Piolle, engoncé dans un burkini
A peine passées les élections de juin que le postulant présidentiel, Piolle, maire de Grenoble, relance le débat sur le burkini en demandant à l'Etat de clarifier sa position sur les aspects hygiéniques de la tenue. Maire "Vert", régulièrement soucieux de s'accorder avec le vert des musulmans les plus radicaux, Piolle défend en sous-main cet accoutrement, sans en avoir trop l'air et ne veut pas passer, tout seul, pour un collaborateur zélé des avancées de ces marquages religieux soutenus par le Haut-Commissariat des Nations-Unies, le Conseil d'Etat et le défenseur des droits. Il renvoie donc la patate chaude à Castex, lui demandant d’arrêter une position nationale. Le PS, jamais avare du mot qui tue, estime que l'interdiction "stigmatise". En réalité, ce burkini date de 2003 et avant, il faut croire que les musulmanes n’étaient pas pudiques. Les idiots utiles de l’avancée de l’islam dans les établissements publics agissent comme si cet accoutrement était traditionnel et devait être pris en compte parce qu’une poignée de femmes radicalisées le promeuvent par l’intimidation. Il s’agit d’une invention récente, totalement dédiée au prosélytisme et nos hommes politiques, trop heureux de se trouver une clientèle, sautent à pieds joints dans le piège.
Pierre Duriot
Porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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