Ma citation du jour:
“Ce qui est désordre, violence, attentat au droit d'autrui, doit être réprimé sans pitié.”
Ernest Renan
Ma citation du jour:
“Ce qui est désordre, violence, attentat au droit d'autrui, doit être réprimé sans pitié.”
Ernest Renan
Quelques interventions ou déclarations en séances à l’Assemblée-Nationale, du Député Jean Lasssalle :
Mon point de vue sur la justice en France
Le 15 juillet 2016
Quand j’écoute mes compatriotes, je ressens l’impression terrible et redoutable d’un rejet du politique et de la justice française. Ce constat que j’ai fait à plusieurs reprises et dans toute la France m’effraie au plus haut point, d’autant plus que la justice est rendue au nom du peuple.
Ce projet de loi sur lequel je me suis exprimé est la preuve d’un dysfonctionnement dans le système judiciaire tel qu’il est aujourd’hui et d’une prise de conscience de la classe politique. Toutefois, pour apporter une véritable réponse à ce problème, sur un sujet aussi grave que celui de la justice, un des piliers de la démocratie, il faut rédiger un texte après avoir consulté non seulement les professionnels de la justice mais aussi les citoyens, qui en sont les premiers usagers. En ce sens, j’ai proposé à l’Assemblée nationale la création d’une commission d’enquête parlementaire pour évaluer l’état de la justice en France. J’espère sincèrement, pour notre peuple, qu’elle pourra voir le jour et aboutir à une vraie réforme, fondée sur une réalité concrète.
Echec de la motion de censure contre la loi travail
Le 6 juillet 2016
Je me suis toujours opposé au projet de loi « Travail » porté par Mme El Khomri en ce sens, j’ai signé la motion de censure citoyenne présentée par André Chassaigne, à la suite de l’annonce par Manuel Valls, une seconde fois, de l’usage de l’article 49-3 de la Constitution. Malheureusement cela n’a pas suffi.
Ce projet de loi n’a aucune assise populaire et réfute de nombreux droits acquis après plusieurs décennies de luttes sociales, ce qui est inconcevable en 2016. Lorsque le droit du travail est présenté comme un frein à la croissance et à l’emploi, cela démontre l’entêtement idéologique du gouvernement ayant choisi pour cible les salariés, les chômeurs et les entreprises à taille humaine. Nous voilà confrontés à une nouvelle croyance suivant laquelle l’allégement du droit du travail remplirait les carnets de commandes des entreprises. A défaut d’une véritable politique économique favorisant une meilleure conjoncture, l’actuelle majorité a fait le choix de prendre les français en otage.
Quand la colère gronde
Le 5 juin 2016
La volonté d’intensification du mouvement de grève générale en France est l’occasion pour moi de partager cet article extrêmement pertinent, qui évoque l’effervescence médiatique autour de la situation de blocage que connaît aujourd’hui notre pays, et au-delà, l’union des travailleurs (syndiqués ou non) dans l’opposition au projet de loi Travail et à la politique du gouvernement.
Mes déclarations à l’occasion de l’examen de la proposition de loi « Encadrement rémunérations entreprises » la semaine dernière ont suscité un certain nombre de réactions dans les médias mais aussi de la part des français. Cela montre qu’il y a peut-être encore une place pour le débat et pour l’expression de ce que chacun pense. Il faut beaucoup de courage pour réveiller un pays si profondément endormi et plongé dans un tel cauchemar, et je crois que nous vivons en ce sens un moment symbolique.
Il est absolument primordial aujourd’hui que la classe politique ouvre les yeux sur le message que le peuple nous fait passer: nous ne bâtirons, ni ne rénoverons rien sur la colère des jeunes et des travailleurs. Toute notre génération n’a pas vu se produire ce changement de monde, ou plus exactement n’a pas compris le basculement du monde qui nous était imposé, et nous devons aujourd’hui réfléchir ensemble, et vite, à améliorer l’état de notre démocratie.
Chacun est bien conscient du mécontentement que peuvent générer les blocages et leurs incidences sur l’activité économique. Pour autant, il me semble que poser ainsi les termes du débat contribue davantage encore à opposer les Français entre eux. Peut-être n’est-il pas surprenant qu’un nombre croissant de nos concitoyens prenne négligemment pour acquises les victoires démocratiques ou sociales réalisées, manquant de reconnaître que ce qui a été gagné au cours des siècles de luttes peut être enlevé. Qui peut croire au fond que les personnes en grève peuvent y trouver un plaisir quand on connaît les pertes de salaires que cela peut représenter ?
Cet article démontre en tout cas que toutes les décisions sont prises à la majorité des salariés des lieux où elles s’exercent, témoignant bien que c’est dans un esprit démocratique que cela se déroule et que c’est finalement la représentation d’une volonté majoritaire qui s’exprime.
Pour des sondages plus démocratiques !
Le 30 mai 2016
Les instituts de sondage traditionnels estiment que je n’aurais pas suffisamment de notoriété pour m’inclure dans leurs enquêtes d’opinion relatives à l’élection présidentielle. Ces instituts favorisent ainsi les « candidats stagiaires » des partis dominants qui payent ces sondages comme l’indique par ailleurs le journaliste dans l’article, biaisant ainsi les résultats sans proposer à leurs sondés l’intégralité des candidats potentiels. Face à l’opacité des choix de ces grands groupes je préfère l’application mobile GOV, un testeur d’opinion ouvert à tous qui permet directement aux citoyens de décerner un bonus ou un malus à plusieurs personnalités politiques mais également à des sujets d’actualité. Une méthode participative, ludique, non cloisonnée et résolument démocratique qui
permet également de tester nos idées auprès des milliers de GOVers déjà présents sur l’application. Quant à mon score, l’application me place actuellement troisième derrière, Nicolas Hulot et Emmanuel Macron.
Faciliter l’inscription sur les listes électorales : loin d’être suffisant
Le 2 juin 2016
Aux dernières élections, 50 % de la population s’est abstenue de voter. Face à ce constat sidérant, nous examinions hier une proposition de loi visant à rénover les modalités d’inscription sur les listes électorales. J’ai eu l’occasion de m’exprimer sur les articles 1 et 2 de ce texte, qui revêt une importance cruciale. C’est en effet une proposition honorable, que je soutiens, comme toutes les mesures visant à favoriser le retour aux urnes des citoyens.
Mais le fond du problème reste pour moi en suspens: si les citoyens refusent aujourd’hui d’aller voter, n’est-ce pas avant tout par rejet d’une classe politique dans laquelle ils ne se retrouvent plus, et qui n’est plus à la hauteur ? Il y a un travail de profondeur à engager, ensemble, pour améliorer notre démocratie.
Mon avis sur les lois proposées à l’Assemblée nationale cette semaine
Le 17 juin 2016
Cette semaine a été riche en émotions : après avoir renoncé à évaluer les bénéfices des multinationales grâce à l’évasion fiscale, qui fait perdre des milliards d’euros à la France, nous avons martialement décrété que la pauvreté était hors-la-loi, puis reconnu que l’accès à l’eau potable était indispensable, surtout pour ceux qui n’en ont pas… Ironiquement, nous ne savons pas où trouver les fonds nécessaires à assurer ces droits pour tous les citoyens. Maintenant, notre gouvernement de gauche nous disqualifie dans ce que nous avons de plus sacré : notre santé. Où s’arrêtera donc cette comédie ?
On vaut mieux que ça !
Le 21 mai 2016
Au cours de l’assemblée générale de la marche citoyenne qui se tient aujourd’hui et demain à Paris, j’ai été interrogé sur ma position à l’égard des mouvements sociaux actuels, et plus particulièrement mon soutien et ma présence auprès de certains d’entre eux.
L’écoute a toujours été au cœur de mon action politique. J’ai constamment voulu instaurer un dialogue avec les Français, notamment lors de ma marche à travers la France, qui m’a permis de rencontrer, d’écouter et débattre avec des milliers de personnes.
Cet échange est, selon moi, primordial, on ne construit rien sur la colère, on ne bâtit rien sur la déception et on ne crée rien sur la haine.
Ce n’est pas ma conception de la politique.
Les vives tensions provoquées par la loi travail constituent une énième illustration de la panne démocratique que subit notre organisation politique, ne fonctionnant plus que par un système de décisions quasi unilatérale.
Je suis allé à plusieurs reprises à la place de la République écouter les participants du mouvement Nuit Debout.
J’ai recueilli les témoignages, entendu les exaspérations, les récits des manifestations et des affrontements avec les forces de l’ordre.
S’agissant des casseurs ou des violences policières, je ne peux me réfugier derrière des généralités, largement alimentées par certains media. Tout comme je refuse l’idée qu’il existe deux camps opposés qui se haïssent.
C’est pourquoi je me suis également rendu mercredi dernier à la manifestation « anti-haine », organisée par plusieurs syndicats de Police, sur la même place de la République. Ecouter leurs revendications contre les reproches qui leurs sont adressés était également important pour moi.
Ce rassemblement s’est rapidement transformé en un lieu d’échange pacifique entre policiers
en civil et manifestants face aux critiques anti-flics, où chacun a pu faire valoir son droit de réponse.
Les seuls responsables de l’opposition des français entre eux sont les gouvernements qui se succèdent depuis 40 ans sans jamais rien ressentir, ni écouter les aspirations du peuple.
Je dis non à la loi travail !
Le 20 mai 2016
Le 4 mai je me suis exprimé contre la loi travail à l’Assemblée nationale. Cette loi et les méthodes du gouvernement pour la faire adopter ne sont pas acceptables. L’utilisation du 49.3 est le degré zéro de la démocratie, ce passage en force dénigre les manifestations citoyennes et parlementaires contre cette loi. Eluder un tel débat n’est pas admissible aujourd’hui en France.
« Assez paradoxalement, ce texte favorise plutôt les grosses et les très grosses entreprises. Si elles veulent engager un plan social dans leur filiale française, elles n’auront plus à se justifier sur la situation de leurs filiales à l’étranger évoluant dans le même secteur. On pourra faire des millions de bénéfices dans un autre pays et serrer la vis en France. Dans le même temps, nombre de nos collègues sur tous les bancs de cette assemblée ont souligné que là où l’on pourrait créer de l’emploi – dans les PME, chez les petits artisans ou chez les commerçants –, où un seul homme ou une seule femme, en en embauchant un ou une autre, pourrait immédiatement créer un emploi de plus, cela devient de plus en plus difficile. Ce texte ne facilite absolument pas ce genre de démarches. »
Prolongement de l’état d’urgence, affaiblissement de la démocratie
Le 25 février 2016
Nous vivons une époque inquiétante et troublée par une menace terroriste alimentée par une hypermédiatisation façonnant un hyper terrorisme terrifiant. La prorogation de l’état d’urgence est, à mon sens un signal inapproprié. Nos gouvernements successifs ont la paradoxale faculté d’ériger aux rangs d’absolu des universaux à violer avec aplomb les principes qu’ils en tirent et à ressentir la nécessité d’élaborer des justifications théoriques.
Or, la réponse ne se trouve pas dans des décisions restreignant les libertés. Car depuis sa mise en place, l’état d’urgence n’a cessé de faire polémique. Assignations à résidence sans procédure judiciaire, perquisitions violentes, arrestations abusives et autres méthodes peu démocratiques, nous noient, aujourd’hui dans un régime exceptionnel, qui ne saurait se substituer de façon pérenne à l’état de droit.
Aujourd’hui, trois mois et demain ? Combien de temps encore les libertés des Français seront-elles restreintes ? Lorsque Manuel Valls, dans une interview à la chaine BBC, déclare que l’état d’urgence sera maintenu jusqu’à la défaite de Daesh, lorsque la France vend des armes aux pétromonarchies qui alimentent la déstabilisation du Moyen-Orient ou quand notre pays agit en secret en Libye, comment ne pas s’inquiéter des mystérieux agissements du gouvernement et d’une rupture avec nos principes démocratiques ?
Combattre le terrorisme est indispensable, mais notre pays, connu pour son audace et son initiative en matière de liberté et de justice, semble aujourd’hui se recroqueviller sur lui-même. Voter ce projet de loi, inscrivant dans notre Constitution la déchéance de nationalité et l’état d’urgence, n’est pas une réponse digne de notre Nation. Quelle sera l’image de la France dans le monde, en Europe, si elle viole aujourd’hui une convention européenne des droits de l’homme dont elle fut jadis la fervente instigatrice ?
La Constitution a déjà tous les éléments qu’il faut pour servir et protéger nos concitoyens. Évitons d’ajouter de la confusion à la confusion, de la peur à la peur. Évitons de montrer du doigt, ne serait-ce que dans nos fantasmes les plus fous, des communautés qui sont la France.
Il ne faut pas, dans un pays qui compte plus de six millions de musulmans, continuer à parler comme nous le faisons, continuer à alimenter la haine.
La solution n’est pas dans la brutalité, la privation, le rigorisme.
La solution n’est pas dans des manœuvres militaires et politiques dissimulées et insidieuses.
La première étape serait déjà de réapprendre à se parler et s’écouter, afin d’éviter les tensions qui clivent aujourd’hui le débat, pour faire émerger des résultats, des idées acceptables et respectées par tous.
Le Billet politique de Jean-Pierre Renard:
Aujourd'hui à Nice il y avait plus de policiers pour protéger Valls que le soir du 14 juillet pour assurer la sécurité des citoyens...!?????
Les français sont en colère et ils n en peuvent plus. Hollande, Valls et l ensemble du Gouvernement doivent démissionner. Nous sommes à nouveau du temps de Clemenceau contre Aristide Briand, il y a 1 siècle. Ils disent les choses mais ils ne sont plus capables de rien faire concrètement !
Ça suffit ! La guerre est en France, assumons-le enfin !
La compassion et le deuil sont indispensables. Mais ils ne peuvent en aucun cas suffire. Nous ne combattrons pas le terrorisme avec des bougies, des cérémonies et des larmes.
Quelles sont les décisions phares de François Hollande ces derniers mois ? Dépenser 6,5 milliards d’euros en cadeaux électoraux démagogiques ! Cet argent aurait été infiniment mieux utilisé à renforcer nos forces de sécurité et de renseignement…!
Cette triste et pitoyable démagogie, on l'a trouve aussi, dans nos villes telles que Pierrefitte Sur Seine....! J'en appelle à l’insurrection des consciences...Ou que ce soit, ces socialistes ont lamentablement échoué et risquent de nous apporter le pire électoralement, sur un plateau, en 2017: le FN (haine)...! L'Histoire n'est malheureusement qu'un simple et triste recommencement ! Rappelez-vous, il y a 84 ans.
Un premier ministre sifflé et hué par une immense foule réunie a Nice en hommage aux 84 victimes de l'attentat du 14 juillet, un Président et un ministre de l'intérieur qui eux se terrent au ministère de l'intérieur pour cette minute de silence!
Un constat affligeant mais qui montre et démontre le ras le bol des Français face a cette incurie de nos gouvernants.
La Droite républicaine française, républicaine et démocratique, en passant par: Nicolas Sarkozy; Alain Juppé; Bruno Le Maire; François Fillon; Geoffroy Didier; NKM; Copé; Dupont-Aignan...jusqu'à Jean Lassalle, doit faire l'Union sacrée pour l’intérêt général du peuple français et de la Nation française ainsi que de nos morts qui nous regardent, avant qu'il ne soit trop tard !
Chers journalistes, Informez les Français au lieu de prendre partie pour le gouvernement !
JPR
Ma citation du jour:
“L'autorité ne va pas sans prestige, ni le prestige sans l'éloignement.”
Charles de Gaulle
Ma minute de silence a moi !
Ma minute de silence a moi, en hommage aux 84 victimes de l attentat de Nice, j ai décidé de l à faire en rentrant de week-end, sur la tombe de mon grand-père Louis Renard, au cimetière de Mantes La Ville. Sans lui, je n aurais jamais fait officiellement de la politique ! Pendant que d autres réalisaient cet hommage devant leur mairie ou sur leur lieu de travail ou tout simplement chez eux, moi j ai choisi de le faire devant la tombe de celui qui représente depuis mon plus jeune âge, pour moi, d abord, la nation française (il fut prisonnier de guerre pendant toute la seconde guerre mondiale, en Allemagne puis élu municipal de Pierrefitte sous le Général de Gaulle): mon Grand père Louis Renard. C'est aussi elle qui a été une nouvelle fois, le 14 juillet dernier !
JPR
Info Pierrefitte:
En tant qu'élu municipal de notre commune et qu'ami, j'ai assisté, à l'église de ma paroisse St Gervais St Protais de Pierrefitte, aux obsèques de la sœur d'une ancienne collègue et amie: Nicole Meyer: Arlette. Elle avait 78 ans et était née à Pierrefitte en 1937 ! La prestation du diacre (Jean: un ancien collègue UMP de Stains) m'a tétanisé positivement ! Elle est a été ensuite inhumé au vieux cimetière de notre citée (toute la famille ainsi que les amis ont été choqué par l'état lamentable des lieux, quasiment laissés à l'abandon. C'est indigne d'une ville de 29.000 habitants !!! Tout ça, soi-disant parce que le gardien est en arrêt maladie depuis 1 an ! Il n'y a donc personne d'autre à la ville de Pierrefitte pour le remplacer temporairement ????!).
JPR
Chers amis,
En ce jour si particulier pour notre pays où nous avons célébré notre fête nationale, la France a été une nouvelle fois frappée en son cœur.
Au travers de Nice, de ses habitants, de ses touristes et de la célèbre Promenade des Anglais, c'est la France qui a été directement visée hier soir par le terrorisme islamiste.
Comme tous les Français, nous sommes saisis par une émotion immense et l'effroi devant cette tuerie de masse, qui touche des familles entières et leurs enfants et qui endeuille toute une nation, tout un département, une ville et ses habitants.
Mes pensées vont d’abord aux si nombreuses victimes lâchement assassinées, à leurs proches, aux blessés, mais aussi à nos forces de l'ordre et aux services de secours et à tous les élus totalement mobilisés toute cette longue nuit.
Face à la barbarie terroriste et à des individus prêts à tout pour frapper la France et les Français, il est indispensable de prolonger l'état d'urgence et de l'utiliser pleinement pour assurer la sécurité et la protection des Français. Nous sommes dans une guerre qui va durer, avec une menace qui se renouvelle sans cesse. L'adaptation et le renforcement en permanence de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste restent une priorité absolue. Une fermeté et une vigilance exceptionnelle de chaque instant et pendant longtemps seront nécessaires. Plus rien ne peut être comme avant.
Nicolas Sarkozy,
Président des Républicains
Le Billet politique de Eric Raoult:
Le 14 Juillet : c'est un défilé et un discours présidentiel
Pour le défilé, c'est un succès pour Jean Yves Le Drian, très bon Ministre de la Défense. Faire défiler les australiens et la Nouvelle Zélande, cela permet de faire oublier le Rainbow Warrior. Cela permet aussi de leur montrer la puissance de notre armée, et la qualité de notre armement. Cela permet aussi de faire applaudir l'armée et la police par toute la Nation. Toute la France aime notre police et notre armée.
Mais, c'est aussi un discours présidentiel qui montre que Hollande n'est pas battu d'avance ! L'homme est de qualité, il peut nous réserver des surprises ! Même si la maison France a son toit percé et sa cave inondée, les socialistes sont encore dans la maison !
Alors, unissons nous, et même si la primaire n'est pas notre culture, il faut retrouver un homme de la stature de Chirac, un homme d'Etat.
Oui, le 14 Juillet, je l'ai partagé dans la tribune présidentielle comme Ministre, puis comme Vice Président de l'Assemblée nationale, aux côtés d'Hassan II, puis dans la foule avec Nelson Mandela. Nous attendons tous le 14 Juillet 2017 pour rassembler et pour apaiser, car nous aurons gagné, avec la Droite et le Centre, et nous redeviendrons majoritaires.
Le 14 Juillet redeviendra notre fête nationale.
Le Billet politique de Eric Raoult:
Ce matin, je n'ai pas de mots assez forts pour exprimer ma peine, ma révolte face à ces 84 morts pour rien ! Condamner, réclamer plus de mesures encore et encore me semble absurde, tellement le sentiment d'impuissance règne ce matin sur notre pays.
C'est une guerre sans pitié, sans foi ni loi, à laquelle nous devons tous faire face et réagir avec force.
Le temps aujourd'hui est au recueillement, mais demain, nos gouvernants doivent changer de logique, pour entrer dans une véritable logique de guerre. Nous devons nous adapter, et ne plus tergiverser pour contenter les droits de l'hommiste. Il n'est plus temps de se poser la question de faut il ou pas des cameras dans les prisons pour surveiller les terroristes !
Allons plus loin, plus vite, plus fort !
Je tiens ici à exprimer ma solidarité aux familles des victimes, et à mon ami Christian Estrosi, qui doit, aujourd'hui, gérer l'horreur...
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