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20 février 2020
Stains mérite mieux
Nous étions plusieurs centaines ce dimanche 16 février à défiler pour l’arrêt de la violence dans notre ville. Suite aux décès successifs de jeunes dans nos quartiers, nous avons répondu présents à l’appel de mamans. Il y avait des mamans du Clos St Lazare mais pas seulement : des citoyens, des habitants de tous les quartiers, des fils, des filles, unis pour dire stop à ces événements qui marquent une ville toute entière et qui ternissent sa réputation.
Cette manifestation était belle, nous étions fiers et unis. Mais espérons que ce sera la dernière. Parce que Stains, nous l’aimons avec tous ses habitants et sans violence. Nous l’aimons avec un avenir pour nos jeunes et la tranquillité pour les moins jeunes.
Ce vœu d’une ville sans violence, je veux le faire également pour cette campagne électorale : en tant qu’élus et/ou futurs élus, nous devons être exemplaires. Trop souvent il y a eu des dérapages : on a transformé des vérités, on a lancé des rumeurs, on a mis des coups, sali la ville par un affichage sauvage. Tout cela n’a fait qu’abaisser le niveau du débat.
Lors de cette marche, tous les candidats aux municipales étaient présents scandant aux côtés des habitants un douloureux « stop à la violence » : cela doit commencer par cette campagne !
Les Stanois méritent mieux. Les victimes de ces violences et leurs familles méritent plus de paix et de dignité. Les plus jeunes regardent. Nous ne sommes ni dans une cour de récréation, ni dans un octogone.
Vive le débat d’idées ! Vive la confrontation des bilans ! Vive le respect ! Vive la démocratie !
Julien Mugerin
Conseiller municipal de Stains
20 février 2020
⚜️ Le 19 février 1790 : reconnu coupable d'avoir projeté de faire évader le Roi Louis XVI et sa famille du palais des Tuileries, Thomas de Mahy, marquis de Favras, fut pendu en place de Grève, à Paris. Il mourut courageusement, sans avoir impliqué quiconque.
20 février 2020
Le 19 février 1915 : début de l'offensive des Dardanelles.
Voulue par Churchill, cette opération consistant à ouvrir un front de revers destiné à affaiblir l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie, débute par le bombardement des forts contrôlant le détroit des Dardanelles. Mal préparée, l’action n'aboutira pas.
20 février 2020
🔴COMMUNIQUÉ OFFICIEL DU PSG🔵
Le Paris Saint-Germain souhaite dénoncer la durée des contrôles de la police des frontières allemandes envers ses fans se déplaçant de manière organisée à Dortmund.
Le fait de retenir des fans pendant plus de 5 heures, de faire arriver ainsi une partie d'entre eux en retard au coup d'envoi n'est pas respectueux pour des supporters qui étaient partis à 2h00 du matin de Paris et qui rentreront également en bus dans la nuit après le match.
Le club s'interroge sur le contenu, la qualité et la pertinence des échanges d'informations entre les autorités française et allemande qui auraient pu déclencher la sévérité et la durée de cette opération de police.
Celle ci a totalement désorganisé ce long déplacement de supporters en bus y compris la remise des billets dans un lieu hors du stade organisée par le Club pour faciliter ce déplacement et enfin ne pas permettre le déploiement du tifo préparé et acheminé de Paris par les supporters du Club.
Le Club remercie ses supporters qui ont encore une fois soutenu avec ferveur leur équipe lors de ce déplacement européen.
20 février 2020
Ma citation du jour:
" Une heure de lecture est un souverain remède contre les dégoûts de la vie."
(Montesquieu)
20 février 2020
La désolante actualité qui tous les jours nous rappelle que les sociétés, les civilisations sont mortelles me fait me souvenir de ce que j'écrivais il y a un an dans mon livre "Ils veulent tuer l'Occident":
" Vivre sans l’intime, le mystère et le sacré:
« vous allez voir, vous allez souffrir »
"L'homme misérable petit tas de secrets ». Mais tous les secrets de l'homme ne sont pas misérables. Les lui enlever, c’est mettre son intimité sur la place publique, la jeter en pâture à la curiosité morbide, à la méchanceté. Qu’est ce qu’un homme privé de toute intimité, obligé de partager ce qu’il veut garder pour lui seul, d’exposer à la lumière blessante ses failles et ses désirs secrets, l’histoire d’une vie dont on le dépossède? C’est un homme qui n’a plus rien en propre. La transparence, obsession de notre époque est un mot qui dit bien ce qu’il veut dire: la transparence totale c’est l’Homme sans épaisseur, sans densité, l’Homme à travers lequel on voit. La transparence absolue, la privation de toute intimité est totalitaire. Voulons-nous que tout le monde sache tout sur les autres, les revenus, les patrimoines, les salaires, les petits avantages et les petits secrets de chacun et il en sortira l’envie, la jalousie, la rancoeur et la délation.
Des millénaires durant la civilisation occidentale a patiemment et lentement édifié des murs psychologiques, symboliques, juridiques entre le dedans et le dehors. Dans le nouveau monde ces murs sont en démolition et en particulier celui qui séparait vie privée et vie publique, les lois et les juges deviennent inquisitoriaux, le secret de l’instruction n’est plus qu’une chimère et par conséquent aussi la présomption d’innocence, la délation est protégée, encouragée, on s’épie, on enregistre les conversations… Tout le monde crie « j’ai bien le droit de tout savoir! » mais chacun se sent atteint au plus profond de lui même lorsqu’il apprend le pillage de ses données personnelles. Qui, avec un peu de recul, en réfléchissant, en s’affranchissant un instant par la pensée des hystéries de notre temps, ne voit où nous allons:
"Vous allez voir, vous allez souffrir »…
Henri Guaino
Ex Député
Ex Conseiller spécial du Président de la République française Nicolas Sarkozy
Président d'honneur de Notre France
19 février 2020
Le 19 février 1941 : Leclerc attaque les Italiens (Fezzan).
Avec un effectif et un armement inférieur, le colonel Leclerc, chef de corps du RTST, oblige une compagnie motorisée italienne à se replier dans le fort de Tazerbo puis à se rendre le 1er mars.
19 février 2020
19 février 2020
"Mon cher papa, je vous adore et j'ai le coeur gros quand vous n'êtes pas là.
Je vous embrasse bien fort."
Louis-Napoléon, Prince Impérial