'écriture de son livre s'est achevée en avril 2007 et ces sujets feront bientôt l'objet d'un prochain tome. «C'est un choix délibéré, a-t-il confié hier à 20 Minutes. Je désirais juste relater mon histoire dans le gaullisme, mes entrevues en tête à tête avec De Gaulle ou Pompidou, la chance que j'ai eu de rencontrer Malraux. Car pour moi, j'ai toujours eu l'impression de ne pas faire de la politique, mais d'être au service d'un idéal et de valeurs.»


À la pointe de la trahison…!

Primatiale_st_jean

Trahison de l’Europe, passe encore… Trahison de la France…
Nos pensées sont au près du peuple Serbe. Tout le peuple Serbe !
Lundi 24 mars à 17h30, Place Saint Jean à Lyon :
« Rassemblement pour le Kosovo Serbe ! »

La Primatiale Saint-Jean à Lyon. Le drapeau serbe.

Place  Saint Jean, devant la primatiale  de Lyon.

On nous dit que la paix a été apportée au Kosovo…

Nous ne comptons plus les crimes commis par l’Europe…

Et le gouvernement de la  France n’est pas le dernier.

Portemont, le 22 mars 2008


Déclaration de candidature de Xavier Ducos-Fonfrède

Liste « Ensemble pour un nouveau Saint-Denis »

Premier conseil municipal ( 21 mars 2008 )

xxxxxxxxxxxxx   La candidature est d’abord proposée par Evelyne Nicol au nom de l’UMP

Je vous remercie, madame la présidente, de me donner la parole,

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Cette première prise de position sera simple.

La question aujourd’hui posée aux nouveaux élus que nous sommes est de désigner celui ou celle qui durant les six prochaines années aura la charge de conduire notre ville en endossant les habits de maire : premier magistrat de Saint-Denis et responsable de la sécurité de tous.

Sécurité et Police … Oui, le pouvoir de Police fait partie intégrale du statut de maire ! Personne ici n’a le droit de l’oublier !

Car sont bien là les prérogatives et les responsabilités de celui ou celle qui sera désigné par notre scrutin.

Les 30 propositions faites par la liste « Saint-Denis pour tous » lors de la campagne électorale ne sont pour nous que le premier minimum tant attendu par la population, je garde l’espoir de convaincre de les compléter et m’y emploierai.

Nous n’élisons pas aujourd’hui un chef de parti, un responsable de section ou de cellule, ni un camarade.

Non ! Nous allons désigner notre maire au nom de l’ensemble de la population que nous représentons, ceux qui sont venus voter dimanche dernier, comme ceux trop nombreux qui se sont abstenus, et même au nom de ceux qui ne sont pas sur les listes électorales et qui sont tout autant de vrais Dionysiens.

Si aujourd’hui nous devons notre présence au sein du conseil municipal au travail de l’ensemble de nos militants, sympathisants et électeurs que nous remercions chaleureusement, n’oublions pas qu’une fois élus  nous représentons l’ensemble des Dionysiens et devrons rendre des comptes à tous nos concitoyens.

Qu’ils aient ou non pu voter, qu’ils aient ou non voté, qu’ils aient ou non accordé leurs suffrages à notre liste : ils sont, par leur présence parmi nous et en conséquence par leurs impôts , ceux qui permettent de gérer l’intérêt collectif.

Oui, Mesdames et Messieurs, vous êtes majoritaires et nous ne contesterons jamais la représentation telle qu’elle est issue du suffrage universel.

Oui, nous allons élire un Maire et un bureau municipal. Ils seront très certainement  totalement issus de votre liste, vous en avez le droit.

Je tiens dès aujourd’hui à vous dire solennellement que tout au long de notre mandat nous serons présents, vigilants et que nous n’accepterons aucun compromis ni avec la morale, ni avec nos idéaux républicains.

Nous sommes, comme vous, les représentants du peuple dionysien et entendons travailler pour lui.

Chaque fois que vos propositions iront dans le bon sens, nous vous apporterons notre soutien - mais soyez-en certains, chaque fois que vous proposerez des décisions allant à l’encontre de l’intérêt général, chaque fois que vous irez à l’encontre de ce qui permettra d’élever le niveau de la ville, vous nous trouverez devant vous.

Nous ne tolérerons pas d’autre objectif que l’excellence pour nos concitoyens. Nous vous proposons d’en faire l’objectif de tout le conseil.

Vous avez fait des promesses durant la campagne sur la démocratie locale, le logement et l’habitat, la sécurité, l’éducation, le sport et la culture, sur les perspectives à offrir à notre jeunesse comme à ceux qui sont en souffrance ou qui vivent un handicap, les Dionysiens ne les oublieront pas,  comptez sur nous pour vous les rappeler et faire régulièrement le bilan de votre politique.

Nous sommes et serons au service de nos concitoyens, c’est là tout le sens de nos actions futures au sein de notre conseil.

Ecoute et respect de nos diversités, dans une pratique républicaine de l’exercice de notre mandat, c’est ce que nous leur devons, c’est pourquoi nous sommes tous ici.

Nous vous rappellerons, chaque fois que ce sera nécessaire, la réalité de la vie de nos concitoyens et vous demanderons de mettre en œuvre les mesures qui s’imposent.

Je suis candidat, non pas pour faire figuration mais simplement pour vous rappeler, comme je le ferai à chacune de nos rencontres, que vous n’êtes pas seuls, que vous représentez moins du quart des électeurs inscrits sur les listes électorales et que vous ne pouvez pas vous comporter comme si vous aviez l’aval de toute la population.

N’oubliez pas que seuls les abstentionnistes sont majoritaires ; à chacun des élus de savoir les représenter.

Je n’imagine pas que cette abstention massive ne soit pas analysée par notre assemblée. Elle relativise par son ampleur notre représentativité. Notre groupe s’emploiera à proposer des aménagements, formulera et  soutiendra des propositions visant à une meilleure expression démocratique.

Par exemple : faire procéder à une actualisation des listes électorales évitant de laisser inscrits des électeurs ne remplissant plus les conditions pour y figurer.

Je formule le vœu, et j’espère que vous le partagerez, que lors de prochaines élections, comme on peut le voir dans de nombreuses communes de près de cent mille habitants, la liste gagnante –quelle qu’elle soit-  soit élue avec quinze mille voix et non plus avec moins de huit mille !

Voilà un exemple concret de ce que -pour nous- serait une avancée de

la Démocratie

, avec un « D » majuscule.

L’abstention que nous avons connue, je m’engage à ne jamais l’oublier !

Il me semble aussi nécessaire de développer différents comités consultatifs en amont des grands projets que la ville doit gérer, de même d’impliquer les jeunes ou les personnes âgées à la politique de la ville.

Ce doit être une préoccupation majeure du Maire or, jusqu’à ce jour peu efforts ont été faits en ce sens, ni « conseil municipal de la jeunesse », ni « conseil des sages ».

Il convient d’y remédier pour aller vers une réelle démocratie participative….

En conclusion, soyez sûrs que nous sommes prêts à oeuvrer sincèrement au service de tous aux travaux de notre assemblée.

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, je vous remercie bien sincèrement de votre attention pour cette première intervention.

xxxxxxxxxxxxx   La candidature est soutenue par Danyl Afsoud au nom du MoDem


Aux côtés de George-Marc Benamou!

1184332484 Je tiens à apporter mon soutien à la nomination du Conseiller pour la culture et à la communication du Président de la République: Monsieur Georges-Marc Benamou, au prestigieux poste de Directeur de la Villa Médicis à Rome. Pour moi, il a mieux que personne, les qualités pour honnorer dignement ce poste! Dommage que Monsieur Olivier Poivre d'Arvor soit un pitoyable mauvais perdant!

Jean-Pierre Renard


Angela Merkel, une amie allemande!

Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur la visite historique d’Angela Merkel en Israël. A quelques semaines des célébrations du 60ème anniversaire de la création de l’Etat juif, la chancelière allemande a souhaité témoigner de sa solidarité avec Israël, et de sa volonté de resserrer liens entre les deux pays.  « Notre histoire aujourd'hui, empreinte de relations stables et amicales, fait partie des miracles de l’histoire » avait déclaré Angela Merkel avant son départ pour Israël.

Mardi 18 mars, Angela Merkel fut le premier chef d’Etat étranger à s’exprimer devant le Parlement israélien. Devant les députés de la Knesset, elle a parlé en hébreu et en allemand.
La polémique suscitée par trois députés israéliens qui préférèrent ne pas entendre parler en allemand, n’aura pas gâché la réception d’un discours émouvant, sincère. De même, les reproches formulés par la presse israélienne selon lesquelles l’Allemagne « en fait trop » n’auront pas troublé la poursuite d’un programme de visite très chargé en symboles. Et en déclarations fortes, notamment sur l’Iran.

Courageuse et constructive, utile aussi pour un pays parfois seul face à une Europe qui souvent condamne, la visite d’Angela Merkel ne laisse pas indifférent. Angela Merkel est une Allemande d’Allemagne de l’Est, l’ex-RDA qui refusait de reconnaître sa responsabilité dans la Shoah. Angela Merkel est une Allemande en visite dans un pays qui a subi le massacre le plus terrible de tous les temps.

L’histoire des relations israélo-allemandes est complexe. L’Allemagne a massacré le peuple d’Israël en Europe. Et le processus de création d’un Etat juif a été accéléré après la Seconde guerre mondiale, parce que la politique nazie d’extermination a rendu plus urgente la décision de créer un Etat dans lequel les Juifs seraient libres et indépendants.

Et ne l’oublions pas, « l’Etat juif » de Theodore Herzl a été pensé et écrit en allemand. L’architecture de Tel Aviv, le Bauhaus, est une architecture allemande. Les Israéliens d’origine allemande ont souvent conservé leurs patronymes allemands, fierté d’une origine impossible. Les Juifs allemands étaient des patriotes ; ils aimaient une Allemagne, avant qu’elle ne les détruise.

C’est l’Allemagne qui a tué Israël, et c’est l’Allemagne qui a précipité sa renaissance. Le malaise est palpable, omniprésent.

Il y a le malaise allemand. La culpabilité allemande. La responsabilité de l’Allemagne, d’avoir fait disparaître presque tout un peuple. Angela Merkel rappelait justement cette semaine « l’éternelle responsabilité de l’Allemagne dans la catastrophe morale de l’histoire allemande que fut la Shoah ». En découle un devoir de solidarité des héritiers des bourreaux aux héritiers des victimes.

Et puis il y a un malaise israélien. Longtemps, l’image de l’Allemagne, en Israël, et au sein de la Diaspora également, a été associée à l’horreur des camps nazis. Menachem Begin, Premier ministre d’Israël et Prix Nobel de la Paix, rejetait toute relation avec l’Allemagne. Le Centre de l’Héritage qui porte aujourd’hui son nom, situé au cœur de Jérusalem, refuse les subventions ou toute forme de mécénat allemand.

Pourtant, l’Allemagne est aujourd’hui devenue le premier partenaire européen d’Israël. Les échanges commerciaux, culturels, scientifiques seront consolidés grâce à la mise en place de consultations intergouvernementales, comme celles qui existent entre la France et l’Allemagne par exemple, et qui symbolisent des liens étroits. Accompagnée de huit de ses ministres, Angela Merkel a été la première à coprésider avec Ehoud Olmert une réunion des deux gouvernements, une sorte de conseil des ministres commun.

Angela Merkel ne s’est pas déplacée dans les villes palestiniennes. Elle a simplement téléphoné au Président Mahmoud Abbas, qui remercie l’Allemagne d’accueillir au début du mois de juin prochain une conférence sur le Proche-Orient et l’aide aux Palestiniens.

En réservant un accueil chaleureux à Angela Merkel, Israël a montré sans doute sa volonté d’écrire une autre page avec l’Allemagne, afin de créer une nouvelle dynamique de coopération avec l’Europe.

C’est précisément ce type de coopération qui devrait permettre la libération des trois soldats israéliens retenus par le Hamas et le Hezbollah depuis 636 jours. Ce soir, nous pensons à Guilad Shalit, Ehoud Goldwasser et Eldad Reguev.

Chabbat Shalom,

A la semaine prochaine,

Guy Senbel


Un mouvement pour Amiens est né !

Avec vous pour que Vive Amiens

Les amiénois ont choisi de se séparer de l’ancienne équipe municipale. Celle-ci, par ses actions sans concertation, a fait naître plus de difficultés dans leur quotidien. La démocratie s’est exprimée. Nous souhaitons, pour le bien être des Amiénois, que la nouvelle équipe municipale réussisse dans son entreprise.

Tout au long de la campagne des municipales, j’ai proposé aux Amiénois une alternative politique; la seule véritable alternative qui fasse de notre ville une capitale régionale, nationale et à terme internationale. Je rappelle les deux grands projets qui engagent Amiens dans une dynamique vers le plein emploi et la prospérité : le TGV par Amiens et le 3eme aéroport.

Le TGV peut passer par Amiens dans les deux ans qui viennent. Pour l’axe Le Havre, Rouen, (Amiens?) Lille, Bruxelles, la voie est faite. Il ne suffit plus que d’avoir la volonté politique de poser des rames TGV dessus. Un autre axe est actuellement en fin d’études : l’axe Roissy, (Amiens?) Londres par le tunnel sous la Manche. Si nous saisissons ces opportunités, dans les cinq ans qui viennent,cette première étape nous propulse dans l’Europe. La ville d’Amiens accèdant à l’international grâce au 3eme aéroport où qu’il soit placé dans la Somme.

Inutile de « sauter comme un cabri en criant emploi, emploi, emploi »  , sans ces deux projets structurants. Car seule une ouverture vers le monde peut décider les entreprises à s’installer sur Amiens.

 

Pour pouvoir réaliser ces ambitions pour Amiens, j’appelle toutes les bonnes volontés à rejoindre notre mouvement « Vive Amiens ». J’appelle les électrices et les électeurs qui m’ont fait confiance. J’appelle celles et ceux qui ne se sont retrouvés dans aucun des programmes proposés. A vous toutes et tous, je vous transmets l’espoir d’un renouveau pour Amiens. Ce mouvement « Vive Amiens » est un mouvement de propositions et d’action. Notre devise est : Agir plutôt que subir !

Dominique Fachon (Conseillère Municipale CNI d'Amiens)