C’est du sadisme…
20 kilomètres pendant trois heures et pas 25 pendant deux heures, attention. Les stations de ski ouvertes, mais pas les remontées mécaniques. On peut aller acheter ses jouets à Carrefour en famille, mais pas dîner au restaurant, en famille, faut pas confondre. Dans les magasins, 8 mètres carrés par client au lieu de 4, pas 7, ni 9, 8 ! Pour la messe, c’est trente personne, dans la chapelle du coin, ou dans la cathédrale de Chartes, c’est trente et pis c’est tout. Le jour des fêtes, le virus ne doit pas être actif, on peut y aller, mais pas comme d’habitude, il faut limiter le nombre des convives. Et mettre papy et mamie au placard, comme le suggère un éminent penseur ? Ils comptent faire comment, venir chez vous à l’heure du Père Noël pour vérifier ? Ce sera dit juste avant, uniquement pour emmerder ceux qui se demandent s’il faut commander un gâteau ou deux. Il y aura, ces messieurs dames sont trop bons, une « tolérance » pour que ceux qui rentrent du ciné puissent arriver chez eux pas trop longtemps après le couvre-feu. A condition qu’ils puissent montrer leur billet comme preuve. Un brave gars résumait la situation lors de notre café du midi, désormais debout, dehors : « ce n’est plus une lutte sanitaire, c’est du sadisme ».
Pierre Duriot
Le Porte-parole national du Rassemblement du Peuple Français
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