« Touche pas à ma fille » : Marion Maréchal et 1 000 Françaises alertent sur le recul de la sécurité des femmes
Dans la nuit du 23 au 24 février, dans le 18e arrondissement de Paris, une femme de 27 ans était violée en pleine rue par un clandestin algérien sous OQTF, interpellé en flagrant délit par la police.
À peine une semaine plus tôt, dans une petite commune des Bouches-du-Rhône, c’était une femme de 82 ans qui était violée chez elle par un clandestin guinéen sous OQTF déjà condamné.
Des jeunes femmes ou des grands-mères, dans les grandes villes ou des villages ; il serait douloureux d’égrener les agressions sexuelles commises par des migrants clandestins sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français. Le collectif féministe Némésis a ainsi recensé 46 femmes violées par un étranger déjà sous OQTF en 2023. Il ne s’agit ici que des viols ayant fait l’objet d’un écho médiatique, ce chiffre est donc probablement très en deçà de la tragique réalité.
Des chiffres existent, très officiels, ce sont ceux du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure et ils sont effrayants. En France, entre 2012 et 2021, les violences sexuelles déclarées ont augmenté de 170 % !
La déléguée nationale du syndicat Unité SGP-Police, Linda Kebbab, évoquait récemment dans Le Point la surreprésentation des clandestins dans les viols dits « de prédation », où le violeur attaque une femme au hasard des opportunités. De fait, au-delà même des clandestins, en 2022, toujours selon les statistiques du ministère de l’Intérieur, 13 % des mis en cause pour violences sexuelles étaient étrangers, alors qu’ils ne représentent que 8 % des habitants de notre pays. Ainsi, les étrangers sont deux fois plus mis en cause pour des violences sexuelles que les Français ; les étrangers originaires du continent africain, trois fois plus.
S’agissant des agressions commises dans les transports, les chiffres sont encore plus édifiants. En Île-de-France, en 2019, 63 % des mis en cause pour violences sexuelles dans les transports en commun étaient étrangers… et 87 % des victimes françaises !
Et il ne s’agit pas d’un phénomène franco-français, loin s‘en faut, mais d’ampleur européenne. Là aussi, les statistiques officielles sont extrêmement claires. Elles sont même plus impressionnantes encore que chez nous, et révèlent sans doute une part de réalité française camouflée.
Observons donc. En Italie, 40 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Les étrangers sont ainsi onze fois plus représentés que les Italiens. En Espagne, 42 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Les étrangers sont ainsi huit fois plus mis en cause que les Espagnols. En Allemagne enfin, 37 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Ils sont donc neuf fois plus représentés que les Allemands.On ne peut évoquer les agressions sexuelles commises en Allemagne par des étrangers sans, bien sûr, penser à l’effroyable la nuit du 31 décembre 2015 au 1er janvier 2016 à Cologne, principalement, mais aussi dans d’autres villes allemandes. Cette nuit-là à Cologne, la police enregistrera un total de 1 088 plaintes, concernant 1 049 victimes. Sur les 153 personnes suspectées d’avoir commis des agressions, 103 étaient de nationalité marocaine ou algérienne, parmi lesquelles 68 demandeurs d’asile. „Wir schaffen das ! “, « Nous y arriverons ! » : c’est ce que répondait quelques mois plus tôt la chancelière allemande Angela Merkel à ses compatriotes inquiets de la crise migratoire et de sa politique irresponsable du Wilkommen. Les Allemandes agressées, violées, de Cologne, ne recevront jamais d’excuses.
Sami Abu-Yusuf, imam salafiste d’une mosquée de Cologne, s’était en revanche essayé à une explication, déclarant à la presse que « les filles étaient les responsables des événements de la Saint-Sylvestre, parce qu’elles étaient à moitié nues et qu’elles portaient du parfum ». Précisant ses propos, il ajoutait : « Pour certains Africains du Nord, il s’agissait là d’une incitation à les toucher. »
Cet islamiste faisait là un aveu terrifiant : oui, derrière les « viols de Cologne », il y avait bien une dimension culturelle, civilisationnelle ! Oui, cette nuit d’horreur était largement le résultat de la confrontation entre des jeunes femmes européennes « qui portaient du parfum », et n’étaient pas assez couvertes, et des hommes musulmans y voyant « une incitation à les toucher ». Puisque la charia vestimentaire n’était pas respectée, alors tout était permis… La culture du viol si souvent dénoncée par les féministes de gauche ne serait-elle pas là où elles feignent de l’ignorer ?
Interrogé 10 jours après dans le journal 20 minutes, le responsable d’une société privée gérant 40 % des centres d’accueil pour demandeurs d’asile en Norvège présentait la mise en place de « formations pour apprendre aux migrants les codes socioculturels qu’ils vont rencontrer dans leur nouvelle vie, dans ce nouveau pays dont les mœurs peuvent différer des leurs. » Derrière cet énoncé pudique, il oubliait de dire l’essentiel : ces cours ont été mis en place après une série de viols commis par des migrants à Stavanger, capitale norvégienne des hydrocarbures. « La Norvège entend, par ces cours, favoriser l’insertion d’hommes issus de sociétés patriarcales dans une Europe où les femmes sortent, boivent et festoient. » expliquait une autre responsable de ces formations à l’AFP.
Dans ces formations, pour éviter toute forme de stigmatisation des migrants, c’était toujours un Norvégien – Arne – qui jouait l’auteur d’une potentielle agression sexuelle à laquelle s’opposait un courageux Hassan, « un homme bien » selon les termes des formateurs.
Mais, ce déni ne frappe pas seulement la Norvège. Au Royaume-Uni, il a conduit les autorités à fermer les yeux sur une sordide affaire d’abus sexuels massifs sur des enfants.
« Dans un pays fier de son multiculturalisme, le viol de centaines de fillettes blanches par des Anglo-Pakistanais fait scandale. Mais comment expliquer l’omerta de la police et des officiels sur cette affaire qui dure depuis plus de quinze ans ? » s’interrogeait le journal féminin Marie-Claire à propos des viols survenus à Rotherham.
Rappelons les faits : 1 400 enfants de cette ville, âgés de 11 à 16 ans, ont été, entre 1997 et 2013, victimes de viols réguliers par des agresseurs décrits comme des hommes d’origine pakistanaise.
La police et les services sociaux savaient. Pourquoi ce terrible silence ? Pourquoi cette inaction coupable ? Pour ne pas stigmatiser !
Voilà où conduisent la haine maladive de soi et l’amour inconsidéré de « l’autre ».À Telford, dans un dossier en tout point similaire, le think-tank Quilliam Foundation a estimé que 84 % des violeurs étaient originaires du sous-continent indien (alors qu’ils ne représentent que 7 % de la population du pays). De toutes les victimes, seulement trois n’étaient pas des adolescentes blanches…
De l’Espagne à la Norvège, des rues de Paris à celles de Cologne, partout la liberté et la sécurité des femmes reculent face à l’immigration massive et l’islamisation. Dans notre pays, des jeunes femmes comme des grands-mères sont violées chaque semaine par des hommes qui n’ont rien en commun avec nous, qui ne devraient jamais être entrés dans notre pays et auraient même dû en être expulsés, puisque sous le coup d’une OBLIGATION de quitter le territoire français.Monsieur le Président de la République, en novembre 2019, vous aviez promis l’effectivité de 100 % des OQTF. Réalisez-vous combien de vies détruites, combien de vies volées, auraient été épargnées si vous aviez tenu votre promesse depuis lors ?
Monsieur le Président, alors qu’il n’y a jamais eu autant d’étrangers entrant dans notre pays (légaux, demandeurs d’asile, illégaux…), avez-vous conscience de la menace que représente cette folle politique d’immigration extra-européenne pour les femmes françaises ?
Monsieur le Président, à quoi bon célébrer une Journée de la Femme, si à chaque instant, nous vivons sous cette menace terrible, si à chaque instant nous devons trembler pour nos filles, nos mères ou nos grands-mères ?
Monsieur le Président, quand protégerez vous enfin les filles et femmes de France ?
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