Previous month:
mai 2016
Next month:
juillet 2016

0 billets

Mes propositions en matière économique : choisissons une alternative à l'austérité !‏

Réunion publique du 12 septembre 2014 à Pierrefitte 50

Candidat à la primaire de la droite, le vice-président LR du conseil régional d'Ile-de-France veut agir sur différents leviers pour «retrouver la croissance». Geoffroy Didier a dévoilé ses propositions économiques ce matin.

LE FIGARO.- Quels sont les atouts principaux de votre projet économique?

Geoffroy DIDIER.- Je propose un projet clé en main, une stratégie économique cohérente et une véritable alternative à l'austérité. Mon scénario permet un retour au plein-emploi et une réduction des déficits publics. Contrairement à d'autres, je ne souhaite pas donner de chiffres sur la réduction des déficits. On sait très bien que l'économie est vivante et donner des chiffres aujourd'hui, que l'on ne réalisera pas demain, est une manière de discréditer l'action publique. Je pense surtout qu'il existe des dépenses publiques utiles et d'autres inutiles. Prétendre que l'on va couper brutalement les dépenses publiques, et donc forcément les services publics, est une illusion.

Pourquoi?

Parce que cela ne construit pas la croissance.

Dans vos critiques, on devine vos cibles, comme le projet de François Fillon, par exemple…

Oui, bien sûr mais même celui d'Alain Juppé le rejoint sur ce point. Ils font fausse route. Il existe une alternative économique à l'austérité. Les Français n'adhéreront pas à l'austérité, aux promesses de sang et de larmes. Elle ne fonctionnera pas et risque de détruire les chances de reprise économique. L'austérité ne fera pas gagner la droite. Je reproche à mes adversaires de proposer des réductions de dépenses sans se soucier de créer de la richesse. Or, c'est en créant de la richesse que l'on réduira les déficits. Pas en faisant l'inverse.

À titre d'exemple, quelle proposition phare de votre projet souhaiteriez-vous retenir?

L'exonération totale des donations, pendant deux ans, pour mobiliser l'épargne privée. Aujourd'hui, beaucoup de parents ne peuvent pas donner à leurs enfants parce que cela leur coûte trop cher. Une telle exonération permet de libérer de l'argent et de soutenir, par exemple, le logement.

Quels sont vos choix face à la dépense publique?

Il faut assumer certaines dépenses publiques nécessaires. Les policiers et les gendarmes manquent d'équipements, or la sécurité est l'une des premières missions de l'État. La révision générale des politiques publiques, appliquée à ces missions, fut une erreur. Je propose de reprendre ce que nous faisons aujourd'hui au sein de la région Ile-de-France: un plan d'investissements publics structurants. Il faut également diminuer certaines dépenses de fonctionnement en les rationalisant.

Quelles sont les autres mesures qui vous semblent incontournables?

Un plan d'investissements en infrastructures de croissance, un prélèvement unique et forfaitaire sur l'imposition du capital fixé à 30% (englobant la CSG et l'ISF), des allocations sociales totalement «repriorisées», le temps qu'il faudra, vers l'élimination de la grande pauvreté. Et pour inciter le retour au travail, toutes les allocations sociales confondues ne devront jamais excéder 75% du Smic. Concernant les 35h, je suis pour la liberté de choix au niveau de l'entreprise.

Que retrouve-t-on aujourd'hui dans votre projet qui figurait déjà dans les idées de votre courant La Droite forte?

Beaucoup de choses, notamment le développement de la participation et de l'intéressement, la simplification totale du Code du travail avec le contrat unique ou la retraite à 65 ans.

Avec qui avez-vous préparé ce programme économique?

J'y ai travaillé avec mon père, Michel Didier, président de COE-Rexecode (Centre d'observation économique et de Recherche pour l'expansion de l'économie et le développement des entreprises) et un groupe de hauts fonctionnaires, économistes et chefs d'entreprise dirigé par Gilles Koléda, professeur d'économie.


Le 11 juin1928: Naissance de Doña Fabiola

Doña Fabiola, épouse du Roi Baudouin Ier de Belgique, fut la cinquième Reine des Belges, de 1960 à 1993.
Le 15 décembre 1960, elle épouse à Bruxelles le Roi Baudouin de Belgique, fils du roi Léopold III et de la reine Astrid. Le couple royal n'aura pas d'enfant et vit simplement au château de Laeken. Tous deux sont réputés pour leur grande foi catholique et sont des adeptes du Renouveau charismatique.

De 1960 à 1993, la reine Fabiola est la Première Dame de Belgique. Elle est aux côtés de son époux pour assister aux cérémonies officielles, se rendre en voyage d'État et recevoir les personnalités étrangères de passage à Bruxelles.

Très attentive aux problèmes rencontrés par les handicapés, elle crée en 1967 la Fondation nationale Reine Fabiola pour la Santé Mentale et multiplie les visites dans les institutions spécialisées. Avec le roi Baudouin, elle représente la Belgique en 1990 à New York au premier Sommet mondial des Nations Unies sur l'enfance.

Le 31 juillet 1993, le roi Baudouin décède en Espagne. La reine Fabiola fait impression lors de ces funérailles par sa dignité et sa robe blanche, dans une célébration placée sous le signe de l'espérance. À partir de 1993, elle diminue le nombre de ses apparitions publiques afin de ne pas faire de l'ombre à sa belle-sœur la reine Paola, nouvelle Première Dame.

Depuis le décès de son époux, elle est présidente d'honneur de la Fondation Roi Baudouin.


Livre « Eugénie, les larmes aux yeux »

Parution aux éditions Michel de Maule de ce récit romanesque « Eugénie, les larmes aux yeux » de Nicole Descours. Il s’agit du récit romancé de la vie de la vie de l’impératrice Eugénie, née de Montijo, issue de la grande noblesse espagnole. Le plus réussi de cet ouvrage est certainement la reconstitution de l’époque et de la vie culturelle qui l’imprégna.

« Eugénie, les larmes aux yeux », Nicole Descours, Editions Michel de Maule, 2016, 224 p.

13407014_622211151262506_7303246652054083732_n


Attentat de Tel Aviv

Philippe Dallier, Sénateur/Maire Les Républicains de la Seine-Saint-Denis, Président du Groupe d’amitié France-Israël au Sénat, condamne avec la plus grande fermeté l’attentat qui a provoqué la mort de quatre personnes et en a blessé une dizaine hier soir à Tel Aviv.
Toutes ses condoléances vont aux familles des victimes.
Philippe Dallier exprime son total soutien à l’état d’Israël dans la lutte contre le terrorisme, pour la protection de ses citoyens et la sauvegarde de sa démocratie.

FRANÇOIS FILLON ÉTAIT L'INVITÉ DU JT DE 20H HIER SOIR, APRÈS SON DISCOURS "POUR UNE VRAIE JUSTICE SOCIALE"

Flèche à droite noireLoi Travail

« Le gouvernement a fait beaucoup d’erreurs dans la mise en œuvre de cette loi sur le travail, c'est-à-dire qu’il a beaucoup reculé (...). Aujourd’hui, le gouvernement doit être ferme. »

« Les organisations syndicales doivent comprendre que les Français les regardent avec de plus en plus de distance. Quand vous avez été inondé, que vous souffrez de toutes ces difficultés et qu’en plus, on vient vous compliquer la vie par une grève, il y a une forme d’égoïsme qui prévaut. »

Flèche à droite noireRégimes de retraite

« Je désire rassembler les régimes sociaux en un seul. Je voudrais qu’on inscrive dans la Constitution de la République française le principe d’égalité des régimes sociaux, ce qui devrait être une évidence. »

Flèche à droite noirePolitique sociale

« Avec la défense du prétendu modèle social français, on a 6 millions de chômeurs, 2 millions de jeunes qui sont exclus, des petits retraités qui n’arrivent plus à vivre, des agriculteurs et des artisans qui paient tellement de charges qu’ils n’ont plus de salaire, et on a une pauvreté et une exclusion qui augmentent. »

« Nous sommes un pays qui dépense plus d’argent que les autres pour sa politique sociale, et en même temps, nos performances en matière de lutte contre la pauvreté sont moins bonnes. (…) Les remèdes que je propose permettront, par la libération de l’économie, de donner un emploi à tous les Français. »

Flèche à droite noireClasses moyennes

« Je propose que les charges sociales qui pèsent sur les classes moyennes soient réduites de 10 milliards pour redonner du pouvoir d’achat à des Français qui sont en train de glisser vers la pauvreté. »


Le 9 juin 1672: Naissance du plus grand Tsars de la Russie:  Pierre le Grand


Piotr Alexeïevitch Romanov, appelé aussi Pierre le Grand est né le 9 juin 1672 (le 30 mai dans le calendrier julien).
Il fut proclamé Tsar de Russie en 1682, avec son demi-frère Ivan V.
Pierre et Ivan partagèrent le trône pacifiquement jusqu'à la mort d'Ivan, devenu invalide en 1696.


ll a profondément réformé son pays et a mené une politique expansionniste qui a transformé la Russie en puissance européenne importante. Il est mort le 8 février 1725 (28 janvier dans le calendrier julien).

12991108_621517904665164_3254146902947723444_n

 


Jeanne d'Albret
(Jeanne III d'Albret)

Princesse de Navarre
34ème Reine de Navarre (25 mai 1555 - 9 juin 1572)
duchesse d'Albret (1556)
vicomtesse de Limoges
comtesse d'Armagnac

Née le 16 novembre 1528 (vendredi) - St-Germain-en-Laye
Décédée le 9 juin 1572 (vendredi) Assassinée à l'hôtel de Condé à Paris à l’âge de 43 ans
Inhumée - Saint-Georges de Vendome

Parents

Henri d'Albret, 33ème Roi de Navarre 12 février 1517 – 25 mai 1555 (38 ans 3 mois et 13 jours) non couronné 1503-1555

Marguerite d'Angoulême 1492-1549

Mariée avec Antoine de Bourbon, Roi de Navarre (Antoine III) 1518-1562 (Parents : Charles de Bourbon, 27ème comte de Vendôme 3 octobre 1495) 1489-1537 & Françoise de Valois 1490-1550)

dont ;
Henri de Bourbon 1551-1553
Henri IV de Bourbon, Roi de France 1553-1610
Louis-Charles de Bourbon 1555-1557
Madeleine de Bourbon 1557-1557
Catherine de Bourbon 1559-1604

13417672_621521937998094_3821460090552643623_n


Le 09 juin 1660: Le Roi de France Louis XIV épouse Marie-Thérèse

Traité des Pyrénées
On distingue Marie-Thérèse, la fille de Philippe IV, future reine de France, derrière lui.

Le 7 novembre 1659, les Espagnols acceptent de signer le Traité des Pyrénées qui fixera les frontières entre la France et l'Espagne. De son côté, Louis XIV accepte bon gré, mal gré de respecter une des clauses du traité : épouser l'infante Marie-Thérèse d'Autriche (1638-1683), fille de Philippe IV, roi d'Espagne, et d'Élisabeth de France.


Ce mariage a pour but de rapprocher la France de l'Espagne. Il a lieu le 9 juin 1660 à Saint-Jean-de-Luz. Louis ne connaît sa femme que depuis trois jours, celle-ci ne parle pas un mot de français mais le Roi l'honore fougueusement et devant témoins dès la nuit de noce.