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Stop à l’ensauvagement de la France !

Chers amis, chers compagnons,

Mardi dernier, à Paris, en pleine journée, des hommes cagoulés ont tenté d’enlever une jeune femme de 34 ans sous les yeux de son enfant de deux ans.

Ils l’ont frappée, ont roué de coups le père de l’enfant venu s’interposer, avant de prendre la fuite. Leur cible ? La fille d’un entrepreneur en cryptomonnaie.

Medelin ? Non, Paris sous Macron.

Quelques jours plus tôt, à Évian, en Haute-Savoie, un pompier a été volontairement blessé par un individu bien connu des services de police, en plein rodéo urbain. Le sergent-chef Scardi, engagé pour sauver des vies, a vu la sienne gravement mise en danger par une pratique sauvage, qui transforme nos rues en zones de non-droit.

Ces faits ne sont pas des anecdotes, ni des cas isolés. Ils sont le symptôme d’un pays qui se délite, où l’autorité recule et où la violence devient ordinaire. Il y a quelques années encore, ces scènes auraient été inimaginables. Aujourd’hui, elles rythment l’actualité !

Notre société se barbarise. Les services de l’État sont agressés, les pompiers sont frappés, les policiers pris pour cible, les familles menacées. En moyenne, ce sont 4 agressions par jour contre les pompiers qui ont été recensées depuis le début de l’année.

À travers ces malheureux faits divers, c’est toute la France qui est touchée. 

Face à cette dérive, l’UDR agit. Nous avons déposé à l’Assemblée nationale une proposition de loi instaurant des peines minimales de prison ferme pour toute agression contre un agent des forces de l’ordre, un pompier, ou un agent pénitentiaire.

Cette mesure simple remet la justice au service de la République :

  • Pour un délit puni de cinq ans, la peine prononcée ne pourra être inférieure à trois ans.
  • Le juge pourra y déroger uniquement par une motivation spéciale.
  • L’obligation de prononcer la prison ferme « en dernier recours » sera supprimée.

Parce qu’il ne peut y avoir de République sans respect de ses uniformes. 

Je vous appelle à nous rejoindre, à relayer ce combat. Adhérez à l'UDR ou renouvelez votre adhésion, soutenez-nous par un don, faites entendre notre voix ! Rien ne se fera sans vous.

Pour la France, pour la sécurité, avec fidélité,

Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République


Ramener à 10 ans l'exonération des plus-values immobilières : notre proposition de loi

Chers amis, chers compagnons

Le marché immobilier français traverse une crise profonde. Les biens ne circulent plus, les jeunes peinent à se loger, les propriétaires n’investissent plus. Pourquoi ? Parce qu’un carcan fiscal dissuasif pénalise celles et ceux qui souhaitent vendre un bien ou réorienter leur patrimoine.

Aujourd’hui, la revente d’une résidence secondaire ou d’un investissement locatif est lourdement taxée : 19 % d’impôt sur la plus-value, auxquels s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux. Soit une ponction de 36,2 %, qui s’applique jusqu’à… 30 ans de détention ! Un record décourageant, hérité d’une réforme de 2012.

Face à cette aberration, nous avons déposé une proposition de loi claire et concrète : ramener à 10 ans la durée de détention nécessaire pour être totalement exonéré d’impôt sur la plus-value. Dix ans pour retrouver une fiscalité plus juste, plus lisible, plus cohérente avec les besoins de notre société.

Ce retour à un seuil d’exonération plus court – il était de 15 ans avant 2012 – permettrait à des milliers de propriétaires de remettre leur bien sur le marché. De vendre plus vite. De réinvestir plus tôt. De participer au dynamisme du parc immobilier au lieu d’être enfermés dans l’immobilisme fiscal.

Cette réforme est d’autant plus urgente que nous faisons face à un autre mur : celui des interdictions de location des passoires thermiques. Depuis janvier 2023, les logements classés G ne peuvent plus être loués. Viendront les F en 2028, puis les E en 2034. Or, beaucoup de petits propriétaires n’ont ni les moyens de rénover, ni la capacité d’assumer la double peine : travaux massifs d’un côté, fiscalité confiscatoire de l’autre.

C’est pourquoi notre proposition prévoit aussi un moratoire sur ces interdictions, afin de laisser aux bailleurs le temps de s’adapter, sans les forcer à vendre à perte ou à retirer leur bien du marché locatif.

Car derrière cette bataille fiscale, c’est un choix de société qui se dessine. Voulons-nous encore encourager l’investissement immobilier, ou punir systématiquement ceux qui y croient encore ? Voulons-nous libérer des logements pour les jeunes générations, ou continuer à bloquer un marché déjà grippé ?

À l'UDR, nous choisissons de récompenser l’effort, pas de le taxer. De faire confiance aux Français plutôt que de les enfermer dans un système rigide et décourageant.

Je vous invite à nous soutenir dans cette démarche ! Adhérez à notre mouvement, soutenez-nous par un don, parlez de l'UDR autour de vous. Rien de tout cela ne se fera sans vous.

Fidèlement,

Éric Ciotti
Président de l'Union des Droites pour la République 


Ma citation du jour:

« Vous les Français, vous avez perdu le

lien avec Dieu, perdu le lien avec vos

ancêtres, perdu le lien avec vos

racines. Vous allez mourir! » 

(George Simion, candidat roumain à la

présidentielle en Roumanie). 

 


Il y a 85 ans le 17 mai 1940, pendant la Bataille de Montcornet. 

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"Les 8 membres d'équipage meurent, brûlés vifs."

Bescond s’engage avec la 2e compagnie, pris à partie par un canon de 8,8 cm Flak. Après une quinzaine de minutes de combat, conformément aux ordres, il s’apprête à ordonner le repli lorsque son char, le Berry-au-Bac tombe en panne. Le Sampiero Corso se porte immédiatement au secours de son chef, qui embarque avec le reste de son équipage. En revenant vers Clermont-les-Fermes, il est détruit, vers 18 h 15, de deux coups directs tirés à 2 500 m par une pièce de 8,8 cm Flak. Les huit hommes qui composent le double équipage périssent carbonisés.

Chef de Bataillon BESCOND 

HENRION

Sergent VAILLE 

MOUSSET

Caporal DURAND 

LAUXEUR

Chasseur ROBELLET 

RICHARD

Souvenons nous pour toujours de nos soldats français qui tombèrent héroïquement il y a 85 ans.


*Arnaud Klarsfeld pulvérise Macron*

Lettre ouverte au président Macron

Monsieur le Président,

Français, comme mes parents, mes enfants et mes petits-enfants, et je suis juif.

Mon père, rescapé du camp de Drancy, résistant, a participé dans les FFI à la libération de la France de la tyrannie nazie.

Après un doctorat, j’ai créé plusieurs entreprises, créé de nombreux emplois, participé à mon petit niveau, à la croissance de la France.

Vous vouliez rassembler plutôt que diviser.

je vous ai soutenu.

Dans l’isoloir,

je vous ai élu.

Lorsque vous avez refusé de participer à la manifestation contre l’antisémitisme,

vous m’avez déçu.

Lorsqu’à l’ONU vous avez voté des résolutions honteuses émanant de régimes totalitaires pour condamner la seule démocratie du Moyen-Orient,

vous m’avez perdu.

Lorsque vous avez refusé l’accès d’entreprises israéliennes d’un salon sur l’armement, dans mon estime

vous avez déchu.

Lorsque vous avez dissout l’Assemblée Nationale puis avez soutenu le LFI, plus bas encore

vous êtes descendu.

Lorsque deux jours avant la commémoration du pogrom perpétré par le Hamas contre des civils, hommes, femmes et enfants, vous exhortez à ne pas livrer d’armes à Israël pour éliminer les terroristes ennemis de l’occident et assassins de français, et sauver des otages, notamment français, alors que la France vend des armes au Qatar,

vous vous êtes vendu.

Vous pensiez savoir manipuler l’opinion ; vous ne comprenez ni vos électeurs ni ceux de vos opposants.

Vous avez laissé se développer la haine, le rejet de l’autorité, et l’antisémitisme.

Vous avez généré le chaos et poussé les électeurs plus que jamais vers les extrêmes.

Vous vous croyiez un grand homme ; vous n’en avez pas l’étoffe.

L’histoire ne retiendra de votre présidence que le passage d’une girouette aveugle qui s’oriente en fonction du vent pour plaire au plus grand nombre, et finalement déplaire à tout le monde.

Arnaud Klarsfeld


Lettre à Léa Salamé de Karen Taieb

Ce qui s’est passé dans votre émission hier soir est très grave. 

La mélenchonisation des esprits n’est plus en marche mais a pénétré les cerveaux les plus éclairés. 

Votre invité le Dr Raphaël Pitti l’a martelé hier soir malgré la question que vous lui avez posée comme on laisse une dernière chance en porte ouverte : pour lui cette guerre n’a pas de lien avec le massacre du 7 octobre ! 

Chère Anne Sainclair on s’est servi de vos propos comme un marchepied à toutes les ingnominies qui sont arrivées en cascade. 

Il fallait s’y attendre.

Vous avez bien entendu ! 

Le Dr Pitti l’a non seulement dit mais enjoint tout le monde à arrêter d’en faire le point de départ du drame que vivent les enfants palestiniens. 

Exit le 7 octobre ! 

Comme si les israéliens voulaient tuer des palestiniens par jouissance sanguinaire. Les accusations moyenâgeuses traversent les siècles !

Votre invité a eu un boulevard pour déverser son sac de boules puantes à l’égard d’un pays attaqué de toutes parts depuis des décennies et qui a heureusement inventé le dôme de fer pour empêcher sa destruction qui sur le papier aurait été inéluctable sans ces moyens de défense. Quel pays construit des abris antimissiles dans ces immeubles, dans chaque appartement ? Est-ce une vie ? 

À force d’accuser Israël sans dire que le premier responsable de cette terrible guerre est le Hamas, vous armez le bras des antisémites. 

J’exècre l’extrême droite israélienne mais en accusant Israël d’être responsable du poison d’une guerre qu’il n’a pas déclenchée, vous laissez imaginer que le Hamas est constitué de petits anges sans défense. 

Ce sont des monstres !  

Non Mr Pitti, on n’oubliera pas le 7 octobre. À vous de vous rappeler ce qu’ils ont été capables de faire. Revoyez les images de l’horreur vécue par des enfants, des vieillards, des femmes, des hommes amoureux de la paix.

Tués, anéantis, démembrés, exterminés parce que juifs.

Oui cette guerre est longue, trop longue 

Oui des enfants palestiniens meurent et c’est dramatique 

Mais la faute revient avant tout au Hamas qui n’a que faire de la sécurité de ses propres enfants 

Le Hamas qui a tué broyé brûlé violé kidnappé des israéliens sans défense 

Le Hamas qui ne rend pas les otages 

Le Hamas qui ne protège pas son peuple 

Le Hamas qui l’utilise comme bouclier humain et comme monnaie pour acquérir un jour Israël du Jourdain à la mer. 

En accusant Israël, en invoquant à plusieurs reprises dans cette émission « la conscience juive », qui devrait tendre l’autre joue quand on vient tuer ses enfants et anéantir des kibboutz entiers, vous glissez vers l’antisémitisme pervers. 

Accuser les juifs d’être le peuple responsable de tous les maux y compris du massacre qu’il subit, est un retour aux discours qui ont conduit à Auschwitz. 

Chère Léa Salamé, en invitant le Dr Raphaël Pitti, en lui laissant le marteau piqueur durant 20 minutes pour extirper à tout cerveau normalement constitué ce qui lui restait d’attention pour le peuple israélien en danger permanent face aux ennemis de toutes parts, arriva ce qui devait arriver : 

Ardisson comparant Gaza à Auschwitz ! 

Et les autres acquiesçant comme les petits chiens en plastique à l’arrière de la voiture 

Pari réussi !

Mais quelle Honte ! 

Honte vis à vis des palestiniens que l’on veut laisser sous le joug de monstres du Hamas qui n’ont ni fraternité ni empathie pour leurs frères 

Honte vis-à-vis des israéliens et des juifs accusés comme hier de tous les maux et de toutes les responsabilités pour mieux les anéantir. 

Moi aussi, j’attends la paix et je l’espère au plus vite, pour les israéliens et les palestiniens, mais l’étoile jaune c’est terminé. 

Karen Karen Taïeb


Werner von Haeften : l’ombre fidèle du 20 juillet

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Le 20 juillet 1944, dans les profondeurs du QG de la Wolfsschanze en Prusse orientale, un jeune officier allemand pose une bombe destinée à tuer Adolf Hitler. Cet homme, souvent relégué au second plan des livres d’histoire, s’appelait Werner von Haeften. Il était le bras droit, l’alter ego, le témoin silencieux et loyal du colonel Claus von Stauffenberg, l’âme du complot visant à mettre fin au régime nazi. Mais Haeften n’était pas un simple exécutant : il fut un homme de conviction, de courage et de sacrifice, qui choisit de mourir aux côtés de son chef, dans un geste de fidélité absolue.

Une éducation noble, un choix de conscience

Né en 1908 à Berlin dans une famille prussienne de juristes et de hauts fonctionnaires, Werner von Haeften incarne la vieille élite allemande, cultivée, conservatrice mais empreinte d’une profonde rigueur morale. Après des études de droit, il s’engage dans la Wehrmacht et rejoint l’état-major, où il rencontre Stauffenberg. Leur complicité va au-delà de la hiérarchie : Haeften partage la révolte intérieure de son supérieur face à l’horreur du régime.

Ce choix n’est pas sans conséquences. Il le sait : agir contre Hitler, c’est signer son propre arrêt de mort. Pourtant, il ne recule pas. "Ce n’est pas la loyauté qui nous lie à Hitler, c’est la vérité qui nous en détache" semble résumer l’état d’esprit de ceux qui, comme lui, ont pris les armes contre leur propre commandement.

Le 20 juillet 1944 : l’attentat et l’échec

Haeften accompagne Stauffenberg à la Wolfsschanze, portant la mallette contenant la bombe. C’est lui qui surveille l’entrée, qui manipule les détonateurs, qui partage le silence et le suspense avant l’explosion. Quand Hitler survit, l’opération Valkyrie s’effondre, et les conjurés rentrent précipitamment à Berlin pour tenter un coup d’État déjà condamné.

Arrêtés au Bendlerblock, leur QG, Stauffenberg, Haeften, Olbricht et von Witzleben sont jugés sommairement et exécutés dans la nuit du 20 juillet. Sur le terrain de la cour, éclairé par des phares de camion, un peloton s’apprête à fusiller Stauffenberg. Haeften, dans un ultime geste bouleversant, se jette devant son supérieur pour prendre les balles à sa place. Geste inutile militairement, mais immense moralement. Il meurt à 36 ans, sans hésitation.

Un frère d’esprit et de sang

Le destin de Werner von Haeften se double d’un drame familial. Son frère aîné, Hans Bernd von Haeften, juriste et diplomate, fut lui aussi impliqué dans la résistance. Quelques semaines plus tard, il est pendu à Plötzensee, avec une corde de piano, après avoir déclaré :"J’ai perdu toute loyauté envers Hitler. Je le considère comme le mal personnifié dans notre histoire."

Deux frères, deux intellectuels, deux martyrs d’un sursaut moral dans une Allemagne déchirée.

Héritage et mémoire

Aujourd’hui, Werner von Haeften figure parmi les noms gravés au Mémorial de la Résistance allemande, situé au Bendlerblock même où il tomba. Des écoles, des places et des institutions honorent sa mémoire. Dans le film Valkyrie (2008), son personnage, interprété par Jamie Parker, illustre la fidélité jusqu’au boutisme de ce soldat discret mais capital. Dans des œuvres de fiction comme Fox on the Rhine, il est réimaginé comme un héros tragique, prêt à mourir les armes à la main pour défendre son commandant.

Conclusion : le courage sans gloire

Werner von Haeften n’a pas dirigé de troupes, signé de traités ou prononcé de discours célèbres. Mais il a fait ce que peu d’hommes en uniforme ont osé faire dans l’Allemagne nazie : dire non. Et il l’a fait non par haine, mais par fidélité à une autre idée de l’Allemagne, de l’honneur et de la vérité.

En se dressant devant les balles, il a fait de sa mort un acte d’élévation, une protestation silencieuse et éternelle contre la barbarie.


Le 14 Mai 1948.

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Déclaration d'indépendance de l'État d'Israël 

La  proclamation de l'indépendance d'Israël a lieu le 14 mai 1948, dernier jour du mandat britannique sur la Palestine dans le hall du Musée d'art de Tel Aviv. C'est l'annonce officielle de la naissance d'un État juif en Terre d'Israël.


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Einav, la mère de Matan Tzangauker, a écrit à son fils après l'annonce de la libération de l'otage Edan Alexander :

 « Matin 584, mon Matan.

Depuis que j'ai appris que tu allais rester seul dans les jours à venir, les larmes ne cessent de couler.

J'essaie d'imaginer le lien d'âme sœur que tu as pu nouer avec Edan.

Je suis certaine que vous avez été un soutien mental et physique l'un pour l'autre.

Vous avez enduré ensemble une longue période de captivité dans des conditions extrêmement difficiles et vous avez survécu ensemble.

Je te connais : tu dois sûrement essayer de montrer à Edan que tu es fort et que tu ne craqueras pas.

Mais tu as probablement pleuré dans ton oreiller ou, dans ton cas, sur le sol du tunnel.

Mon Matan bien-aimé,

Tout comme je t'ai porté dans mon ventre et t'ai donné la vie,

Tu m'as donné le privilège d'être appelée maman pour la première fois.

Je t'ai mis au monde,

Je t'ai nourri de lait maternel et de valeurs.

Et tu as grandi avec ces valeurs et avec tant de désir.

Je te le promets, Matan,

Je ferai tout pour te ramener. »


DÉJÀ UNE SEMAINE !

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Un retour en quelques images du match histoire du PSG en 1/2 finale retour de la Ligue des Champions de football ⚽️ au Parc des Princes à Paris, contre les anglais Arsenal: 2 à 1. Donc de notre qualification pour la finale !!! J'y étais ! Nous étions 47.511 (dont plus de 2.000 anglais pour supporter Arsenal) !!!

Jean-Pierre Renard 

Supporter du PSG depuis plus de 36 ans !!!

Abonné au Parc des Princes à Paris, depuis plus de 26 ans !!!