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Deux avocats français s'attaquent au dossier de Guilad Shalit. Un entretien exclusif:

Infolive.tv

Guilad Shalit, un otage franco-israélien. Olivier Rafowicz, Directeur d'Infolive.tv, s'est entretenu avec les deux avocats français, Maîtres Emmanuel Altit et Stéphane Zerbib, qui représentent la famille Shalit dans ses efforts pour obtenir la libération de leur fils Guilad, détenu à Gaza depuis le mois de Juin 2006. Maîtres Altit et Zerbib insistent sur le fait que Guilad Shalit est un citoyen français, et c'est en ce sens qu'il le représenteront auprès des autorités du Hamas, qu'ils rencontreront prochainement à Gaza. 03/03/2008

www.infolive.tv


Ma Lettre aux dionysiennes et aux dionysiens:

                                                Dsc_0238       

Jean-Pierre Renard : Candidat UMP suppléant sur le canton de Saint-Denis  Nord-Est avec le Ministre UMP du Travail : Monsieur Xavier Bertrand.

                 Je me permets très modestement de me présenter  à vous, dionysiennes et dionysiens, par ces quelques lignes :

                 J’ai 38 ans, j’habite Pierrefitte (la commune voisine de votre canton)  depuis ma naissance (et ma famille, depuis plus de 110ans !) j’y dirige la section UMP local avec succès, depuis plus de 4 ans ! Professionnellement, je travaille à la Bibliothèque municipale Guy de Maupassant à Neuilly-Plaisance, après avoir co-dirigé l’entreprise familiale de Menuiserie à Pierrefitte, pendant 15 ans. Je suis aussi un membre actif du 5ème parti de français, associé à l’UMP : le CNI. Mon grand-père (qui fut un élu Gaulliste au Conseil Municipal de Pierrefitte) est né à St Denis (son père et son épouse reposent au cimetière de St Denis). Ma grand-mère et ma tante faisaient leur marché à St Denis. Mes attaches sont donc très anciennes à votre ville ! Mes autres passions sont : l’Histoire, la lecture, le théâtre et le football. J’ai un blog : « pierrefitte@venir ». Mon amie sincère : Evelyne Nicol m’a fait l’immense honneur de me choisir comme son suppléant. Pour moi, c’est avant tout c’elle qui a réussit à (enfin !) qualifier la droite républicaine, deux fois en 20 ans pour le second tour des Législatives sur notre circonscription ! N’oublions pas non plus son excellent travail en tant que Conseillère Municipale de St Denis, depuis, 6ans ! Elle a toujours été au quotidien, à votre écoute ! Depuis ma nomination, j’arpente, avec une équipe de militants sympathiques, les rues du canton, pour aller à votre rencontre et faire votre connaissance. J’ai déjà fait de nombreuses rencontres très enrichissantes !...Au plaisir de vous revoir ou de vous rencontrer…

                                                            Jean-Pierre Renard


S’informer… C’est mieux se défendre n° 21

         COMMUNIQUE DE PRESSE remis au JOURNAL DE S AINT DENIS

                       et paru dans le numéro 735  du 20 au 26 février 2008.

Voici l’intégralité du communiqué de presse que notre Association a demandé de faire paraître dans le Journal de Saint Denis :

« Alors que la campagne pour les élections municipales commence à battre son plein et malgré de nombreuses sollicitations, les deux administrateurs « VIVRE MIEUX A ST DENIS/PLAINE COMMUNE » représentants l’ensemble des locataires à PLAINE COMMUNE HABITAT, Christian TRIGORY et Joëlle AUTHIER, ont décidé de rester en retrait  de la course à la Mairie. Ils représentent et défendent tous les locataires sans aucun parti pris et notamment politique. Il y a donc deux administrateurs représentant des locataires sur trois qui sont dans la neutralité, le troisième, sans aucune surprise d’ailleurs puisque C.N.L., a rejoint la liste du maire sortant communiste et des autres…Ils recommandent toutefois à tous les électeurs/ électrices de se rendre aux urnes car nos ancien(ne)s se sont battus pour obtenir le droit de vote et cela il ne faut pas l’oublier ! »

Le Journal de Saint Denis a cru bon de prendre des extraits de ce communiqué mais a omis de faire paraître le dernier paragraphe qui vous recommande vivement d’aller voter, c’était de notre part une recommandation républicaine et citoyenne. Maintenant vous avez l’intégralité de notre communiqué de presse.

            Christian TRIGORY                                                                    Joëlle AUTHIER                                                    Président de l’Association de défense de locataires                   Administrateur représentant les locataires

            Vivre Mieux à Saint-Denis – Plaine Commune                          à Plaine Commune Habitat

            Administrateur représentant les locataires

            à Plaine Commune Habitat                                                                                     


La leçon d’Histoire de Max Gallo aux sarkophobes

Gallo « Adieu Sarko, adieu ! » Dans combien de semaines-après les élections municipales ?-entendrons-nous, dans les rues parisiennes, ces quelques mots scandés sur l'air d'« Adieu , de Gaulle, adieu ! » chanté par les foules de Mai 68 ? Heureuse manière, n'est-ce-pas, de fêter un 40e anniversaire ? Déjà tel ambitieux socialiste suggère aux laïques de « descendre dans la rue » afin de défendre la laïcité menacée. Peut-être y retrouveront-ils les ombres de centaines de milliers de manifestants qui protestaient contre une modification de la loi Falloux, proposée par un ministre de l'Education nationale. C'était il y a quinze ans. Ce chrétien grand teint jure aujourd'hui, croix de bois, croix de fer, que la laïcité est sa ligne de vie. Tant mieux !

Il campe nuit et jour, avec d'autres citoyens illustres, sur les remparts de la République en danger, en rêvant à son destin. Il est signataire d'un appel à la vigilance républicaine. On s'étonne d'ailleurs, compte tenu des périls qui menacent Marianne (pour résumer : la fin de la laïcité, de la liberté d'expression, des droits de l'homme, de l'indépendance nationale, et pour tout dire d'un mot : « le pouvoir personnel confinant à la monarchie élective » ) que le nom du coupable-devinez qui ?-ne soit pas mentionné dans ce texte.

La gauche qui défilait en mai 1958 puis en mai 1968 osait nommer de Gaulle en criant : « Le fascisme ne passera pas », en dénonçant « le coup d'Etat permanent », en caricaturant le général sous les traits du Führer. « La chienlit, c'est lui », et en le renvoyant « à l'hospice », « au musée », « aux archives ».

Il est vrai qu'aujourd'hui la discrétion de l'appel de vigilance républicaine s'accompagne de l'inépuisable catalogue des attaques personnelles contre Nicolas Sarkozy. Nous ne mangeons pas de ce vocabulaire-là. Nous défendons des valeurs. Nous avons l'âme et les mains pures, argumentent les illustres signataires.

Décidément, la langue de bois, l'hypocrisie, pour parler clair, reste une grande vertu démocratique.

Mais peut-être s'agit-il surtout de prudence tactique. Sarkozy a été élu par 53 % de 85 % du corps électoral. L'un des plus larges scores de la Ve République. Il est encore trop tôt pour crier « Un an ça suffit ! » comme on lançait à de Gaulle « Dix ans ça suffit ! » Alors on prend la pose. On laisse les picadors énerver la bête. Un SMS par-ci, une caricature par-là. On prépare l'estocade en habit de lumière : on en appelle à la vigilance républicaine. Beau travail de la muleta. Car l'expression, lourde de sens, est bien choisie. « Le fascisme ne passera pas » est daté, usé. On ne compte plus les Hitler depuis 1945. « Vigilance » use du même procédé de diabolisation, mais le nuance d'une élégance savante. Cela rappelle le Comité de vigilance des intellectuels antifascistes dans les années 30. Les ligues factieuses montaient à l'assaut du Palais-Bourbon. Les gardes mobiles ouvraient le feu sur le pont de la Concorde. C'était le 6 février 1934-Blum, présenté comme un juif allemand, était accusé de souper avec les ploutocrates dans de la vaisselle d'or. Des ligueurs tentaient de le lyncher. Est-ce que la France du XXIe siècle ressemble à celle du premiers tiers du XXe ? Dans la réalité virtuelle, tout est possible. Et le mot « vigilance » sonne si bien : foin de vérité historique ! Adoptons-le.

Mais, chers et illustres citoyens, quand il s'agit d'un péril aussi extrême-le nazisme se profile à l'horizon des années 30, votre référence-, on n'attend pas. Il y a urgence.

Le « diable » innommé qui hante votre appel à la vigilance prépare, à vous en croire, le retour à un ancien régime confessionnel. On annonce l'effacement de la République, de la Révolution française, donc, des Lumières. Songez qu'il évoque les « racines chrétiennes de la France ». Et vous vous contentez d'un clin d'oeil aux articles voisins qui dénoncent eux, « le grand malade », « l'agité à la démarche de camionneur », l'homme aux montres de prix, aux vacances de milliardaires-pas encore la vaisselle d'or, mais on y vient... La connivence discrète avec les picadors n'est pas de mise. Il faut vite crier : « Un an ça suffit ! »

Mais peut-être vous y préparez-vous, au vu des sondages et des résultats escomptés des élections municipales. On imagine le commentaire déjà esquissé : le peuple français, berné en mai 2007 par l'enchanteur, le bateleur, le diabolique et ses airs de flûte patriotique et salariale, s'est enfin réveillé. Il échappe aux sortilèges du démon. Et nous exigerons au nom de la démocratie le silence du président, un changement de cap et, pourquoi pas, avec le peuple debout, le départ de cet élu d'un printemps. « Adieu Sarko, adieu ». Et c'est bien ce désir-là, ce scénario qui s'exprime malgré les non-dits. Certes, il faut être prudent. En mai 1968, ce de Gaulle à terre, dont Mitterrand venait de réclamer la place, avait retourné l'opinion en quatre minutes et trente secondes de discours. Et il faut d'autant plus se méfier de Sarkozy que, si l'on peut lui reprocher des « écarts » de langage, il n'a jamais cherché à passer en force. Longues négociations, accord avec des syndicats. On ne voit poindre aucun texte sur la laïcité. Il y a des expressions discutables, un changement de ton, mais tout cela ouvre le débat, et ne le conclut pas. Jamais comme depuis le printemps 2007 la politique et la controverse n'ont autant envahi l'espace public. La politique est de retour et donc la République est réveillée. Qui s'en plaindrait ?

Reste le « pouvoir personnel confinant à la monarchie élective » ! Ce n'est jamais que l'habillage qui se veut nouveau d'un thème d'il y a cinquante ans, illustré par le livre de Maurice Duverger : « La monarchie républicaine ». Et chacun sait que l'élection au suffrage universel du président de la République crée un déséquilibre de légitimité entre parlementaires et président. Mendès France, cohérent et rigoureux, refusait cette élection « plébiscitaire ». Mitterrand, qui la dénonçait, fut le plus louis-quatorzien des chefs de l'Etat. Et parmi les candidats à l'élection présidentielle, les vigilants républicains, on n'en voit pas qui aient renoncé à leur rêve. Ils ont plutôt fait, en mai 2007, dans le registre « providentiel ». Et ils piaffent d'impatience ! Le quinquennat-Jospin, Chirac- a exacerbé les ambitions, renforcé la tutelle présidentielle. Tous pensent à 2012 et ils ont le rouge du dépit au front.

Comment, ce Sarkozy, venu de Salonique, de Hongrie, de Neuilly, est président de la République ! Anomalie, usurpation. C'est un défi à la raison, aux bonnes manières. Il est si vulgaire ! Nous sommes la culture, le savoir, le bien, le droit, les valeurs morales, la justice, la République, l'amour du genre humain, l'élégance, la poésie, l'Histoire, le bon goût, le socialisme, la laïcité, le gaullisme, le vrai centrisme, bref les présidents comme il faut ! Nous savons gouverner. Nous préservons notre vie privée-sauf lorsque nous accouchons ! Ce président n'est qu'un quelconque avocat, ni Ena, ni X, ni ENS. Il est petit de taille et fort mal habillé. La République est en danger, soyons vigilants. Certes, pas d'écoutes téléphoniques, pas de suicide d'un collaborateur direct à l'Elysée, pas de GIGN pour monter la garde autour d'une seconde famille cachée, pas de fils à l'Elysée chargé des affaires africaines (M. Papamadit). Mais il n'a pas lu Chardonne. Et peut-être ne peut-il pas réciter du Saint-John Perse ! Et voyez de qui il s'entoure : Rama Yade, Fadela Amara, Rachida Dati, et des figures emblématiques de la gauche. On dit même que l'un de ses plus importants ministres est franc-maçon, du Grand Orient de France, une « secte » laïque fort mal vue au Vatican ! Cet homme-là est bien un vil suborneur qui met en danger la République. Il affiche sa vie privée. Impardonnable. Et saluons le martyre du journaliste qui a publié à la une de son hebdomadaire une photo volée, une intimité violée, montrant l'épouse de Sarkozy au côté de son amant. Voilà en effet un exemple de respect de vie privée. Ce président corrompt tout. Notre Louis XIV républicain avait pu protéger ses secrets avec la complicité de toute la presse. Quel grand président, n'est-ce pas ? Heureusement, sondages, élections à venir font souffler un air vivifiant sur la République, et les courageux, grisés, montent au front : « Un an ça suffit ! »

Osera-t-on rappeler 2002-après 1995-, quand le juste, l'austère, le chef du gouvernement dont on se plaisait à saluer l'extraordinaire bilan ne fut même pas présent au second tour de l'élection présidentielle ?

En 2007, la Jeanne du XXIe siècle évita cette déconvenue, mais, malgré son agneau dans les bras -belle image pieuse-, elle a été largement battue. Et Nicolas Sarkozy le bateleur, élu. Diable ! On imagine qu'il vient parfois à la mémoire des vigilants républicains ce vieux slogan de 68 : « Election trahison ».

Mais les résultats des élections municipales s'annoncent si bons qu'on voit le rouge de l'ivresse du succès colorer les joues, et le mépris accompagner le sourire des vainqueurs présumés.

Puis on se souvient qu'il ne s'agit que d'élections locales. Il faut donc préparer la suite, les banderoles : « Un an ça suffit ! » On n'est jamais assez vigilant ! On fait confiance aux électeurs, et le jour de la grande élection, en 1995, en 2002, en 2007, ils vous trahissent. Le peuple, décidément, n'a pas bon goût.


E.Olmert répond aux Qassam

Par Hanna Mesguishe pour Guysen International News
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En vingt quatre heures, plus de 70 roquettes palestiniennes ont été tirées sur le sud du pays. Les blessés se multiplient, et la population du sud du pays vit au rythme des alertes. Côté palestinien, les autorités locales font état de centaines de morts. Les critiques fusent et Israël est accusé de toute part. Une impression de déjà-vu pour le petit Etat hébreu. Mais Ehoud Olmert refuse de laisser son pays être une nouvelle fois mis au ban des nations. Lors du conseil des ministres de ce dimanche 2 mars, le Premier ministre a expliqué clairement quelle était la position israélienne.

"Le week-end a été marqué par la poursuite des violences. Les organisations terroristes palestiniennes ont tiré des roquettes et des missiles Grad sur Sdérot, Ashkelon, et leur périphérie.
Tsahal a répliqué. Aujourd’hui, les violences continuent. Aussi, nous n’avons pas l’intention de mettre fin aux opérations militaires et à notre lutte contre les terroristes".

C’est par ces mots que le chef du gouvernement israélien a ouvert la session du conseil des ministres de ce dimanche matin.

Ferme et déterminé, Ehoud Olmert a tenu à contrer les critiques de la communauté internationale qui s’est empressée de fustiger Israël, victime depuis 7 ans des tirs palestiniens.

"J’ai entendu toutes les accusations lancées à l’encontre d’Israël. Tous nous reprochent d’utiliser la force, et ainsi de blesser des centaines de civils palestiniens.
Pourtant, je ne me souviens pas avoir entendu de la part des pays étrangers, que la situation dans le sud d’Israël était intolérable lorsque des citoyens israéliens ont été blessés'' a souligné le Premier ministre.

"Personne n’a le droit de nous dicter notre conduite, alors que des milliers d’Israéliens continuent d’être exposés aux tirs de roquettes. Nous continuerons à défendre nos habitants. Avec tout le respect que je dois aux dirigeants étrangers et à l’ONU, je peux vous dire que rien ne pourra nous dissuader" a-t-il ajouté.

Car Israël ne compte pas subir, sans rien faire, les tirs de missiles incessants.

L’opération "Hiver chaud" a été lancée par les dirigeants militaires israéliens. Des centaines de soldats ont été déployés à la frontière entre Gaza et Israël, avec pour objectif de repérer les lanceurs de Qassam et autres infrastructures terroristes du Hamas.

La nuit dernière les forces de Tsahal ont attaqué des cibles terroristes, parmi lesquelles, des entrepôts d’armes et de munitions, des fabriques d’armements et d’explosifs, ou encore le bureau d’Ismaël Haniyeh, leader du Hamas dans la Bande de Gaza.

"Il ne s’agit pas là d’une opération de grande envergure" ont cependant tenu à souligner les officiels militaires israéliens.

"Nous agirons sans relâche pour éliminer toutes les organisations terroristes. Nous suivrons les plans établis par le gouvernement, et nous lancerons une opération de grande envergure lorsque nous considérerons que le moment est opportun" a en effet précisé Ehoud Olmert.

Cette escalade de violence ne fait donc que commencer, et les Palestiniens assurent qu’elle ne fera que s’amplifier.

"La main qui a lancé les roquettes sur Sdérot les enverra bien plus loin" a ainsi déclaré le parlementaire du Hamas, Moushir al-Masri.

Une menace qui ne semble pas effrayer le gouvernement israélien.

"Rien ne nous dissuadera et certainement pas le fait que le Hamas utilise des missiles de plus longue portée" a répondu Ehoud Olmert, fort de son soutien obtenu par les Etats-Unis.

Le porte-parole du conseil national de sécurité, Gordon Johndroe, a en effet affirmé "qu’Israël avait le droit de se défendre face aux tirs de roquettes palestiniennes dans le sud du pays".
Une voie dissonante dans ce concert de protestations.

"Les citoyens israéliens ne sont pas des objets périssables, que ce soit physiquement ou mentalement" a ajouté Avi Dichter, ministre de la Sécurité intérieure.

Car l’attitude adoptée par Israël a, non seulement conduit à une condamnation de la part de la communauté internationale sur le plan humanitaire, mais aussi sur un plan diplomatique, et ce, en raison des actuelles négociations israélo-palestiniennes.

Le diplomate palestinien Saëb Erekat a notamment déclaré que les négociations de paix avec Israël sont, pour l’heure, ''enterrées sous les maisons détruites de Gaza''.

Une réalité que ne souhaite pourtant pas le gouvernement israélien.
"Lorsque nous avons entamé les négociations avec les Palestiniens, nous avions bien spécifié que la sécurité des habitants israéliens était une priorité.
Aujourd’hui, nous souhaitons poursuivre ces pourparlers. Personne au monde ne pourra dire qu’en attaquant le Hamas nous compromettons les chances de paix avec les Palestiniens" a expliqué le Premier ministre.

Une position renforcée par le président de l’Etat, Shimon Pérès, qui a ajouté qu’Israël "ne déteste pas les Palestiniens.
Nous n’avons pas l’intention de nuire à la population civile de Gaza mais les Palestiniens doivent comprendre pour leur sécurité, qu’il est impératif que le Hamas cesse de viser Israël. Il est de notre devoir de tout faire pour arrêter ces tirs".

C’est dans ce climat de crise que la Secrétaire d’Etat américaine arrivera, lundi 3 mars, dans la région. Sa venue devrait influencer la politique militaire d’Israël qui sera déterminée mercredi 5 mars lors d’une réunion de l’appareil sécuritaire israélien.

Sarkozy avait raison!

Dans un ouvrage avec photos, sur:" l'Histoire de la France et des Français" en 13 volumes, sorti en 1975 chez Plon écrit  par les deux historiens français: André Castelot et Alain Decaux pour apprendre l'Histoire de France à la jeunnesse. Dans le volume intitulé: "Notre Temps" sur la période: 1919/1969: pratiquement pas un mot sur le Vel d'Hive idem sur la Shoa et pas la moindre photo sur les camps de concentration!!! Je l'ai trouvé dans une bibliothèque municipale!!! Dans un sondage auprès des jeunes français: 57 % des sondés ne savent pas ce que signifie le mot: Shoa!!!

Jean-Pierre Renard