Le 5 mai 1821.

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Napoléon le Grand s'éteint a Sainte Hélène a dix sept heures trente. Ses douleurs a l'estomac ont commencé a empirer l'année d'avant (1820).

Le 15 mars 1821, il a une crise terrible et est contraint de s'aliter. Il est soigné par Antomarchi et l'anglais Arnott..

Son état s'aggrave rapidement et il refuse de prendre les médicaments prescrits. Le 12 avril, il fait des comtes Bertrand; Montholon et Marchand ses exécuteurs testamentaires.

Le premier mai il est mourant et il s'éteint le cinq. Le lendemain, l'autopsie révèle un rein retourné et un estomac rongé par de profondes lacérations avec squirosités (cancer). La thèse selon laquelle l'empereur a été empoisonné a l'arsenic ne tient pas si l'on y regarde de plus près.

L'analyse de ses cheveux a révélé une grande quantité d'arsenic mais on en a trouvé autant dans les cheveux des personnes qui étaient avec lui a Sainte Hélène.


Le 16 avril 1945 :début de la bataille de Berlin.

Le 2 mai, à 4 heures du matin, le dernier commandant de la place de Berlin, Helmuth Weidling, signe la capitulation des derniers défenseurs ; le cessez-le-feu est effectif à 17 heures, heure de Berlin, tandis que le vice-ministre de la Propagande fait diffuser une proclamation destinée à faire cesser les combats.

La ville de Berlin est détruite à 33 % (jusqu'à 70 % en centre-ville); les zones aéroportuaires et leurs alentours, ont été épargnés autant que possible. Selon le plan d'invasion, les aéroports devaient être utilisables le plus rapidement possible par les Alliés après la chute de la ville. La destruction « complète » de la ville est une rumeur : la ville était trop grande pour être rasée, comme l'avaient été Cologne, Hambourg ou Dresde.

De très nombreux civils ont été tués durant les combats, d'autres sont brutalisés ou exécutés par les soldats de l'Armée rouge, ivres de vengeance contre les Allemands. Au début, ces comportements sont tolérés par l'état-major de l'Armée rouge mais, dès que l'armistice est signé et que l'occupation soviétique se met en place, ces exactions sont rapidement arrêtées par le NKVD. En 1945, 4 000 officiers soviétiques ont été jugés pour crimes contre des civils.


Non à la suppression de l'abattement fiscal pour nos retraités !

Chers amis, chers compagnons,

Depuis plusieurs jours, une idée insensée circule dans les couloirs de l'Assemblée : supprimer l’abattement fiscal dont bénéficient les retraités.

Après une vie de labeur, de cotisations versées, de services rendus au pays, le gouvernement envisage froidement d’alourdir l’impôt des retraités. Comme si c’était à eux, une fois encore, de payer l’addition des échecs de l’État.

C’est une honte.

Et c’est un scandale que nous ne laisserons pas passer.

Plutôt que de réduire les dépenses publiques, de rationaliser le millefeuille administratif, ou de s’attaquer aux fraudes massives, les ministres macronistes s’adonnent à leur sport favori : alourdir la fiscalité.

Alors que les prix explosent, que le logement devient inabordable, que se nourrir ou se chauffer pèse toujours plus lourd sur les budgets modestes, l’exécutif choisit d’accabler ceux qui ont le plus besoin de stabilité et de reconnaissance. Punir les retraités, c’est punir la France qui a travaillé. C’est insulter le mérite, la fidélité, et l’effort.

La position de l'Union des Droites pour la République est claire : non à ces absurdités, non à ces injustices, non à cette violence fiscale qui ruine le lien de confiance entre l’État et les Français.

Nos retraités doivent être protégés, et pas persécutés. Leur fiscalité doit rester stable, prévisible, juste. Ils ne peuvent pas être les éternelles cibles d’un pouvoir incapable de maîtriser son train de vie.

Nous ne laisserons pas passer une attaque aussi frontale contre le bon sens et contre nos compatriotes les plus vulnérables.

Si vous partagez cette ambition pour la France, rejoignez-nous. Adhérez à l’UDR pour porter ce projet partout sur le territoire. Faites un don : c’est le moyen le plus direct de nous aider à construire une alternative sérieuse et solide pour le pays. Rien de tout cela ne se fera sans vous.

Avec toute ma fidélité,

Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République


Adolf Heusinger

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Entre le 10 et le 20 juillet 1944, Heusinger est brièvement chef d'état-major adjoint de la Heer, à la suite de la démission pour cause de maladie du Generaloberst Kurt Zeitzler : il se trouve donc dans la Wolfsschanze aux côtés de Hitler, en train de lui montrer une carte, lorsque la bombe déposée par le Colonel von Stauffenberg explose au cours de l‘attentat du 20 juillet 1944. Comme Hitler, Heusinger n'est que blessé.

Heusinger aurait été au courant des préparatifs de cet attentat qu'il approuvait, même s'il n'y a pas pris part. Après l'attentat, il est transféré dans un hôpital par la Gestapo et mis aux arrêts. Il est ensuite emprisonné et interrogé. On le relâche cependant en octobre 1944, faute de preuves. Il est rayé des effectifs d'active et muté dans la Führerreserve ; il obtient néanmoins un poste le 25 mars 1945 au service des cartes de l'armée. Il est fait prisonnier par les Américains en mai 1945.

- En 1961, il est devenu président du Comité militaire de l’OTAN, c’est-à-dire le plus haut poste militaire de l’Alliance atlantique à l’époque.. 

 


 

Entre le 10 et le 20 juillet 1944, Heusinger est brièvement chef d'état-major adjoint de la Heer, à la suite de la démission pour cause de maladie du Generaloberst Kurt Zeitzler : il se trouve donc dans la Wolfsschanze aux côtés de Hitler, en train de lui montrer une carte, lorsque la bombe déposée par le colonel von Stauffenberg explose au cours de l‘attentat du 20 juillet 1944. Comme Hitler, Heusinger n'est que blessé.

Heusinger aurait été au courant des préparatifs de cet attentat qu'il approuvait, même s'il n'y a pas pris part. Après l'attentat, il est transféré dans un hôpital par la Gestapo et mis aux arrêts. Il est ensuite emprisonné et interrogé. On le relâche cependant en octobre 1944, faute de preuves. Il est rayé des effectifs d'active et muté dans la Führerreserve ; il obtient néanmoins un poste le 25 mars 1945 au service des cartes de l'armée. Il est fait prisonnier par les Américains en mai 1945.


Bataille d’Eylau (1807)

 

Lors de cette bataille, une charge de cuirassiers commandée par le maréchal Murat a sauvé l’armée française d’une défaite potentiellement catastrophique. Sous une tempête de neige, les cuirassiers ont chargé à travers les lignes russes, sabre au clair, semant la panique chez l’ennemi. Ce fut l'une des charges de cavalerie les plus célèbres de l’histoire.


C'était encore un gouvernement de  " bon a rien " ,lâche et irresponsable .. Ça n'a pas changé depuis  🥹

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En Indochine, ça se passe mal. Les Français mènent une guerre classique alors qu'il faudrait des troupes antiguérilla, bien renseignées, souples, mobiles, connaissant le terrain. Les politiques tergiversent, comme d'habitude. Ils n'ont rien compris à la situation.

Général Bigeard


Le 3 mai 1814:

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Madame Royale fait son entrée à Paris qu’elle avait quitté dans la nuit du 17 au 18 décembre 1795.

Arrivée au château des Tuileries qu’elle avait quitté au matin du 10 août 1792, Madame Royale se dirige vers l’ancien appartement de sa mère qui se trouve au rez de chaussée côté jardin. A une fenêtre, elle voit le jardin et au loin la place où était installée la guillotine. La tête lui tourne et ses jambes se dérobent.


Le 3 mai 1809.

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Bataille et prise d'Ebelsberg.

Les autrichiens de Hiller prennent position près de la Traun en vue de ralentir la progression de la grande armée vers Vienne.

La cavalerie de Marulaz est envoyée déborder l'aile droite ennemie mais les dragons badois, censés être nos alliés, n'obéissent pas a l'ordre d'attaque et permettent ainsi a l'ennemi de se retirer sur Ebelsberg.

L'attaque générale est alors déclenchée par les trois ponts.

Au centre, le château est pris par Clapadère.

A droite, une colonne de sept-mille hommes progresse vers le pont mais elle est attaquée par trente-mille autrichiens. Nous repoussons trois attaques a la baïonnette mais l'ennemi est trop nombreux. Nous nous retirons.

A quatorze heures, les généraux Coehorn et Clapadère amorcent la contre-attaque.

Les brigades Ledru et Legrand retraversent la Traun et s'emparent, cette fois définitivement d'Ebelsberg.

Nous perdons trois-mille cinq cent hommes dans l'affaire.

Les ont sept-mille cinq cent pertes.