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Présentation de nouvelle équipe Municipale de Christian Demuynck:


Réunion publique


envoyé par CD2008

Mercredi 20 février 2008, nous étions plus de 150 à la Bibliothèque Guy de Maupassant de Neuilly-Plaisance, à assister à la présentation de la future équipe Municipale du Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance: Monsieur Christian Demuynck. Mais aussi, de son bilan et de son programme, dans un discours de prés de deux heures! Passinnant! En présence aussi, du Conseiller Général UMP DE Neuilly-Plaisance: Monsieur Pierre Facon (lui aussi, en campagne!). Le Sénateur m'a fellicité pour ma place de Suppléant de Madame Evelyne Nicol, aux Cantonales à St Denis. Il ma souhaité bonne chance et m'a confirmé, que je pourrai toujours compter sur soutien et donc sur son aide!...
Jean-Pierre Renard

Pour information:

PROGRAMME DU MODEM NEGOCIE AVEC L'UMP

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Chers amis Pierrefittois,

Voici le programme du MoDem négocié avec l’UMP.

Représentative, unie, compétente, elle est prête pour l’alternance. Depuis longtemps déjà elle travaille à la construction d’un projet sérieux réaliste et dynamique pour notre commune.

Elaboré en étroite concertation avec de très nombreux acteurs de la vie associative, culturelle, sportive, économique et sociale de notre ville, ce projet est VOTRE projet !

Je suis heureux de vous le proposer aujourd’hui.

Il détaille les grandes priorités de notre action pour les années à venir, et ce dans tous les secteurs de la vie municipale. Finances assainies, sécurité retrouvée, environnement améliore, vie sociale et scolaire dynamisée, culture et sport pour tous, démocratie locale retrouvée

la liste est longue des réformes à mener dans le respect de valeurs partagées de solidarité, d’écoute et d’ouverture.

Un seul objectif compte pour nous : le respect de nos engagements envers tous les Pierrefittois pour construire ensemble l’avenir de notre Ville !

Nous nous engageons à remplir avec sérieux, disponibilité et efficacité ce « contrat de mandat »

Le changement est en route Il a besoin de votre soutien actif.

C’est pourquoi dès le 09 mars lors du premier tour je compte sur votre confiance et votre engagement à nos côtés pour que revive notre commune.

1 équipe, 9 engagements :

Finances : l’indispensable audit
Sécurité : la sécurité pour tous
Vie sociale : de nombreux axes d’amélioration
Vie scolaire : investir dans l’avenir
Cadre de vie : pour un environnement de qualité
Sport – jeunesse : mieux vivre le sport
Culture : la culture pour tous
Démocratie : notre chartre de démocratie locale
Emploi et la municipalité
Préserver l’avenir

Le contre-appel républicain de Roger Karoutchi:

Roger Karoutchi, Secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement, "appelle tous les élus à restaurer le débat démocratique et républicain au-delà des appartenances partisanes, dans un esprit apaisé de recherche du bien commun."

•   Parce que la République et la démocratie doivent être constamment confortées et ne sont pas naturellement éternelles ;

•   Parce qu'il est dangereux pour la démocratie d'utiliser et de multiplier les attaques personnelles contre le chef de l'Etat pour essayer de déstabiliser son action politique ;

•   Parce qu'il faut respecter l'expression récente du suffrage universel, source et origine des pouvoirs du Président de la République, du Parlement et du Gouvernement ;

•   Parce qu'il y a urgence à revenir à la confrontation des idées, des propositions et des projets, seule capable de faire prospérer la démocratie et seule à même de provoquer une mobilisation citoyenne quelle qu'en soit la sensibilité ;

•   Parce qu'il faut raison garder et que les expressions de « Comité de vigilance » ou de « Résistance » ont une connotation historique reconnue ;

J'appelle tous les élus à restaurer le débat démocratique et républicain au-delà des appartenances partisanes, dans un esprit apaisé de recherche du bien commun.

Roger Karoutchi
Secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement


Madame Sylvie THOIREY

POUR INFORMATION AUX LOCATAIRES                                Directrice de l’Agence Nord-Est

à Plaine Commune Habitat                              Unité de Proximité : La Courtille

           Cité Courtille – Bât : 5

                                                                                                          93 200 Saint-Denis                  

Saint-Denis, le 21 février 2008

Madame la Directrice,

Notre association de défense de locataires a été interpellée par de nombreux locataires du bâtiment 2 de la cité « La Saussaie » concernant plusieurs désagréments et dysfonctionnements dans cet immeuble.

Il existe une véritable problématique concernant la prestation du ménage fait par la société en charge de cette mission. En effet, il a été constaté que celle-ci n’était pas faite correctement car il peut rester pendant plusieurs jours des traces d’urine, des détritus… dans plusieurs étages. Par ailleurs, certains locataires ont constaté que l’eau n’était pas changée régulièrement et qu’il n’y avait pas de produits qui permettent un lavage propre. Cette situation a été signalée plusieurs fois par des locataires auprès de l’antenne, mais sans succès puisque cette situation perdure. Nous vous rappelons qu’il y a un coût financier récupérable sur les locataires de cette cité.

Nous avons appris également que le gardien de cet immeuble n’effectuait pas correctement ses missions de travail puisque la sortie et la rentrée des poubelles n’étaient jamais faites par cette personne. Vous en  conviendrez qu’il sera extrêmement difficile de nous faire admettre le bien fondé de récupérer sur les charges le salaire de ce gardien auprès des locataires et cela conformément aux décrets du 26 août 1987 et aux décisions de jugements de la cour de cassation du 7 mai 2002 et 26 septembre 2006.

Nous vous demandons que soit affichée dans vos panneaux la planification des missions des gardiens et des agents d’entretien puisqu’il n’y a aucune indication pour les locataires et nous aimerions également voir afficher les heures d’ouverture de la loge pour ce gardien puisque de nombreux locataires se plaignent  de certaines difficultés de présence de celui-ci.

Enfin, nous vous demandons de bien vouloir nous mettre à notre disposition les charges communes pour l’année 2006 de cette cité à notre disposition afin de pouvoir vérifier l’exactitude de celles-ci.

Dans l’attente de vous lire, nous vous prions de croire, Madame la Directrice, en nos salutations distinguées

Christian TRIGORY

Administrateur représentant les locataires

à Plaine Commune Habitat

Copie à Martine Flamant, Directrice de Plaine Commune Habitat

          à Madame Véronique MOMAL, Directrice des Relations Locataires


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                                         45e5bb98d88d11dc862ba50452eabb98    Inauguré le 22 février prochain, l'Historial retrace l'itinéraire du Général avec un parcours audiovisuel et interactif.

L'Historial aménagé sous les Invalides en hommage à l'homme du 18 juin et au fondateur de la Ve République plonge le visiteur dans un bain d'images interactives. Signé Alain Moatti et Henri Rivière, il sera inauguré le 22 février prochain.

La surprise est de taille lorsque, après avoir passé les habituelles enfilades de hallebardes et d'uniformes, on plonge dans les profondeurs du Musée des Invalides. Creusé sous la cour de la Valeur, invisible en surface, l'Historial Charles-de-Gaulle est un musée de 2 500 m², qui aura coûté 18 M€, sans aucun objet ! «Cela ne pouvait être autrement, dit Sharon Elbaz, responsable de l'endroit et directeur adjoint de la Fondation Charles-de-Gaulle. Le Général a toujours refusé le culte des reliques. En revanche son action a toujours été filmée.»

C'est donc l'image, fixe ou animée, image d'archives, de témoins ou de commentateurs, image accompagnée de sons explicatifs ou illustratifs, qui occupe ici tout l'espace, voulu en 2002 par Jacques Chirac.

Elle enveloppe d'emblée le visiteur. Face à lui, dès l'entrée, une mosaïque de 80 portraits photo de Charles de Gaulle. Pour éviter de donner le tournis aux anciens et fixer des repères aux plus jeunes, chacun est invité, par groupe de 200, à visionner un film pédagogique de 25 minutes. Un spectacle en huit langues, inspiré de la polyvision d'Abel Gance, signé Olivier Brunet. Avec un texte de Maurice Druon dit par Francis Huster et une musique de Bruno Coulais (trois césars dont celui de la musique de Microcosmos, le peuple de l'herbe, en 1997). Il sera diffusé sur un jeu de cinq écrans dans une salle en forme de sphère servant de cœur au dispositif. Les sièges y semblent posés sur un dôme inversé, clin d'œil des architectes Alain Moatti et Henri Rivière à la coupole de l'église des Invalides signée Jules-Hardouin Mansart. Les parois sont faites d'alvéoles de 8 700 pièces en bois de merisier dans lesquelles ont été installées 2 400 diodes. Au-delà de cette coupole de lumière posée à dix mètres de profondeur, tout le reste est flottement d'images. On tourne autour, dans le sens des aiguilles d'une montre, le long d'un « anneau de l'histoire » évoquant sur ses écrans de verre translucide la marche du XXe siècle, des Années folles au premier pas de l'homme sur la Lune.

La promenade est composée de trois séquences, trois «portes» conduisant à des «alvéoles didactiques» l'Appel, la Libération et la Constitution. Originalité : la moitié de ces 2 500 m², d'une capacité totale de 400 personnes, est consacrée à l'après-guerre. On y aborde donc, et cela sans tabou, la décolonisation, la traversée du désert, la naissance de la Ve (sol bleu blanc rouge), Mai 68 (un tunnel rouge tapissé de caricatures et de slogans)…

À l'intérieur de ces espaces, chacun aura tout le loisir de poser les questions qu'il souhaite. Les réponses sont apportées par de nombreux écrans tactiles individuels ou par des cartes et des livres interactifs (dont ceux des Mémoires). On pilote une «sphère de rétroprojection » résumant la politique étrangère du Général dans les années 1960, on interroge les historiens de son choix, hologrammés sur des «bornes miroirs». Ou bien encore une caméra capte le mouvement de la main du visiteur, qui peut ainsi convoquer les documentaires de son choix sur un «dynamic wall» Sur nos oreilles, un audioguide français-anglais se déclenche dès que l'on stationne à proximité d'une archive ou d'un chapitre.

Vision stéréotypée et décryptage

Avec quelque 400 documents, souvent issus du fonds de l'Institut national de l'audiovisuel, et plus de vingt heures de commentaires, il est bien sûr impossible de tout considérer en une visite. Il est recommandé de choisir plutôt que de zapper si l'on veut éviter l'effet de bombardement d'images. Peut-on reprocher cette densité aux concepteurs? «L'endroit n'est pas qu'un lieu de mémoire. C'est aussi un lieu de transmission du savoir et qui doit séduire le plus grand nombre, se défend Sharon Elbaz. Pour les Invalides, qui accueillent chaque année 1,5 million de visiteurs dont plus de 80% sont des étrangers, l'enjeu est de relancer le flux des Français, notamment les jeunes.»

Séduire pour mieux transmettre ? Voilà de la rhétorique bien pensée. « À partir d'une grande image animée et émouvante comme, par exemple, la descente des Champs-Élysées, nous présentons systématiquement son contexte, ce qui nous permet d'expliquer la communion avec la nation. Pourquoi le Général, lorsqu'il arrive à Paris, va d'abord au ministère de la Guerre, qu'il a quitté quatre ans plus tôt ? Pour dire qu'il y a une continuité de l'État et signifier que Vichy n'est plus. Ainsi, derrière le geste, l'image d'Épinal, il y a toujours une politique cohérente, parfois complexe. C'est elle que nous voulons transmettre. Il s'agit toujours d'aller de la vision stéréotypée à son décryptage, de voir ce qu'il y a derrière le voile de l'histoire. »

Et Alain Moatti de conclure que son Historial est « comme un cédérom géant et en trois dimensions dans lequel vous êtes convié à entrer pour vous immerger dans l'épaisseur de l'histoire. J'ai voulu différentes profondeurs d'images, des images qui se répondent, qui forment des raccourcis. Un musée qui ne soit pas une suite de salles blanches et de vitrines mais un lieu de mémoire, avec un centre inoubliable, cette grande salle qui est un objet unique, et des films traités comme des mirages flottants, des souvenirs que l'on peut convoquer à sa guise. Cela aussi est unique et spectaculaire ». Ils nous appartiennent.

Éric Biétry-Rivierre( "Le Figaro" )


Binyamin Netanyahou : Jérusalem est en danger!

Par Stéphanie Zenati pour Guysen International News
Vendredi 22 février 2008 à 11:38
                        P90_bibi_ma   Einstein a dit, "si on fait une erreur une fois, c’est compréhensible, si on la fait une seconde fois, ça montre qu’on est stupide. Au bout de la troisième, il faut agir". Une devise pour le leader de l’opposition, qui lors de son allocution à la conférence de Jérusalem, s’est voulu particulièrement incisif face à un gouvernement qu’il a qualifié de "trop faible".

"Mais moi, si j’étais Premier ministre, j’empêcherai à l’Iran de construire une nouvelle base islamique au cœur du Moyen-Orient" a déclaré Binyamin Netanyahou, en ouverture de son discours.

‘"En quittant aussi rapidement le Liban, ou en se retirant de façon unilatérale de Gaza, nous avons donné le pouvoir au Hamas ou au Hezbollah" a-t-il également précisé.
Une réalité qu’il impute directement au gouvernement israélien, qui à l’heure actuelle, considère toujours que "le désengagement de la Bande de Gaza est une bonne chose".

Pourtant, l’opposition est loin de partager cet avis. "Regardez, après cette opération lancée par le gouvernement, le Hamas s’est renforcé. Il détient aujourd’hui une quantité d’armes incroyable".

Et avec l’Iran, l’histoire semble recommencer. Même si le gouvernement répète être opposé au programme nucléaire développé par la République islamique, aucun acte concret n’a été pris par le chef du gouvernement.

Un pacifisme dangereux selon Bibi.
"Le but de Téhéran est de construire une troisième base militante, ici à Jérusalem.

C’est une menace terrible, et pourtant, il semble que le chemin emprunté par le gouvernement nous y mène tout droit" a-t-il souligné.
"Il ne faut pas laisser faire ça."

Car le chef de l’opposition l’a bien compris. Le moindre pas en arrière fait par Israël ouvre la porte au Hamas et étend son emprise sur le Proche-Orient.

"Dans les années quatre-vingt-dix, j’ai écrit un livre dans lequel j’expliquais que si les organisations terroristes voulaient viser la puissance économique mondiale par excellence, ils prendraient pour cible les Etats-Unis.
Quelques années après, les tours du Wall Street Center s’effondraient. Aujourd’hui, s’ils veulent attaquer l’une des plus grandes puissances militaires au monde, qui choisiront-ils à votre avis ?" a demandé Binyamin Netanyahou.

Ainsi, signer aujourd’hui un accord avec les Palestiniens, comme ce qui a été convenu lors de la conférence d’Annapolis de novembre dernier, serait une erreur.

"Le gouvernement de l’Autorité palestinienne est bien trop faible. Si nous signons un tel accord alors que le Hamas continue à lancer des roquettes sur Israël et à contrôler la Bande de Gaza, alors c’est bien l’organisation terroriste qui prendra le pouvoir et détruira totalement les leaders palestiniens dits modérés, puis nous obligerons à nous retirer".

Ce dernier refuse ainsi la proposition qui semble pourtant faire l’unanimité au sein du gouvernement, à savoir "signer un traité de paix mais le laisser latent, jusqu’à ce que l’AP parvienne à mettre fin au terrorisme".

"Une aberration", d’autant plus que d’après la feuille de route, ce traité aborderait la question du statut de Jérusalem.
"Si Israël concède des parties de territoire aux Palestiniens, et notamment divise la capitale, alors Jérusalem deviendra la Mecque pour tous les terroristes" a averti Netanyahou.

Or aujourd’hui, Jérusalem est la capitale des trois religions, et selon "un proverbe américain, on ne répare pas ce qui n’est pas cassé".
Car pour lui, Jérusalem est un modèle de conciliation et de paix, et un changement quelconque dans son organisation conduirait à "l’explosion de cette sécurité ambiante".

Malgré tout, la question du statut de Jérusalem est aujourd’hui au cœur des négociations, du moins d’après certaines déclarations d’officiels israéliens et palestiniens.

"Alors je demande à Shass : que faites-vous encore dans ce gouvernement ? Pourquoi donnez-vous à Olmert ce pont en or qui lui permet de faire ce qu’il veut de Jérusalem ?" a lancé le chef de l’opposition.
Une question jusqu’alors restée sans réponse.

Malgré ce pessimisme face à un accord de paix, le chef de l’opposition a tout de même souligné que "dans son gouvernement", il y aurait une place pour les négociations avec les Palestiniens.

"Nous lutterons contre le terrorisme, mais nous ne couperons pas les ponts avec les Palestiniens. Simplement, nous les mettrons à l’épreuve. Nous établirons des projets communs, avec des investissements réels.

Nous maintiendrons l’unité de Jérusalem et conserverons entre nos mains les cartes qui assurent la sécurité de notre pays. Nous ne devons pas sous-louer notre sécurité, et nous devons mettre fin à la guerre d’usure à laquelle se livre Israël contre le Hamas".

Un vaste programme…

Politique de la ville : posez vos questions à Fadela Amara:

Lettre d'information de l'UMP du vendredi 22 février 2008                                                           
Politique de la ville : posez vos questions à Fadela Amara

Fadéla AMARA, secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville, sera l'invitée de "Réforme Hebdo", émission animée par Jérôme Chartier, vendredi 29 février. Plan "Espoir banlieues", inégalités entre territoires, politique de la ville,

Dès maintenant posez vos questions