Le 28 mai 1291:
chute de Saint-Jean-D'acre
Après qu'une partie de la muraille s'effondre et une résistance héroïque des templiers devant la brèche le 18 mai 1291, le reste des forces se retranche dans la Voûte d'Acre, la citadelle des Templiers.
C'est alors un flot ennemi qui se répand dans la ville, les mamelouks se ruent dans les rues massacrant tous les habitants, c'est un carnage, certains arrivent à se réfugier dans le dernier bastion des templiers, qui fais face à la mer, environs dix milles habitants sont là.
Les templiers vont alors tenir le plus longtemps possible, pour évacuer le plus d'habitant, ils résisteront face aux assauts des mamelouks.
Pendant 10 jours dans des combats acharnés, ils vont faire face à un rapport de force démesurées , les templiers voient leurs frères tomber les uns après les autres, mais n'abandonnent pas !
La citadelle résiste aux bombardements incessants, le sultan n'en revient pas, d'un tel exploit.
Cette défense acharnée permet à bon nombre d'habitant de la ville et à plusieurs chevaliers de pouvoir quitter Acre sain et sauf et de se réfugier à Chypre.
Pierre de Sevry, Maréchal de l'Ordre, continue la résistance face au raz-de-marée musulman.
Il réussit à maintenir des milliers de combattants musulmans avec seulement une poignée de défenseurs.
Mais le 28 mai 1291 après 10 jours, la maison du temple s'écroule sur les dizaines de défenseurs restant et sur plus de 2000 turcs qui l'assaillent.
Saint-Jean-D'acre tombe...
Souvent méconnu, les templiers grâce à leur sacrifice, sauvèrent énormément d'innocent.
Un exemple bien loin des clichés du cinéma, des jeux vidéos et de l'enseignement.
Voilà des pensées qui me vont bien !
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Délégué Notre France pour la 1ère et pour la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis
Membre du Cercle d'Action Légitimiste
Membre du Souvenir Vendéen
Membre du Souvenir Napoléonien
Membre des Amis de Fondation Charles de Gaulle
« Mon âme est à Dieu, ma vie est au roi, mon cœur est aux dames, seul mon honneur est à moi. »
« Notre patrie à nous, c’est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos mères ont aimé devant nous. Notre patrie, c’est notre Foi, notre terroir, notre roi. Leur patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez, vous ? Ils veulent détruire les coutumes, l’ordre, la tradition. Alors, qu’est-ce que cette patrie marquante du passé, sans fidélité et sans amour. Cette patrie de billebaude et d’irréligion ? Beau discours, n’est-ce pas ? Pour eux, la patrie semble n’être qu’une idée ; pour nous, elle est une terre. Ils l’ont dans le cerveau, nous l’avons sous les pieds ; c’est plus solide. Et il est vieux comme le diable leur monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu… Vieux comme le diable… On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions… Faut rire. Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse. Messieurs, sommes la jeunesse de Dieu, la jeunesse de fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver, pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur. »
François-Athanase de CHARRETTE (1763-1796)
Général vendéen
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